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Test du Samsung Galaxy Alpha : le métal, recette miracle pour un téléphone haut de gamme ?

Avec le Galaxy Alpha, Samsung veut s'attaquer à l'iPhone 6. De nombreux éléments sont communs aux deux téléphones : taille d'écran, définition ou encore l'utilisation de métal. Le géant coréen veut donc jouer dans la cour des smartphones haut de gamme qui conserve tout de même un taille d'écran relativement correcte : 4,7 pouces. La plupart du temps, les flagships des constructeurs tournent plutôt autour et même au-delà des 5 pouces. Niveau design, Samsung a également mis le paquet pour tenter de séduire la clientèle proche d'Apple. Alors que donne le Galaxy Alpha par rapport à la concurrence sous Android ?

 

Gaël a déjà eu l'occasion de prendre en main le Galaxy Alpha en août dernier le temps de quelques minutes. On avait également pu voir le mobile à l'IFA, mais nous n'avions jamais pu passer plusieurs jours avec le dernier smartphone de Samsung dans notre poche. C'est désormais réglé puisque nous avons pu tester le Galaxy Alpha pendant une petite semaine afin de se faire une idée sur le téléphone du géant coréen censé venir faire de l'ombre à l'iPhone 6. Samsung est dans une situation délicate puisque son smartphone haut de gamme, le Galaxy S5, peine à concurrencer l'iPhone à cause d'un form factor et d'un design incomparables, en terme de choix des matériaux. Avec le Galaxy Alpha, le Coréen se rapproche davantage de la proposition d'Apple, ce qui se vérifie en premier lieu par la fiche technique.

 

Enfin du métal !

Ça y est, Samsung a enfin compris ! Le Galaxy Alpha signe l'arrivée du métal sur les smartphone haut de gamme du constructeur. Sur le Galaxy Alpha, on trouve en effet des bordures en ... roulement de tambours ... aluminium brossé ! Celles-ci confèrent au mobile un look et une prise en main dignes d'un téléphone haut de gamme. Même si la coque arrière utilise encore du plastique, son revêtement est différent de celui du S5 : il parait moins fragile et au final, moins cheap. Samsung aurait presque pu utiliser le terme à la mode de finition métal puisque c'est un peu l'effet ressenti au toucher de la coque. Les bords en métal et la coque permettent donc de propulser le Galaxy Alpha dans la cour des grand niveau design. Il était temps d'utiliser des matériaux nobles, surtout sur un smartphone vendu 650 euros.

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Si l'on s'attarde sur les bordures, on peut se rendre compte qu'elles sont biseautées et que le métal donne vraiment une sensation de solidité. On a aussi une sensation de perfection lorsqu'on remarque les trous du haut-parleur percés directement dans le métal. En revanche, certains détails laissent un peu à désirer : c'est notamment le cas de la prise jack qui ressort légèrement à cause de son épaisseur, ce qui forme donc un renfoncement sur la bordure en métal. C'est la même chose en bas du téléphone avec un renfoncement pour accueillir le port USB. Le capteur photo dépasse lui aussi légèrement de la coque arrière, ce qui rend instable le téléphone posé à plat si l'utilisateur appui sur le bord de l'écran. Enfin, la finition n'est pas exemplaire avec le bouton physique Accueil qui possède du jeu sur un côté.

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En revanche, dans la main, la finesse du Galaxy Alpha est un vrai bonheur. Avec seulement 6,7 mm d'épaisseur, on a du mal à repasser à un téléphone même légèrement plus épais. Sa légèreté est aussi une véritable prouesse : avec 115 grammes sur la balance, le Galaxy Alpha doit sûrement être l'un des smartphones (si ce n'est le smartphone) 4,7 pouces les plus légers. Mais forcément, cette finesse et cette légèreté se font au détriment de certains composants, à commencer par la capacité de la batterie, un désavantage que nous détaillerons plus loin.

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La batterie est d'ailleurs facilement amovible puisqu'il suffit de retirer à la main la coque de protection en plastique. Pour insérer la carte nano SIM, il faudra d'ailleurs retirer la batterie. Aucun logement pour carte SD n'est présent et il faudra donc se contenter des 32 Go de ROM dans notre version destinée à la France. Enfin, un mot sur le haut-parleur dont nous avions parlé plus haut : sa position n'est pas optimale pour les droitiers qui pourront parfois le recouvrir avec leur main.

De l'AMOLED, encore et toujours

Samsung possède des capacités de production pour les écrans AMOLED et l'entreprise en profite. C'est donc un écran Super AMOLED de 4,7 pouces que l'on trouve sur le Galaxy Alpha avec une définition HD de 720 x 1280 pixels. L'iPhone 6 et son écran de 4,7 pouces (1334 x 750 pixels) sont clairement visés. Ce n'est pas ce qui se fait de mieux en termes de résolution (312 PPP), c'est sûr, mais c'est suffisant pour la plupart des usages. Une dalle Full HD aurait bien sûr apporté un confort supplémentaire, et notamment sur le texte des pages web ou les icônes du bureau qui peuvent manquer de finesse si l'on y prête attention.

En parlant de résolution, abordons rapidement la technologie PenTile Diamond utilisée par Samsung depuis quelques le Galaxy S4, revue avec le Galaxy S5 et présente ici sur le Galaxy Alpha. Un pixel est en théorie composé de trois sous-pixels : un rouge, un bleu et un vert. Avec le PenTile Diamond, on trouve un sous pixel rouge et un sous pixel bleu pour deux sous-pixels verts. Puisque l’œil humain perçoit davantage le vert que les autres couleur, on aura l'impression de posséder un écran d'une plus haute résolution. En réalité, les 312 PPP s'appliquent donc uniquement pour les sous pixels verts (on parle de donc de SPPP pour Sous Pixel Par Point), et 218 SPPP pour les sous pixels rouges et bleu. Mais Samsung fait varier la taille et la forme des sous pixels en fonction de leur couleur pour que l’œil humain ne puisse pas percevoir la différence.

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Dans la pratique alors ? L'AMOLED, on aime ou n'aime pas. Personnellement, j'ai beaucoup de mal avec la saturation à l'extrême des couleurs induite par cette technologie. Heureusement, Samsung a inclus quatre profils colorimétriques différent : adaptatif, AMOLED Vidéo, AMOLED Photo ou basique. Le profil vidéo tire énormément vers le bleu et pourra convenir au visionnage des films mais est inutilisable ailleurs. Le profil photo est intéressant puisqu'il permet de bénéficier de couleurs vives et flashy dans les photos mais avec une saturation encore trop prononcée. Finalement, on préfèrera le dernier profil, basique, qui se rapproche le plus de la réalité mais est encore loin de la perfection avec une légère teinte bleutée présente constamment.

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La luminosité maximale du Galaxy Alpha est suffisante mais on regrettera le comportement de la luminosité automatique, qui n'est pas assez lumineuse pour regarder des photos ou surfer sur Internet. Il faudra alors repasser en luminosité manuelle. Le contraste est bien sûr très élevé du fait de noir très profonds puisqu'avec l'AMOLED, l'alimentation des pixels est coupée pour afficher le noir. En revanche, le blanc tire un peu trop sur le jaune et les gris semblent délavés.

Les angles de vision sont bons, mais légèrement moins que sur une dalle IPS comme celle qui équipe l'Ascend Mate 7, par exemple. Mais en toute honnêteté, ils sont largement suffisants. Enfin, la dalle Super AMOLED du Galaxy Alpha semble posséder un taux de réflexion assez bas, puisque les reflets ne handicapent pas vraiment la lecture de l'écran. En plein soleil, on aura plus de mal à lire sur une dalle IPS. C'est donc un très bon point pour le Galaxy Alpha.

 

Couvrez ce TouchWiz que je ne saurais voir

Pour équiper la partie logicielle de ce Galaxy Alpha, c'est Android KitKat en version 4.4.4 qui s'y colle avec bien évidemment la présence de TouchWiz, l'interface utilisée par Samsung sur ses mobiles Galaxy. Si l'AMOLED est une question de goût, on a du mal à croire que certaines personnes se régalent à l'utilisation de TouchWiz. C'est la même version qu'on a pu tester sur le Galaxy S5 en début d'année, avec les mêmes avantages et les mêmes inconvénients.

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Visuellement, l'interface accuse le coup de l'âge avec un bleu fade omniprésent qui nous ramène à des interfaces vieillottes et qui tranche clairement avec les fonds d'écran intégrés par Samsung, plein de couleur et de joie. Au contraire, TouchWiz est austère et il n'y a pas moyen de changer le thème de base. Si encore c'était seulement une histoire de design, ça irait, mais niveau ergonomie, TouchWiz n'est pas un exemple en la matière.

On reconnaît que certaines fonctions sont plutôt pratique comme par exemple My Magazine, un genre de flux RSS, à la manière de BlinkFeed sur HTC. Malheureusement, il est impossible d'exclure certaines sources ou d'en ajouter d'autres. Mais l'intégration des réseaux sociaux est tout de même plutôt réussie, bien qu''il manque Instagram. Mis à part My Magazine, j'ai trouvé peu de fonctionnalités qui ajoutaient réellement une plus value à TouchWiz par rapport à Android Stock. La barre de notifications est tout de même plus attrayante mais on se perd rapidement dans le fil des notifications. Et puis, il y a des incontournables qu'on ne trouve pas dans TouchWiz : la lampe torche existe sous forme de widget, mais impossible de le placer dans la barre des réglages rapides. Ou encore, à la réception d'un SMS, l'ouverture de l'application Messages ne renvoie pas vers le message reçu mais vous replace dans la dernière conversation active. Vous l'aurez compris, TouchWiz ne m'a vraiment pas convaincu et j'ai hâte de découvrir en profondeur la nouvelle version de l'interface sous Android L que Samsung nous prépare.

multi fenetres TouchWiz

Pour tenter de se démarquer de la concurrence, Samsung a tout de même ajouté quelques éléments à son interface. C'est par exemple le cas de la fonction multi fenêtres qui permet d'afficher côte à côte deux applications. Autant vous dire que sur un écran de 4,7 pouces, l'utilité de la fonction est vraiment limitée, même en mode paysage. Une fonction qui peut toutefois se révéler pratique dans certains cas, mais qu'on n'utilisera pas au quotidien, c'est sûr. Une autre fonctionnalité qui a fait son apparition avec TouchWiz cuvée 2014, c'est Download booster. La fonction permet d'agréger une connexion Wi-Fi avec une connexion cellulaire pour booster le débit. Et dans la pratique, ça marche plutôt bien, que ce soit pour les téléchargements mais également pour la lecture de certaines vidéos. Pour le coup, c'est une fonction vraiment innovante et pratique à utiliser : une fois activée, il n'y a plus rien à faire, tout se fait automatiquement.

Enfin, on retrouve les deux mêmes capteurs que sur le Galaxy S5, à savoir le capteur d'empreintes digitales et le capteur de fréquences cardiaques. Et encore une fois, on fera les mêmes reproches que ceux que l'on a pu faire au flagship du constructeur coréen. Tout d'abord, le capteur d'empreintes digitales est tout sauf pratique : aucun utilisateur (sauf celui qui aime perdre du temps) n'activera le déverrouillage du téléphone par l'intermédiaire des empreintes. La fonctionnalité peut très bien fonctionner pendant un petit moment et devenir totalement inutilisable malgré de nombreuses tentatives. Il faut en fait passer son doigt extrêmement lentement sur le capteur, au bon endroit, à la bonne heure et de la bonne manière pour que le téléphone veuille bien se déverrouiller. On regrette donc le capteur utilisé par Apple ou celui de l'Ascend Mate 7 de Huawei qui sont très agréables à utiliser au quotidien et même pratiques.

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Quelques mots sur le capteur de fréquence cardiaque. Encore une fois, en l'état, il est tout sauf pratique à utiliserDe la même manière que pour le Galaxy S5, il "suffit" de placer son doigt sur le capteur situé à côté de l'appareil photo. C'est plus simple à dire qu'à faire puisqu'un peu d'entraînement est nécessaire : il ne faut pas appuyer trop fort et il faut se détendre pour éviter de faire varier le rythme cardiaque. Une fonctionnalité gadget en l'état puisqu'un sportif préfèrera une ceinture (ou une montre) qui enregistrera en temps réel son rythme cardiaque. Difficile d'imaginer sortir son téléphone en pleine course. On se consolera alors avec le podomètre bien plus pratique à utiliser que les différents capteurs puisque l'utilisateur n'a pas besoin d'y prêter attention.

 

Un appareil photo plutôt à l'aise mais qui nous laisse sur notre faim

Comme tout bon capteur photo qui se respecte, le 12 mégapixels (contre 16 MP sur le Galaxy S5) est à l'aise dans des conditions lumineuses idéales, avec des bons clichés dotés d'une bonne balance des blancs, mais qui manquent parfois légèrement de précision à cause d'un autofocus qui semble un peu lent. En faible luminosité, le capteur possède un comportement particulier : il prend des clichés vraiment très clairs mais en contrepartie, on se retrouve avec beaucoup de grain et un manque de piqué. On aime ou on n'aime pas. Pour un usage principalement dédié aux réseaux sociaux, c'est pratique mais une fois ouvert sur un grand écran, on se rend vite compte des défauts.

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Samsung a intégré son application appareil photo qui est plutôt complète et qui permet de régler certaines options : ISO, stabilisation (numérique), modes de mesure ou encore la taille de l'image. La fonction la plus intéressant est sûrement le mode HDR qui permet de prendre une photo à contre jour en conservant un niveau de luminosité suffisant sur les zones sombres pour les faire ressortir. Le résultat est plutôt bon et la fonctionnalité vraiment utile. L'appareil photo se débrouille aussi très bien en mode macro avec un premier plan très net et un arrière plan flou.

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Des performances décevantes

Avec un prix haut de gamme, on s'attend à des performances de premier ordre. Mais nous avons été particulièrement déçu sur ce point. Sur les benchmarks, l'Exynos 5430, ses huit cœurs (4 x Cortex-A7 et 4 x Cortex-A15) et les 2 Go de mémoire vive s'en sortent plutôt bien. AnTuTu atteint même un score de 48 900 points, plaçant le Galaxy Alpha dans le haut du panier. A l'usage, le smartphone est en tout cas très réactif, sauf dans le domaine vidéoludique où tout s'effondre.

Pourtant, la définition 720p de l'appareil devrait permettre d'éviter de trop l'handicaper. Mais le GPU Mali-T628MP6 ne semble pas donner le meilleur de lui même au sein de l'Exynos 5430. Sur les benchmarks, ce n'est pas trop flagrant puisque 3DMark atteint un honorable 17 200 points comparable avec les appareils en Snapdragon 801, tout comme GFXBench en 1080p. Sur ce dernier test en 720p, les performances sont d'ailleurs vraiment bonnes. Mais dans la pratique avec des jeux très gourmands, ce n'est pas la même histoire.

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Sur notre partie habituelle de Real Racing 3 de 20 minutes, le framerate moyen (nombre d'images par secondes) était de 27 FPS. Une valeur vraiment faible qui permettait de déceler de nombreux ralentissements à l’œil nu, d'autant plus que le framerate s'étalait de 17 à 37 FPS et n'était jamais stable. Problème d'optimisation ou soucis de dissipation thermique / consommation ? Difficile à dire puisqu'il nous a été impossible de monitorer la fréquence du CPU et du GPU à cause de l'architecture big.LITTLE. Concernant la chaleur, le SoC chauffe la coque arrière mais pas de manière vraiment handicapante. On sent ici les effets de la gravure en 20nm qui permet de réduire la consommation et donc la chauffe. Nous comptons par la suite réaliser un comparatif entre le Galaxy Alpha et d'autres mobiles, nous ne manquerons donc pas de tester davantage de jeux avec notre protocole.

 

Une autonomie en demi teinte

L'autonomie du Galaxy Alpha n'est pas vraiment son point fort. Pourtant, sur notre test d'autonomie habituel (lecture d'une vidéo YouTube en mode avion avec Wi-Fi activé et luminosité au maximum pendant une heure), la capacité de la batterie a seulement diminué de 14 %, un score plutôt bon. De même, notre logiciel de mesure de performances GameBench nous indique une autonomie d'environ 3h30 en jeux gourmands. Mais au quotidien, la batterie de 1860 mAh semble un peu légère pour gérer l'ensemble des notifications, SMS et appels passés. Sur une journée classique qui débute vers 7h30, il n'est pas rare de se retrouver en rade de batterie vers 22h.

Pour tenter d'augmenter artificiellement l'autonomie du téléphone, Samsung a mis en place des fonctionnalités d'économie d'énergie. La première permet de passer l'affichage en échelle de noir pour bénéficier de la consommation nulle de la dalle AMOLED sur ce type d'affichage, restreindre les données en arrières plans et limiter les performances du SoC. La seconde permet d'aller plus loin en limitant le nombre d'applications utilisable et désactive les données mobile lorsque l'écran est éteint. Pratique pour économiser les quelques pourcents de batterie restante, mais Android en noir et blanc perd un peu de son charme.

 

La 4G+ à 300 Mbps au programme

L'Exynos 5430 du Galaxy Alpha intègre un modem 4G compatible avec les réseaux de catégorie 6, ce qui signifie une vitesse descendante maximale de 300 Mbps et un débit montant de 50 Mbps. Bien évidemment, ces débits sont théoriques et dans la pratique, on obtient souvent moins, soit du fait de l'éloignement avec les antennes ou de leur saturation. D'autant plus que la 4G+ (LTE-Advanced) en est encore à ses balbutiements en France. Bouygues Telecom et Orange commencent à peine à déployer leur réseau et seule une poignée de villes sont couvertes de manière partielle. En France, le débit maximal de la 4G+ sera dans un premier temps de 225 Mbps puisque pour atteindre les 300 Mbps, il faudra attendre que les opérateurs obtiennent de nouvelles fréquences pour agréger en tout trois porteuses contre 2 actuellement. Vous l'aurez donc compris, nous n'avons pas pu mettre à rude épreuve le modem de l'Exynos 5430.

Concernant les appels, il n'y a rien à redire puisque la qualité sonore est claire, le volume élevé et la réception bonne.