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Test du Samsung Galaxy Note 8 : le phénix des Notes de ces bois

Après un Galaxy Note 5 absent chez nous et un Galaxy Note 7 qui n'est resté que très peu de temps en vente, le Galaxy Note 8 signe le retour très attendu de cette gamme de Samsung sur le marché. En deux ans, ce dernier a cependant évolué et de nouveaux concurrents prétendent au prix de la meilleure phablette, aussi, le Note 8 a-t-il de quoi justifier son tarif de 1009 euros ? Verdict !

Fiche Technique

On pourrait penser que le Galaxy Note 8 et le Galaxy S8+ partagent une grande partie de leur fiche technique, mais en dehors de leur processeur, les deux terminaux se montrent relativement différents. Le Note 8 possède un écran un poil plus grand (6,3 pouces contre 6,2), 2 Go de RAM supplémentaires et un double appareil photo. Enfin, la présence du S Pen est également une différence notable.

Ce test a été réalisé à partir d'un exemplaire commercial prêté par Samsung et est certifié sans (trop) de jeux de mots pourris sur les explosions du Note 7.

 

Samsung envoie du lourd

En début d'année, Samsung a frappé un grand coup avec ses Galaxy S8 et S8+ au design soigné mettant en valeur leur écran Infinity Display 18,5:9. Pour démarrer le second semestre, la marque sud-coréenne reprend sa formule gagnante et ne la fait que peu évoluer. Les différences sont néanmoins notables.

L'écran du Note 8 étant légèrement plus grand que celui du Galaxy S8+, ses dimensions gagnent quelques millimètres par-ci par-là, mais c'est surtout l'intégration du stylet qui apporte la plus grande différence puisque le Note 8 est pour cette raison épais de 8,6 mm, contre 8,1 mm pour le S8+. On pourrait se dire que cela n'est pas grand-chose, mais en main, la différence se ressent.

C'est d'autant plus le cas que le Note 8 est un peu plus carré que les derniers flagships de la marque, depuis sa forme générale jusqu'aux coins de son écran, mais nous reviendrons sur ce point plus tard. L'effet est loin d'être désagréable et a l'avantage de proposer un maintien plus solide et moins glissant en main, ce qui devrait réduire légèrement le nombre de chutes.

Mais ces changements s'accompagnent également d'une hausse du poids du téléphone. De 173 grammes pour le S8+, on passe à 195 grammes pour le Note 8 et cette différence est très nette. Entre ses coins plus carrés et sa lourdeur, il ne lui manque plus que les bordures immenses pour que l'on ait l'impression d'utiliser un Xperia.

Pour autant, si le poids n'est pas un problème pour vous (certains préfèrent les téléphones plus lourds), le Galaxy Note 8 est très bien fini et respire la solidité jusque dans ses petits détails. On apprécie tout particulièrement son appareil photo qui n'est pas protubérant, ce qui est assez rare ces derniers temps pour être souligné. Son dos vitré en revanche est très salissant et se griffe rapidement de microrayures, laissant craindre quant au vieillissement de l'appareil.

Enfin, pour en revenir à ses dimensions, le Galaxy Note 8 est grand. Très grand. Et c'est normal puisqu'il s'agit d'une phablette. Aussi, si vous l'achetez, vous vous attendez déjà à l'utiliser à deux mains. En revanche, si le bouton d'alimentation, sur la tranche droite, et les boutons servant à baisser le volume et à ouvrir Bixby, sur la tranche gauche, sont facilement accessibles, le bouton permettant de monter le volume est situé un peu haut et devient difficile d'accès. Dommage quand on sait l'intérêt que revêt Bixby pour un bon nombre d'utilisateurs.

Pire encore, le capteur d'empreintes peut se montrer inaccessible selon comment on tient le téléphone. En le tenant naturellement, reposant sur le petit doigt pour assurer une bonne prise, mon majeur n'effleure qu'à peine le capteur, ce qui m'oblige à revoir ma prise en mains pour déverrouiller le téléphone. On aurait préféré que le téléphone s'adapte aux usages plutôt que l'inverse...

Le plus bel écran du marché

Samsung a intégré ici une dalle AMOLED au format 18,5:9, comme sur les S8, avec une définition de 2960 x 1440 pixels, soit 522 ppp. Autant dire que comme pour le S8, on est là en présence d'un très bel écran. Tout comme ce dernier, les bords sont très légèrement incurvés sur les bords et ses coins sont arrondis, mais de façon bien moins marquée que sur le Galaxy S8, ce qui rend l'écran plus naturel et donne l'impression qu'il est mieux intégré au châssis. Choix judicieux donc.

De base, le téléphone est toutefois réglé en Full HD+ (2220 x 1080 pixels). Une définition suffisante sur laquelle nous effectuerons donc nos tests ici.

DisplayMate qualifié l'écran du Galaxy Note 8 de meilleur écran jamais créé et les résultats obtenus par notre sonde n'indiquent rien qui puisse faire penser le contraire. Confirmant ce qu'il était déjà possible de supposer à l'œil nu, nos mesures indiquent une luminosité maximale dépassant les 720 cd/m², ce qui est énorme pour de l'AMOLED.

Les autres caractéristiques de cet écran ne sont pas en reste puisque son contraste est quasi infini (AMOLED oblige), que ses angles de vision sont très larges, quel que soit l'angle adopté et son espace colorimétrique est très étendu (il couvre les 100 % de l'espace DCI-P3). De base, il est réglé naturellement de façon plutôt froide (plus de 7500 K), mais ses réglages permettent de configurer cela pour se rapprocher des 6500 K du point blanc "idéal". Les plus pointilleux peuvent même choisir la quantité de rouge, de vert et de bleu affichés afin de convenir à leur goût.

Comme pour le SGS8, l'affichage 18,5:9 se prête parfaitement à un usage quotidien et Samsung propose à chaque passage en plein écran de choisir entre différentes méthodes de coupe pour remplir au mieux l'écran. Selon le contenu, cela peut cependant supprimer des informations de l'image ou afficher des bandes noires supplémentaires de part et d'autre de l'image. On s'y fait cependant assez rapidement.

Enfin, notons que l'écran du Galaxy Note 8 est compatible HDR, ce qui permet de profiter des contenus compatibles, que ce soit sur Netflix ou YouTube par exemple. Et sans aller jusqu'à dire qu'un non-initié verrait immédiatement la différence, il est clair que la qualité d'image atteint ici des niveaux inégalés jusque là sur un smartphone.

J'ai beau avoir eu un très grand nombre de téléphones en main, je pense pouvoir dire que c'est le plus impressionnant de tous.

 

Android à son meilleur

La partie logicielle du Samsung Galaxy Note 8 est assurée par Android 7.1.1 et Samsung Experience 8.5. Le tout profite à l'heure de la rédaction de ces lignes du patch de sécurité du mois d'août, ce qui reste correct, d'autant qu'on ne doute pas que Samsung appliquera les derniers correctifs rapidement.

Tout comme pour le Galaxy S8, on ne peut que saluer cette interface beaucoup plus sobre que l'ancien TouchWiz, bourrée d'éléments de personnalisation, mais sachant rester simple d'utilisation et extrêmement fluide. On apprécie tout particulièrement le fait que Samsung demande au premier lancement quelles applications l'utilisateur souhaite installer, ne forçant la présence que de la suite Microsoft (Word, Excel, PowerPoint et OneDrive).

Une fois lancé, le système se montre très moderne et regorge d'options, que ce soit via l'application d'un thème complet, le choix du nombre d'icônes sur le bureau ou dans le tiroir d'applications, de la disposition des touches de la barre de navigation, des raccourcis de l'écran de verrouillage, la possibilité de se passer du tiroir d'applications, etc.

On ne remarque donc aucun changement majeur depuis le S8, que nous qualifiions à l'époque d'« expérience logicielle parfaite », à l'exception peut-être de la possibilité de cacher la barre de navigation.

 

Bixby

Cette expérience est cependant entachée par la présence de Bixby, dont l'utilité reste plus que discutable aujourd'hui. Sorte de furoncle d'inutilité sur une œuvre d'art qui se lance souvent par mégarde au moindre effleurement de son bouton. On espère que l'arrivée en français ne se fera pas trop attendre. Pour rappel, l'assistant de Samsung n'est disponible qu'en anglais et en coréen.

 

Un stylet enfin intéressant pour tous

La gamme Note a toujours eu ce petit truc en plus qui lui a valu son nom et l'attirance de certains fans. Son Stylet. Ce fameux S Pen a beaucoup évolué au fil des générations et il se fait aujourd'hui plus grand public que jamais.

Tout d'abord, parlons de son ergonomie. Ou de son manque d'ergonomie. Breaking news : c'est un stylet, pas un stylo ! Et il doit pouvoir se loger dans le téléphone. Vous voyez où je veux en venir ? Oui, il est petit, il est parallélépipédique, et il n'est pas évident à tenir fermement. En outre, son bouton est positionné un peu haut, ce qui le rend peu accessible. Oui, ça devient un gimmick chez Samsung les boutons trop hauts !

Enfin, les nerveux apprécieront que son embout supérieur soit cliquable. Clic, clic, clic, clic, clic.... Leurs voisins de bureau un peu moins.

Logiciellement, le S Pen a cependant été repensé pour s'adapter au plus grand nombre. Considéré par beaucoup comme un accessoire réservé aux artistes (ou tout du moins à ceux qui savent correctement dessiner), le S Pen a souvent été mis de côté par le grand public. Samsung essaye donc de proposer davantage d'utilisations à son stylet.

La première utilisation venant simplifier la vie du consommateur prend la forme de Notes Express. Cela prend la forme d'un écran noir (économique donc en OLED) dès que l'on sort le stylet de son logement. Il est alors possible de prendre une note rapide qui est automatiquement enregistrée dès lors que l'on range le S Pen.

Le deuxième élément intéressant est la traduction à la volée. Une fois l'option activée (en deux clics), il est possible de traduire un mot ou un paragraphe affiché à l'écran en le survolant du bout de la mine. Un grand nombre de langues sont disponibles, rendant l'option très utile.

Enfin, la dernière fonction grand public apportée par cette nouvelle génération de S Pen est la création de messages animés. Le but est d'écrire un petit mot qui sera transformé en GIF afin d'être facilement partagé via les différentes applications. Par ailleurs, un raccourci sur le clavier Samsung permet d'y accéder d'un simple clic depuis n'importe quel réseau social ou messagerie instantanée. Pratique pour faire passer vos déclarations d'amour ou de haine en paillettes. La limitation de temps est cependant une contrainte non négligeable et le message ne peut être trop long.

 

L'Exynos 8895 n'est pas à la hauteur de sa concurrence

Tout comme le Galaxy S8, le Galaxy Note 8 est équipé d'un Snapdragon 835 dans certains pays, mais d'un Exynos 8895 en Europe. C'est d'habitude une très bonne nouvelle, mais il semblerait que cette année, Qualcomm ait mieux maîtrisé son SoC que Samsung.

Sur les benchmarks, le Galaxy Note 8 obtient de bons scores, mais dès lors qu'il est question de jeux en conditions réelles, le résultat est légèrement moins bon que sur les terminaux dotés d'un processeur Snapdragon 835 ou d'un Kirin 960. La faute certainement à un bridage des cœurs les plus performants du CPU afin d'éviter la surchauffe. En regardant de plus près, on s'aperçoit en effet qu'ils sont cadencés environ à 1,5 GHz lors des sessions de jeu alors qu'ils peuvent monter jusqu'à 2,3 GHz.

Notons que notre test a pourtant été effectué avec le mode "performances" activé.

Cette différence de puissance se ressent notamment dans la stabilité du jeu. Sans que les drops d'images soient particulièrement gênants pour le jeu en lui-même, ils restent visibles et attestent d'un certain manque de fluidité.

C'est d'autant plus dommage que le Galaxy Note 8 est très fluide lors d'une utilisation quotidienne (interface, navigation, réseaux sociaux, messageries, etc.).

 

Un premier double capteur photo réussi

Pour la première fois, Samsung intègre ici un double capteur photo sur l'un de ses smartphones. On a donc deux capteurs de 12 Mégapixels (l'un avec des photosites de 1,4 µm et l'autre avec des photosites de 1 µm) couplés respectivement à des objectifs de 26 mm ouvrant à f/1,7 et de 52 mm ouvrant à f/2,4. Le tout est stabilisé optiquement pour éviter les flous de mouvement trop prononcés.

Cela permet entre autres de disposer de deux prises de vues différentes. Là où LG a opté pour un champ de vision standard et un autre plus large, Samsung, comme beaucoup d'autres, a préféré le zoom x2 au grand-angle. Une position qui se défend dans de nombreux cas et qui dépendra des goûts et utilisations de chacun. Il faut avouer que pouvoir se rapprocher de sa cible sans avoir à avancer physiquement est souvent pratique.

Alors que le Galaxy S8 nous avait plutôt déçus sur sa partie photo, le Galaxy Note 8 rattrape son retard et propose des clichés d'une très grande qualité, avec de très bons contrastes, un piqué excellent en général (et surtout avec un autofocus très rapide et sans heurt). Les couleurs sont également fidèles, de ce que je peux en dire à vu d'œil avec un écran qui n'a pas été calibré avec minutie. Aucune teinte ne parait surnaturelle, même s'il arrive que certaines zones apparaissent cramées lorsque la scène présente un énorme dynamisme (que le HDR soit activé ou non).

Même en intérieur avec une luminosité plutôt faible et artificielle, j'ai réussi à prendre de beaux clichés du premier coup, surtout en vue rapprochée.

En revanche, dans certaines conditions, pas forcément moins bonnes que ci-dessus, il m'est arrivé d'obtenir des clichés moins bons, avec un peu de grain, ou un peu de flou, certainement en raison d'une mise au point un peu moins précise. C'est tout de même assez rare dans l'absolu.

Le mode portrait quant à lui ajoute un effet de bokeh derrière la cible et marche relativement bien, mais le pousser à l'extrême floute également les contours du sujet, prouvant que l'algorithme n'est toujours pas parfait. À ranger dans la catégorie des gadgets donc, au même titre que les nombreux filtres Instagram-like intégrés.

La caméra frontale est quant à elle équipée d'un capteur de 8 Mégapixels avec des photosites de 1,22 µm et un objectif ouvrant à f/1,7. Le résultat est plutôt bluffant et même dans des environnements peu éclairés, on obtient une bonne qualité d'image. La finesse de l'image est forcément moins bonne si la luminosité baisse, mais le rendu de la lumière et des couleurs est étonnant.

(Contrairement à ce que l'on pourrait penser, la deuxième photo a été prise dans des conditions très sombres)

On retrouve également quelques modes amusants, comme le selfie panorama pour les groupes nombreux ou le flou d'arrière-plan pour faire ressortir le sujet.

Enfin, le Galaxy Note 8 propose de filmer en 4K à 30 images par seconde ou en Full HD à 60 ips. Dans ce second cas, on sent que la finesse d'image pourrait être meilleure et certains détails bavent légèrement, mais la stabilisation est très bonne, compensant facilement le mouvement d'une personne en marche. En 4K en revanche, si la qualité d'image est bien meilleure, on ressent tout de suite beaucoup plus les à-coups de l'appareil.

 

Haut-parleur : attention au max

Pour restituer le son, le Galaxy Note 8 n'utilise qu'un seul haut-parleur situé sur sa tranche inférieure. Celui-ci se montre bon et fidèle jusqu'à environ 80 % de la puissance maximale -- qui permet déjà une écoute correcte même si l'endroit est légèrement bruyant. Passé ce cap, les médiums commencent à grésiller et les basses à s'assourdir, faisant perdre sa profondeur au son.

Le jack propose quant à lui un son de bonne qualité, avec peut-être des basses un peu lourdes naturellement, et surtout avec une énorme puissance. Clairement, à moins de vouloir faire profiter votre voisin de votre musique et finir sourd rapidement, vous n'aurez pas à pousser le son au maximum une fois votre casque sur les oreilles.

 

Réseau et communication

J'ai été très étonné en insérant une carte SIM (Orange) dans le Galaxy Note 8 de voir le logo "H+" s'afficher dans la barre d'état. Après avoir forcé la recherche réseau dans les paramètres du téléphone, j'ai retrouvé de la 4G qui ne m'a plus quitté à partir de là (sauf dans le métro évidemment). Le débit descendant oscille entre 85 et 110 Mb/s et une vidéo YouTube en 720p se charge rapidement. De même, charger une page internet prend moins de 3 secondes en moyenne, ce qui est tout à fait acceptable.

L'utilité première d'un téléphone reste de communiquer, et le Galaxy Note 8 le fait très bien. Le son du haut-parleur d'appels est fort et limpide et les bruits extérieurs sont assez étouffés pour que notre interlocuteur n'entende que notre voix même en pleine rue.

Enfin, le GPS fixe rapidement (moins de 3 secondes), avec une très bonne précision (à peine quelques mètres puisque j'ai été situé sur le trottoir d'en face). La boussole est également bien calibrée, chose assez rare chez Samsung pour être relevée.

 

Une autonomie étonnante, mais pas exceptionnelle

Le Galaxy Note 8 embarque un SoC identique à celui du Galaxy S8+, un écran légèrement plus grand et une batterie de 3300 mAh là où son cousin du début d'année proposait 3500 mAh. Sur le papier, le Note 8 devrait donc s'en sortir moins bien que son homologue... sur le papier.

Car dans les faits, lors de notre test SmartViser simulant une utilisation mixte du téléphone, le Galaxy Note 8 a tenu 19 heures (18h59 très exactement), soit exactement le même score que le Galaxy S8+. Il semblerait donc qu'avec Samsung Experience 8.5, la marque coréenne semble avoir optimisé son logiciel pour proposer une autonomie similaire malgré une batterie moins conséquente, le tout couplé à un écran légèrement moins gourmand.

Attention cependant à certaines utilisations, comme en plein soleil, où il vous faudra pousser la luminosité de l'écran, ou lors de la capture de vidéos... la batterie fond alors à vue d'œil.

Ce résultat est plutôt bon dans l'absolu, mais 2017 a été une année étonnante et on compte des smartphones bien plus autonomes désormais, comme le BlackBerry KEYone ou le OnePlus 5.

Comme pour le Galaxy S8, le Note 8 est livré avec un chargeur rapide délivrant 10 à 15 W. Il suffit donc de rester 40 minutes environ sur secteur pour passer de 0 à 50 % d'autonomie et 1h30 pour une charge totale. De quoi regagner une autonomie salvatrice dans certains cas et s'assurer de pouvoir terminer la journée. En outre il prend en charge la recharge sans fil au standard Qi.

 

Quelles alternatives ?

Evidemment, la première alternative est le Galaxy S8 Plus, si c'est une question de prix vous savez ce qu'il vous reste à faire. Vous pouvez consulter votre guide d'achat des smartphones haut de gamme à cette adresse.

 

Prix et disponibilité

Le Galaxy Note 8 a été lancé le 15 septembre 2017 au prix de 1009 euros.