Du neuf chez les Google Glass : de la musique, des économies, et de nouveaux Explorers
Cela fait un bon moment que nous ne vous avions pas parlé des Google Glass.
Nous savions déjà qu’une seconde version des Glass avait été lancée par l’entreprise auprès des Explorers américains.
Une seconde vague d'Explorers
Par ailleurs, nous apprenons également que les Google Glass s’ouvrent désormais à plus de monde aux États-Unis. Un pas vers l’ouverture internationale du programme Explorer (voir notre portrait d'une Explorer), annoncée par la firme de Mountain View il y a quelques semaines. Nous pouvons à ce titre noter la nouvelle page d’inscription à une liste d’attente sur le site dédié aux Google Glass. Les résidents américains intéressés par le programme, peuvent ainsi s’inscrire sur le site pour figurer sur une liste d’attente. À chaque fois qu’une place se libère, un nouvel Explorer pourra prendre part à l’aventure. Seul pré-requis : disposer des 1500 dollars nécessaires pour s’offrir la paire de lunettes. Une somme toujours très conséquente pour un lancement auprès du public. On s’attend toutefois à ce que le prix de monture soit drastiquement revu à la baisse au moment de la commercialisation du produit final.
1 milliard de dollars d'économies
D’ailleurs, lorsque l’on voit son prix, on pense à qui pourrait s’acheter un tel produit. Hormis les quelques Explorers fortunés, certaines entreprises ont également franchi le pas. Parce que oui, les Google Glass ne sont pas qu’un simple gadget issu de la science fiction ou offrant des fonctionnalités encore inédites. Certaines sociétés américaines les utilisent à des fins professionnelles. Un choix que vient étayer une étude du cabinet Gartner, qui prévoit des économies de pas moins de 1 milliard de dollars aux entreprises qui utiliseraient les Glass d’ici 3 à 5 ans ! Si le cabinet parle de ce fait des lunettes connectées de manière générale, il illustre son propos avec le produit de Google. Des économies qui devraient surtout concerner les entreprises qui font du travail de terrain comme celles spécialisées dans l’industrie de la santé, de la réparation ou encore de l’entretien. Ainsi, 10 % des entreprises américaines devraient utiliser cette technologie dans les cinq prochaines années.