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Très haut débit : les pouvoirs publics attendus au tournant par le PDG de SFR

Jean-Yves Charlier, le nouveau PDG de SFR a déclaré lors d'un colloque que les pouvoirs publics devaient intervenir pour promouvoir les nouveaux usages numériques afin qu'il y ait un développement plus important des nouveaux réseaux très haut débits, mis en place il y a quelques semaines.

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Et si les pouvoirs publics étaient impliqués dans la promotion des nouveaux usages numériques ? C’est en tout cas le voeux du nouveau PDG de SFR, Jean-Yves Charlier qui souhaiterait voir une implication plus profonde des pouvoir publics dans ce sens afin de développer les nouveaux réseaux très haut débit.

Dans le cadre d’un colloque de l’Arcep, le régulateur des télécom français, M. Charlier a déclaré qu’il "y a des enjeux de valorisation qui ne sont pas uniquement industriels mais aussi de société, auxquels l'industrie, les régulateurs et les pouvoirs publics doivent réfléchir." L’ambition du PDG de l’opérateur au carré rouge est plus grande. "Il ne s'agit pas seulement d'afficher que la France va être fibrée à l'horizon 2020 et que les réseaux mobiles devront être à tant de % de couverture de la population, il faut que l'on révolutionne les applications, et pour cela les pouvoirs publics ont un rôle déterminant", a-t-il ajouté. Et ces applications, Jean-Yves Charlier les voudrait identiques à celles que l’on trouve en Asie ou au Moyen-Orient. À ce propos, il a évoqué des applications relatives au e-learning, la santé ou encore les villes automatisées.

Éviter la fracture du numérique

Ceci dans le but d’éviter la fracture numérique “qu’on est en train de voir apparaître entre les Français qui vivent en milieu rural et en ville.” Et pour ce faire, la mutualisation des réseaux est également importante pour Charlier, car “pour rentabiliser un réseau qui va couvrir 100 % de la population, les prix doivent refléter les investissements considérables dont nous avons besoin”, a-t-il conclu. Pour rappel, SFR et Bouygues Telecom sont en négociation pour partager leurs réseaux.  Orange et Free sont, eux, toujours attendus pour un éventuel accord.