Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

Tinder cité dans de plus en plus d'affaires policières

Les applications de rencontre comme Tinder et Grindr connaissent un grand succès, et le revers de la médaille devait bien tomber un jour. La police britannique indique qu'elles sont citées dans de plus en plus d'affaires criminelles. Mais ce n'est pas vraiment surprenant.

Tinder

D'après des rapports de police en provenance du Royaume-Uni, le nombre d'affaires criminelles (violences, agressions sexuelles, viols...) liées à des applications comme Tinder ou Grindr s'est multiplié depuis deux ans. En effet, on dénombrait 55 affaires où étaient citées ces deux applications en 2013, contre 204 en 2014 et maintenant 412 en 2015. Un chiffre qui ne cesse de grossir d'année en année, mais qui suit aussi tout simplement l'évolution du nombre d'utilisateurs de ces services, et la migration des "modes de rencontres". On devine que Tinder et Grindr ont démocratisé la drague "sur le pouce", que le nombre de rencontres entre inconnus évolue constamment, et que les incidents également. Une proportionnalité qu'on retrouve partout.

Dans le cas de Tinder, par exemple, il n'est possible de se connecter qu'à partir de son compte Facebook. Une façon de faire un premier tri, et de faire passer l'envie à certains de créer des faux comptes, et de garantir une certaine authenticité des profils. C'est alors aux utilisateurs d'être tout simplement vigilants, les rencontres "à l'aveugle" n'étant pas une innovation dans le domaine de l'amour.

Le chef adjoint de la police nationale du comté de Merseyside explique que "la popularité grandissante des applications de rencontres en ligne a contribué à l'augmentation du nombre de crimes". "Nous recommandons fortement aux utilisateurs de se manifester et déposer plainte s'ils ont été victimes de n'importe quel délit", poursuit-il. "Nous recommandons d'être le plus prudent possible et de ne pas communiquer de données personnelles avant d'être sûre de la personne avec laquelle on communique".

Il aurait été intéressant de comparer l'augmentation du nombre de crimes liés à ces applications au nombre total de crimes de ce type, afin d'avoir une meilleure vue d'ensemble sur la portée de ces applications.