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Dangereux et peu efficaces, pourquoi il est déconseillé d’utiliser un VPN gratuit

Avec le retour de Game of Thrones ou la présence de films récents sur le catalogue américain de Netflix, il devient de plus en plus tentant de prendre un VPN. L’offre est pléthorique, mais très souvent payante. Alors pourquoi ne pas opter pour un VPN gratuit ? La réponse est assez simple : parce que c’est beaucoup trop risqué.

Avant d’expliquer pourquoi l’utilisation d’un VPN gratuit peut présenter des dangers, il est nécessaire de revenir sur le principe même du VPN et sur son modèle économique. Un VPN, c’est un système informatique qui permet de délocaliser rapidement et facilement sa connexion Internet sur des serveurs situés un peu partout dans le monde. Autrement dit, vous allez connecter votre PC à un serveur, qui va surfer sur Internet à la place de votre PC. Les données qui sont reçues et envoyées à ce serveur sont alors chiffrées et théoriquement inviolables.

Le principe est relativement simple à comprendre et relativement simple à mettre en place quand on possède quelques connaissances en informatique. Après tout, rien ne vous empêcherait de posséder un serveur dans votre chambre et de faire en sorte qu’il serve de point d’accès pour un VPN. Mais les fournisseurs de VPN n’en possèdent pas qu’un. PureVPN, l’un des principaux fournisseurs de VPN du marché, en propose par exemple plus de 2000, situés dans plus de 140 pays et 180 villes à travers le monde.

Que faire sans entrées d'argent direct ? Revendre des données, pardi !

Assurer non seulement un suivi logiciel (chiffrement de la connexion, kill switch, split tunneling), mais aussi un suivi technique digne de ce nom (pour s’assurer de la vitesse et de la stabilité de la connexion) demande donc des moyens. Et actuellement le seul moyen d’entretenir ce réseau et d’assurer une qualité de service satisfaisante consiste à faire payer l’utilisateur. Et c’est à ce moment-là que commencent à se poser les problèmes liés aux VPN gratuits.

Les VPN gratuits n’ont alors que deux solutions pour parvenir à générer de l’argent. Le premier, c’est de brider la vitesse de connexion ou les données qui transitent sur leurs serveurs de façon à inciter les utilisateurs à passer sur des services payants. Ce sont les VPN gratuits les plus honnêtes… Mais aussi les moins pratiques.

La seconde solution est vieille comme Internet, « si c’est gratuit, c’est vous le produit ». Ils intègrent en effet des trackers (dans le meilleur des cas), voire des malwares. Dans le monde des VPN plus qu’ailleurs, il est conseillé de se fier aux grandes marques pour être sûr que ses données soient en sécurité.

Plus de 50 % des VPN gratuits ont plus de 3 trackers de données

C’est ce que révélait en 2016 une étude publiée par le CSIRO (un organisme gouvernemental australien pour la recherche scientifique). Celui-ci se penchait sur le contenu et les autorisations demandées par des applications de VPN pour Android après avoir regardé de plus près un corpus de 283 VPN. De cette étude, on retiendra qu’alors que les deux tiers des VPN payants n’ont aucun tracker, ce chiffre descend à moins de 30 % quand il s’agit des VPN gratuits. Pire, plus de la moitié des VPN gratuits en avaient trois ou plus. Et c’est sans parler du nombre de malwares présents au sein de ces applications.

À ce constat peu glorieux en matière de vie privée s’ajoute également le manque de fonctionnalités que l’on peut attendre d’un VPN. Pour le cadre d’une utilisation pour contourner le géoblocage de Netflix et accéder à son catalogue américain, il n’existe actuellement aucun VPN gratuit qui permet d’y accéder. Rares, pour ne pas dire inexistants, sont ceux qui permettent de télécharger en peer to peer. Bref, en plus de vendre vos données à des tiers, ils ne permettent même pas d’avoir les usages de base que l’on peut attendre d’un tel service.

Se reposer sur des fournisseurs de VPN sûrs

Nous le disions un peu plus haut, il y a pléthore de fournisseurs de VPN actuellement et mieux vaut se tourner vers les grandes marques. PureVPN fait partie de ces fournisseurs de confiance. Basée à Hong Kong, la société a été créée en 2006. Elle dispose aujourd’hui non seulement d’une grande expérience en la matière, mais aussi d’une infrastructure de serveurs solide et fiable, avec plus de 2000 serveurs répartis à travers le monde. Trois millions d’utilisateurs lui font ou lui ont fait confiance.

PureVPN est aussi un fournisseur de VPN qui met en avant le respect de la vie privée de ses utilisateurs. Sa page de politique de confidentialité est un bon exemple de ce que l’on peut attendre d’une société qui fait transiter des données sensibles ou personnelles : elle indique les données que PureVPN recueille (essentiellement des informations liées à l’adresse mail et au moyen de paiement) et surtout celles auxquelles elles ne touchent pas. Adresses IP, requêtes DNS ou activités de navigation ne sont jamais enregistrées.

Seulement 2,92 euros par mois

PureVPN propose également tous les services que l’on peut attendre d’un VPN premium. Son application permet de choisir le type de serveur suivant les usages que l’on attend de son service : streaming (pour accéder au catalogue américain de Netflix, mais aussi à d’autres services de SVOD), partage de fichier (pour le peer to peer) ou encore sécurité, pour mieux protéger ses données. Chacun de ces serveurs est rapide et bénéficie d’une connexion stable.

L’abonnement d’un an à PureVPN est actuellement en promotion, au prix de 2,52 euros par mois, soit 60,47 euros pendant deux ans. Ce qui en fait l’un des VPN premium les moins chers du moment.