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Les CEO de Google veulent rassurer leurs employés après l'article du New York Times

Après la récente parution de l'article du New York Times sur le "Père d'Android" (Andy Rubin), Sundar Pichai et Eileen Naughton ont adressé un email à l'ensemble des employés afin d'exprimer leur volonté d'instaurer un climat de confiance sur le lieu de travail. 

Dans l'article "How Google Protected Andy Rubin, the ‘Father of Android’" (en français : Comment Google a protégé Andy Rubin, le "Père d'Android"), le New York Times met en avant de quelle façon le géant de l'internet a versé 90 millions de dollars à Mr. Rubin pour garder le silence sur une plainte pour faute professionnelle, notamment pour harcèlement sexuel. Les CEO de Google, Sundar Pichai et Eileen Naughton, expriment qu'il a été "difficile de lire" intégralement cette histoire, d'après The Verge.

L'email des CEO n'est pas là pour contredire ou discréditer les propos du New York Times, mais bel et bien pour rassurer les employés. Effectivement, les dirigeants actuels de Google ne peuvent pas réparer ces torts, mais Pichai et Naughton tentent de souligner le fait que Google a institué un véritable changement au sein de la société.

Nous voulons vous assurer que nous examinons chaque plainte concernant le harcèlement sexuel ou une conduite inappropriée, que nous enquêtons et que nous agissons. [...]

Nous nous engageons à faire en sorte que Google soit un lieu de travail sur lequel vous pouvez vous sentir en sécurité pour faire de votre mieux et où les conséquences sont graves pour quiconque se comporte de manière inappropriée.

Pour accompagner les arguments avancés, les deux CEO mettent en avant quelques chiffres afin de montrer qu'ils prennent cette situation très au sérieux. Grosso modo, il est précisé que personne, même en situation de pouvoir et d’autorité sur autrui, n'est au-dessus des lois.

Au cours des années passées, nous avons apporté un certain nombre de changements, notamment en adoptant une ligne de conduite de plus en plus sévère en ce qui concerne le comportement inapproprié de personnes en position d'autorité. Ces deux dernières années, 48 personnes ont été licenciées pour harcèlement sexuel, dont 13 cadres supérieurs, ainsi qu'au-delà de cette position hiérarchique.