Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

L'Europe interdit (provisoirement) à Facebook de récolter les données utilisateurs de WhatsApp

L'Europe a interdit à Facebook de récolter les numéros de téléphone des utilisateurs de WhatsApp. Mais cette suspension pourrait n'être que temporaire.

Whatsapp

En août, un changement dans la politique de confidentialité de WhatsApp avait attiré l'attention. En effet, la plateforme de messagerie instantanée y indiquait sa volonté de partager les numéros de téléphone des utilisateurs sur Facebook. Cette décision était destinée à améliorer le ciblage publicitaire et, plus globalement, les services de Facebook. Mais d'après le Financial Times, les autorités européennes se sont opposées à cette mesure.

Ainsi, depuis une semaine et pressés par les régulateurs européens, Facebook a suspendu sa collecte de données. Mais il ne s'agit peut-être que d'une situation temporaire. L'entreprise a elle-même indiqué que des débats allaient être menés entre les deux parties pour trouver un accord légal.

https://www.frandroid.com/android/applications/373717_whatsapp-nest-tard-empecher-facebook-dacceder-a-vos-donnees

Un bras de fer

« Nous espérons poursuivre nos conversations minutieuses avec l'Information Commissioner's Office au Royaume-Uni [un bureau chargé de la protection des données des citoyens, ndlr] et les autres responsables de la protection des données en Europe, et nous restons ouverts à toute collaboration pour répondre à leurs questions », explique le réseau social.

La réponse de Facebook paraît extrêmement cordiale. Néanmoins, on peut s'attendre à ce que l'entreprise se lance dans un bras de fer acharné avec les autorités européennes au cours des prochaines semaines. La firme a déjà été obligée de supprimer les données récoltées auprès des 35 millions d'utilisateurs allemands et la même sanction devait être appliquée dans d'autres pays européens, dont la France.

Si vous n'êtes pas rassurés, n'hésitez pas à découvrir nos alternatives à WhatsApp.