Decathlon Yart : pourquoi ce talkie-walkie pour vélo d’aventure nous a tapé dans l’œil
Mercredi 11 octobre, Decathlon a tenu son événement annuel « Reveal », au cours duquel 16 produits ont été nommés dans quatre catégories principales, dont un nouveau biporteur électrique que nous avons pu découvrir sur place. Pour chaque catégorie, un vainqueur a été nommé. Le Decathlon Yart a été cité dans la section « Technologie & Innovation », sans pour autant récolter le plus de votes.
Ce petit objet qui ressemble à s’y méprendre à un talkie-walkie n’est pas la révolution de l’année, mais il nous a cependant tapé dans l’œil au moment de le découvrir. Il repose sur une philosophie articulée autour de trois thématiques : sécurité, coaching et partage.
Roger that
L’un des exemples montrés par Decathlon mettait en exergue un groupe de quatre cyclistes, au guidon d’un VTT électrique en pleine forêt. Chaque utilisateur embarquait son Decathlon Yart, fixé à une bandoulière qui traverse leur buste. L’idée étant de l’avoir au niveau de la poitrine, soit un emplacement suffisamment proche de votre bouche pour parler dedans.
Chaque Yart est connecté entre eux : il suffit alors de parler dans votre talkie-walkie pour faire passer un message à votre ami situé derrière ou devant vous. Cela peut être intéressant si vous ouvrez par exemple le passage et qu’un danger doit rapidement être signalé aux autres cyclistes.
La portée entre chaque Decathlon Yart est d’un kilomètre. Sur des tracés techniques ou des descentes corsées de quelques centaines de mètres, cela peut être intéressant de partir en décaler. Une fois le parcours terminé, il est alors possible de prévenir votre acolyte, lui indiquant que la voie est libre.
Un petit gadget très léger
Résistant aux impacts, à l’eau ou à la neige, le Decathlon Yart revendique huit heures d’autonomie pour un usage logiquement outdoor (randonnée, alpinisme, ski, vélo). Nous avons eu la chance de le prendre dans notre main, et avons été impressionnés par sa légèreté. Pour sûr, son poids ultra faible ne vous gênera pas.
À l’heure d’écrire ces lignes, nous n’avons pas connaissance de son prix.