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Test du Realme X3 SuperZoom : un bon compromis avec des fonctions photos superflues

Lancé en France dans le courant du mois de juin, le Realme X3 SuperZoom est un smartphone aux nombreuses caractéristiques inspirées du haut de gamme, mais dont le prix de 500 euros se positionne sur la tranche du milieu de gamme. Entre son taux de rafraîchissement de 120 Hz, son quadruple capteur photo, sa puce Snapdragon 855+ ou encore ses 12 Go de RAM, l’appareil mobile a de quoi séduire sur le papier.

Qu’en est-il dans la réalité ? C’est tout l’objet de ce test.

Fiche technique du Realme X3 SuperZoom

Ce test a été réalisé à partir d’un exemplaire prêté par la marque.

Un beau bébé en main

En découvrant pour la première fois le Realme X3 SuperZoom, ne vous attendez pas à une grande surprise. Le téléphone ne fait pas dans l’excentricité ou l’originalité, et reprend les derniers codes esthétiques croisés à maintes reprises sur une pléthore de smartphones de l’année 2020. Rassurez-vous : la formule choisie n’en reste pas moins efficace, bien qu’une poignée d’ingrédients ternissent légèrement la recette.

À l’avant, l’appareil mobile profite d’un écran plat de 6,6 pouces. Pas de surface incurvée ici, ce qui vous évitera les mauvaises manipulations. La dalle est délimitée par des bordures noires d’une épaisseur homogène et modeste sur les parties latérales et supérieures. Le menton se veut plus épais, mais le résultat global reste tout à fait satisfaisant à moins que vous soyez un fervent défenseur des écrans borderless.

En haut à gauche, vous remarquerez forcément l’emplacement pour accueillir le double capteur frontal. Cette bulle horizontale est certes moins discrète qu’un unique poinçon, mais à titre personnel, je me suis facilement habitué à sa présence. Elle disparaît d’ailleurs presque en entier lorsque le mode sombre de certaines applications (YouTube, Twitter, pour ne citer qu’elles) est activé.

Le dos du Realme X3 SuperZoom ne profite pas du matériau le plus haut de gamme : du plastique en l’occurrence, qui attrape ça et là quelques traces de doigts. En revanche, son revêtement ultra lisse est très agréable au toucher. Un point positif contrebalancé par la protubérance créée par le module photo -- quadruple capteur au menu -- élégamment placé à la verticale : une fois posé à plat, le téléphone est bancal. Pas très pratique.

Avec une coque, cet effet est grandement atténué. Sans, votre majeur gauche viendra aussi s'inviter sur toute la surface du module lors d'une session gaming en mode paysage.

A contrario du Realme C11 qui arbore un imposant logo de la marque sur sa façade arrière, l’entreprise chinoise a ici privilégié la carte de la sobriété avec une approche marketing plus modérée : le nom « Realme » apparaît bien, mais d’une manière moins intrusive.

Tâchons ensuite de justifier l’intitulé du sous-titre « Un beau bébé en main ». Car oui, cet appareil mobile de 202 grammes n’est pas plus le léger du marché, combiné à une épaisseur de 8,9 mm (9,3 mm avec le module photo) qui fait de lui un téléphone au gabarit imposant. En clair : vous le sentez dans votre poche, vous le sentez en main. D’ailleurs, privilégiez l’utilisation de vos deux menottes pour naviguer sur l’interface.

Toujours au chapitre des mensurations, le Realme X3 SuperZoom mesure 75,8 mm de large et 163,8 mm de haut. Sa tranche latérale droite accueille le bouton d’alimentation, sous lequel vient se nicher le capteur d’empreintes digitales. Malgré mes petits doigts, le système tombe parfaitement sous mon pouce. Sur la tranche latérale gauche se trouvent les boutons du volume.

Globalement, la finition du trio susmentionné ne respire pas le haut de gamme, et aurait mérité un traitement plus affiné. Ce n’est que du détail et un avis subjectif. Côté connectique, comptez sur une sortie USB-C et un emplacement double SIM sur la tranche inférieure, complétés par la seule et unique grille de haut-parleur.

En revanche, le terminal fait l’impasse sur la prise jack 3,5 mm, l’extension MicroSD pour augmenter l’espace de stockage et la certification d’étanchéité. Il faudra se contenter d’un verre Gorilla Glass 5 vieillissant -- officialisation en 2016 -- qui lui permettra de résister à des chutes d’1,6 mètre.

LCD et 120 Hz

Le Realme X3 SuperZoom arbore une dalle LCD de 6,6 pouces en Full HD+, qui profite d’une définition de 2400 x 1080 pixels, le tout au format 20:9. Sans oublier une densité de 400 pixels par pouce. Au quotidien, l’écran est agréable à utiliser, bien que certaines mesures calculées avec notre sonde ne penchent pas totalement en sa faveur.

Débutons par la luminosité maximale : celle-ci tutoie les 462 cd/m², soit un résultat qui se trouve dans la moyenne des dalles LCD. Ce n’est pas mauvais, mais ce n’est pas non plus excellent. Dans la réalité, je n’ai rencontré aucun réel problème avec cet élément.

Par défaut, le téléphone est configuré sur le mode vif et une température neutre. À partir de ces réglages, notre sonde et le logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Displays ont calculé un espace colorimétrique sRGB couvert à 129 % (c’est convenable) et un spectre DCI-P3 à 86 %. Ce dernier point n’est pas folichon, mais il faut rappeler que le DCI-P3 est plus large et donc plus difficile à gérer. En d'autres termes, l'écran du Realme X3 SuperZoom n'est pas le meilleur pour afficher une palette très variée de couleurs, mais comme il ne se positionne pas sur un segment premium, nous ne lui en tiendrons pas trop rigueur.

Quant à la fidélité des couleurs, l’appareil mobile s’en éloigne considérablement avec un Delta E moyen de 5,17 sur le DCI-P3, lorsque l’indice de référence tourne autour de 3 pour coller au mieux à la réalité. Cet écart se ressent tout particulièrement au niveau des blancs et des bleus.

Le Realme X3 SuperZoom affiche un bon taux contraste de 1433:1, mais une température de couleurs de 7304 K qui tire donc un poil vers le bleu. Cette tendance à pour effet de donner du peps à l’écran. Pas de panique : si vous souhaitez rééquilibrer le tout, il vous suffira d’ajouter un peu de température chaude ou de basculer sur le mode doux.

Le meilleur atout de cette dalle réside dans son taux de rafraîchissement de 120 Hz, qui offre une excellente et délicieuse fluidité à l’usage. Ce petit plaisir a cependant tendance à consommer plus de batterie, mais une fonctionnalité adaptative lui permet de se régler automatiquement (120 ou 60 Hz) selon vos usages.

Realme UI toujours au rendez-vous

On ne le répétera jamais assez, mais l’interface logicielle Realme UI ressemble comme deux gouttes d’eau à celle d’Oppo, ColorOS. Organisés à l’identique, les paramètres offrent peu ou prou le même degré de personnalisation selon les appareils. Le Realme C11 n’a par exemple pas le droit aux fonds d’écran animés et à la barre latérale intelligente, a contrario du Realme X3 SuperZoom.

Comptez aussi sur la navigation par gestes, le tiroir d’applications, un panneau de notifications largement configurable, le fameux écran scindé pour utiliser deux applications en simultané, la personnalisation des icônes, la gestion des claviers ou encore l’incontournable mode sombre natif, pour ne citer que ces fonctionnalités. On apprécie aussi l’appui long sur certaines applications, qui donne accès à des actions instantanées.

Globalement, Realme UI offre une bonne expérience logicielle, bien que le problème de traduction observé sur ColorOS au moment d’appareiller un casque audio au téléphone (traduis « appariemment ») n’a visiblement toujours pas été corrigé. Notons aussi le grand nombre de sous-onglets au sein des paramètres, qui pourrait rebuter les moins nerds d’entre nous à personnaliser comme il se doit leur téléphone.

Le capteur d’empreintes digitales placé sous le bouton d’alimentation est quant à lui très réactif, à condition de bien disposer son pouce dessus. J’ai toutefois remarqué ça et là plusieurs dysfonctionnements qui m’ont contraint d’utiliser mon code personnel. Est-ce volontaire ou un aveu de faiblesse de la part du système ? Le mystère demeure.

Bonne nouvelle : vous pouvez sans aucun problème visionner des contenus en haute définition sur les plateformes SVOD telles que Netflix et Disney +, à titre d’exemple, grâce au DRM Widevine au niveau de sécurité L1 (le plus élevé) du téléphone. Le mode SuperEco limite enfin l’interface à six applications (selon vos préférences), et le panneau de notifications à quelques paramètres, pour économiser au mieux l’énergie.

Polyvalence photographique, mais plusieurs fonctionnalités inutiles

Le Realme X3 SuperZoom sort les muscles en matière de photographie. Du moins en apparence au regard de son quadruple capteur arrière, combiné à une double caméra frontale. L’un des arguments marketing de la marque repose sur le zoom numérique x60, que nous avons logiquement testé. Mais avant ça, voici leurs caractéristiques respectives :

À l’arrière : 

À l’avant : 

Débutons par le capteur principal, qui offre de belles images lorsque les conditions sont correctes : la dynamique est bien gérée, même si l’ombre en bas à gauche de la première photo ci-dessous aurait pu être un poil plus exposée. Mais ce n’est qu’un petit détail. Notons en revanche l’apparition d’un effet lens flare lorsque la caméra est orientée vers un soleil intense.

L’appareil offre également un niveau de détails plaisant. En revanche, la saturation semble avoir été poussée un peu trop loin au regard des couleurs pétantes observées sur certains clichés. Le vert a notamment tendance à beaucoup ressortir, et s’éloigne quelque peu de la réalité. Cela rajoute certes du charme à la photo, mais attention tout de même à ne pas dénaturer le tout.

De nuit, la gestion des lampadaires est délicate : un halo lumineux plus ou moins prononcé apparaît sur la plupart des images, qui affichent au passage un léger bruit pour forcer la netteté globale. Mais dans l’ensemble, le résultat est plus que correct avec des photos largement exploitables.

Pour les photographes souhaitant pousser le concept plus loin au sein d’un environnement nocturne, un mode nuit est mis à votre disposition. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il parvient parfaitement à transformer une image ultra sombre en un cliché lumineux. Le résultat est cependant très flou, avec un filtre jaune peu esthétique en bonus.

Poursuivons avec le fameux mode 64 pixels, qui est censé apporter plus de détails, plus de finesse, plus de netteté. Bref, une image plus aboutie. Pour le comparer avec le mode classique, nous avons volontairement zoomé dans deux images identiques pour mieux saisir les écarts visuels. Pour un constat mitigé, puisque le résultat obtenu n'est pas particulièrement réussi. Certes, les ardoises de la toiture sont mieux définies, mais la qualité finale reste perfectible.

Le Realme X3 SuperZoom, comme son nom l’indique, mise sur un zoom puissant pour impressionner son monde. Calmons de suite ses ardeurs, car le zoom x60 proposé est numérique : cela correspond à un grossissement artificiel de l’image, pour un rendu généralement très flouté et pixellisé. Des zooms x2 et x5 sont aussi de mise, avec une qualité finale de bonne facture, sans grande incohérence colorimétrique entre focale.

Prennent ensuite le relais le zoom hybride x10 préconfiguré, le zoom x20 réglé par nos soins, suivi du fameux zoom x60. Si le premier s'en sort plutôt bien avec un niveau de détail et de netteté satisfaisants, l'expérience se dégrade considérablement avec les deux autres. Il est certes toujours impressionnant de pouvoir zoomer aussi loin, mais une telle fonctionnalité reste somme toute inutile à l'usage.

Une autre série en x1, x2 et x5 :

Complétée par les zooms x10, x20 et x60 :

Avec l’ultra grand-angle, les couleurs sont authentiques et moins pétantes qu’avec le mode classique. On remarque en revanche une gestion de la dynamique moins précise, avec des bâtiments légèrement surexposés sur la photo n°3, ainsi qu’une distorsion très prononcée des voitures (photo n° 2). Ce mode de prise de vue est aussi légèrement moins net, mais il a l’avantage d’apporter plus d’éléments dans votre scène.

Le mode Portrait profite d’un zoom x2 intéressant, qui permet de mieux centrer son sujet. Par défaut, l’effet bokeh est réglé sur le nombre 60. Mais pour un flou plus prononcé, le monter à 100 est tout à fait envisageable. Ce système comporte quelques petites anomalies avec des délimitations parfois imprécises si l’on zoom dans la photo, notamment sur la n° 1. Les mèches de coupes de cheveux plus longues ou plus virevoltantes sont aussi floutées. Mais globalement, ce mode Portrait remplit bien son rôle.

Toujours avec le mode Portrait, utilisé cette fois-ci pour les selfies, l’appareil devrait répondre à vos attentes sur des sujets faciles. C’est forcément plus délicat sur des situations plus complexes (photo n°2), où plusieurs mèches profitent d’un effet bokeh sans avoir rien demandé. Ici, nous poussons ses performances dans ses retranchements. Dans la réalité, le résultat devrait largement vous convenir.

Enfin, comme sur beaucoup de smartphones, le mode Macro -- nommé Ultra-Macro par Realme -- n’est ici pas convaincant. On remet forcément en question son utilité et sa présence au regard des images pixellisées obtenues, sans aucun résultat brillant.

Le Realme X3 SuperZoom propose aussi un lot de fonctionnalités intéressantes en vidéo. L’appareil peut filmer en zoom x1, x2, x5, et même en ultra-grand angle. Mais attention : avec cette focale, le contenu est très pixellisé. Un mode « Ultra-stabilité » offre, comme son nom l’indique, une très bonne stabilisation en marchant et en changeant de plans.

Un mode Portrait est aussi de mise pour mettre en valeur un sujet en vidéo, bien que le système ne parvienne pas à parfaitement flouter des cheveux longs. L’expérience tourne même à la petite catastrophe en vidéo/selfie/portrait.

Le terminal est capable de filmer en 4K, 1080p et 720p, à 30 ou 60 FPS pour chacune des qualités graphiques.

Le Snapdragon 855+ se balade

Pour son Realme X3 SuperZoom, la firme chinoise a opté pour un processeur Snapdragon 855+ couplé à 12 Go de RAM et 256 Go de stockage non extensible. Sur le papier, c’est très solide. Dans les faits, ça l’est aussi, malgré la présence d’une puce officialisée en juillet 2019. Ce SoC haut de gamme est une itération améliorée du Snapdragon 855 premier du nom, avec 15 % de performances en plus grâce à une augmentation de la fréquence.

Certes, les Snapdragon 865 et 865+ ont entre temps débarqué sur le marché, mais le processeur du Realme X3 SuperZoom fait largement l’affaire au quotidien : du multitâche à la navigation internet en passant par du gaming, l’appareil mobile encaisse tous les coups sans broncher pour une expérience très fluide et agréable. Bref, vous ne serez pas déçu par ses performances.

Sur l’incontournable Fortnite : Battle Royale, accessoirement l’un des jeux mobiles demandant le plus de ressources, la qualité graphique peut être poussée à son paroxysme -- mode « Epique » --, sans aucune difficulté. Et ce en 30 FPS, le nombre d’images par seconde le plus haut du jeu. Par défaut, la résolution 3D est paramétrée sur 75 %, mais n’hésitez pas à la mettre à 100 %.

Avec cette configuration, je n’ai remarqué aucune latence et chute d’IPS au cours de mes deux parties, dont l’une s’est soldée par mon premier Top 1 (brag). L’expérience a été fluide et limpide de A à Z, bien que l’arrière du téléphone a légèrement chauffé à l’issue des 26 minutes de session. Rien de bien méchant, puisque la chaleur reste bien dissipée pour garder un niveau plus que modéré.

Contrairement à l’Oppo Reno 4 Pro qui ramait énormément en mode SuperEco d’énergie, le Realme X3 SuperZoom ne souffre d’aucune lenteur gênante au moment d’utiliser cette option. J’ai pu utiliser Instagram et WhatsApp tout en jouant à quelques parties de poker chinois sans aucune anicroche. Un bon moyen de profiter du téléphone et de conserver quelques précieux pourcentages de batterie.

Une confortable autonomie

Le Realme X3 SuperZoom et sa batterie de 4200 mAh tiennent très bien la marée en matière d’autonomie. Le téléphone a par exemple fait preuve d'une endurance plus que louable après une utilisation très intensive de 10 heures, durant laquelle l’écran est resté allumé pendant 7h50 : 2h30 de YouTube, 1h50 de Netflix, 1h de visioconférence Messenger, 50 minutes de Fortnite (26 minutes de jeu et 24 minutes et de MAJ) et 50 minutes de calculs de benchmarks.

Ajoutez 50 dernières minutes d’usages divers : de Twitter à Slack en passant par Instagram, un appel téléphonique, de la navigation internet et du poker chinois. Après 26 minutes de jeu sur Fortnite, la batterie a perdu 9 %. Pendant ces dix heures, donc, le téléphone a chuté de 100 à 8 %. Pour résumer : l’appareil mobile affiche une très bonne autonomie qui lui permet de tenir facilement une journée en usage très intensif et une journée et demi en usage modéré.

Petite précision : ces résultats ont été obtenus en activant la fréquence de rafraîchissement adaptative, qui bascule donc du mode 120 Hz ou 60 Hz selon vos usages, ce afin de conserver au maximum l’autonomie. Et en cas de batterie vraiment basse, le mode Économie d’énergie et Super économie d’énergie permettent de prolonger un peu plus le plaisir.

Au chapitre de la recharge, la boîte du Realme X3 SuperZoom fournit un chargeur rapide Dart de 30 W, qui offre une prestation plus que décente et amplement suffisante : comptez 8 minutes pour grimper de 5 à 25 %, 10 minutes supplémentaires pour tutoyer les 50 %, 14 minutes de plus pour chatouiller les 80 %, puis 22 dernières minutes pour atteindre les 100 %. Temps de chargement total : 55 minutes.

Pour les afficionados de la recharge sans fil, la déception sera de mise : l’appareil mobile ne la prend pas en charge.

Réseau et communication du Realme X3 SuperZoom

Si Realme n’a pas mis son téléphone à la page de la 5G, l’appareil reste compatible avec toutes les bandes de fréquences 4G utilisées en France : de la B28 (700 MHz) à la B20 (800 MHz) en passant par la B3 (1800 MHz), la B1 (2100 MHz) et la B7 (2600 MHz). Vous n’aurez donc aucun mal à bien capter ce standard avec n’importe quel opérateur.

Le Realme X3 SuperZoom prend également en charge le Wi-Fi 5 (ac) aux fréquences 2,4 GHz et 5 GHz, ainsi que le Bluetooth 5.0 et les Codecs SBC, AAC, aptX, aptX HD et LDAC. Oubliez cependant les paiements sans contact et les titres de transport dématérialisés, puisqu’aucune puce NFC n’a été installée dans le terminal.

Quant aux appels, le rendu est globalement propre : votre voix est audible et perceptible, et les bruits ambiants bien filtrés. Seuls les scooters aux sonorités intenses peuvent être entendus, tout comme certains bruits de travaux. Mon interlocuteur a aussi remarqué quelques petits sauts audio, ça et là. Mais rien de bien méchant. Le GPS, lui, indique correctement les directions : je n’ai remarqué aucun bug particulier.

Prix et disponibilité du Realme X3 SuperZoom

Le Realme X3 SuperZoom est disponible au prix de 499,90 euros sur le site officiel, en configuration 12 Go de RAM et 256 Go de stockage interne. Deux coloris sont proposés : Artic White (notre modèle testé) et le Glacier Blue. Sur certains sites marchands, le téléphone se vend quelques dizaines d’euros de moins.