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Test du Sony Xperia 1 III : il ne fait vraiment rien comme tout le monde

Il ne faut pas passer longtemps avec le Xperia 1 III pour s'apercevoir qu'il veut clairement s'adresser aux pros, ou tout du moins aux enthousiastes de la technologie. Le marketing autour de ce smartphone le souligne d'ailleurs bien : on tombe bien vite sur le portrait d'un photographe professionnel pour souligner la présence de la « technologie professionnelle des appareils photo Alpha ». Plus loin, le smartphone est carrément conseillé aux « réalisateurs de films ». Une autre image représente un homme dans un studio de musique, avec un casque branché sur la prise jack du téléphone. Même lorsqu'un joueur est représenté, on y prétend que la vue 21:9 « lui donne l’avantage ».

Bref, vous l'aurez compris, le Xperia 1 III possède de grandes ambitions, et il vise à satisfaire les publics les plus exigeants. Dans ce test, si nous allons bien sûr nous montrer exigeants, nous allons aussi essayer de nous concentrer sur l'expérience utilisateur générale offerte par ce Xperia. Nous allons aussi le comparer au reste du marché, pour voir s'il tient la distance sur tout un tas de paramètres.

Fiche technique

Ce test a été réalisé avec un smartphone prêté par Sony

Design

La gamme Xperia sait se démarquer par l'usage d'un format d'écran 21:9 qui donne un aspect plus allongé qu'avec le désormais traditionnel 20:9. Le Xperia 1 III ne fait pas exception.

Trimballer un tel smartphone au quotidien n'est pas un fardeau, bien au contraire. Grâce son poids raisonnable de 186 g et sa largeur de 7,1 cm, il trouve un savant équilibre entre grand écran et sensation de légèreté. Le tout est donc bien agréable et à l'arrivée, on peut avoir le sentiment de posséder un téléphone à la fois grand et compact.

En main, avec l'écran allumé, on regrettera peut-être de souvent devoir utiliser ses deux mains pour aller chercher le haut de l'écran. Malgré cette petite anicroche, l'équilibre est là aussi bien au rendez-vous. C'est un smartphone qu'on s'imagine sans peine consulter des heures durant. Et c'est parfois l'essentiel de ce qu'on attend ces petites bêtes.

Passons rapidement sur la disposition de l'écran, protégé par du Corning Gorilla Glass Victus, mais qui n'est pas incurvé. Ce n'est pas une obligation du tout pour un smartphone très haut de gamme, d'autant que les finitions sont très propres. On regrette tout de même la présence de fines bordures sur les côtés, et de bordures encore un peu plus épaisses en haut et en bas.

En haut, celle-ci a au moins l'avantage d'accueillir la caméra selfie, ce qui nous évite la présence d'un poinçon un peu disgracieux. On y trouve aussi une LED qui s'allume si le smartphone est en train de charger ou en cas de notifications.

Vous l'aurez compris, le design de ce Xperia cherche vraiment à se différencier de la concurrence. C'est la plupart du temps une bonne chose, si l'on est client de ce qu'il propose. Ses bordures, que d'aucuns jugeront peut-être trop carrées, jouent à fond la carte du monolithe noir entièrement poli, avec de fines pentes à peine perceptibles, pour faire jonction avec les faces avant et arrière.

Connectique tique tique

Tant qu'à parler des tranches, évoquons la connectique et les boutons, qui assurément, ne plairont pas à tout le monde.

D'abord niveau connectique, on trouve le sacro-saint port jack 3,5 mm en haut à gauche, pour s'éviter de se retrouver avec un câble dans les pattes. Même le tiroir à SIM se démarque, puisqu'il n'y a pas besoin d'un outil pour l'ouvrir. OUI. Dans le genre satisfaisant, ça se place très haut tout de même. Ce fameux tiroir peut accueillir deux SIM, ou encore une SIM et une carte MicroSDXC jusqu'à 1 To. Finalement, il n'y a que le port USB-C qui donne dans le traditionnel, puisqu'on le trouve au centre et en bas.

Terminons ce tour d'horizon avec la face arrière. Le noir mat de cette dernière lui donne un cachet indéniable, même si en contrepartie, c'est un peu la fête aux traces de doigts.

Même pour la certification, le Xperia 1 III ne peut pas faire comme ses petits camarades, et il s'offre non pas une, mais deux certifications, puisqu'il est à la fois IP65 et IP68. De ce qu'on en comprend, le smartphone serait capable de résister à de l'eau projeter sous forme de spray, ainsi qu'à une immersion de 30 minutes à basse profondeur.

Enfin, sur la tranche droite, on trouve non pas trois, mais cinq boutons. Les traditionnels boutons d'alimentation (qui propose aussi une fonction lecteur d'empreinte fonctionnant sans anicroche) et de volume sont bien là. Ils sont ici accompagnés d'un bouton permettant d'invoquer l'assistant Google et d'un bouton dédié à la photo. Si l'on appuie sur celui-ci, on lance le mode photo et, une fois le smartphone à l'horizontale, on va pouvoir effectuer la mise au point en pressant un petit peu dessus, et déclencher la photo en pressant fermement. Vraiment cool.

Écran

Le Xperia 1 III propose une dalle OLED 4K 120 Hz de 6,5 pouces, ce qui pourrait sembler petit mais, avec un ratio de 22:9, l'impression est inverse. Si l'on peut bien passer du 120 Hz au 60 Hz quand on le souhaite, aucune option ne permet de quitter la 4K, ce qui est vraiment dommageable pour l'autonomie du smartphone.

D'autant que, on va le voir, la dalle est légèrement déséquilibrée par rapport à ce à quoi les cadors de la concurrence nous ont habitués, comme le montrent nos mesures effectuées à l'aide d'une sonde et du logiciel Calman Ultimate de Portrait Display. Exemple avec la température de couleur, qui affiche 7752K en mode normal et 6988K en mode créateur, lorsqu'on vise généralement 6500K. Cependant, là où la plupart des marques offrent une simple réglette pour approcher d'une température de couleurs voulues, Sony met les petits plats dans les grands en vous donnant énormément de contrôle sur le rendu de votre écran. Un-e expert-e pourra donc amener la température d'écran au niveau souhaité si besoin. Un très bon point.

Autre point quelque peu décevant : l'écran n'affiche qu'une luminosité maximale de 522 cd/m². Ce n'est pas scandaleux, mais à ce prix, ne pas atteindre les 600 cd/m² est un point un peu gênant. À l'usage, c'est d'ailleurs quelque chose de très concret que j'ai pu remarquer : en plein soleil, impossible de distinguer ce qu'il y avait d'affiché sans plisser des yeux ou trouver un point d'ombre.

La couverture des différents spectres de couleur s'avère plutôt convaincante, avec un sRGB couvert à 139 %, et un rendu DCI-P3, un spectre un peu plus fourni et donc plus dur à atteindre, couvert à 93 %.

En revanche, l'enthousiasme débordant de cet écran ne lui a pas fait perdre en précision, puisque nous mesurons un delta-E de 4,93 en mode normal. Fait étonnant : le mode pro n'est pas mieux avec 4,95.

Logiciel

L'expérience logicielle proposée par ce Xperia 1 III est très proche de ce à quoi la marque nous avait déjà habitués. À savoir une interface très proche de l'Android Stock qu'on peut retrouver chez des Pixel 5 par exemple. Cependant, celle-ci est polluée par quelques bloatware comme les applications Boutique Amazon, Booking, LinkedIn, Facebook et Call of Duty, mais rien de grave non plus.

L'interface manque toutefois gravement d'éléments de personnalisation et gagnerait franchement à travailler sa lisibilité. C'est dommage, car Sony a produit de vrais efforts de personnalisation pour tout ce qui entoure son écran et la photo. On peut y régler la moindre chtouille, le moindre mini-détail au mm près. Mais lorsqu'on veut régler sa police par exemple, ou encore choisir un sticker pour le mode always-on-display, on manque cruellement de choix. L'impression générale avec cette interface est qu'elle semble sortie d'un autre temps, pas si lointain, mais qui accuse déjà le poids des âges.

Par exemple, il est impossible de connecter un réseau Wi-Fi à partir d'un QR Code depuis le menu du Wi-Fi, comme c'est le cas chez de nombreux constructeurs. De même, la rotation automatique de l'écran est probablement la plus lente qu'il m'ait été donné de voir. Les animations en général sont un peu sèches, et la pêche que dégagent des interfaces comme One Ui, Oxygen OS, ou même le véritable Android Stock, manque cruellement.

Dommage, car certains choix sont vraiment bien pensés. Il y a par exemple un éditeur de capture d'écran plus poussé que la moyenne. Le retour haptique est aussi un plaisir lorsqu'on navigue d'application en application. Dernier détail aux petits oignons : si on double-tape sur la barre latérale, on accède à un menu extrêmement bien pensé, qu'on peut personnaliser. On peut même y déclencher facilement le mode une main, très pratique avec un écran de cette taille.

Certain-e-s apprécieront sans doute ce côté « interface sans chichi » qui n'en fait pas trop, mais pour ma part, je l'ai trouvé surtout un peu difficile à côtoyer sur le long terme.

Photo

Je trouve que les modes photo et vidéo du Xperia 1 III en font un peu trop à écrire « Pro » partout dans leur interface, mais il faut bien admettre qu'ils ont deux avantages assez nets. Le premier, sur la forme, est d'offrir une expérience légèrement différente de celle qu'on trouve partout ailleurs, qui varie bien peu d'un modèle Android à l'autre. Pour le meilleur et pour le pire.

Le second avantage, beaucoup plus intéressant, c'est de tenter de proposer un vrai mode pro, qui se rapproche du niveau de contrôle qu'on peut attendre d'un boitier photo (sans contrôle sur l'ouverture bien entendu, puisqu'elle est fixe sur chaque appareil). En vidéo, il est possible de tourner jusqu'en 4K 120 FPS, mais aussi d'enregistrer en 21:9 ou au ralenti.

Le bloc photo contient trois capteurs de 12 mégapixels que nous allons détailler ici :

Capteur principal

Le capteur principal est bon, même s'il ne présente pas non plus des rendus exceptionnels à mon goût. Il ne manque toutefois pas de qualité. Comme on peut le voir ci-dessous, le vert et le bleu conservent une saturation très raisonnable. De plus, le HDR fait bien son office, autorisant les zones d'ombre comme les plus éclairés à apparaitre côte à côte.

La chose certainement la plus agréable avec ce capteur principal, c'est surtout la quantité de détails qui sont conservés dans l'image. Si le ciel est à la limite d'être surexposé parfois (voir les deux premiers clichés), le Xperia 1 III s'en sort avec les honneurs.

Là où j'ai probablement préféré l'utiliser, c'est sûrement en gros plan. L'autofocus est vraiment très réactif (même avec un chat hyperactif) et les algorithmes s'adaptent sans peine d'une situation à l'autre, qu'on soit en contre-jour, ou bien en gros plan, ils se trompent rarement et proposent souvent exactement ce qu'on a en tête.

Ultra grand-angle

L'ultra grand-angle nous propose une solide partition, ce qui est d'autant plus agréable que, d'habitude, ces focales sont souvent les parents pauvres de la photographie sur smartphone.

Si le résultat n'est pas époustouflant, il a au moins le mérite de bien gérer les dynamiques (voir les ombres dans les clichés ci-dessous) et surtout, de ne pas trop perdre en piqué à mesure que les détails dans la photo s'éloignent du photographe. On peut le voir sur les diverses perspectives prises ici.

Même en gros plan, avec la plante prise en contre-jour, le cliché est exploitable, bien qu'un peu sursaturé.

Téléobjectif 70 mm

Personnellement, ce téléobjectif m'a plutôt emballé. J'ai trouvé sa gestion de la lumière assez irréprochable, et même si on aimerait garder un peu plus de détails (en particulier sur les feuillages ou les immeubles au loin). On s'éclate à pouvoir attraper des scènes ou de gros plans ici ou là, et les clichés sont parfois assez bluffants pour un zoom.

Téléobjectif 105 mm

Je trouve la seconde position du téléobjectif assez faiblarde en comparaison du 70 mm. Si on apprécie de garder un grand nombre d'informations et de pouvoir réaliser un zoom x4,4 optique, l'ensemble manque souvent de piqué et le focus n'est pas toujours au top.

Ceci étant, en l'utilisant correctement avec le mode pro, on pourra aisément régler ce souci. D'autre part, si certaines photos se retrouvent un peu surexposées, la dynamique se montre plutôt bonne.

En définitive, on se retrouve avec des photos exploitables en zoom x4,4. C'est bien, mais certains proposent mieux, avec un rendu plus convaincant ailleurs.

Mode selfie

Le mode selfie est satisfaisant. On parvient à avoir des clichés clairs avec un bon piqué, tout en conservant beaucoup d'informations sur le fond. De plus, il ne vient pas trop altérer son sujet. Si on compare les clichés deux et trois, pris à quelques secondes d'intervalles, on peut voir que la gestion de la dynamique est quelque peu aléatoire.

Mode nuit

Voici une photo de nuit prise avec chacune des focales dans l'ordre suivant : capteur principal, ultra grand-angle, 70 mm et 105 mm. On peut voir que le résultat est finalement plus net avec l'ultra grand-angle, à défaut d'être bien éclairé.

On retrouve cette sensation de flou généralisé avec ces autres clichés. Malgré le traitement du mode nuit, qui se déclenche automatiquement, les clichés peinent à être bien nets. Dommage.

Portrait

Pour activer ou désactiver le mode portrait, il suffit de cliquer sur l'icône Bokeh. On peut fort heureusement régler la puissance du flou, car, comme vous pouvez le voir sur ce deuxième cliché, notre modèle voit une partie de ses cheveux coupés à la hache.

Performances

Passons rapidement sur les composants, qui sont dignes d'un smartphone haut de gamme. Le Xperia 1 III peut compter sur un SoC Snapdragon 888 signé Qualcomm, souvent considéré comme l'un des meilleurs SoC en circulation. À ses côtés, le smartphone de Sony dispose de 12 Go de RAM et de 256 Go de mémoire interne, qu'on peut allonger avec une carte microSDXC jusqu'à 1 To.

En deux mots, comme tous les smartphones avec ce niveau d'équipement, je n'ai constaté absolument aucun ralentissement lors de mon test. Toutes les activités normales d'un téléphone haut de gamme ne lui posent aucune difficulté. En revanche, il peut parfois chauffer quelque peu, en particulier dans la partie haute du smartphone. Fort heureusement, il est si allongé qu'en position verticale, cela ne se remarque même pas. En revanche, en jeu, en position paysage, on peut parfois être un petit embêté par ce point. Pas de quoi non plus se bruler les doigts, rassurez-vous.

En jeu, sur Fortnite, il affiche sans trembler 30 FPS stables en qualité graphique épique, avec la résolution 3D réglée sur 75 %. L'écran 21:9 autorise par ailleurs une meilleure vue sur l'action, puisque vos doigts sont relégués aux bords de l'écran, là où des dalles plus petites ou plus classiques peuvent paraître un peu serrées.

Terminons avec un point un peu folklorique que peut se targuer d'inclure un smartphone Sony : il est compatible avec une manette de PS4, ce qui est toujours bon à prendre.

Audio

La partie audio est plus que complète, car Sony propose une ribambelle de fonctions qui raviront les amateurs et les amatrices, qui permettent de mettre à profit ses deux haut-parleurs situés sur la face avant.

Le Xperia 1 III est ainsi compatible avec 360 Reality Audio, avec le Dolby Atmos, avec les codecs aptX HD Qualcomm ou encore LDAC. De nombreux formats de lecture audio son également pris en charge, y compris le format Flac.

Une fois ces éléments techniques mis de côté, que vaut vraiment le son de ce Xperia 1 ? Eh bien c'est du tout bon. L'équilibre sonore est bien au rendez-vous, avec des petites basses bien présentes, des médiums fortement mis en avant et des aigus qui n'arrachent pas les tympans, même lorsqu'on pousse le volume.

Autonomie

Avec un écran 4K, impossible à passer sur une définition moins bling-bling, pas de miracle, l'autonomie est l'une des plus mauvaises mesurées cette année, malgré une batterie correcte de 4500 mAh.

Testé avec le logiciel Viser, qui simule une utilisation hybride de l'appareil (écran allumé et éteint) mais plutôt intense et en continu, le Xperia 1 III met seulement 8h18 à passer de 100 % d'autonomie à 10 %. Seul le très mauvais Galaxy Z Flip 3 (sur ce point surtout) affiche un score moins bon.

Une mauvaise autonomie qui s'est globalement vérifiée lors de mon utilisation quotidienne du Xperia 1 III. S'il tenait bien une journée complète (soit 12 heures sans problème avec 4 ou 5 heures de temps d'écran), impossible de ne pas le mettre à charger le soir avant d'aller au lit pour enchaîner sur une deuxième journée.

Alors certes, le Xperia 1 III tiendra sans problème une journée complète, mais il ne s'agit pas du secteur où il brille le plus plus.

Côté charge, on peut compter sur une charge filaire de 30 W, une charge sans fil de 11 W, et la fonction de partage de la batterie est disponible.

Branché à 3 % de batterie, voici ce que nous avons obtenu comme temps de charge :

Vous avez l'idée. C'est un peu long, surtout au regard de l'autonomie proposée. Bref, c'est vraiment le gros point faible de ce smartphone, surtout au tarif où il est proposé.

Réseau et communication

Afin de tester la fonction d'appel, je me suis rendu dans un boulevard parisien bien bruyant. Mon interlocutrice me signalait de nombreux bruits parasites qui pouvaient nuire à sa qualité d'écoute. Elle ne se voyait pas passer une heure au téléphone avec de tels soucis. En revanche, ma voix était toujours compréhensible et claire. De plus, les bruits effectifs du boulevard semblaient mal traités. Ils étaient atténués, mais déformés, et surtout jamais totalement effacés. Les voix avaient tendance à ne pas être filtrées du tout non plus. Pour un smartphone aussi cher, c'est un bilan assez décevant.

Côté bandes 4G, vous pouvez vous appuyer sur les suivantes : B1, B3, B7, B20 et B28. Pour la 5G, voici les bandes compatibles : n1, n3, n5, n7, n8, n20, n28, n38, n40, n41, n77, n78.

Un smartphone est capable d'effectuer un grand nombre de choses, mais c'est aussi appréciable lorsqu'il n'oublie pas d'être un téléphone. Dans le cas du Xperia 1 III, je regrette que ma carte SIM La Poste Mobile, soit celle d'un MVNO, n'ait jamais pu fonctionner avec lui. Je ne captais pas la 4G, et il m'était impossible de téléphoner avec. C'est un peu dommage.

Prix et date de sortie

Le Sony Xperia 1 III est disponible au prix de 1299 euros et il ne possède qu'un seul coloris : noir mat.