Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

Mercedes clarifie sa stratégie électrique : voici ce qu’il faut retenir

Jusqu’ici, Mercedes peinait à convaincre sur le créneau de l’électrique. La société allemande affiche en effet un train de retard sur plusieurs points : une offre actuelle très maigre, alors que son seul modèle branché disponible en Europe, l’EQC, n’a pas les atouts nécessaires pour rivaliser avec les concurrents du moment. Son tarif très élevé fait notamment partie des points noirs relevés.

Des débuts compliqués

Histoire d’en rajouter une couche, Autocar mettait récemment en exergue un retard d’environ six mois relatif au lancement du crossover compact EQA. Bref, la firme à l’étoile a du pain sur la planche pour s’imposer comme un acteur incontournable en matière de voitures électriques. Et pour rassurer son monde, le constructeur a révélé une feuille de route détaillée aussi intéressante qu’ambitieuse.

Concernant son catalogue d’automobiles électrifiées, voici les principales informations à retenir. Sur la plateforme actuelle, deux autres véhicules sortiront de terre : le fameux EQA évoqué ci-dessus, mais aussi le SUV EQB (2021), dont le lieu de production demeure encore flou à l’heure d’écrire ces lignes. Une nouvelle plateforme baptisée EVA prendra ensuite le relais : son architecture permettra aux voitures de parcourir plus de 700 kilomètres, assure-t-on.

Une plateforme pour les véhicules compacts

À ce titre, la berline Mercedes EQS, une version branchée de la Classe S, en profitera pour tenter de mettre des bâtons dans les roues de la Tesla Model S. À l’instar de la Mercedes EQE -- déjà aperçue cette année lors d’essais hivernaux -- que l’on attend sur les routes pour le millésime 2022. Ensuite, une version SUV de ces deux véhicules verra le jour.

Déterminé à ne pas se reposer sur ses lauriers, le fabricant va alors dégainer une autre plateforme (MMA) cette fois-ci dédiée aux voitures compactes et de taille intermédiaire, mais aussi hybrides, précise le communiqué de presse. De cette plateforme résulteront cinq engins électrifiés que Mercedes compte cependant lancer après l’année 2025, annonce Slash Gear. La filiale de Daimler promet une future « autonomie exceptionnelle ».

Vision EQXX, quésaco ?

Pour ce faire, l’entreprise s’appuiera sur son nouveau programme de développement nommé Vision EQXX. « L’objectif est de construire un véhicule électrique doté d’une efficacité et d’une autonomie spectaculaires ». Sur le papier, la promesse semble belle. Dans la réalité, Mercedes sera attendu au tournant. Et surtout, la concurrence aura elle aussi eu le temps de travailler sur de nouvelles technologies de batterie encore plus puissantes.

Le projet Vision EQXX sera dirigé par une équipe pluridisciplinaire basée à Stuttgart, épaulée par des spécialistes du groupe Mercedes AMG High Performance Powertrains situés au Royaume-Uni. Enfin, la société cherchera à développer son propre système d’exploitation automobile répondant au nom de MB.OS, lequel n’est pas attendu dans ses véhicules avant l’année 2024.

https://www.frandroid.com/produits-android/automobile/650250_nous-avons-teste-le-systeme-mercedes-benz-mbux-une-revolution-du-poste-de-conduite