Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

Le Pixel 7 n'est pas le plus puissant des smartphones, voici pourquoi Google s'en fiche

La première génération de Google Tensor, présente sur les Pixel 6, avait pu décevoir un peu sur sa partie GPU ou même sur les benchmarks face aux puces de Qualcomm, MediaTek et Apple. Avec le Pixel 7, la firme de Mountain View a à peine corrigé le tir sur le Tensor G2 et confirme dès lors qu'il ne s'agit pas d'un problème à ses yeux, mais d'une décision réfléchie.

Dans le podcast Made by Google (via 9to5Google), la directrice principale de la gestion des produits pour les équipes silicium de Google, Monika Gupta, l'a explicitement établi. Elle a déclaré :

Pour l'ingénieure, Google est « parfaitement à l'aise » avec le fait de ne pas gagner les benchmarks et même d'avoir l'air un peu en retard. Le géant de la tech voudrait donner priorité « aux expériences des utilisateurs finaux ».

L'IA de maintenant, c'est bien, celle qui adviendra dans cinq ans, c'est mieux

Ça ne surprendra personne, plutôt que la puissance pure, Google mise énormément sur les possibilités ouvertes par l'IA. Son but avoué est de « savoir exactement où les modèles d'apprentissage automatique se dirigeront dans cinq ans. »

Monika Gupta ajoute : « Je ne prends pas de décisions en fonction de l'état actuel de l'apprentissage automatique, et j'ai la chance de pouvoir le dire parce que je travaille chez Google. Il en va de même pour les logiciels que notre équipe logicielle réalise. Je sais où l'équipe logicielle veut amener les expériences des utilisateurs dans cinq ans. C'est l'avantage de ne pas être un fournisseur de silicium marchand, mais un fournisseur de silicium interne. »

L'objectif derrière ce développement de l'IA est clair : développer l'Ambient computing (informatique ambiante), c'est-à-dire se débrouiller pour « que la technologie vous facilite la vie. Je pense que nous avons de nombreuses preuves de cela dont nous avons parlé aujourd'hui, qu'il s'agisse de faciliter la photographie, les appels téléphoniques et la façon dont vous utilisez votre téléphone, comme vos tâches quotidiennes, plus facilement. »