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Activision-Blizzard x Xbox : le Brésil met à mal les arguments de PlayStation

Le Brésil vient de dessiner un nouveau tournant dans le conflit entre Microsoft et Sony. Les deux géants s'affrontent depuis plusieurs mois dans tous les pays où c'est possible concernant le projet de rachat du géant Activision-Blizzard par Microsoft.

Au centre des préoccupations de Sony : l'avenir de la franchise Call of Duty aujourd'hui si juteuse pour PlayStation. Si le rachat doit faire l'objet d'une enquête plus poussée au Royaume-Uni et sans doute pour l'Union européenne, le Brésil vient de suivre l'Arabie-Saoudite en donnant son feu vert.

Le Brésil démonte plusieurs arguments de Sony

Dans les conclusions de la CADE, chargé de surveiller la concurrence au Brésil, on peut lire les éléments suivants en réponse aux craintes soulevées par Sony.

Il reconnait donc certaines craintes et notamment la possibilité pour Microsoft de couper Call of Duty des plateformes hors de son écosystème pour renforcer ce dernier, même si cela n'avait pas de sens financièrement à court terme. Ce sacrifice vaudrait potentiellement le coût selon les calculs de Microsoft si la firme décidait de prendre ce chemin pour renforcer Xbox.

Problème pour PlayStation, d'après la CADE, les licences d'Activision-Blizzard ne sont pas des essentiels et l'administration se sert de Nintendo pour l'expliquer.

Pour la CADE, il est clair qu'un rachat d'Activision-Blizzard par Microsoft ne devrait pas entrainer automatiquement la chute de PlayStation et que Sony est plus que bien armé pour faire face à son éventuel nouveau rival.

L'administration conclut surtout en rappelant qu'elle n'est pas là pour protéger les concurrents de Microsoft dans ce genre d'affaires, mais bien l'intérêt des consommateurs. Pour elle, ce rachat ne devrait pas entrainer de problèmes pour le consommateur à l'avenir.