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Vélo électrique : cette capitale européenne est la première à lancer ces modèles très pratiques en libre-service

Suivant l’exemple de certaines villes européennes, Bruxelles réduit la voilure sur la trottinette électrique en libre-service. Au contraire de Paris ayant totalement interdit les trottinettes électriques en libre-service, la capitale belge a préféré imiter Rome, en baissant le nombre de modèles en circulation, tout en réglementant un peu plus le tout.

-60 % de trottinettes en libre-service

La principale mesure est de passer de neuf à deux opérateurs, afin de dialoguer plus facilement avec les acteurs concernés, et mieux contrôler leur activité. Bruxelles n’a retenu que les candidatures de Bolt et Dott, évinçant Lime, Tier ou encore Voi. Ils pourront exploiter 4 000 trottinettes électriques chacun à partir du 1er février 2024, soit 8 000 en tout, contre 20 100 aujourd’hui. Une réduction de 60 % tout de même.

Toutefois, Bruxelles Mobilité passe la seconde sur le vélo électrique en libre-service. Les trois opérateurs Bolt, Dott et Voi vont gérer 2 500 véhicules chacun (soit 7 500 au total), complétant l’offre publique Villo. C’est quasiment le double du parc actuel, qui comprenait Lime (à peine arrivé en mai 2023) et Tier, exclus du contrat, donc.

Par ailleurs, un nouveau type de VAE va rejoindre l’offre. Suffisamment rare pour le souligner, le vélo cargo électrique va tenter l’expérience bruxelloise, avec 300 exemplaires de Tier et Pony. C'est une première pour une capitale européenne, mais pas une première tout court. On pense effectivement à Lyon qui l'expérimente déjà. En complément, les opérateurs Felyx et GO vont ajouter chacun 300 scooters électriques.

Un service disponible hors Bruxelles, avec des « dropzones »

Là où Paris a statué dès 2019 en interdisant le stationnement des trottinettes et vélos électriques sur les trottoirs, Bruxelles laissait encore une utilisation libre. Un oubli qui a suscité le mécontentement régulier des habitants.

Ces derniers vont donc apprécier l’installation de « dropzones », des emplacements spéciaux pour les engins partagés, comme cela se fait ailleurs en Europe. La ville a déjà aménagé 1 000 dropzones et le chiffre va augmenter à 1 500 en intégrant 11 communes de la banlieue.

Et pour permettre aux utilisateurs de terminer leurs trajets dans les autres communes encore non équipées, les opérateurs indiqueront des « dropzones virtuelles » sur leurs applications, définies par les autorités locales. Un plus par rapport à Paris par exemple, où le périphérique reste malheureusement une frontière infranchissable pour les engins…