Microsoft Flight Simulator

Les points forts de Microsoft Flight Simulator

• Une réalisation à couper le souffle
• Aussi accessible que profond et complet
• La sensation unique de voyage

D’où vient la série Microsoft Flight Simulator ?

Microsoft Flight Simulator ne date pas d’aujourd’hui. La toute première version est apparue en 1982 après que Microsoft ait obtenu la licence d’un simulateur auprès de l’entreprise Sublogic Corporation. Intitulée Microsoft Flight Simulator, cette première tentative apporte de la couleur sur les objets en fil de fer du simulateur d’origine. On a également accès aux différents éléments du tableau de bord. Deux ans plus tard, la seconde version apporte des graphismes plus fins et intègre, au choix, le jeu au joystick ou à la souris.

Microsoft Flight Simulator 3.0 ne sort qu’en 1988 et profite du support disquette. La 3D s’améliore, même si elle reste rudimentaire. Mais qu’importe, pour l’époque, c’est une véritable claque visuelle et chaque décollage ou atterrissage procure de sacrées sensations. C’est ainsi que la saga a évolué pendant plusieurs décennies, toujours en apportant des nouveautés : l’apparition de villes et monuments, l’utilisation du support CD-ROM, l’exploitation des cartes accélératrices, intégration d’avions mythiques (Boeing 777, Concorde…), ajout des tours de contrôle et de l’IA, etc. La dernière version avant celle de 2020 datait de 2006 avec Flight Simulator X (ressorti en 2014 via une version Steam).

Pourquoi jouer à Microsoft Flight Simulator ?

Microsoft Flight Simulator est une simulation aérienne qui, par le biais de techniques de développement avancées (utilisation de Bing Map, des serveurs Azure, de l’IA…) et de concepteurs talentueux, a atteint un niveau de réalisme ahurissant. Sortie en 2020, d’abord sur PC Windows puis sur console Xbox Series, l’œuvre d’Asobo Studio est tout simplement l’un des jeux plus immersifs de ces dernières années. Visuellement sublime et doté d’un contenu pharaonique, il possède en plus quelques trouvailles agréables pour apporter un côté ludique à l’expérience.

En effet, Microsoft Flight Simulator possède des modes passionnants et très diversifiés : vols de découverte, formation en vol, défis d’atterrissage et voyages en avion de brousse. Par ailleurs, pour coller à l’actualité, le jeu s’offre des partenariats de prestige. Outre les parties Maverick issues du dernier film Top Gun avec Tom Cruise, les joueurs peuvent célébrer le 40ème anniversaire de la licence en revivant les missions classiques des épisodes précédents. Dernièrement, avec la sortie de la partie 2 de Dune, il est même possible de piloter un ornithoptère !

L’autre grande force de Microsoft Flight Simulator réside dans sa capacité à toujours se renouveler, que ce soit par le biais de missions, appareils ou modes (gratuits ou payants). Il est absolument impossible de s’y ennuyer si on accroche à ce type d’expérience car le monde regorge de paysages à couper le souffle. Europe, Asie, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Afrique, Océanie… les décors sont hallucinants ! Par ailleurs, même sans mettre la main au portefeuille, ce sont près d’une cinquantaine d’avions, d’hélicoptères et autres appareils plus futuristes (le Pélican de Halo Infinite par exemple) qui sont pilotables. Un véritable régal !

Sur quels supports trouve-t-on Microsoft Flight Simulator ?

Microsoft Flight Simulator est une pépite à ne pas manquer si on aime les simulations aériennes, d’autant que cet épisode est très accessible grâce à l’intégration d’une IA qui intervient en tant que copilote virtuel. Le jeu est disponible sur PC Windows et Xbox Series X/S. Pour en profiter, il faut au minimum un processeur Intel i5-4460 ou AMD Ryzen 3 1200 épaulé par une carte graphique Nvidia GTX 770 ou AMD Radeon RX 570. Mais pour un meilleur confort, les développeurs préconisent un processeur Intel i5-8400 ou AMD Ryzen 5 1500X ainsi qu’une carte graphique Nvidia GTX 970 ou une AMD Radeon RX 590. Bien évidemment, avec ce type de jeu, si vous avez une grosse configuration, vous allez vivre une expérience absolument unique. Assurez-vous d’avoir, au minimum, 150 Go d’espace libre sur votre disque dur (et bien plus si vous voulez télécharger les extensions).