En attendant un hypothétique Shovel Knight sur mobile (ça ne coûte rien de rêver), Sword of Xolan reste un excellent palliatif. On passe rapidement sur le scénario impliquant un méchant, un sorcier capturé et un jeune héros barbu parti secourir le monde, puisque Sword of Xolan se veut avant tout comme un jeu à l’ancienne où le gameplay passe avant le reste. Il s’agit donc d’un jeu de plateforme aux contrôles aussi basiques qu’efficaces puisque le héros peut simplement se déplacer, sauter, donner des coups d’épée et lancer des boules de feu. Au joueur ensuite de se débrouiller pour venir à bout des 30 (grands) niveaux répartis en trois actes et des trois boss du jeu.
Sword of Xolan est un jeu old school sur bien des points. À commencer par ses graphismes en pixel art qui ont le mérite d’être à la fois très détaillés (pas de bouillie de pixel à l’écran) et superbement animés. Si vous avez jeté un œil à la vidéo du dessus, le jeu n’est pas sans rappeler Ghosts ‘N Goblins ou plus récemment Rogue Legacy. Le gameplay est en tout cas très carré avec des hitbox très précises qui ne pardonnent pas (aussi bien pour le héros que pour les ennemis), la possibilité d’effectuer un double saut ou encore des niveaux relativement ouverts qui demandent de tout explorer pour délivrer trois prisonniers cachés et trouver un coffre. Le développeur a d’ailleurs fait les choses bien : il est possible d’y jouer via l’écran tactile et de disposer les touches de contrôle où on le souhaite sur l’écran ou bien d’y jouer avec une manette Bluetooth.
Surtout, Sword of Xolan est l’exemple même du bon jeu free to play. Le seul achat in-app, de 0,79 euro, présent dans le titre permet de désactiver les publicités. Celles-ci s’affichent entre deux niveaux et à chaque mort (ce qui peut arriver assez souvent). Elles sont toutefois courtes et peuvent être passées pour le moment assez facilement. Le jeu est également jouable sans connexion à Internet. Bref, à moins de ne pas être client du genre, Sword of Xolan est un titre tout ce qu’il y a de plus honnête et recommandable.
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Le seul problème pour moi ce situe dans le fait de devoir payer avant de tester. Je sais que l'on peut toujours se faire rembourser (par exemple sur le google play) mais quand même...
Faux. Gratuit tout court =/= free to play. Faut retourner à l'école quand on est pas capable de comprendre ça.
Cela a un coût invisible, statistiquement on paye même très cher la pub (C'est statistique, sinon crois moi la pub n'existerai pas). Tu peux avoir la prétention de te croire au dessus et insensible à la pub pub, mais je t'assure que ton subconscient n'aura pas la même prétention ^^' la pub du fait de son coup imperceptible et pourtant bien réel et malsain doit donc être considéré comme payante. <i>-------<a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.frandroid.app">Envoyé depuis l'application FrAndroid pour smartphone</a></i>
Gratuit avec publicité == Payant. Tu pourras argumenter tant que tu veux.
En effet, on doit le considérer comme payant. N'en déplaise au roman du surimi la..<i>-------<a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.frandroid.app">Envoyé depuis l'application FrAndroid pour smartphone</a></i>
Tu as tout à fait raison, mais on est bien dans le plateformer et comme l'article disait qu'il y en avait peu de bons, je citais juste ce jeu que je trouve sublime.
Malheureusement si les systèmes de donation fonctionnaient si bien, tu penses bien qu'on se ferait pas chier à intégrer des systèmes de régies publicitaires et forcer l'utilisateur à les visionner... La définition communément admise actuellement de "gratuité" d'une application c'est l'absence de transaction financière pour l'installation initiale de l'application. Le mode de rémunération dans ce cas (car oui, un développeur d'application, faut que ça gagne sa croute), est variable, et sans chercher à être exhaustif, je pense aux possibilités suivantes : - intégration de pubs, - limitation des fonctionnalités de la version gratuite et version pro plus complète, - version d'essaie limitée dans temps - IAP (avec ses dérives PTW...). - donations - hybride mélangeant les options sus-citées. "la pub à un coup, un coup que l'on ne voit pas et qui fait dissoudre notre esprit critique et nos pousse à la con-sommation avec sa désinformation". Vociférer ce genre de charabia réac complotiste de bistrot, ne démontre, justement, pas une once de sens critique. En revanche, voici mon point de vue sur la question : La publicité n'est pas un mal en soit : - Tout business en a besoin ; essaie de concevoir un produit et le vendre sans le marketter. Bon courage. - La publicité n'est pas nécessairement de la désinformation : je vois pas où est la désinformation quand quelques secondes de spot publicitaire vidéo ou une bannière publicitaire statique fait la promotion d'une autre application (jeu ou autre). Il s'agit d'informer, en ventant les mérites d'un produit, ses points forts généralement (souvent dans l'emphase ; c'est la figure de style préférée de la force de vente) - La pub ne dissout pas le sens critique. Le sens critique se nourrit de la connaissance, et est "dissoute" par l'ignorance. Une pub à la télévision vantant les mérites de la dernière lessive qui lave encore plus blanc que blanc (classique, depuis 50 ans c'est le même refrain), aussi stupide et bidon soit elle, si tu es un crétin non éduqué, tu sautes dans ta voiture et tu vas l'acheter. Si tu sais que c'est du blabla marketing, tu rouspètes un peu, tu zap, et tu oublies dans l'instant. C'est pas à la pub de t'éduquer. - la pub est devenu un mal, mais un mal nécessaire, sur le web, dans la sphère virtuelle, parce que la grande majorité des gens pensent que ce qui est intangible, lié de près ou de loin à Internet, au software, est gratuit. Si moins de gens (qui soit dit en passant ont des smartphones à plus centaines d'euros) rechignaient à mettre la main au portefeuille pour acheter les applications android ou s'abonner à leur sites de news préférés, la pub ne serait pas la solution nécessaire à mettre en oeuvre pour se rémunérer en tant qu'éditeur / développeur. Ajoute les mécanismes anti-pub (adblock, adaway...) à l'équation... - c'est finalement la bêtise du con-sommateur qui est responsable de la profusion de pubs partout, et non pas le contraire. Et j'ai même pas évoqué le piratage... "Favorisez la donation les humains !". Donc les applications sur ton smartphones, tu en payes systématiquement la version pro / tu fais des donations ? ps: par pitié, le français...
Tu compares un jeu en pixelart à une production en 3D. Aucune pertinence.
Un logiciel avec des pubs n'est par définition pas gratuit, la pub à un coup, un coup que l'on ne voit pas et qui fait dissoudre notre esprit critique et nous pousse à la con-sommation avec sa désinformation. Favorisez la donation les humains ! <i>-------<a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.frandroid.app">Envoyé depuis l'application FrAndroid pour smartphone</a></i>
Ça a l'air sympathique... Mais on est graphiquement loin de Trine 2 auquel je joue en ce moment :)
Free To Play ça désigne un jeu auquel on peut jouer gratuitement. Donc ça concerne les jeux avec in-app, les jeux avec pubs et les jeux totalement gratuits. Sans distinction.
Pour moi c'est pas un free to play au sens achat in app mais c'est Un gratuit avec publicité mais je confond peut être.
[…] Sword of Xolan est un jeu old school sur bien des points. À commencer par ses graphismes en pixel art qui ont le mérite d’être à la fois très détaillés (pas de bouillie de pixel à l’écran) et superbement animés. Si vous avez jeté un œil à la vidéo du dessus, le jeu n’est pas sans rappeler Ghosts ‘N Goblins ou plus récemment Rogue Legacy. Le gameplay est en tout cas très carré avec des hitbox très précises qui ne pardonnent pas (aussi bien pour le héros que pour les ennemis), la possibilité d’effectuer un double saut ou encore des niveaux relativement ouverts qui demandent de tout explorer pour délivrer trois prisonniers cachés et trouver un coffre. Le développeur a d’ailleurs fait les choses bien : il est possible d’y jouer via l’écran tactile et lire la suite […]
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