Test du BenQ W4000i : un vidéoprojecteur lumineux, coloré et très net

Merci la puce DLP 0,65 pouce

Le vidéoprojecteur BenQ W4000i est un modèle Home Cinéma à installer en fond de salle qui embarque une puce DLP capable de projeter une très grande image avec une définition Ultra HD HDR et prometteur d’une luminosité élevée, compatible 3D et livré avec un dongle HDMI BenQ permettant de profiter du système Android TV. Voici notre test complet.

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Conçu pour être installé derrière le canapé pour une très grande image Ultra HD HDR, ce vidéoprojecteur est prometteur d’une luminosité élevée et d’une grande précision de couleurs grâce à sa technologie DLP 4LED. Proposant plusieurs modes d’image dédiés au Home Cinéma avec une compatibilité 3D, il représente le haut de gamme de la marque taïwanaise et embarque un système connecté Android TV avec son lot d’applications, dont Netflix, tout en proposant deux entrées HDMI pour les sources externes.

Nous avons pu le tester pendant un moment et en voici notre avis.

Fiche technique

Modèle BenQ W4000i
Dimensions 420,5 mm x 135 mm x 312 mm
Définition maximale 3840 x 2160 pixels
Taille de l'écran 200 pouces
Compatible HDR HDR10, HDR10+
Ports HDMI 2
Compatible Surround Dolby Atmos
Nombre de haut-parleurs 1
Puissance des haut-parleurs 5 watts
Sortie audio Casques, Haut-parleurs
Système d'exploitation (OS) Android TV
Fiche produit

Test réalisé avec un BenQ W4000i prêté par la marque. Il a été testé en association avec un écran Lumene Movie Palace UHD Platinum 300C. Il s’agit d’un modèle spécialement conçu pour les vidéoprojecteurs. Les mesures ont été réalisées avec du matériel professionnel adapté et en face de l’écran afin de limiter les erreurs et de proposer des valeurs en accord avec ce que le spectateur peut réellement voir.

Design : sobre et discret, tout en noir pour les salles obscures

Pour faire simple, disons que le design du vidéoprojecteur BenQ W4000i s’inspire très largement du modèle BenQ W2710i avec ses rondeurs. Il s’agit d’un appareil qui est relativement compact, proposant une largeur de 42 cm sur 31 cm environ et une hauteur de 13,5 cm. Son poids est de 6,6 kg, ce qui autorise un transport aisé.

Toutefois, ce modèle n’a pas vocation à se déplacer, une fois installé au sein d’un salon ou d’une salle dédiée. Par rapport au W2710i qui profite d’une couleur blanche avec quelques parties dorées, le W4000i est proposé en noir uniquement, sobre et idéal pour les salles obscures.

En façade, il y a un cache objectif semi-transparent accroché à un petit fil qu’il faut ôter avant utilisation. Sur la partie supérieure, deux molettes permettent de régler l’image en hauteur et en largeur (Lens Shift). On trouve également une trappe coulissante donnant accès à deux bagues. Celles-ci servent à gérer la netteté ainsi que le zoom. Typiquement, ce sont grâce à ses réglages que l’on peut optimiser la projection de l’image sur un écran.

Les molettes pour régler l’image (zoom et netteté)

Sur le côté droit, lorsqu’on regarde l’appareil de dos, différents boutons permettent de contrôler sommairement le vidéoprojecteur, et notamment de l’allumer.

Dessous, on a droit à deux pieds ajustables sur l’avant. Notez la présence de pas de vis pour fixer l’appareil la tête en bas ou sur un trépied.

Le modèle prêté par la marque pour réaliser ce test proposait des finitions parfaites et un assemblage exemplaire.

Connectiques

La partie arrière regroupe toutes les connectiques. Il y a une sortie audio optique, une sortie audio analogique jack 3,5 mm, un port USB-A capable de supporter des médias amovibles pour la lecture de vidéos. On peut également compter sur la présence de deux entrées HDMI 2.0, dont une prenant en charge la norme eARC pour un retour audio vers un amplificateur Home Cinéma compatible.

Notez le support de la définition Ultra HD à 60 images par seconde pour les entrées HDMI. On trouve par ailleurs un deuxième port USB-A, pour le service, un port RS232, un port Ethernet et une sortie Trigger pour relier un écran de projection motorisé. Bref, le BenQ W4000i dispose de toutes les connectiques que l’on est en droit d’attendre d’un modèle pensé pour le Home Cinéma.

Mais ce n’est pas tout. Derrière une protection à faire glisser pour la libérer se cache une troisième entrée HDMI. Celle-ci est là pour accueillir le dongle BenQ QS02 embarquant Android TV, d’où le petit « i » dans le nom de l’appareil, comme les autres vidéoprojecteurs de la marque. Le dongle est alimenté par une prise micro-USB prévue à cet effet.

Le module est certifié par Google et permet de profiter de toutes les fonctionnalités d’Android TV, notamment les plateformes de streaming les plus populaires dont Netflix, Prime Video, Apple TV+, Disney+, YouTube, Molotov, etc. Ainsi, on peut compter sur une compatibilité avec l’assistant vocal du géant américain ainsi que sur la fonction Chromecast pour lui envoyer, sans fil, des contenus multimédia.

Écran : libre choix

Le vidéoprojecteur BenQ W4000i est livré sans écran. Cela laisse le choix, mais, si le budget est limité, on peut aussi être tenté de l’installer sans écran (en se servant d’un mur comme surface de projection) et donc perdre le bénéfice (important) d’avoir une surface optimisée pour la projection. Comptez de 500 à 2700 euros environ pour des écrans de différentes tailles dont la surface profite d’un traitement spécifique.

Installation : très facile grâce aux molettes

Comme évoqué un peu plus haut, l’installation du vidéoprojecteur est pensée pour qu’il soit positionné en fond de salle. On utilise les molettes pour régler manuellement la hauteur et la position de l’image par rapport à son axe central. Un motif intégré disponible dans le menu du projecteur permet d’optimiser le positionnement dans le cadre de l’écran. En quelques minutes à peine, l’image est réglée, merci les molettes !

La trappe pour éviter les mauvaises manipulations

Si nécessaire, on peut appliquer une correction trapézoïdale horizontale et verticale. Comme les autres vidéoprojecteurs de la marque, une page dédiée permet de calculer le recul nécessaire en fonction de la taille d’image souhaitée. Pour parler un peu de chiffres, le W4000i propose un décalage vertical entre 0 et 60 % et horizontal entre + ou – 15 degrés. Le zoom est de 1,3 x. À titre d’exemple, pour couvrir complètement notre écran de test Lumene Movie Palace UHD Platinum 300C d’une diagonale de 138 pouces, nous avons installé le projecteur à une distance de 450 cm.

Interface : Android TV via le dongle BenQ QS02 et les menus du projecteur

Le vidéoprojecteur profite d’une interface Android TV avec le dongle BenQ QS02 livré avec. Ce dernier est Wi-Fi. Comme tous les appareils fonctionnant avec ce système de Google, on a droit à une page d’accueil proposant des recommandations en fonction des contenus regardés. Plusieurs applications sont préinstallées et il est possible d’en télécharger d’autres depuis la plateforme Google Play Store. On profite ainsi des applications de streaming les plus populaires, dont Netflix en version complète. L’interface s’avère très fluide et la navigation est agréable au sein des différents menus et applications, sans ralentissement. C’est toujours une bonne chose.

Le W4000i, comme les autres vidéoprojecteurs de la marque, dispose de son propre menu de configuration via une touche dédiée sur la télécommande principale. Nous y reviendrons dans le chapitre consacré aux télécommandes, mais sachez que l’appareil est livré avec deux accessoires de contrôle. Le premier permet de configurer le projecteur et de naviguer entre les menus du système, tandis que la deuxième est celle qui permet de contrôler l’interface Android.

Les menus de réglages sont très complets et permettent de configurer le BenQ W4000i selon les besoins. Plusieurs modes d’image sont proposés : Lumineux, Cinéma Lumineux, Cinéma, Mode Cinéaste, ISF Night, ISF Day et Utilisateur. Avec des contenus HDR, on peut ajouter les modes HLG, HDR10 et HDR10+, l’appareil n’étant pas certifié Dolby Vision.

Au passage, notez que l’appareil est animé par la puce MediaTek MT9669. Un menu spécifique pour le réglage avancé des couleurs est prévu. Il permet de jouer sur la température de couleur (de manière sommaire ou précise avec, dans ce dernier cas, le choix de plusieurs niveaux de 5 %, 10 %, 20 %, etc., et ce, jusqu’à 100 % sur le bleu, le rouge et le vert). Le vidéoprojecteur propose également une option « Gamme de couleurs large » pour couvrir au maximum les espaces colorimétriques. On peut en outre compter sur la fonction CinemaMaster avec plusieurs paramètres relatifs aux couleurs ainsi qu’à la compensation de mouvement.

Enfin, la luminosité peut être réglée selon plusieurs options dont SmartEco où elle va alors s’adapter automatiquement aux contenus, réduisant celle-ci lorsque cela est possible et en l’augmentant quand les contenus l’exigent.

L’image en mode subjectif, une très belle colorimétrie et un bon piqué

Le vidéoprojecteur BenQ W4000i profite d’une puce DMD 0,65 pouce développée par Texas Instruments associée à une source de lumière 4LED. Il est capable de simuler une définition Ultra HD grâce au traitement XPR de Texas Instruments projetant deux images légèrement décalées à une fréquence extrêmement élevée pour créer l’illusion d’une meilleure définition et le résultat est très satisfaisant. Nous avons pu constater une grande précision de l’image quasiment sur toute la surface de l’écran.

Cependant, nous avons pu déceler de très légères aberrations chromatiques dans les coins, mais cela est très loin d’être rédhibitoire. Rappelons que la plupart des projecteurs DLP utilisent jusqu’ici une puce plus petite, de 0,47 pouce. Avec cette dernière, il y a un cadre gris de 2 à 3 cm alors qu’avec la puce de 0,65 pouce, celui-ci est réduit à moins d’un centimètre.

Le vidéoprojecteur propose un mode 24p, pour les contenus externes, par exemple. En outre, on peut également compter sur le mode Motion Enhancer 4K, évoqué plus haut. Les résultats sont les meilleurs en réglant ce dernier paramètre sur moyen ou haut. Ainsi, les travellings sont quasi parfaits. De plus, comme le GP500, ce modèle est équipé d’une fonction d’étalonnage automatique des couleurs permettant de s’assurer d’un certain niveau de performances dans la durée. Il ne s’agit pas de calibration comme pourrait le faire un professionnel. Non, c’est un système complet, automatique, qui analyse l’image produite pour en déceler les potentielles déviations par rapport à l’image d’origine et qui peut tenter de corriger les pertes de colorimétrie pouvant se produire avec le temps. Il aurait fallu plus de temps (plusieurs mois au minimum) pour tester cette fonctionnalité, mais, à défaut, c’est rassurant de l’avoir.

Le vidéoprojecteur propose des séquences particulièrement colorées avec un très bon piqué et de nombreux détails. Grâce à une luminosité assez forte, l’appareil peut être utilisé dans une salle claire, même si le meilleur rendu sera obtenu dans une salle obscure. Les scènes les plus sombres sont gérées de manière satisfaisante avec un niveau de contraste agréable. On apprécie également la netteté des images produites par le projecteur. Au niveau des réglages, il faut finalement choisir entre l’activation de la fonction « Large étendue des couleurs » donnant d’excellents résultats, mais un contraste qui n’est pas extraordinaire ou, au contraire, privilégier le contraste au détriment des couleurs.

L’effet Arc-en-ciel

S’agissant d’une technologie de projection DLP, l’effet d’arc-en-ciel est présent, mais relativement limité. C’est subjectif, mais nous avons eu l’impression qu’il était légèrement plus visible que sur le Philips Screeneo U5, par exemple. La visibilité de ce phénomène dépend de la sensibilité du spectateur et peut survenir en donnant l’impression de voir de petits arcs-en-ciel (rouge/vert/bleu) sur les contours des objets lumineux sur des fonds sombres, voire sur certains sous-titres, par exemple.

Mesures : une colorimétrie fidèle et une large plage de couleurs

Le vidéoprojecteur propose plusieurs modes d’image pour les contenus SDR : Lumineux, Cinéma lumineux, Cinéma, Mode Cinéaste, ISF Night, ISF Day et Utilisateur.

Le mode Cinéma cale le gamma moyen à 2,2 et rend impossible l’accès à la fonction « Gamme de couleurs large ». Les sources lumineuses peuvent être réglées sur Normal ou SmartEco. En mode Cinéaste, on passe à un gamma moyen de 2,4, idéal pour des conditions de visionnage dans des pièces sombres. Dans ce cas, il est possible d’activer la fonction « Gamme de couleurs large », mais rend impossible la sélection de la source lumineuse en SmartEco.

Le projecteur propose une fonction d’amplification de contraste local, mais qui n’a pas d’incidence sur les mesures du contraste malgré le fait que l’on puisse observer un rendu plus clair alors qu’elle est désactivée. Cela présente un intérêt pour apprécier les détails sur des zones les plus sombres de l’image qui pourraient être légèrement bouchées.

Le taux de contraste séquentiel a été relevé à 1050:1 en mode Normal pour la source lumineuse, face à l’écran. Le gamut moyen est de 96,1 % en mode Cinéma avec le mode Normal pour la source lumineuse. Le gamma moyen mesuré pour des contenus SDR est de 2,25 avec un bon suivi de la courbe de référence, toujours en mode Cinéma. Dans ces conditions, la température moyenne de couleurs a été mesurée à 6257 K, soit relativement proche de la valeur idéale de 6500 K.

Le mode Cinéma permet de profiter d’une excellente fidélité des couleurs puisque nous avons relevé un Delta E moyen de 1,93, donc inférieur au seuil de 3 qui est la limite à laquelle l’œil humain ne fait plus la différence entre la couleur affichée et celle qui est demandée. Le mode Cinéaste donne un Delta E moyen de 5, correspondant à des couleurs peu fidèles.

Comme indiqué un peu plus haut, le projecteur offre de très larges possibilités d’optimisations depuis les menus correspondants pour qui souhaite obtenir un rendu encore plus juste, mais disons qu’avec les réglages par défaut, on est déjà plutôt bien lotis.

Pour les contenus HDR, on peut choisir entre les modes HDR10 ou Cinéaste. Dans un cas comme dans l’autre, on peut choisir d’activer ou non la fonction « Gamme de couleurs large », ce qui a une incidence sur la couverture des espaces colorimétriques. En mode Normal pour la source lumineuse avec la fonction « Gamme de couleurs large » activée, le W4000i affiche une couverture de l’espace DCI-P3 de 99,93 %. Celle-ci tombe à 88,56 % lorsque la fonction « Gamme de couleurs large » est désactivée, et ce, en mode d’image HDR10 ou Cinéaste.

Concernant la couverture de l’espace colorimétrique BT2020, avec la fonction activée, on a un pourcentage de 82,04 % chutant à 73,21 % lorsqu’elle est désactivée. Les valeurs sont sensiblement identiques pour les modes HDR10 et Cinéaste.

L’activation de cette fonction « Gamme de couleurs large » joue également sur la luminosité offerte par le projecteur. En mode HDR10, lorsqu’elle est activée, nous avons mesuré un pic de luminosité de 63 cd/m² face à l’écran, contre 101 cd/m² si elle est désactivée. Là aussi, les valeurs mesurées en mode Cinéaste sont sensiblement les mêmes.

Enfin, concernant la fidélité des couleurs en mode Cinéaste, avec la fonction « Gamme de couleurs large » activée, nous avons mesuré un Delta E moyen de 2,79, ce qui peut être considéré comme satisfaisant, car inférieur à 3. Lorsqu’on désactive ce mode, on obtient un Delta E moyen meilleur, car mesuré à 1,68. En mode HDR10 avec la fonction activée, on obtient le même Delta E moyen, soit 2,79 contre 1,75 lorsque la fonction est désactivée.

Gaming : un input lag faible

Le vidéoprojecteur BenQ W4000i propose un mode Rapide. Dans ces conditions, nous avons mesuré un temps de retard à l’affichage (input lag) de 18 ms (Ultra HD à 60 images par seconde), ce qui correspond à un peu plus d’une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran. C’est très satisfaisant. Pour arriver un tel résultat, il faut désactiver les fonctions Noise Reduction et Motion Enhanced 4K.

Malheureusement, ici, pas de technologie d’optimisation pour le gaming VRR (Variable Refresh Rate).

Audio : pas sa meilleure fonction

Le vidéoprojecteur BenQ W4000i embarque un système audio de dépannage. Il s’appuie sur un seul haut-parleur de 5 watts que l’on peut deviner à l’arrière, à côté des connectiques. La marque fait à nouveau confiance à TreVolo pour le son. Le rendu n’est pas du tout à la hauteur de l’image proposée par l’appareil puisqu’il est soumis à une forte distorsion lorsqu’on augmente le volume. Difficile d’envisager de profiter d’un spectacle satisfaisant avec.

On aura bien entendu de bien meilleurs résultats en reliant le projecteur à un amplificateur Home Cinéma digne de ce nom (la prise HDMI eARC est un plus). Pour cela, activez la fonction Retour audio+ dans le menu du projecteur.

Les télécommandes

Comme évoqué un peu plus haut, le vidéoprojecteur BenQ W4000i est livré avec deux télécommandes. La première, la plus grande, permet de configurer le projecteur, mais également de naviguer sommairement dans les menus de l’interface d’Android TV. Une touche dédiée permet d’afficher le mode d’image en cours d’utilisation. Elle fonctionne en infrarouge, ce qui oblige à pointer l’appareil. Nous aurions préféré un mode Bluetooth.

C’est le cas de la deuxième télécommande qui permet de piloter le dongle Android TV. Celle-ci dispose de quatre touches dédiées pour un accès direct aux plateformes YouTube, Netflix, Prime Video et Disney+.

Toutes les deux sont blanches, mais seule la principale profite d’un rétroéclairage.

Consommation et nuisance raisonnables

En mode SDR Cinéma avec la source lumineuse réglée sur Eco, le vidéoprojecteur BenQ W400i consomme 175,5 watts avec une mire blanche à 100 %. La consommation passe à 177,5 watts pour le même mode d’image avec la source lumineuse réglée sur Normal. Avec un contenu HDR et en sélectionnant le mode d’image HDR10, l’appareil propose une consommation de 177,8 watts en mode Normal et de 175,5 watts en mode Eco. Pour le mode d’image Cinéaste, nous avons relevé des valeurs respectives de 197,6 watts et 185 watts.

Pour la nuisance sonore, nous avons mesuré un bruit de seulement 38 dB en moyenne collé à l’appareil avec le mode Normal activé et de 33 dB en mode Eco, ce qui signifie que le projecteur n’est pas des plus discrets.

Prix et disponibilité

Le vidéoprojecteur BenQ W4000i est disponible pour un prix de 2990 euros.

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Note finale du test
8 /10
Le BenQ W4000i est un excellent choix pour les utilisateurs qui recherchent un vidéoprojecteur Ultra HD HDR capable de produire des images de grande qualité dans toutes les conditions avec une grande largesse de couleurs et une colorimétrie fidèle. Ce projecteur offre une impressionnante palette de réglages possibles pour obtenir un rendu très satisfaisant. Il propose, selon nous, un excellent rapport qualité/prix. Idéal pour une utilisation dans une salle home cinéma dédiée, il se défend aussi très bien dans un salon lumineux où il est facile à installer.

Points positifs du BenQ W4000i

  • Facilité d’installation

  • Menus extrêmement complets pour calibrage

  • Précision et qualité d’image

  • Richesse des couleurs et luminosité élevée

  • 3D

  • Android TV « intégré »

  • Télécommande principale rétroéclairée

Points négatifs du BenQ W4000i

  • Pas Dolby Vision

  • Un peu bruyant (mode normal surtout)

  • Audio anecdotique

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