L’app de la semaine : j’ai tout plaqué pour créer ma ferme et chercher l’amour dans le pré

 

Dans Stardew Valley, on prend plaisir à incarner un fermier ou une fermière prenant soin de son fertile lopin de terre. Mais comme la vie ne doit pas se résumer au travail, on doit aussi partir en quête d’amour en découvrant les autres habitants du village où l’on s’est installé. Un jeu tout mignon et bien addictif !

Métro, boulot, dodo. Métro, boulot, dodo. Métro, boulot, dodo. La vie quotidienne n’est pas forcément une partie de plaisir et quand une routine lassante s’installe, il n’y a plus de place pour l’épanouissement. Pour mettre fin à ce cercle vicieux et infernal, on a envie de tout plaquer et d’aller renouer avec la nature et avec les choses simples de la vie. Le pas n’est pas facile à franchir, mais c’est bien cette décision que prend l’avatar que l’on incarne dans le jeu Stardew Valley sorti récemment sur Android. Le titre est déjà bien connu sur d’autres plateformes, mais c’est sur mon smartphone que je le découvre vraiment.

Stardew Valley

Stardew Valley

Après avoir passé trop d’années à travailler sans passion dans une grosse multinationale, votre personnage découvre que son bienveillant grand-père lui a légué une ferme dans un lointain petit village. Ni une, ni deux, il prend ses cliques et ses claques pour aller s’occuper de cette terre fertile laissée à l’abandon.

Une vie bien remplie à la campagne !

Mais ce n’est pas tout ! En plus de cultiver des légumes, il va aussi falloir créer un élevage et bien investir l’argent dûment gagné par tout ce dur labeur. Mais dans Stardew Valley, l’épanouissement ne passe pas que par un travail valorisant. Pour croquer la vie à pleine dent, il faut aussi se faire des amis et trouver l’amour ! Ça tombe bien, les villageois de Pélican Ville vous feront un bel accueil — pour la plupart. C’est parmi eux que se trouve votre âme sœur !

Pélican Ville, ça vaut pas le Bourg Palette, mais c’est pas mal.

Je joue à Stardew Valley depuis quelques jours seulement et j’ai particulièrement accroché aux mécanismes de jeu proposés. Je tire une certaine fierté à récolter des panais, des haricots ou des choux.

Mes panais sont prêts à être récoltés !

À chaque fois, je dois bien prendre en considération la saison à laquelle je plante mes graines et évaluer correctement le rendement de chaque plante. Heureusement, je dispose de tout un attirail pour défricher, piocher, arroser et labourer.

Explorer les alentours, apprendre à connaître chaque personnage que l’on côtoie, essayer de comprendre ce qu’un tel ou un telle aime…. tout cela est passionnant. Et à cela s’ajoute la découverte progressive de certaines intrigues mystiques qui se trament dans le village.

Après être allé pêcher une jolie sardine, je pars labourer ma terre, planter quelques graines. Quand le soir tombe, je vais faire un tour à la taverne pour voir à quel habitant ou habitante du village je vais offrir mon cœur pur — je n’ai pas encore décidé, j’aime prendre mon temps.

Belle immersion

L’immersion commence dès la création du personnage et du choix du type de ferme que l’on veut créer — pour ma première partie, j’ai opté pour un lopin de terre classique afin de découvrir le jeu à mon rythme. Les graphismes rétro en 16 bits sont très attachants et relevés par des portraits qui semblent presque être dessinés à la main à chaque fois que l’on interagit avec un personnage. Quant à la maniabilité, le jeu a eu la bonne idée de ne pas s’embarrasser de pseudo joysitck. Il suffit d’appuyer à l’endroit où l’on veut aller pour se déplacer.

Loin des tracas de la grande ville grise et morose, mon avatar sobrement baptisé Garou reprend goût à la vie. Le train-train quotidien est toujours là, mais il est bien plus sain rigolo. Dans Stardew Valley, je suis bien décidé à faire de mon personnage le plus heureux des fermiers !


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