Nouvelle année, nouveau MacBook Pro. Comme bien des années précédentes, il semblerait que ce modèle M5 ne brille que par sa nouvelle puce. Et quelle puce, vous me direz.
La formule MacBook Pro n’a plus besoin de nous convaincre, mais peut parfois nous réserver quelques bonnes surprises. Nous avons passé cette dernière version au crible de notre batterie de tests pour vous déceler les quelques nouveautés de ce cru 2025.
Fiche technique
| Modèle | Apple Macbook Pro 14 M5 (2025) |
|---|---|
| Dimensions | 321,6 mm x 15,5 mm |
| Définition | 3024 x 1964 pixels |
| Technologie d’affichage | LCD |
| Écran tactile | Non |
| Processeur (CPU) | M5 |
| Mémoire vive (RAM) | 16, 24, 32 Go |
| Mémoire interne | 512, 1024, 2048, 4096 Go |
| Apparence | Plastique |
| Système d’exploitation (OS) | macOS |
| Poids | 1550 grammes |
| Profondeur | 221,2 mm |
| Fiche produit |
La machine est prêtée par Apple pour ce test.
Design
On ne va pas vous répéter la formule du titre de ce test, mais vous voyez l’esprit. Le châssis de ce MacBook Pro ne change pas cette année, avec son châssis unibody aux finitions impeccables. Vous ne remarquerez aucun jeu, aucun grincement, aucune instabilité au maniement de cet ordinateur portable.

Son poids reste mesuré pour la puissance qu’il embarque. Nous utilisons ici le modèle 14 pouces avec ses 1,55 kg, la balance passant à 2,15 kg pour le modèle 16 pouces. Si vous êtes habitué au MacBook Air et ses 1,24 kg, la transition se fera en douceur.
Mais comme chaque année, on regrette de nouveau le choix de ce notch disgracieux dans la partie supérieure de l’écran, qu’on espère voir disparaitre lors de la grande refonte du MacBook Pro prévue pour la fin de l’année 2026.
Clavier et pavé tactile
L’expérience de saisie de ce MacBook Pro reste inchangée, avec un retour court et sec, mais confortable sur toutes les touches, y compris la barre d’espace. Rien à noter non plus sur le rétroéclairage qui fait très bien son office.
Le trackpad offre une glisse homogène et un clic net, précis, pour une utilisation quotidienne aussi confortable que possible.
Connectique
L’offre connectique reste la même, avec la présence d’un port MagSafe d’alimentation de deux ports USB-C à gauche. Ces trois ports permettent de recharger votre MacBook, d’y brancher un écran en DisplayPort, ou un périphérique compatible USB 4 et Thunderbolt 4. Le port mini-jack est encore de la partie pour brancher un casque filaire.
Sur le côté droit, on retrouve un port HDMI 2.1 ainsi qu’un lecteur de carte SD compatible SDXC. Bref, de quoi largement s’adapter à toutes les charges de travail.
Webcam et audio
La webcam reste identique au modèle M4 de l’année dernière avec son capteur de 12 mégapixels et la très pratique fonctionnalité Center Stage qui vous cadre en fonction de vos mouvements. Sa qualité reste très satisfaisante dans toutes les situations, si ce n’est un petit manque de piqué qui ne se verra pas en situation de visioconférence.

La partie audio reste bluffante avec ses 6 haut-parleurs (quatre woofers et deux tweeters) qui offrent un rendu sonore étonnamment puissant et équilibré. La largeur de scène peut même se targuer d’être impressionnante sur ce format, avec une précision bienvenue sur la plupart du spectre, notamment dans les médiums chargés.
Enfin, nous avons vanté les mérites du microphone du MacBook Pro M4 l’année dernière : la qualité de la captation est excellente, y compris à une bonne distance, alors que le traitement logiciel d’Apple filtre efficacement les bruits de fond ambiants.
Écran
La dalle de ce MacBook Pro M5 est identique à celle de l’année. On reste sur un écran Liquid Retina XDR de 14,2 pouces en définition 3 024 sur 1 964, soit une densité de 254 pixels par pouce. La finesse des polices d’écriture et des icônes s’en ressent, surtout face à un MacBook Air et ses 226 PPI.

L’écran exploite la technologie Mini-Led et promet un contraste quasi infini (nous avons mesuré 10 501:1) avec une luminosité record en HDR sur ce format.
Niveau colorimétrie, pas de grosses surprises. L’écran est toujours capable d’atteindre les 96% de l’espace DCI-P3 pour les spécialistes de la photo, mais peine encore à 64% pour le Rec.2020 pour les professionnels de la vidéo en HDR. Ici, peu de dalles grand public y arrivent, on ne lui en tiendra pas rigueur.
Restons sur la couleur pour nous focaliser sur la précision colorimétrique. Le MacBook Pro ne déroge pas à sa réputation avec des valeurs Delta-E tout simplement exceptionnelles en SDR (0,53) et en HDR (1,25). On se félicite généralement d’être en dessous de 3, la valeur à partir de laquelle il peut être possible de percevoir des déviations, mais c’est la calibration d’usine d’Apple est tout simplement parfaite dans les deux modes.
La luminosité n’est pas en reste : nous avons mesuré un maximum de 1550 cd/m² sur un APL de 25%, et 1106 cd/m² en plein écran. De quoi faire éclater les détails lumineux dans les scènes HDR. Sur ce point, les futures dalles Oled des MacBook Pro auront du mal à rivaliser, à moins d’une surprise de la part de Samsung Display.
La balance des blancs est elle aussi quasi parfaite à 6447, très proche du point blanc D65 que nous cherchons à atteindre. Il subsiste cependant quelques défauts en termes de luminosité : si la courbe gamma est globalement respectée, la dalle a tendance à boucher les noirs dans les zones d’ombre en SDR et à légèrement surexposer l’image par rapport à l’intention créative en HDR si on se fie à la courbe EOTF.
C’est heureusement mesuré, mais à savoir pour les professionnels de l’image.
Enfin, rappelons que l’écran du MacBook Pro intègre la technologie ProMotion, qui permet d’atteindre une fréquence de rafraichissement de 120 Hz, avec un ajustement automatique possible de 48 à 120. Honnêtement, cette fluidité me semble maintenant incontournable, y compris pour une utilisation bureautique et professionnelle. Elle apporte un confort d’usage indéniable, qu’il s’agisse des mouvements du pointeur de la souris, des animations de macOS ou encore du déplacement des fenêtres.
C’est vraiment cet écran qui me ferait passer au MacBook Pro.
Logiciel
Cette année, le MacBook vient équipé avec macOS Tahoe 26, qui introduit la grande refonte visuelle du Liquid Glass. Effets de transparence et de réfraction, superposition des différents éléments avec effets de relief, cette nouvelle interface modernise l’expérience macOS sur desktop. L’utilisateur pourra notamment en réduire l’intensité via les paramètres.

Nous avons largement traité les nouveautés majeures de cette version sur Frandroid, elle introduit aussi une refonte de Spotlight, son lanceur d’applications. Plus intelligent et personnalisable, il est plus à même de vous aider à trouver vos dossiers et applications.
L’OS offre aussi de nouvelles options de personnalisation pour la couleur des dossiers et du centre de contrôle. Bref, c’est une nouvelle direction pour macOS qu’il sera nécessaire de tester par vous-même si vous venez d’un système comme Windows.
Performances
Intéressons-nous à la vraie nouveauté de ce MacBook Pro : sa puce M5. Nous testons ici la version de base avec un CPU 10 coeurs (4 coeurs performance à 4,61 GHz, 6 coeurs efficients à 3 GHz), 10 coeurs GPU cadencés à 3 GHz et un Neural Engine à 16 coeurs.
Nous testons ici un modèle doté de 32 Go de mémoire unifiée, avec une bande passante de 153 Go/s (contre 120 Go/s sur le M4 de base, configurable en 16 et 24 Go. Par mémoire unifiée, on entend une architecture mémoire partagée entre le CPU, le GPU et le Neural Engine.
Enfin, le stockage SSD NVMe est configurable en 1, 2 ou 4 To selon vos besoins. Pour ce modèle M5, Apple promet des gains de performance considérables qu’on testera bien sûr en condition.
Benchmarks
Pour évaluer les gains de performance de cette puce M5, nous lançons ici deux benchmarks qui testent chacun le couple CPU / GPU : Cinebench R24 et Geekbench 6. On le sait, Apple a surtout insisté sur les progrès en puissance graphique pour cette nouvelle itération, alors que la partie CPU offre des gains plus modestes.
Ainsi, on retrouve des gains CPU entre 12 et 15% selon les scénarios par rapport à la puce M4 de l’année. Le cache L2 des coeurs haute performance passe de 4 à 6 Mo, afin de nourrir les fréquences plus élevées et ainsi éviter les goulots d’étranglement entre la RAM et le processeur. On observe ici des bénéfices concrets pour les applicatifs les plus lourds se reposant sur le CPU.

La plus grosse évolution est à observer sur le GPU avec plus de 33% de performances en plus dans le meilleur des cas. On sent qu’Apple veut ici muscler son jeu plus que jamais pour les applicatifs accélérés par le GPU (rendu 3D, CAD et même montage vidéo), mais aussi pour le jeu vidéo sur Mac, encore trop minoritaire.
Enfin, le MacBook Pro M5 supporte enfin le standard PCI 5.0, avec un SSD quasiment 35% plus rapide en vitesse de lecture (6966 Mo/s) et 14% en écriture (7353 Mo/s). Nous atteignons enfin un niveau de performance acceptable pour la gamme Pro.
| Benchmark | MacBook Pro M4 | MacBook Pro M5 |
| Cinebench R24 (Solo) | 173 | 199 (+15,0 %) |
| Cinebench R24 (Multi) | 1033 | 1159 (+12,2 %) |
| Cinebench R24 (GPU) | 4581 | 6112 (+33,4 %) |
| Geekbench 6 (Solo) | 3789 | 4308 (+13,7 %) |
| Geekbench 6 (Multi) | 15704 | 17931 (+14,2 %) |
| Geekbench 6 (GPU Metal) | 57801 | 76358 (+32,1 %) |
| Geekbench 6 (GPU OpenCL) | 38143 | 48551 (+27,3 %) |
| SSD (Lecture Mo/s) | 5172 | 6966 (+34,7 %) |
| SSD (Écriture Mo/s) | 6437 | 7353 (+14,2 %) |
En jeu
Apple a encore mis le paquet sur la partie graphique de ce MacBook Pro M5. La puce introduit une nouvelle architecture qui touche quasiment à tous les aspects du GPU. Il intègre notamment la seconde génération du Dynamic Caching, une technologie introduite avec la puce M4 qui propose une gestion intelligente de l’allocation mémoire pour chacune des applications sollicitant le GPU.
Apple a aussi précisé que plusieurs technologies clés au sein des coeurs Shaders ont reçu des optimisations, comme les taux de calculs critiques (« critical math rates ») et les taux de traitement des triangles (« triangle rates ») pour la géométrie.
Enfin, comme chaque année, une emphase toute particulière a été mise sur les cœurs ray tracing, même si Apple se garde bien de donner des détails sur ce point.
Nous avons testé ce MacBook Pro M5 dans plusieurs titres Cyberpunk 2077, Baldur’s Gate III et Rise of the Tomb Raider. La définition de base du MacBook Pro en plein écran étant 3 024 x 1 890 (ratio 16:10, sans la barre noire supérieure), on se situe dans la catégorie hybride du 3K. Mais sur une diagonale de 14 pouces, on peut aisément baisser cette définition sans pour autant perdre grandement en qualité.

Cyberpunk 2077 est désormais compatible nativement avec le Mac et son architecture graphique, y compris avec les options de ray tracing.
Si vous espériez profiter de la définition native de l’écran avec toutes les options à fond, il va falloir revoir vos attentes à la baisse. Avec les réglages par défaut conseillés par le jeu, ray tracing désactivé, MetalFX en mode « Dynamique », les performances tournent péniblement autour des 38 FPS. En réglages Moyen, on descend à 32 FPS. C’est jouable, mais tout juste.

En revanche, si vous activez le Ray Tracing (même en moyen), c’est la chute libre : 15 FPS. C’est injouable, point final. Même le mode Performance du MetalFX ne peut rien y faire.
Pour espérer une fluidité correcte, il faut impérativement baisser la définition. En passant sur du 1920 x 1200p les choses s’améliorent, mais attention aux yeux.
Le 60 FPS est atteignable… mais c’est sale. En réglages High (sans Ray Tracing) et MetalFX « Équilibré », nous avons atteint les 60 FPS. Le souci ? Les textures scintillent énormément, les effets volumétriques affichent de nombreux artefacts, démontrant une reconstruction d’image encore bancale de la technologie.
Pour dépasser les 60 FPS, le seul moyen viable est d’activer le MetalFX en mode Performance. On grimpe alors à 75 FPS en réglages moyens. Mais soyons honnêtes : la qualité de l’upscaling n’est pas au niveau et le rendu visuel en souffre trop.
Paradoxalement, nous avons trouvé le résultat « moins pire » en activant le FSR 3.0 plutôt que le MetalFX. À niveau de performance égal, le scintillement nous a semblé moins agressif. À tester selon votre tolérance.

Baldur’s Gate III est moins gourmand graphiquement, mais très exigeant pour le processeur dans certaines zones (l’Acte 3, pour ne pas le citer).
- En 1200p (Moyen) : le jeu oscille entre 30 et 60 FPS selon la complexité de la scène. C’est confortable pour du tour par tour.
- En mode Haut : le GPU souffre et le framerate chute entre 20 et 25 FPS dans les zones denses.
Le gros point noir ici, c’est l’absence de MetalFX. Le jeu ne propose que le vieux FSR 1.0. Notre conseil sera ici de rester en définition native. Le FSR 1 dégrade trop l’image pour que le gain de fluidité en vaille la peine.
Pour finir sur une note positive, un titre un peu plus ancien comme Rise of the Tomb Raider tourne comme une horloge.

En 1200p, que vous soyez en réglages « Moyen » ou « High », le jeu affiche une moyenne imperturbable oscillant entre 82 et 87 FPS. C’est parfaitement fluide et visuellement très propre.
On observe donc de belles évolutions pour la puce M5, mais Apple devrait sérieusement se focaliser sur sa technologie MetalFX pour faire tourner les jeux les plus gourmands avec une qualité d’image acceptable. À l’heure actuelle, on peut difficilement en conseiller l’activation en dessous du mode Qualité.
Mais sachant que chaque cœur intègre désormais des accélérateurs neuronaux, on imagine qu’Apple prépare le terrain pour un MetalFX fonctionnant avec du machine learning. Bientôt la fin d’un upscaling uniquement algorithmique ? On espère en 2025.
Le ray tracing semble, à l’heure actuelle, encore difficilement atteignable en plein jeu, ou alors au moyen de diverses optimisations des réglages graphiques. Et au vu des performances affichées, il faudra sérieusement baisser la qualité de rendu si vous voulez profiter du ray tracing, ce qui ne nous semble pas une bonne combinaison pour favoriser l’immersion.
Pour les créatifs
Nous avons focalisé nos tests sur deux applicatifs de référence de la suite Adobe : Photoshop et Premiere Pro. Nous utilisons ici l’outil de test PugetBench, qui nous permet d’enclencher un cycle de tâches très varié, entre traitement de l’image accéléré par le CPU et le GPU, ainsi que les très lourdes opérations de rendu.
| Machine | Photoshop | Premiere Pro |
|---|---|---|
| MacBook Pro M5 | 13646 | 7797 |
| MacBook Pro M4 Pro | 12178 | 6219 |
| Mac Mini M4 | 10606 | 3803 |
Là encore, les évolutions sont notables pour les créatifs, avec des gains observés entre 12 et 25% par rapport à la puce M4 Pro de l’année dernière (et donc davantage par rapport au MacBook M4 classique, que nous n’avons pas testé).
Par rapport à la puce M4 du Mac Mini (qui embarque la même puce que le MacBook Pro M4, avec système de refroidissement), les gains sont encore plus massifs : prés de 29% sur Photoshop et le double sur Premiere Pro (+105%).
Refroidissement et bruit
Un MacBook Pro, ça peut très vite chauffer. Lors de nos mesures, le CPU pouvait monter jusqu’à 100 degrés alors que le GPU plafonnait à 84 degrés. C’est légèrement plus que l’année dernière, mais nous restons ici dans un territoire connu.
Rappelons que le MacBook Pro intègre un système de ventilation, contrairement au MacBook Air qui utilise un refroidissement passif. Ainsi, le modèle Pro peut davantage pousser la puce dans ses retranchements sans faire baisser les fréquences pour garder une température acceptable.
Ces ventilateurs restent audibles autour des 35 dB à pleine charge, et autour des 25 dB en utilisation normale. On reste donc sur un bruit tout à fait mesuré.
On va ici s’intéresser plutôt à la température en surface du MacBook Pro M5. Elle atteint un maximum de 43 degrés au milieu du clavier lors des charges lourdes, alors que le reste du châssis reste à 30 degrés dans la même situation. C’est tout à fait acceptable à l’usage et à peine perceptible grâce à la construction tout en aluminium recyclé.
Autonomie
Apple promet exactement la même autonomie avec la puce M5 qu’avec la puce M4. Bien qu’elle soit gravée avec un procédé légèrement optimisé (N3P), le surplus de puissance consomme le gain d’efficacité. Ce qui permet à Apple d’offrir la même autonomie dans toutes les situations.
- En simple navigation web, nous avons mesuré près de 16 heures d’utilisation en continu (luminosité de l’écran réglée à 50%).
- En usage mixte entre bureautique et quelques activités multimédias (visionnage de vidéo, visioconférence, retouches), nous descendons à 13h et 50 minutes.
- Enfin, lors des charges de travail lourdes (photo, vidéo, 3D), l’autonomie d’abaisse à 6 heures.
Comptez entre 4 et 7 d’autonomie sur les applicatifs lourds (dont le jeu vidéo), mais bien au-delà pour une utilisation classique. Rappelons que le MacBook ne perd aucune performance une fois débranché, mais vous pouvez toujours activer le mode économie d’énergie pour grappiller quelques pourcents.

À noter que la présence d’un adaptateur de charge (70W ou 96W) n’est plus assurée en Europe, comme nous le verrons dans la section suivante. Seul un câble USC-C vers MagSafe est désormais inclus dans la boite.
Prix et disponibilité
Le MacBook Pro M5 subit une baisse de prix cette année à 1799 euros pour une raison toute simple : l’adaptateur secteur n’est plus inclus dans la boite. Vous pouvez bien sûr joindre un adaptateur 70 W (65 euros) et 96W (85 euros) à votre commande si vous n’en possédez pas déjà un exemplaire.
Pour le moment, seul le modèle 14 pouces avec puce M5 classique est disponible : les modèles M5 Pro et M5 Max sont attendus pour le début de l’année 2026.





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