Test des Ecovacs Winbot W2 Pro et Winbot Mini : faut-il encore laver ses vitres à la main ?

 
Ecovacs enrichit sa gamme de robots laveurs de vitres avec deux modèles aux approches différentes : le Winbot W2 Pro Omni d’un côté, et le Winbot Mini de l’autre. Le premier promet un nettoyage automatisé des vitres grâce à sa station portable avec batterie, tandis que le second mise sur un format compact, idéal pour les petites fenêtres. Ces robots ont un objectif commun : simplifier la corvée de nettoyage des carreaux.
Ecovacs Winbot W2 Pro et Winbot Mini // Source : Hagop Kavafian pour Frandroid

Ecovacs offre une gamme complète d’appareils d’entretien ménager, avec notamment de nombreux robots aspirateurs et même des tondeuses autonomes. La marque est également pionnière dans le domaine des robots laveurs de vitres, avec déjà deux générations de Winbot.

Après le Winbot W1 Pro, qui nécessitait un branchement permanent, puis les Winbot W2 et W2 Omni lancés en 2024, la marque a présenté début 2025 des évolutions de sa gamme, dont les Winbot W2 Pro et W2 Pro Omni. Ces derniers bénéficient notamment de meilleures performances, ainsi que d’une navigation améliorée. La version Omni reprend quant à elle le concept de mallette tout-en-un avec batterie intégrée, mais améliore à la fois l’autonomie, tout en permettant désormais une utilisation pendant la recharge.

En parallèle, le Winbot Mini offre quant à lui un format plus compact et un tarif bien plus accessible, pour des performances plus limitées. Il vise avant tout les petits vitrages, les miroirs, mais convient également aux besoins ponctuels ou des espaces plus contraints.

Deux designs très différents, selon les besoins

Le Winbot W2 Pro Omni se présente sous la forme d’une mallette rigide au format compact, avec une poignée de transport qui rappelle celle d’une petite glacière. Cette station sert à la fois de base de chargement, de rangement, de commande et d’alimentation, le tout dans un format unique pensé pour une portabilité maximale. À l’intérieur, le robot repose sur des crochets et recouvre une petite encoche dans laquelle se range le flacon de liquide de nettoyage. Le câble d’une longueur de 5,5 mètres entre le robot et la mallette s’enroule automatiquement, le rendant invisible lorsqu’il n’est pas utilisé. À l’arrière de la mallette, un compartiment abrite un mousqueton de sécurité, une microfibre de rechange et le câble de recharge. Le couvercle de la mallette intègre trois boutons physiques, permettant d’allumer le robot, changer le mode de nettoyage ou d’enrouler automatiquent le câble.

Ecovacs Winbot W2 Pro et Winbot Mini // Source : Hagop Kavafian pour Frandroid

Le robot lui-même arbore un design carré d’environ 27 centimètres de côté pour une épaisseur de 7 centimètres. Une large poignée en similicuir le surplombe, facilitant sa prise en main et son positionnement sur les vitres. En dessous, deux chenilles motorisées assurent les déplacements, tandis qu’un système d’aspiration maintient l’ensemble fermement collé au vitrage. Tout autour, une grande lingette microfibre, fixée par velcro, vient essuyer les vitres durant le nettoyage. Trois buses de pulvérisation, disposées à l’avant et à l’arrière, se chargent de diffuser le liquide nettoyant, qu’il faut manuellement ajouter dans le petit réservoir situé à côté de la poignée.

L’ensemble est encadré par des capteurs de bordure et de pression, positionnés dans chaque coin, qui assurent à la fois la sécurité du robot et la précision de ses trajectoires, notamment lors de l’approche des bords de la vitre. L’assemblage est soigné, les plastiques épais, et rien ne laisse penser à un appareil fragile. La station elle-même repose sur une ventouse et dispose d’un poids suffisant pour faire contrepoids à l’ensemble du câble lors d’un nettoyage en hauteur.

La version W2 Pro classique, autrement dit sans la station Omni, se contente d’un emballage plus modeste. Le robot est identique, avec les mêmes dimensions, la même puissance et les mêmes fonctions de nettoyage. En revanche, l’alimentation s’effectue ici via un adaptateur secteur externe, et vous devez donc brancher le cordon d’alimentation en permanence pour que le robot fonctionne. Il n’y a pas de mallette de transport, ce qui réduit l’encombrement mais aussi le confort d’utilisation. Cette variante sera donc surtout intéressante pour ceux qui cherchent à gagner un peu de place, ou qui n’ont pas besoin de la batterie intégrée à la station.

À l’opposé, le Winbot Mini adopte une philosophie résolument compacte. Avec ses 21,5 centimètres de côté pour seulement 5,5 centimètres d’épaisseur, il est environ 30 % plus fin et plus léger que les W2 Pro. Ce format réduit permet de l’utiliser sur des vitres de petite taille ou à géométrie complexe : carreaux étroits, fenêtres à croisillons, miroirs, surfaces à poignées saillantes… Le Mini se branche via un câble secteur de 3,5 mètres, auquel s’ajoute une corde de sécurité indépendante de longueur équivalente. Le robot ne dispose pas de station, de base de recharge ni d’enrouleur automatique, ce qui impose une installation un peu plus artisanale, mais aussi une grande souplesse dans l’agencement.

Ecovacs Winbot W2 Pro et Winbot Mini // Source : Hagop Kavafian pour Frandroid

Le Mini est contrôlable à l’aide d’un unique bouton situé sur le dessus, qui lance et arrête le nettoyage. Il n’est donc malheureusement pas possible de changer le mode de nettoyage depuis le robot, ce qui complexifie quelque peu l’utilisation au quotidien.

Sous le robot, on retrouve un système d’aspiration pour le maintenir sur la vitre, deux chenilles pour le déplacement, et une lingette microfibre fixée par velcro. Le système de pulvérisation ultrasonique intégré est bien plus simple que celui des W2 Pro et se contente d’une unique buse de chaque côté.

Ecovacs Winbot W2 Pro et Winbot Mini // Source : Hagop Kavafian pour Frandroid

Par ailleurs, une batterie de secours de 3000 mAh permet de maintenir le robot collé à la vitre pendant environ trente minutes en cas de coupure de courant, évitant ainsi toute chute brutale. Malgré ce système, un câble de sécurité avec mousqueton est intégré au Winbot, permettant de l’attacher à une tringle, par exemple. En revanche, il n’est pas possible de le retirer, même si vous n’avez pas de quoi l’attacher à proximité des fenêtres.

Enfin, le châssis, bien qu’entièrement en plastique, offre une impression de solidité satisfaisante et les finitions sont nettes.

Une application basique pour quelques fonctionnalités annexes

Le Winbot W2 Pro peut fonctionner sans recourir à l’application mobile, notamment grâce aux boutons intégrés sur la station. L’application Ecovacs Home apporte quelques fonctionnalités supplémentaires, en permettant notamment de suivre l’avancement du nettoyage, de consulter l’état de la batterie, et de sélectionner le mode de nettoyage directement sur l’écran de votre smartphone. Elle offre également la possibilité de déclencher une pulvérisation ponctuelle et même de diriger manuellement le robot, pratique pour les grandes fenêtres ou celles en hauteur. L’appli sert également à télécharger d’éventuelles mises à jour logicielles ou de faire tourner les chenilles à vide pour faciliter leur nettoyage. Dans l’ensemble, l’application est bien conçue et intuitive, même si elle n’est pas indispensable au quotidien.

Le Winbot Mini repose un peu plus sur l’application mobile pour offrir une expérience complète. En effet, son unique bouton physique simplement de lancer ou d’arrêter le nettoyage, mais les fonctions avancées nécessitent l’appli : choix du mode, contrôle manuel, paramètres audio ou encore état du robot.
Dans les deux cas, la connexion s’effectue via Bluetooth, ce qui implique de rester à proximité du robot. Cela semble assez logique, puisqu’il n’est pas recommandé de laisser le robot sans surveillance.

Le Winbot émet par ailleurs des messages vocaux pour indiquer le début et la fin du nettoyage, ou signaler une anomalie. Il n’envoie pas de notification dans l’application, puisqu’il n’est encore une fois pas prévu pour être utilisé sans surveillance.

Des performances correctes pour un nettoyage quotidien

Le Winbot W2 Pro jouit d’une capacité à nettoyer des grandes surfaces vitrées, grâce à sa navigation avancée et son autonomie. Pour l’utiliser, il suffit de l’allumer et de le placer sur la vitre à nettoyer. La plupart du temps, le robot détecte alors le contact avec la vitre et active l’aspiration pour se fixer solidement au carreau. Il m’est cependant arrivé d’avoir besoin de replacer le robot deux ou trois fois pour qu’il comprenne qu’il est au contact d’une vitre, sans quoi il ne déclenchait pas l’aspiration qui le maintient solidement attaché.

Le maintien à la vitre est exemplaire, même en usage extérieur ou sur de très grandes surfaces verticales. La force d’aspiration permet au robot de grimper sans jamais glisser, et ce même sur des vitres légèrement inclinées ou exposées à un léger vent.

Hagop Kavafian pour Frandroid

Une fois attaché, le robot se déplace de manière autonome sur la vitre pour la nettoyer. Il fonctionne de manière méthodique, en pulvérisant du liquide sur la vitre qu’il essuie ensuite sur son passage. Son système de pulvérisation repose sur trois buses haute pression, réparties à l’avant et à l’arrière du robot, qui projettent une brume fine et uniforme sur la vitre. Ce jet, plus puissant que sur les précédents modèles, couvre une surface plus large et promet un détachement des saletés même incrustées, notamment sur des fenêtres exposées à la pollution urbaine ou aux intempéries. Le réservoir intégré peut contenir suffisamment de liquide pour nettoyer plusieurs vitres de taille moyenne d’affilée, et le robot adapte automatiquement la quantité pulvérisée selon le mode choisi.

En termes de vitesse, le W2 Pro Omni propose deux principaux modes : le mode rapide, qui effectue un aller simple par lignes parallèles, et le mode approfondi, qui réalise un aller-retour croisé, complété d’un passage sur les bords. En mode rapide, une vitre de 4 m² est nettoyée en environ sept minutes, contre environ le double pour le mode approfondi. Le robot adopte une trajectoire en lignes droites bien maîtrisées, grâce à l’algorithme de navigation WIN-SLAM 4.0 qui calcule le trajet optimal. Il parvient à couvrir la quasi-totalité de la vitre, avec des marges d’à peine quelques millimètres aux extrémités. Les coins restent toujours un point faible pour tous les robots de ce type, mais ils restent assez bien couverts pour un nettoyage quotidien. Lorsqu’il atteint une bordure, le robot ralentit légèrement pour assurer un nettoyage plus méticuleux, et le mode “Edge” permet d’insister sur les pourtours si besoin. Le Winbot s’en sort également bien en cas de présence de poignées, les contournant, sans pouvoir nettoyer en dessous.

En pratique, les résultats restent médiocres. Le W2 Pro Omni convient pour des vites intérieures avec des légères traces de doigts ou de truffe de chien, mais il peine à retirer de la saleté séchée sur les vitres extérieures, comme des projections de boue et des résidus de fientes. Pire, il a tendance à laisser des traces visibles après son passage et demande un passage manuel après le nettoyage. Ecovacs recommande d’humidifier la microfibre avant le nettoyage, ce qui semble mieux nettoyer les saletés sèches, notamment sur les vitres extérieures. En revanche, cette méthode laisse systématiquement une trace humide à l’emplacement où termine le robot avant de le retirer, qu’il faut essuyer rapidement sous peine qu’elle ne reste visible. Pour les vitres intérieures, un nettoyage à sec fonctionne relativement bien pour retirer traces de doigts et de truffe. La pulvérisation de produit à vitres suffit à retirer ces traces et j’ai trouvé qu’il ne nécessite pas forcément de repasser avec un chiffon sec, contrairement à l’utilisation d’une microfibre pré-humidifiée.

Pour les vitres très sales, par exemple après une forte pluie et des projections de terre etc, mieux vaut privilégier un prérinçage avec une microfibre et de l’eau savonneuse, car le Winbot n’est clairement pas fait pour nettoyer les saletés incrustées. À mon grand regret, il ne fait d’ailleurs qu’essuyer et ne frotte pas, contrairement à ce que ferait un robot aspirateur laveur. Il existe pourtant des laveurs de vitres chinois dotés de telles capacités, qui auraient vraiment fait la différence sur des vitres extérieures ou même des Velux.

En matière de bruit, le W2 Pro est clairement audible, produisant environ 70 dB à un mètre, soit plus bruyant qu’un robot aspirateur. Pour quelques vitres, cela n’est pas particulièrement dérangeant, mais n’espérez pas utiliser le robot tout en ayant une conversation ou en regardant la TV.

Grâce à la batterie intégrée dans la station, le robot peut fonctionner pendant environ une heure sur une seule charge. Cela correspond à environ 60 à 65 m² de vitres nettoyées, soit l’équivalent de plusieurs grandes baies vitrées ou d’une véranda complète. Il est aussi possible de le brancher pendant l’usage, ce qui prolonge indéfiniment son autonomie sur secteur. C’est d’ailleurs l’une des principales évolutions par rapport à la précédente génération, qui obligeait d’interrompre le nettoyage pour recharger.

Hagop Kavafian pour Frandroid

Le Winbot Mini, de son côté, adopte une approche plus minimaliste. Son système de pulvérisation ultrasonique est moins puissant, avec une seule buse centrée, et conviendra principalement pour des vitres intérieures. Contrairement au W2, le jet n’est pas précis. Il est au contraire assez diffus et donne l’impression que le produit est vaporisé, sans être concentré sur une zone précise.

Le robot ne dispose que de deux modes, rapide et complet. En mode rapide, il couvre une vitre moyenne en environ huit à neuf minutes. Il est donc plus lent que son grand frère à surface équivalente, mais sa maniabilité compense cet écart dans les petits espaces. Grâce à l’algorithme WIN-SLAM 3.0, le Mini parvient à couvrir efficacement les zones rectangulaires ou irrégulières. Il est à l’aise entre des croisillons ou autour d’éléments saillants comme des poignées, là où les modèles plus larges peineraient à manœuvrer.

Sur des vitres avec de légères traces ou de la poussière, le Mini s’en sort assez bien, avec un rendu visuellement propre sans traces de gouttes ni auréoles. En revanche, il atteint plus rapidement ses limites sur les zones très grasses ou très encrassées, avec des résultats assez médiocres, encore moins convaincants que le W2. En testant avec une lingette sèche, seules les traces fines partent. Pour les traces plus épaisses, la lingette humide s’en sort mieux, mais avec toutefois des résidus à la fin du nettoyage.

Le bruit généré par le Mini est plus marqué : environ 75 décibels mesurés à un mètre. C’est clairement plus audible, avec une tonalité plus aiguë, en partie liée à son format plus léger et à un moteur d’aspiration tournant plus vite. De plus, l’utilisation avec une lingette humide fait « grincer » le robot, ce qui est particulièrement déplaisant lors de l’utilisation. Cela n’est pas gênant pour une session ponctuelle, mais peut vite devenir intrusif dans un environnement calme.

Hagop Kavafian pour Frandroid

Enfin, le Mini doit être alimenté en continu par câble, mais il intègre une batterie de secours de 3000 mAh qui lui permet de rester plaqué à la vitre pendant environ trente minutes en cas de coupure de courant.

Un entretien simple et rapide

L’entretien des Winbot est assez simple et rapide. Les deux modèles utilisent des lingettes microfibres lavables, qu’il suffit de rincer ou de passer en machine après chaque usage. Ils sont tous deux livrés avec deux lingettes, permettant d’en avoir toujours une propre sous la main. C’est très pratique si vous préférez un nettoyage ultra complet comme moi, c’est à dire un premier passage avec une lingette humide, puis un second avec une lingette sèche — oui ça prend du temps, mais les résultats sont bien meilleurs.

Le remplissage du liquide nettoyant s’effectue via un orifice situé sur le dessus du robot, avec un flacon fourni. Il est bien pensé, évitant d’en renverser lors du processus. En revanche, il faut fréquemment le remplir manuellement pour ne pas être à court durant le nettoyage. Ecovacs préconise d’utiliser le nettoyant original, mais j’ai obtenu de bons résultat en utilisant du produit à vitres classique dilué à l’eau déminéralisée.

Ecovacs recommande également de nettoyer les buses de pulvérisation, les chenilles et les capteurs régulièrement pour éviter qu’ils ne s’encrassent. Pour ce qui est des chenilles, l’application permet de déclencher un mode de nettoyage automatique afin de les faire tourner tout en maintenant manuellement un chiffon appuyé contre elles pour faciliter le processus.

Hagop Kavafian pour Frandroid

La mallette du W2 Pro Omni ne demande pas d’entretien particulier. Il convient simplement de s’assurer que le câble s’enroule correctement et que la batterie reste chargée si l’appareil est peu utilisé. Un petit coup de lavette une fois de temps en évite que la poussière ne s’y accumule, sans nécessiter d’autre attention particulière.

Quant au Winbot Mini, il n’a pas de station : son rangement est donc un peu plus manuel. Les câbles doivent être bien enroulés et il vaut mieux le ranger dans sa boite d’origine, car Ecovacs ne fournit pas de mallette.

Prix, disponibilité et alternatives

Le Winbot W2 Pro est affiché à 400 euros chez Amazon et Boulanger et 450 euros chez Fnac Darty. La version Omni se vend quant à elle 600 euros, chez Amazon, Boulanger et Fnac Darty. C’est à ce jour le robot laveur de vitres le plus avancé de la marque, ce qui explique son tarif élevé, notamment pour la version Omni qui bénéficie de la mallette intégrée et surtout d’une batterie.

Le Winbot Mini est quant à lui proposé à 280 euros chez Amazon, Boulanger, Fnac Darty, en coloris gris ou beige, rendant plus accessible le nettoyage automatisé des vitres.

Parmi les alternatives, il y a le Dreame C1 Station, que nous avons testé également.

Pour aller plus loin
Test du Dreame C1 Station : on a testé le robot qui lave les vitres tout seul


Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.

Note finale du test
7 /10
Avec le Winbot W2 Pro Omni et le Winbot Mini, Ecovacs propose deux visions très différentes du robot lave-vitres.

Le W2 Pro Omni mise sur une expérience complète, autonome et confortable, avec sa station-mallette intégrée, une bonne autonomie, et des fonctionnalités bien pensées. Il reste cependant limité par ses performances de nettoyage, qui ne suffisent pas toujours à venir à bout des saletés incrustées ou des vitres extérieures très encrassées, obligeant parfois à repasser manuellement.

Le Winbot Mini, de son côté, séduit par son format compact, son accessibilité et sa capacité à se faufiler là où les autres ne peuvent pas passer. Il rend service pour un nettoyage d’entretien léger, mais atteint rapidement ses limites sur les taches tenaces.

Malgré des défauts communs à la plupart des robots de ce type, ces deux modèles ont le mérite de soulager la corvée du nettoyage régulier, à condition de bien choisir selon la nature de vos vitres… et vos attentes en matière de résultats.

Points positifs
Ecovacs Winbot W2 Pro / Winbot Mini

  • Pulvérisation automatique de produit

  • Navigation et nettoyage autonome

  • Sécurité et fiabilité du maintient

Points négatifs
Ecovacs Winbot W2 Pro / Winbot Mini

  • Performances de nettoyage décevantes sur vitres sales

  • Tarif élevé (surtout pour le W2 Pro Omni)

  • N'atteint pas les coins

  • Bruit

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