Galaxy S25 Edge : la finesse n’est pas un point faible, la preuve en vidéo

En attendant l’iPhone 17 Air en septembre, le Galaxy S25 Edge est actuellement le smartphone le plus fin au monde.

Vendu le prix d’un Galaxy S25+, il est moins complet, mais aussi moins épais et plus léger (5,8 mm pour 163 g). Un aspect de design que Samsung facture donc au prix fort.

Avec un tel physique, on pouvait redouter son passage sous les outils de Zack Nelson, le youtubeur de la chaîne JerryRigEverything qui se fait un malin à torturer les smartphones et tablettes qui passent entre ses mains.

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Un test réussi haut la main

Mais voilà, au bout de sa vidéo de 8 minutes, on est obligé de constater que Samsung a fait du bon boulot sur le S25 Edge.

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Le pire est sans doute le test de tortion. Avec sa grande finesse, on imaginait qu’il plierait aisément. Que nenni. Zack Neslon a beau appliquer une généreuse pression sur son dos ou sur son écran, il s’arque à peine.

Seul bobo ici, le panneau arrière se décolle sous la pression. Dommage colatéral, il perd ici son efficacité waterproof. La certification IP68 vole en éclat s’il est tordu.

Néanmoins, qu’il ne se brise pas ni ne se plie plus violemment est une prouesse.

Samsung a optimisé la structure du S25 Edge

Samsung avait bien en tête cette épée de Damoclès lors du développement du Galaxy S25 Edge, voilà pourquoi il a particulièrement bien étudié la structure de l’appareil.

Déjà, son cadre est conçu en titane de grade 5, un matériau connu pour sa rigidité et sa résistance supérieure à l’aluminium, tout en restant léger, de quoi déjà lui permettre de mieux encaisser les contraintes mécaniques.

Mais l’intérieur du téléphone a aussi été traité avec un montage inédit qui a permis à Samsung de disposer les composants avec une précision de 0,1 mm. Cette optimisation interne réduit les espaces vides susceptibles de fragiliser la structure et répartit mieux les efforts mécaniques lors d’une torsion.

Ajoutons que Zack Nelson a également éprouvé son écran qui dont le verre Corning Gorilla Glass Ceramic 2 a montré une résistance aux rayures typique des smartphones haut de gamme, commençant à se rayer au niveau 6 sur l’échelle de Mohs, avec des marques plus profondes au niveau 7.

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Au test de brûlure, il ne subit absolument aucun dommage ni marque après avoir été exposé à une flamme durant 30 secondes.

Le module photo arrière ne bouge pas d’un iota lorsqu’on essaye de l’arracher avec un cutter. Seuls les boutons de tranche sautent aisément.

Bref, c’est presque un sans-faute. Zack Nelson lui-même a exprimé sa surprise face à une telle intégrité. Samsung a ainsi réussi le pari complexe de proposer un appareil ultra-fin sans sacrifier sa solidité, répondant aux craintes potentielles concernant la durabilité d’un design aussi épuré.