Depuis plusieurs années, le déroulement « standard » des lancements des nouveaux smartphones Samsung est bien huilé :
- Les modèles haut de gamme, de la série Galaxy S, arrivent les premiers, dès le début du mois de février cette année (dès que la nouvelle puce haut de gamme de Qualcomm est disponible). Ils sont aussitôt testés par nos soins, comme le Galaxy S25 Ultra, le Galaxy S25+ ou encore le Galaxy S25.
- Ils sont suivis quelques semaines plus tard – fin mars en l’occurrence pour 2025 – par les premiers smartphones de la série Galaxy A : les Galaxy A26, Galaxy A36 et Galaxy A56.
- Enfin, c’est au tour du nouveau Galaxy A d’entrée de gamme de faire son apparition. Au passage, sa référence change. Ainsi, le Galaxy A16, qui a été lancé en octobre 2024, est aujourd’hui remplacé par le Galaxy A17 (avec deux mois d’avance donc).

Cette mise à jour du Galaxy A16 5G accélérée est grandement facilitée par le fait que le Galaxy A17 5G ne présente aucune amélioration significative sur le plan matériel.
En effet, le constructeur a très légèrement modifié le châssis du smartphone, pour mettre en avant une épaisseur et un poids réduits. D’autre part, l’écran est protégé par le revêtement Corning Gorilla Glass Victus. Et son capteur photo principal dispose désormais d’un dispositif de stabilisation optique.

Tout le reste de l’équipement (processeur, écran, batterie) est strictement identique à celui du Galaxy A16 5G. Pas de quoi se relever la nuit !
Côté logiciel, l’accent est fortement mis sur l’arrivée de l’IA. Mais, comme nous allons le voir, ici encore, rien de transcendantal.
Le seul bon point, finalement, c’est que le Galaxy A17 5G est proposé à un prix inférieur à celui du Galaxy A16 5G lors de son lancement.

Voyons donc si ces changements rendent ce nouveau Galaxy A d’entrée de gamme plus intéressante que son prédécesseur, et lui permettent de tirer son épingle du jeu face à des concurrents qui – souvent – font preuve d’originalité et d’audace, comme le Nothing CMF Phone 2 Pro (259 €), le Realme P3 (200 € avec 8 Go de mémoire et 256 Go de stockage et 260 € avec 12 Go de mémoire et 512 Go de stockage), ou encore le Honor 400 Lite (proposé actuellement à 249,90 €).

Design
Le Samsung Galaxy A17 5G présente des changements minimes en termes de poids et d’épaisseur par rapport au Galaxy A16 5G : 192 grammes au lieu de 200 grammes et 7,5 mm au lieu de 7,9 mm. Autant dire que la différence est loin d’être flagrante !
Pour le reste, on retrouve le design des Galaxy A26, A36 et A56, avec en particulier, la petite protubérance, sur la tranche, où sont placés la touche de volume et le bouton de démarrage, et un bloc optique désormais clairement délimité (contrairement aux Galaxy de la série S et au Galaxy A16 5G).

Et donc, comme nous l’avions déjà indiqué lors de notre test du Galaxy A16 5G, ces touches sont toujours placées un peu trop haut, ce qui n’est pas très ergonomique.
Seule modification visible, le dos du smartphone est désormais réalisé en fibre de verre, mate (voir photo ci-dessus). Il a le mérite de retenir un peu moins les traces de doigts que le dos brillant du Galaxy A16 5G. Elles rendent toutefois assez rapidement le smartphone moins sexy.

Heureusement, la chiffonnette permet de les effacer facilement (voir photo ci-dessus). Mais il faut la garder à portée de main en toutes circonstances…
Le lecteur d’empreintes digitales est toujours intégré au bouton de démarrage. Comme toujours, le déverrouillage du smartphone peut également être effectué par la reconnaissance du visage de l’utilisateur.

Enfin, pour ce qui est de la résistance à la poussière et à l’eau du Galaxy A17 5G, la donne ne change pas par rapport à son prédécesseur.
Ainsi, le smartphone est toujours certifié IP54, ce qui signifie qu’on peut l’utiliser sous la pluie, mais qu’il ne supporterait pas une chute dans la baignoire ou une piscine. On aurait pu espérer une certification IP67 (étanchéité totale), comme le Galaxy A26.

Affichage
Pour l’affichage, le Galaxy A17 5G reste dans la norme actuelle (tout comme le Galaxy A16 5G le faisait déjà). En effet, il est équipé d’une dalle OLED de 6,7 pouces de diagonale.

Les images sont affichées dans une définition de 2340 x 1080 pixels, avec une fréquence maximale de 90 Hz (encore une fois comme le modèle de l’année de dernière), alors que tous ses concurrents offrent désormais le mode 120 Hz.
S’il est possible de fixer le taux de rafraîchissement à 60 Hz, le mode adaptatif n’est pas proposé dans les paramètres d’affichage.

La seule nouveauté notable n’est pas visible. En effet, l’écran est désormais protégé par le revêtement Gorilla Glass Victus, et devrait donc bénéficier d’une meilleure résistance aux rayures.
En revanche, on retrouve un design quelque peu vieillot, avec l’ouverture en forme de goutte d’eau, qui abrite l’objectif photo frontal, et – surtout – les énormes bordures autour de la dalle, qui ne contribuent pas vraiment à rendre le smartphone sexy.

Pour mesurer les performances de l’écran, nous avons utilisé notre sonde Calibrite Display Pro HL et le logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Displays,
Signalons que deux profils d’affichage sont proposés dans les paramètres d’affichage. Il s’agit des modes Vif et Naturel (on a également la possibilité d’ajuster manuellement la balance des couleurs).

La première mesure concerne la luminosité maximale. Celle-ci s’établit, de base, à 350 nits, ce qui n’est vraiment pas très élevé. Toutefois, la luminosité peut grimper à 724 nits (SDR) et à 985 nits (HDR), si on active le mode Adaptatif.
Ce dernier mode est donc à privilégier si on utilise le smartphone en extérieur, sous le soleil, pour obtenir une lisibilité optimale. On note que la luminosité maximale demeure inférieure à celle offerte par les concurrents du Galaxy A17 5G (1178 et 1252 nits, respectivement pour le Realme P3 et le Nothing CMF Phone 2 Pro, par exemple).
De plus, la température moyenne des couleurs est de 6637 K, avec le profil Vif. Elle est donc très proche de la valeur qui symbolise la colorimétrie la plus neutre possible (6500 K).
D’autre part, le delta E moyen est de 3,51, ce qui indique une assez bonne fidélité des couleurs (il aurait toutefois fallu, dans l’idéal, que la valeur soit inférieure à 3).
Enfin, dernier bon point, l’écran est en mesure d’afficher 93 % du gamut DCI-P3, ce qui correspond à l’objectif que se fixent la plupart des constructeurs à l’heure actuelle.

Logiciel
Le Samsung Galaxy A17 5G fonctionne sous Android 15 et l’interface maison OneUI 7. On apprécie le fait que le système ait l’avantage de ne pas être pollué par un grand nombre de pourriciels.
Un autre motif de satisfaction réside dans le fait que le constructeur annonce assurer les mises à jour d’Android (ainsi que les mises à jour de sécurité) pendant 6 ans, ce qui est toujours intéressant pour tous ceux qui n’ont pas l’habitude de changer leur smartphone très régulièrement.

Selon le constructeur, une des grosses nouveautés du Galaxy A17 5G concerne l’arrivée de l’IA maison sur un smartphone d’entrée de gamme. Le seul souci, c’est que cela reste très limité en pratique. Rien à voir avec la débauche de nouveaux outils que l’on trouve sur les Galaxy de la série S25.
L’IA est en l’occurrence limitée à deux fonctions, largement démocratisées sur de nombreux smartphones depuis un an. La première est accessible suite à une pression longue sur le bouton de démarrage. Cette manipulation permet de lancer l’assistant Gemini de Google et de pouvoir discuter avec Gemini Live (qui peut nous expliquer par exemple comment faire une tarte tatin lorsqu’on lui montre une pomme).
La seconde fonction, Entourer pour chercher, facilite – comme son nom l’indique – les recherches sur Chrome. C’est pratique, mais pas indispensable !
Voila. C’est tout… Le constructeur n’a même pas jugé utile d’intégrer des fonctions intelligentes de retouche photo. Même la gomme magique, à laquelle on s’habitue pourtant vite, n’est pas présente. Ca sera peut être pour une prochaine mise à jour « révolutionnaire ».
Bref, même sur l’IA, Samsung assure le service minimum syndical…

Performances
Le Samsung Galaxy A17 5G embarque la puce Samsung Exynos 1330, avec 4 Go de mémoire (et 128 Go d’espace de stockage). Et on remarque très rapidement qu’il ne s’avère pas particulièrement véloce.
En effet, la réactivité du smartphone est quelque peu faiblarde (et c’est un euphémisme). Ainsi, la moindre manipulation, même la plus basique, s’accompagne d’un léger temps d’attente.
Rien de vraiment dramatique, si on est d’un naturel patient. C’est toutefois un phénomène que nous n’avions pas ressenti lors des tests de certains des concurrents récents du Galaxy A17 5G.
D’ailleurs, si on compare les performances de la puce Samsung à celles des processeurs utilisés dans certains modèles, comme le Snapdragon 6 Gen de Qualcomm ( présent dans le Realme P3) ou le Dimensity 7300 Pro de Mediatek (Nothing CMF Phone 2 Pro), on ne peut s’empêcher de penser que Samsung joue (très) petit bras.

A défaut d’intégrer le même processeur que celui du Galaxy A36 5G, l’Exynos 1380, le Samsung aurait pu se tourner vers un modèle de chez Qualcomm.
La conséquence est inéluctable. Le smartphone ne peut pas vraiment être utilisé pour jouer. Certes, les titres en 3D un peu sophistiqués fonctionnent, mais il ne faut pas s’attendre à une qualité graphique et à une fluidité exceptionnelles.

Par exemple, si Call Of Duty Mobile tourne correctement, c’est seulement avec les réglages appliqués par défaut. Il en va de même avec Genshin Impact, limité au mode graphique minimal et à 30 images par seconde maximum.
Quand à Fornite, il est quasiment injouable, même avec le niveau graphique minimum. En effet, les animations comportent entre 5 et 15 images par seconde, ce qui ne laisse aucun espoir dans les combats rapprochés.

Photo
Pour la photo comme pour le reste, le Galaxy A17 5G reprend en très grande partie la recette utilisée par son prédécesseur, avec un trio d’objectifs et de capteurs dorsaux (grand angle, ultra grand angle et macro), complété par l’objectif frontal et son capteur de 13 mégapixels.
Il s’avère donc mieux loti que le Realme P3, qui n’est doté que d’un objectif grand angle. En revanche, la configuration du Nothing CMF Phone 2 Pro demeure imbattable, avec son téléobjectif 2x, son ultra grand angle de 8 mégapixels et son capteur frontal de 16+ mégapixels, qui complètent sont objectif grand angle (50 mégapixels).
Le Honor 400 Lite, pour sa part, se distingue par son capteur principal grand angle de 108 mégapixels.

On retrouve donc un objectif principal grand angle, équivalent à un 27 mm, avec une ouverture de f/1.8, associé à un capteur de 50 mégapixels. Ce dernier est doté – c’est la seule nouveauté ! – d’un système de stabilisation optique, à l’instar de ses grands frères, les Galaxy A26, A36 et A56.
L’intérêt de ce dispositif ? Obtenir des photos de meilleures qualité lorsque la luminosité ambiante est très réduite. Car, dans ce cas, le mode nuit utilise un temps d’exposition de quelques seconde pour capter plus de lumière.

Or, si le capteur n’est pas doté d’un système de stabilisation optique, les tremblements de la main, au moment de cette prise de vue prolongée, ont tendance à rendre les photos floues.


Comme on peut le constater sur les images ci-dessus, la qualité des photos prises en plein jour, à l’aide de l’objectif et du capteur grand angle, de jour s’avère satisfaisante. La précision est globalement assez bonne et la colorimétrie des clichés s’avère plutôt fidèle à la réalité.
Si on fait appel au zoom numérique 2x, on constate que – si la qualité ne baisse qu’assez légèrement – elle est toutefois perceptible, si on regarde les photos sur un grand écran. Les résultats font toutefois facilement illusion lorsqu’ils sont visionnés sur un smartphone.

Avec le zoom numérique 4x, la qualité des images produites varie, selon la complexité de la scène photographiée. La plupart bénéficie d’une précision suffisante pour être partagée avec ses proches ou sur les réseaux sociaux.
Et, si on pousse le zoom dans ses derniers retranchements (facteur de grossissement de 10x), on constate que la précision est en chute libre. Autant s’en passer autant que possible.


De nuit, ou lorsque la luminosité est limitée (en intérieur par exemple), les performances de l’objectif et du capteur grand angle ne sont pas exceptionnelles, malgré l’arrivée du système de stabilisation optique.


L’activation du mode Nuit implique un temps d’exposition accru (deux à trois secondes), pendant lesquelles il faut absolument rester le plus immobile possible, sous peine d’obtenir une photo plus lumineuse, certes, mais floue. C’est à ce moment que l’intérêt du stabilisateur optique est évident.
Sur les exemples ci-dessus et ci-dessous, on constate que le mode Nuit capte effectivement plus de lumière et permet d’obtenir une image plus détaillée dans les zones sombres, avec une meilleure netteté.


Toutefois, la qualité finale n’est pas totalement assurée. En effet, comme nous avons pu le constater lors de nos tests, le piqué de l’image est le plus souvent discutable, alors que le bruit numérique fait assez souvent son apparition.
Certaines prises de vue sont toutefois exploitables, si une ou plusieurs sources lumineuses sont situées à proximité.
Ultra grand angle
Pour le reste, on note que le second objectif, l’ultra grand angle (équivalent à un 17 mm, avec une ouverture de f/2.2), est associé à un capteur pas très précis : seulement 5 mégapixels, contre 8 mégapixels pour celui des Galaxy A26 et A36, et 12 mégapixels pour celui du Galaxy A56.
Par conséquent, les images générées s’avèrent assez peu détaillées, avec des bords souvent flous. De plus, les objets présents aux bords des images sont déformés, ce qui n’arrange pas les choses !
D’autre part, l’utilisation du mode ultra grand angle, de nuit, est fortement déconseillée, car les photos réalisées sont quasiment toujours floues et très sombres.

Macro
Le troisième et dernier objectif dorsal du Galaxy A17 5G permet de réaliser des photos en mode macro. Il est donc assez inutile pour une grande majorité d’utilisateurs.
Toutefois, avec son capteur de 2 mégapixels (1600 x 1200 pixels), il permet d’obtenir des résultats plutôt satisfaisant (dans le meilleur des cas).
Selfies
Sans surprise, le Galaxy A17 5G est équipé d’un objectif et d’un capteur frontal, pour les selfies (ouverture de f/2.0), strictement identiques à ceux du Galaxy A16. Heureusement, la définition de 13 mégapixels permet d’obtenir des portraits plutôt bien détaillés.
Comme toujours, le mode Portrait a tendance à refaire la coupe de l’utilisateur. Aucun cheveux ne doit dépasser ! Toutefois, dans l’ensemble, l’effet Bokeh (flou sur l’arrière plan) est assez bien réalisé. Son intensité peut être ajustée manuellement.






Vidéo
Grâce au stabilisateur optique, la captation des séquences vidéo s’en trouve également renforcée car les vibrations de la main, plus ou moins infimes, sont éliminées.
Le seul problème réside dans le fait qu’on est limité à un mode vidéo un peu trop basique à l’heure actuelle : Full HD, avec seulement 30 images par seconde. Si on doit réaliser régulièrement des vidéos, il est préférable de se tourner vers un smartphone offrant un mode Full HD ou 4 K, avec 60 images par seconde.
Audio
Certains pourront regretter que le Galaxy A17 5G ne soit doté que d’un seul haut-parleur. Il offre donc le restitution audio mono, avec un son qui n’est pas dirigé vers l’utilisateur, car le haut-parleur est placé sur la tranche, à côté du port USB C.
Ce dernier délivre une qualité audio correcte sans plus, lorsqu’il s’agit d’écouter de la musique. Autant utiliser un casque ou des écouteurs Bluetooth pour bénéficier d’une restitution plus satisfaisante (et en stéréo !).

Réseau et communication
Le Galaxy A17 5G est doté d’un double emplacement nano SIM 5G, dont un pouvant recevoir une carte de stockage microSD. Cela permet, si l’espace de stockage est saturé de photos et de vidéos, d’ajouter jusqu’à 2 To en quelques secondes.
Bon point, la compatibilité eSIM est assurée. Pour le reste, le smartphone est compatible Wi-Fi 5, Bluetooth 5.3 et NFC.

Autonomie et charge
Terminons ce tour d’horizon du Galaxy A17 5G par une autre caractéristique qui n’a pas évolué depuis le Galaxy A16 5G : sa batterie a toujours une capacité de 5000 mAh.
Sur ce point, Samsung commence à être quelque peu à la traîne par rapport à certains de ses concurrents, comme le Realme P3 (5260 mAh) ou le Honor 400 Lite (5230 mAh).
Nous avons utilisé le test d’autonomie intégré à l’application PC mark pour mesurer l’endurance du smartphone. Le test a d’abord été réalisé avec une luminosité d’affichage ajustée à 250 nits, et en mode 60 Hz. Dans ces conditions, le Galaxy A17 5G a fonctionné pendant 11 heures et 21 minutes.
Ce résultat est loin d’être extraordinaire. Pour preuve, les Realme P3 et Honor 400 Lite ont fait tourner le test respectivement pendant 16 heures et 11 minutes et 15 heures et 42 minutes.
Et si on relance le test, mais cette fois avec le taux de rafraichissement élevé (soit 90 Hz), l’autonomie passe à seulement 9 heures et 51 minutes.

L’autonomie du Galaxy A17 5G en streaming vidéo est meilleure, tout en restant inférieures aux résultats obtenus avec les concurrents de Samsung. Ainsi, en lisant un film en Wi-Fi sur Netflix, le niveau de la batterie est passé de 100 % à 68 % après 6 heures de streaming.
On peut donc envisager un peu moins de 19 heures d’autonomie au total (18 heures et 45 minutes). Et même si cela correspond à ce qui est annoncé par le constructeur, ce résultat se situe encore dans la moyenne basse.

Terminons ce test en précisant que la charge filaire peut être réalisée avec un adaptateur secteur d’une puissance de 25 W. Lors de notre test, nous avons utilisé un modèle Samsung de 45 W et nous avons observé les niveau de recharge suivants :
- 54 % en 30 minutes
- 76 % en 45 minutes
- 93 % en une heure.
Précisons d’ailleurs que le Galaxy A36 supporte, pour sa part, une charge filaire avec une puissance de 45 W, ce qui a permis de recharger sa batterie (de 5000 mAh également) un peu plus rapidement :
- 68 % en 30 minutes
- 89 % en 45 minutes
- 96 % en une heure

Moralité, dans le cas de Samsung, il ne faut pas trop se fier à la puissance de l’adaptateur. Car, malgré la faible valeur indiquée, la recharge du Galaxy A17 5G s’effectue plutôt rapidement ! Mais, pour cela, il faut impérativement utiliser un chargeur Samsung.
Et comme ce dernier n’est plus fourni – depuis longtemps – avec le smartphone, il faut se le procurer, par exemple sur le site du constructeur, pour 39,90 €.

Prix et date de sortie
Le Samsung Galaxy A17 5G est proposé en une seule version, dotée de 4 Go de mémoire et de 128 Go d’espace de stockage. Celle-ci est commercialisée à 229 €.
Le smartphone est disponible en trois coloris : bleu, gris et noir.
Une version 4G du Galaxy A17, encore plus abordable, devrait arriver dans les prochaines semaines.

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