Test du Xiaomi Redmi 15 5G : la meilleure autonomie pour 200 euros

Smartphones • 2025

Xiaomi renouvelle son segment d'entrée de gamme avec un Redmi 15 commercialisé à moins de 250 euros et pourtant disposant d’un grand écran de 6,9 pouces et surtout d’une batterie de 7000 mAh qui peut faire la différence…
Xiaomi Redmi 15 (7)
 

Fin août 2025, Xiaomi officialisait ses nouveaux Redmi 15C et Redmi 15 (4G et 5G), deux smartphones d’entrée de gamme qui se positionnent juste sous le Redmi Note 15. Ce qui permet à la marque de proposer une famille de smartphones accessible et complète.

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Nous avons donc testé le Redmi 15 5G, qui se positionne à 223 euros, un tarif alléchant surtout quand nous savons que le mobile embarque une batterie de 7000 mAh !

Fiche technique

Modèle Xiaomi Redmi 15
Dimensions 82,05 mm x 171,08 mm x 8,55 mm
Interface constructeur HyperOS
Taille de l’écran 6,9 pouces
Définition 2340 x 1080 pixels
Densité de pixels 374 ppp
Technologie LCD
SoC Qualcomm Snapdragon 685
Puce graphique Adreno 610
Stockage interne 128, 256 Go
Appareil photo (dorsal) Capteur 1 : 50 Mp
Capteur photo frontal 8 Mp
Définition enregistrement vidéo 1080p @ 30 fps
Wi-fi Wi-Fi 5 (ac)
Bluetooth 5.0
5G Non
NFC Oui
Capteur d’empreintes latéral
Capacité de la batterie 7000 mAh
Poids 224 g
Couleurs Noir, Violet, Gris
Fiche produit

Design

Avant de parler du design du Redmi 15, il faut prendre le temps de préciser ses dimensions. En effet, nous sommes proches d’une phablette avec une diagonale d’écran de 6,9 pouces. Il affiche donc des dimensions de 171,08 × 82,05 × 8,55 mm. Nous sommes donc face à un grand modèle, mais heureusement il n’est pas trop épais et son poids n’est pas excessif : 224 g sur la balance.

La face avant reste très classique, avec des lignes épurées, des bordures visibles, mais pas excessives (l’écran occupe 85,7% de la surface). Nous avons un poinçon central en haut de l’écran pour la caméra selfie.

Si la face avant est totalement plate, le dos l’est tout autant, mais avec des bords légèrement courbés. La surface est agréable au toucher, légèrement satinée et, à la différence de l’écran, le dos a le bon goût de ne pas trop garder les traces de doigts.

Le Redmi 15 se décline en vert, gris et noir, avec une mention spéciale pour le premier coloris, qui affiche également une surface légèrement marbrée.

Le bloc optique est de belle taille, encapsulé dans une surface effet métal totalement lisse. Visuellement, l’effet est réussi : nous avons un dos esthétique. En revanche, posé à plat, il crée un réel déséquilibre. Il est possible de l’utiliser en restant dans la zone du clavier virtuel ; si vous montez plus haut, l’appareil devient trop instable.

Les tranches sont totalement plates et plutôt confortables. Sur la tranche droite, nous avons les boutons dédiés à la mise en marche et au volume. Ils sont bien placés, ni trop hauts ni trop bas, tant que vous avez de grandes ou moyennes mains. Toutefois, même dans ce cas, un usage à deux mains sera plus confortable et précis au quotidien.

Sur la tranche basse, nous avons le port de charge USB-C et les sorties pour l’unique haut-parleur embarqué.

Xiaomi délivre ici un produit joliment conçu et assemblé avec soin. Il est certifié IP64, nous savons donc qu’il est capable de résister aux éclaboussures ou à une pluie légère. En revanche, nous n’avons pas d’indication sur le niveau de protection de l’écran.

Écran

Xiaomi dégaine ici un grand écran LCD avec une définition de 2340 × 1080 pixels sur une diagonale de 6,9 pouces. Résultat : une densité de 374 ppp (pixels par pouce), suffisante pour offrir un affichage avec une jolie finesse. La fréquence de rafraîchissement varie entre 60 et 144 Hz.

Pour juger du rendu de l’écran, nous avons utilisé notre sonde Calibrite Display Pro HL et du logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Displays. Nous mesurons un Delta E moyen de 3,29, un peu au-dessus du seuil de référence fixé à 3.

La température de couleur est un peu trop froide : 7112 K contre 6500 K attendus, ce qui entraîne une légère dérive vers les bleus. Un point surtout visible sur les fonds blancs.

Le contraste atteint 1315:1, correct pour une dalle LCD, mais en retrait face à certains concurrents comme le TCL 60 SE Enix Paper, qui monte à 1984:1. Quant à la couverture colorimétrique, elle est modeste avec 132 % du BT.709, 89 % du DCI-P3 et 50 % du BT.2020. Ce n’est pas spectaculaire, mais on reste dans une fourchette honnête pour un smartphone d’entrée de gamme.

Enfin, nous avons mesuré une luminosité maximale de 709 nits en SDR et 736 nits en HDR. C’est suffisant pour un usage confortable en intérieur ou en extérieur par temps couvert. En plein soleil, l’expérience est moins agréable. Ce niveau de luminosité, associé à son taux de contraste, ne permet pas de profiter pleinement des contenus HDR, même dans le noir complet.

Performances

Le Xiaomi Redmi 15 embarque un SoC Snapdragon 685 gravé en 6 nm. Il s’agit d’une puce octa-core épaulée par 8 Go de RAM LPDDR4X, un GPU Adreno 619 et 256 Go de stockage en UFS 2.2, extensible via microSD. Comme vous pouvez le constater sur notre graphique, dans cette tranche de prix, tous les modèles se tiennent dans un mouchoir de poche. Avec ses prestations solides, le Xiaomi Redmi 15 ne sort pas du lot, mais sait tenir son rang.

Moyennes normalisées de différents benchmarks.

À l’usage, Android tourne bien. L’interface est fluide, les applications s’ouvrent sans lenteur excessive. Cependant, des micro-lags apparaissent régulièrement. Ce smartphone reste suffisant pour les tâches du quotidien comme la navigation, le streaming, les réseaux sociaux… Pas question en revanche de faire de la retouche lourde ou du montage 4K. Le processeur n’a pas la puissance brute pour encaisser ce type d’activité sans broncher.

En jeu, nous avons testé Fortnite. En qualité moyenne, le framerate tente de rester autour de 30 fps, mais il est plutôt autour de 20 fps et chute régulièrement entre 7 et 10 fps, même sans action soutenue. En passant en qualité faible, la stabilité est meilleure : Fortnite atteint les 30 fps, mais en action nous oscillons plutôt entre 20 et 30 fps, et les chutes sous 20 fps ne sont pas rares.

Vous l’aurez deviné, pour les gros jeux 3D, passez votre chemin. Pour du jeu occasionnel ou des titres 2D, c’est jouable. Et, vu le tarif conseillé de 223 €, difficile d’en demander plus.

Par contre, très bon point : même en usage intensif, le CPU n’est jamais trop bridé. À part à quelques rares moments, les performances sont toujours stables et le smartphone ne chauffe jamais trop.

Logiciel

Le Xiaomi Redmi 15 embarque Android 15 avec HyperOS 2. Un duo efficace, qui permet une personnalisation poussée. Thèmes, icônes, mais aussi polices : chacun peut adapter son interface à ses goûts.

Côté fonctionnalités, l’ensemble est complet pour cette gamme de prix. En revanche, sur l’intelligence artificielle, Xiaomi se contente du strict minimum, nous avons droit à Gemini et Circle to Search. Néanmoins, à ce niveau de tarif, les options IA avancées restent rares sur smartphone.

Bonne surprise au premier démarrage : vous pouvez choisir les applis à installer. Un passage essentiel. Sinon, vous vous retrouvez avec une avalanche de pourriciels et de notifications publicitaires. Reste que malgré cela, Xiaomi installe une petite dizaine de pourriciels que vous devrez désinstaller manuellement si besoin.

Enfin, sur les mises à jour, Xiaomi annonce 4 ans de suivi Android et 6 années de correctifs de sécurité. Une durée correcte pour un smartphone à moins de 250 euros. .

Photo

Le bloc optique encapsule deux objectifs :

  • Un grand angle de 50 Mpx avec une ouverture de f/1,8 ;
  • Un capteur auxiliaire IA dont nous n’avons pas les données techniques.

Sur le papier, nous avons donc un appareil photo grand-angle, capable d’atteindre un zoom numérique jusqu’à 10x. À ce niveau de prix, nous n’attendions pas vraiment de téléobjectif, même si des concurrents comme le Realme C67 en proposent un, tout en étant une poignée d’euros moins chers.

Grand-angle

Dans de bonnes conditions de luminosité, le Xiaomi Redmi 15 s’en sort avec les honneurs et délivre des images correctes. La colorimétrie reste naturelle, mais manque de peps. Les clichés sont souvent un peu sous-exposés, donnant un rendu légèrement terne. Le niveau de détail est honnête dans l’ensemble. Toutefois, les détails fins, comme les pistils d’une fleur, disparaissent vite. Le bruit numérique est discret, mais présent, et il nuit aux micro-détails.

Cela pénalise surtout les textures fines ; celles plus grossières, comme la pierre, s’en sortent mieux. Le contraste est assez progressif, mais manque de finesse. En contre-jour, nous observons souvent des reflets parasites liés à la position du soleil, sans oublier une tendance à la surexposition.

Le Xiaomi Redmi 15 n’est pas le plus à l’aise en mode nuit. En effet, il peut se débrouiller dans des environnements avec un fort éclairage urbain, comme les photos le montrent ci-dessous (la gare ou le pont). Nous obtenons alors une image acceptable, mais, même en restant sur l’écran du smartphone, nous pouvons remarquer un bruit numérique assez présent.

Quand le renfort lumineux n’est plus assez puissant, le niveau de détail s’écroule complètement, le bruit numérique est omniprésent. De plus, la colorimétrie, relativement naturelle quand la lumière est bonne, a rapidement tendance ici à dériver vers l’orange dans le cas inverse. Le mode nuit est à utiliser vraiment dans de bonnes conditions, sinon évitez de perdre du temps. Dernier bémol, il faut vraiment être stable lors de la prise de vue, sinon il n’est pas rare d’avoir des photos floues.

Portrait

Les portraits nous ont agréablement surpris. Le détourage est propre, même sur des zones complexes comme une casquette surexposée.

La colorimétrie reprend les défauts déjà vus en grand-angle. Elle est plutôt juste, mais un peu trop sage, même en pleine lumière. Nous retrouvons aussi cette légère sous-exposition, probablement liée à une gestion hésitante des hautes lumières.

Dans une scène un peu moins bien éclairée, les portraits restent propres. Les micro-détails sont bien capturés… tant que l’on ne zoome pas dans l’image. Sinon, nous remarquons très vite que le bruit numérique s’invite et brouille les détails fins. Les textures, comme une veste ou une barbe, perdent alors en définition. Quant à l’effet bokeh, il est propre, mais mieux géré et plus progressif quand l’environnement est lumineux.

Zoom

Nous devons nous contenter ici d’un zoom purement numérique, allant de x2 à x10. Dès x2, le profil colorimétrique change légèrement, les tons paraissent plus pâles que ceux du capteur principal. La perte de qualité reste mesurée, mais suffisante, par exemple, pour rendre difficile la lecture des inscriptions sur le panneau en photo. Toutefois, l’image reste cohérente et vraiment exploitable.

Grand-angle
Zoom x2

Passons au zoom x4. Là, la dégradation du niveau de détail est visible. Le bruit numérique s’installe doucement, et les détails deviennent bien moins précis, comme les trèfles au bas de l’image. La colorimétrie évolue encore, plus claire, moins pastel, mais sans rupture excessive.

Zoom x2
Zoom x4

Au-delà, en x8 et x10, seuls des clichés pris dans d’excellentes conditions lumineuses peuvent encore sauver les meubles.

Sinon, les détails s’effondrent, mais le Redmi 15 conserve toutefois une certaine cohérence malgré ses limitations.

Comme vous l’avez déjà constaté, le capteur principal n’est pas le plus à l’aise avec le mode nuit. Et, comme vous le devinerez sans aucune difficulté, c’est également le cas quand nous utilisons le zoom numérique.

Grand angle mode nuit
Zoom x2 mode nuit

Ainsi, sur une place de marché disposant d’un bon éclairage urbain, nous constatons rapidement la présence de bruit numérique, accompagnée d’un lissage assez fort.

Quand nous passons au zoom x4, tous ces défauts sont accentués. Et si, par exemple, l’inscription sur le mur reste parfaitement visible et lisible, nous pouvons constater que le bruit numérique et le lissage empêchent vraiment d’apprécier le rendu, trop artificiel et peu agréable.

Selfie

Le capteur selfie est sans doute la meilleure surprise de ce Redmi 15. Le détourage s’en sort très bien : les erreurs sont rares, même dans des zones complexes. Il faut vraiment avoir une tignasse sauvage pour le mettre en défaut. Côté netteté, le piqué est clairement meilleur qu’avec le capteur arrière. Les poils de la barbe ressortent correctement, avec un lissage numérique présent, mais pas trop agressif : il gomme les pores, mais sans effacer complètement la texture de la peau.

Les micro-détails sont là, mais manquent parfois de précision. Cela se voit sur les tissus avec une veste ici qui manque un peu de relief dans les textures. L’effet bokeh, lui, est maîtrisé, et évite le piège du flou excessif. Très bon point aussi pour la colorimétrie : elle est un peu plus sombre qu’elle ne le devrait, mais le rendu reste naturel. Mieux, la carnation est plutôt juste, ce n’est pas parfait, mais c’est déjà largement au-dessus de la moyenne pour ce segment de prix.

Audio

L’unique haut-parleur du Redmi 15C est vaillant, mais difficile de lui attribuer d’autres qualificatifs. Le rendu sonore privilégie clairement les médiums. Les basses brillent par leur absence. Quant aux aigus, ils sont souvent criards et deviennent désagréables à haut volume.

La saturation se manifeste rapidement dès que le niveau sonore grimpe. Ce haut-parleur s’utilise avec parcimonie. Et cette expérience audio fait d’autant plus regretter l’absence d’un port jack. Certes, un casque Bluetooth reste utilisable, mais la frustration demeure.

Réseau et communication

Le Redmi 15 supporte l’ensemble des fréquences 4G et 5G disponibles en France. Il permet d’utiliser deux SIM ou une SIM et une carte microSD. Niveau géolocalisation, la fonction est assurée par les technologies GPS, Beidou, Galileo et GLONASS. En sus, la technologie NFC est supportée, tout comme le Bluetooth 5.1 et le Wi-Fi 6.

Batterie

Avec 7000 mAh sur la balance, à moins de 300 euros, peu de smartphones affichent une telle capacité. Lors du test de batterie PCMark, le Redmi 15C atteint 17h56, un score excellent. Et dans les usages réels, le smartphone tient ses promesses. En usage mixte (navigation web, réseaux sociaux, photo, streaming, un peu de jeu), il peut tenir sans forcer une journée et demie, voire deux jours.

En usage plus intensif, il reste capable de dépasser une journée complète sans passer par la case recharge. En streaming, luminosité à 250 nits et volume à 50, vous devriez pouvoir enchaîner presque 27 heures de visionnage si l’envie vous prend de binger à l’excès.

La recharge rapide 33W est bien de la partie. Le test a permis d’atteindre 6 % en 5 minutes, 19 % en 15 minutes, puis 50 % en moins de 50 minutes. La recharge complète demande entre 1h30 et 1h40, selon les conditions. Rien d’exceptionnel, mais parfaitement cohérent vu la capacité.

Prix et disponibilité

Le Xiaomi Redmi 15 se décline en vert, bleu et noir et est commercialisé au prix de 223 euros dans une unique configuration de 8 Go + 256 Go.

Notre avis sur Le Xiaomi Redmi 15

Design
8
Le Redmi 15 ne brille pas par son originalité. Sa conception est propre, mais reste très classique. Le redesign du bloc photo, passé d’un format carré à rectangulaire, mérite d’être souligné. Pour le reste, la fabrication est sérieuse, et la certification IP64 reste un atout toujours appréciable.
Écran / affichage
7
Côté écran, difficile de faire la fine bouche à ce tarif. Pour moins de 250 euros, l’écran LCD propose une colorimétrie correcte, un affichage fin et agréable. Malheureusement, la luminosité reste en retrait, trop juste pour un usage confortable en plein soleil ou en extérieur lumineux.
Photo
6
En photo, le capteur principal fait le travail, tant que la lumière ne manque pas. La colorimétrie est un peu sombre, mais les clichés restent propres et plutôt détaillés. Une fois la luminosité en baisse, le bruit numérique s’installe et le lissage excessif dégrade nettement l’image. De nuit, le résultat devient très limite.
Performances
6
Sur les performances, la fiche technique ne laissait pas espérer de miracles. Cela se confirme à l’usage. Le Redmi 15 reste globalement fluide et réactif pour les tâches courantes, mais les ralentissements et saccades sont fréquents dès que la charge augmente. Inutile d’envisager une utilisation confortable sur des jeux 3D récents ou des applis lourdes comme l’encodage vidéo ou la retouche photo avancée.
Logiciel
6
Côté logiciel, HyperOS sous Android 15 tourne de manière stable. La fluidité est correcte, les options de personnalisation nombreuses, mais aucun traitement IA avancé à l’horizon. De plus, comme souvent nous avons droit à notre lot de pourriciels préinstallés, souvent à désinstaller.
Autonomie
8
L’autonomie reste l’un des gros atouts. Deux jours d’usage sont atteignables sans forcer, et avec un peu d’économie, la durée peut encore s’allonger. En usage intensif, il devrait tenir la journée et la soirée. Dommage que la recharge rapide 33 W manque un peu de vélocité pour une batterie de cette taille.
Note finale du test
7 /10
Pour moins de 250 euros, Xiaomi tient ses promesses. Le Redmi 15 mise sur un grand écran, plutôt bien calibré, malgré une luminosité un peu juste. Les performances sont à la hauteur pour un usage quotidien, tant que vos attentes restent modérées en matière de réactivité. Côté photo, les résultats sont honorables. Ce n’est pas le meilleur à ce niveau de prix, mais il soutient la comparaison avec les concurrents. Le véritable atout reste l’autonomie. En usage classique, le smartphone peut facilement tenir plus d'une journée. Avec un profil plus économe, la durée grimpe encore. Il affiche même jusqu’à 27 heures de streaming vidéo en continu. S’il manque parfois de souffle, l’endurance reste bien présente.

Points positifs du Xiaomi Redmi 15

  • Un design et une conception soignée

  • Son excellente autonomie

  • Écran de grande taille

Points négatifs du Xiaomi Redmi 15

  • Un format imposant

  • Une puissance juste honorable

  • Luminosité de l'écran

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