Le LG CineBeam S est un vidéoprojecteur à ultra-courte focale affichant une définition Ultra HD 4K de 3840 x 2160 pixels, soutenu par une technologie triple laser RGB pour une image dynamique et une grande fidélité colorimétrique. Ce modèle a la particularité de pouvoir projeter une image de 100 pouces à moins de 40 cm du mur grâce à son ratio ultra-court de 0,25, ce qui le rend parfaitement adapté aux espaces réduits.
LG insiste d’ailleurs sur la flexibilité de cet appareil pensé autant pour les usages occasionnels que pour être laissé en évidence dans le salon. En effet, son encombrement est vraiment minimal – tout juste 1,9 kg et des dimensions de 16 x 16 x 11 cm – ce qui en fait l’un des vidéoprojecteurs les plus facilement transportables dans sa catégorie.
Pour aller plus loin
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Parmi ses concurrents directs figurent le Thomson Sirius, le Optoma Photon Go (deux modèles extrêmement similaires), le Acer PD1520Us ou le Samsung The Premiere 5, proposant, pour ces derniers, une image Full HD, chacun avec des technologies de projection LED ou laser.
Pour aider à l’installation : correction automatique du trapèze et de la mise au point, ajustements intelligents en fonction de la couleur du mur et pour la partie vidéo : compatibilité HDR10 et mode Filmmaker à bord. Notez également la possibilité de diffusion sans fil grâce à AirPlay 2, Miracast, Bluetooth ou Wi-Fi, sans oublier l’audio Dolby Atmos embarqué et l’accès natif à toutes les plateformes de streaming via webOS24.
Avec une luminosité plafonnant à 500 lumens ANSI, le CineBeam S trouve ses conditions idéales dans une pièce peu ou pas éclairée – il ne s’adresse pas vraiment à ceux qui cherchent une solution universelle pour lutter contre la lumière ambiante, comme certains modèles plus volumineux et plus puissants. Mais son créneau est ailleurs : faire la synthèse entre qualité d’image, mobilité, interface moderne et encombrement minime, défi relevé parmi les mini-vidéoprojecteurs sur le marché actuel.
LG CineBeam SFiche technique
| Modèle | LG CineBeam S |
|---|---|
| Dimensions | 110 mm x 160 mm x 160 mm |
| Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
| Taille de l’écran | 100 pouces |
| Compatible HDR | HDR10 |
| Ports HDMI | 1 |
| Compatible Surround | Dolby Atmos |
| Nombre de haut-parleurs | 2 |
| Puissance des haut-parleurs | 8 watts |
| Sortie audio | Haut-parleurs |
| Système d’exploitation (OS) | webOS |
| Fiche produit |
Conditions du test
Le vidéoprojecteur LG CineBeam S testé nous a été prêté par la marque. Il a été évalué en association avec un écran Lumene Movie Palace UHD Platinum 300C, un modèle spécialement conçu pour les vidéoprojecteurs Home Cinéma. Les mesures ont été réalisées avec du matériel professionnel adapté et en face de l’écran afin de limiter les erreurs et de proposer des valeurs en accord avec ce que le spectateur peut réellement voir. Ce protocole est identique pour tous les tests de vidéoprojecteurs ultra-courte focale afin de pouvoir les comparer.
LG CineBeam SDesign, la carte du minimaliste
Côté design, le LG CineBeam S joue la carte du minimalisme pur, à rebours des vidéoprojecteurs encombrants, tout en assumant une identité premium discrète. Son châssis, d’une finition métallique argentée particulièrement soignée, s’intègre sans difficulté dans n’importe quel environnement domestique. Rappelons que le modèle CineBeam Q, un vidéoprojecteur à focale classique, profite également d’un design particulièrement abouti.

Le format compact (160 x 160 x 110 mm, 1,9 kg) permet de le déplacer sans effort. Ici, pas de ventilation ostentatoire ni d’élément superflu : chaque surface, chaque orifice a une fonction précise, ce qui contribue à la sensation d’avoir un objet technologique haut de gamme et ergonomique.
Le choix des matériaux participe aussi à cette impression de sérieux, la surface supérieure légèrement brossée résistant plutôt bien aux traces de doigts, même après de nombreuses manipulations lors de nos tests.

LG a opté pour une présentation neutre, presque intemporelle, qui permet de poser le projecteur en évidence ou, au contraire, de le dissimuler facilement en fonction des situations. L’absence de cache pour l’optique, regrettée sur d’autres modèles, se fait moins sentir vu la simplicité d’accès à la lentille, qui reste assez protégée lors des déplacements. Adoptant de petits patins antidérapants, le CineBeam S s’installe aisément sur n’importe quelle surface, compensant d’éventuels déséquilibres ou irrégularités grâce à ces éléments bien pensés.

LG CineBeam SConnectiques
La connectique du LG CineBeam S va à l’essentiel, mais elle révèle tout de même quelques atouts. À l’arrière, l’appareil propose une unique entrée HDMI 2.1 compatible eARC, ce qui permet de raccorder en priorité une barre de son pour profiter d’un rendu audio optimisé en Dolby Atmos. Deux ports USB Type-C sont également présents, destinés à l’alimentation ou à la diffusion multimédia depuis des supports compatibles.

Ce choix minimaliste rappelle celui des concurrents. Ce parti-pris est tempéré par la puissance du module sans-fil intégré, qui offre la compatibilité avec AirPlay 2, Miracast, Bluetooth et Wi-Fi. Ces options permettent de projeter facilement du contenu en provenance de la grande majorité des appareils récents, qu’ils soient sous Android, iOS, Windows ou macOS.
Le port HDMI 2.1 est parfaitement adapté pour transmettre du contenu Ultra HD 4K à 60 Hz, et il autorise le retour audio pour des équipements sonores externes. En pratique, lors du test, la stabilité des flux sans-fil s’est révélée très satisfaisante, aussi bien pour de la diffusion en streaming que pour des séances de gaming en réseau local à partir d’un smartphone ou d’un PC portable.
La télécommande
Le LG CineBeam S est fourni avec une télécommande compacte et intuitive qui privilégie une prise en main rapide. Sa finition mate lui permet de bien résister à l’usure, chaque bouton tombant naturellement sous le doigt, même dans le noir grâce à un léger relief différenciant les commandes principales. Vous l’avez compris, elle n’est malheureusement pas rétroéclairée. Contrairement aux télécommandes livrées avec les TV et à l’image de celle accompagnant le CineBeam Q, celle-ci ne profite pas du système gyroscopique pourtant si pratique. Dommage.

Pour la navigation, on passe par la roue directionnelle et chaque choix est validé par le bouton central. En outre, on bénéficie de touches d’accès direct aux plateformes de streaming telles que Netflix, Prime Video, Rakuten TV, Disney+ ou LG Channels, ainsi que de boutons annexes pour le volume ou les réglages rapides. Alimentée par une pile bouton, elle ne propose pas de batterie rechargeable ou de capteur solaire.
Uniquement infrarouge, il faut pointer l’appareil pour obtenir une réponse.
LG CineBeam SL’écran
Le vidéoprojecteur LG CineBeam S est livré sans écran, appartenant à la gamme des produits pensés pour laisser le choix à l’utilisateur, contrairement à certaines offres qui intègrent d’office un écran de 100 ou 120 pouces. Cela garantit une totale liberté, mais signifie que la qualité d’image dépendra aussi beaucoup de la surface de projection. Il sera donc toujours préférable d’investir dans un écran adapté, avec une surface optimisée pour les projecteurs ultra-courte focale afin de profiter pleinement de la précision et du contraste offerts par le CineBeam S. Les utilisateurs au budget restreint pourront à la rigueur se contenter d’un mur clair, mais la finesse du projecteur mérite mieux pour révéler tout son potentiel.
LG CineBeam SInstallation, très proche du mur ou de l’écran
Installer le LG CineBeam S ne requiert aucune compétence technique particulière et se fait en quelques étapes. Placé à une dizaine de centimètres du mur, il est capable de projeter une image de 40 à 100 pouces en diagonale, ce qui offre une grande souplesse selon la configuration de la pièce.

La correction du trapèze et la mise au point sont entièrement automatiques, alors qu’un ajustement manuel peut être effectué via les menus pour peaufiner la précision dans les coins ou retoucher l’alignement. Pour obtenir une image de 100 pouces en diagonale, comptez sur un recul de 38 cm tout de même. Prévoyez donc un meuble d’un minimum de 54 cm de profondeur en prenant en compte la dimension du vidéoprojecteur.
Le système d’ajustement automatique de la projection adapte aussi bien la taille que la géométrie de l’image, ce qui évite les efforts fastidieux pour caler le projecteur au millimètre. LG fournit un guide logiciel pour aider à la mise en service, même sur des surfaces irrégulières ou colorées, grâce à une fonctionnalité de compensation de la couleur du mur intégrée dans le menu.
En outre, les patins réglables permettent de compenser aisément les défauts de planéité d’un meuble ou d’une table, et la légèreté de l’appareil permet de le déplacer à volonté d’une pièce à l’autre.
LG CineBeam SL’image en mode subjectif
Le LG CineBeam S repose sur une technologie DLP à triple laser RGB, ce qui lui permet de couvrir en théorie largement l’espace colorimétrique DCI-P3. Tous les concurrents, à l’exception du Acer PD1520Us (LED) proposent la même source de lumière. Mais là où le CineBeam S fait la différence, c’est sur la définition 4K Ultra HD qui est ici présente. Tous les autres sont Full HD sauf le JMGO O2S Ultra qui, comme le vidéoprojecteur LG propose une image Ultra HD simulée mais une luminosité très nettement supérieure. Allumé, on peut constater une image extrêmement nette, même sur les détails très fins des scènes sombres ou fortement contrastées.

Selon les contenus projetés, que ce soit des films ou séries en streaming HDR, des Blu-ray 4K ou même des diffusions en direct, l’impression générale est celle d’une grande dynamique visuelle et d’une précision rarement vue sur un appareil aussi compact.
À l’usage, le mode Filmmaker s’impose naturellement comme le plus équilibré pour respecter l’intention artistique, même si le projecteur offre également des modes Vif, Standard, Basique, Cinéma, Sport, Optimiseur de jeu, Mode écran mur, Mode le plus lumineux, Expert (pièce lumineuse) et Expert (pièce sombre) pour les contenus SDR.
En HDR, on a droit à : Vif, Standard, Basique, Accueil Cinéma, Cinéma, Filmmaker, Optimiseur de Jeu, Mode le plus lumineux et Mode écran mur. Ces réglages s’avèrent efficaces : ils modulent la saturation, la relative chaleur des couleurs et le contraste selon l’ambiance lumineuse et la nature du flux.

Durant ces séquences de test, les ombres conservent de la texture, les zones claires ne brûlent jamais, et l’ensemble restitue aussi bien des paysages lumineux que des scènes nocturnes complexes. On perçoit une grande homogénéité dans la diffusion, une absence de contour trop marqué qui pourrait trahir le rendu numérique, ce qui favorise une immersion naturelle.
Même lors de projections en streaming ou via Blu-ray, la restitution subjectivement douce et le bon piqué évoquent les meilleures TV OLED du marché tout en gardant une identité propre au projecteur laser. Les nuances de couleur, très larges, permettent à chaque contenu d’avoir une personnalité : animation, blockbusters, séries, documentaires, chacun tire profit de cette richesse.

Toutefois, il faut garder à l’esprit que le meilleur de ce projecteur s’exprime dans une pièce assez sombre, situation dans laquelle la sensation de contraste et de profondeur atteint son apogée, alors qu’en pleine journée même avec volets entrouverts, le rendu perd sensiblement en impact, ce qui est la contrepartie inévitable de son format mini et de sa luminosité relativement faible.
Notez sur ce point que la concurrence ne fait pas beaucoup mieux avec 500 Lumens pour le Acer PD1520Us tout comme le Samsung The Premiere 5 alors que les Photon Go de Optoma et Sirius de Thomson revendiquent respectivement 650 et 600 Lumens. Seul le JMGO O2S Ultra propose beaucoup mieux avec une luminosité annoncée à 3600 Lumens pour un peu plus de deux fois le prix du LG (ou du Samsung).

La compensation des mouvements
Le LG CineBeam S bénéficie d’un traitement de compensation des mouvements, ce qui lui permet de très bien fluidifier les séquences rapides : le sport, les jeux vidéo ou les films d’action s’affichent sans déchirures et avec un minimum d’artefacts. Les scènes panoramiques paraissent naturelles, un avantage certain pour les fans de contenus dynamiques qui souhaitent éviter l’effet « saccade » parfois présent sur les contenus 24p. Dans la majorité des cas observés, le traitement s’est montré efficace sans générer d’effet de soap opera excessif. L’équilibre est donc respecté entre fluidité et sensation cinéma authentique.

L’effet arc-en-ciel
La technologie DLP à triple laser du CineBeam S limite de façon notable l’effet arc-en-ciel, phénomène fréquent sur les projecteurs DLP d’entrée ou milieu de gamme. Durant de longues heures de test, y compris sur des contenus comportant des sous-titres blancs sur fond sombre, il n’a pas été remarqué d’apparition sensible de ces petits flashes colorés disgracieux. Toutefois, cette technologie n’est jamais totalement exempte de ce genre d’effet sur les sujets particulièrement sensibles, il présente quelques rares épisodes, notamment sur des scènes très contrastées. Cela reste pourtant très occasionnel et ne gênera que les spectateurs les plus sensibles à ce phénomène.
LG CineBeam SNos mesures, sondes à l’appui
Nous avons passé le vidéoprojecteur CineBeam S sous nos sondes. Nous avons sélectionné le mode Filmmaker pour les mesures. Ainsi, nous avons pu mesurer un taux de contraste de 893:1, ce qui est correct pour ce type d’appareil, mais peu élevé malgré tout. La température de couleur moyenne mesurée est de 8119 K avec d’importantes dérives chromatiques (la valeur idéale étant de 6500 K). Le gamma moyen a été relevé à 2,02 offrant un suivi relatif par rapport à la courbe de référence.
Les images sont trop peu lumineuses par rapport à ce qu’elles devraient être dès que l’on dépasse les 20%. Concernant la fidélité des couleurs, là aussi en mode Filmmaker, le Delta E moyen a été relevé à 6,19 donc nettement supérieur au seuil de 3. Cela se traduit par des couleurs qui sont beaucoup trop saturées à l’écran.

Pour les contenus HDR, rappelons que l’appareil ne supporte pas le HDR10+ ni le Dolby Vision, seulement le HDR10, sans optimisation dynamique de la luminosité des médias.
Pour les contenus en HDR, nous avons utilisé le mode Filmmaker. Avec celui-ci, la fidélité des couleurs n’est toujours pas optimale, car nous avons relevé un Delta E moyen de 6,43, encore supérieur au seuil de 3.
Face à l’écran Lumene utilisé pour tous nos tests, nous avons mesuré un pic de luminosité de 60 cd/m² (rapporté au gain de l’écran à 0,5), ce qui est particulièrement faible, mais un peu mieux que le Optoma Photon Go, par exemple. Nous conseillons donc vivement d’utiliser ce vidéoprojecteur dans des environnements les plus sombres possibles. Cela correspond à une luminosité de 516 lumens pour une image qui fait 100 pouces en diagonale. Comme on peut le voir sur les graphiques ci-dessous, les courbes de référence ne sont pas bien suivies, signifiant qu’une phase de calibration et donc la modification de plusieurs paramètres dans les menus Image permettant d’obtenir mieux.

Comme on peut le voir sur le graphique ci-dessous, le vidéoprojecteur arrive à proposer quasiment la même luminosité, quelle que soit la taille de la mire.

Enfin, pour les couvertures des espaces colorimétriques rec709, DCI-P3 et BT2020, nous avons obtenu des valeurs étonnamment excellentes avec respectivement 98,90 %, 114,24 % et un très bon 96,30 %.

LG CineBeam SGaming, on peut jouer avec
Conçu aussi comme solution de jeu d’appoint ou de remplacement de TV pour une chambre ou un bureau, le LG CineBeam S répond présent à la plupart des usages gaming grâce à son mode Jeu dédié. Ce dernier réduit notablement l’input lag et optimise la colorimétrie pour les environnements interactifs. Lors de connexions de consoles classiques (Switch, PlayStation, Xbox), la réactivité s’est révélée satisfaisante, même pour des jeux d’action où le temps de réponse reste un critère.

La compatibilité HDMI 2.1 eARC autorise aussi la connexion facile à une barre de son ou un système audio maison, gage d’immersion accrue, même si l’on constate que le projecteur n’est pas pensé pour la performance extrême en compétition, la luminosité et la latence restant orientées vers un usage familial ou occasionnel. En effet, nous avons relevé un temps de retard à l’affichage de 50,5 ms soit un peu plus de 3 images de retard entre le moment où l’on appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran.

Malgré tout, sur PC ou console next-gen, l’image projetée conserve une grande lisibilité grâce à la définition Ultra HD, et la gestion automatique du mode gaming fluidifie l’expérience, même dans des titres plus exigeants. À noter en revanche que le projecteur, par son format ultra compact et la limitation de luminosité, n’est pas idéal pour les grandes sessions gaming en plein jour ou pour des usages à visée professionnelle, mais il apporte une alternative convaincante pour le casual gamer souhaitant se faire plaisir sur grand écran sans installation lourde ni coût d’énergie démesuré.
LG CineBeam SAudio : pas fou mais il fait le job
L’audio du CineBeam S se compose de deux haut-parleurs stéréo compatibles Dolby Atmos délivrant chacun 4 W, une puissance certes modérée, mais suffisante pour sonoriser sans distorsion dans un salon de petite taille ou pour une projection rapide dans une chambre ou un bureau. Lors des tests, le rendu s’est montré relativement intéressant du point de vue de son équilibre : les dialogues restent toujours clairs, les effets sont bien localisés dans l’espace, et la spatialisation, même si très limitée par rapport à une barre de son externe, offre quelque chose de cohérent.

En revanche, il ne faut pas s’attendre à des graves puissants ou à une extension exceptionnelle dans les basses fréquences, la compacité du châssis limitant nécessairement le volume des transducteurs. Pour un son plus immersif, nous recommandons vivement d’utiliser la sortie eARC.
LG CineBeam SL’interface, un système complet et réactif
Le CineBeam S profite de webOS 24, la dernière version du système d’exploitation maison inspirée des téléviseurs connectés LG. La page d’accueil met en avant un bandeau regroupant toutes les principales applications de streaming (Netflix, Prime Video, Disney+, YouTube, Apple TV, Canal+, etc.), mais aussi une boutique dédiée proposant des applications supplémentaires à télécharger selon les besoins.

La fluidité du système se révèle excellente : chaque action via la télécommande répond rapidement, la navigation entre les menus ne souffre d’aucun ralentissement, et le lancement des applications est quasi immédiat. Notez qu’il est possible d’enregistrer plusieurs profils pour affiner les suggestions de contenus selon leurs habitudes. WebOS 24 propose également un moteur de recherche transversal, une gestion complète des notifications, et la possibilité d’accéder rapidement à toutes les entrées du projecteur ou aux paramètres système. Ceux-ci s’avèrent extrêmement complets, personnalisables, du réglage fin de l’image à la gestion du son, en passant par le contrôle parental ou les fonctions d’accessibilité.
Le lecteur multimédia intégré lit sans difficulté la majorité des formats fichiers, même volumineux, et permet de reprendre une lecture là où elle avait été stoppée. En outre, parmi les points forts de cette interface, notez la présence d’un module de partage d’écran performant, fonctionnant à la fois via Miracast et AirPlay 2 selon les appareils utilisés. Enfin, la fonction de protection oculaire, qui interrompt instantanément la projection si un objet traverse la zone lumineuse, est rassurante pour les familles avec enfants.
LG CineBeam SConsommation et nuisance sonore
En termes de consommation électrique, le LG CineBeam S fait figure d’élève studieux : sa technologie triple laser ne dépasse jamais 53W en moyenne, ce qui le place parmi les modèles les plus économes de sa catégorie. Sur le plan du bruit, le ventilateur reste discret en fonctionnement normal : à environ 32 dB mesurés, l’appareil sait se faire oublier aussi bien lors de scènes calmes que pendant des séquences soutenues. Nul risque ici de voir la ventilation couvrir les dialogues ou une bande-son immersive, ce qui est un vrai point fort pour ce gabarit.
LG CineBeam SDate de sortie et prix
Le LG CineBeam S est d’ores et déjà disponible en France pour un tarif officiel de 1299 euros. C’est le même prix qu’il faut débourser pour s’offrir le Samsung The Premiere 5 qui est limité à la même luminosité, fonctionne sous TizenOS, mais surtout seulement Full HD. Le JMGO O2S Ultra aussi Ultra HD triple laser sous Google TV se démarque avec une luminosité beaucoup plus importante lui permettant d’officier dans des pièces éclairées, mais pour 3000 euros environ.
Sinon, vous avez le Optoma Photon Go ou le Thomson Sirius, tous les deux des modèles pouvant fonctionner sans fil avec une définition Full HD, triple laser sous Google TV à 800 euros tandis que le Acer PD1520Us est un peu moins cher, 700 euros environ pour une source LED, une définition Full HD sous Android TV modifié.







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