Le Photon Go est un modèle particulièrement intéressant. En effet, il s’agit d’un vidéoprojecteur ultra courte focale extrêmement compact qui se glisse dans un sac et qui intègre une batterie. Des caractéristiques encore inédites sur ce segment de marché.
Les autres modèles du même genre actuellement disponibles, sont bien plus imposants à l’image du Formovie Theater Premium, Hisense PX3-Pro, pour ne citer que les deux références en attendant de pouvoir tester les modèles plus compacts, tels que le JMGO O2S Ultra ou le Yaber Y300s, les deux étant dépourvus de batterie ou le Thomson Go Project Sirius, un clone du Photon Go. Rappelons cependant qu’il existe aussi le Philips UL5 que nous avions testé, mais sans convaincre.
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Le Optoma Photo Go est donc un vidéoprojecteur DLP Full HD (1080p) doté d’une source lumineuse triple laser RGB, affichant une luminosité annoncée de 650 lumens ANSI et une très large couverture de l’espace colorimétrique DCI-P3. Il est capable de projeter une image de 100 pouces à seulement 25 cm du mur. Il intègre Google TV, offrant un accès direct à toutes les principales plateformes de streaming, et propose donc une batterie pour une autonomie d’environ 1h30 en lecture vidéo.
Le Photon Go vise donc un public en quête de flexibilité et de simplicité, sans pour autant sacrifier la qualité d’image. Mais face à des modèles ultra courte focale plus traditionnels (plus performants, mais peu mobiles), il doit convaincre sur tous les fronts : qualité d’image, facilité d’utilisation, autonomie, et fonctionnalités connectées. Nous l’avons testé et en voici notre verdict complet.
Optoma Photon GoFiche technique
Modèle | Optoma Photon Go |
---|---|
Dimensions | 252 mm x 62 mm x 157 mm |
Définition maximale | 1920 x 1080 pixels |
Taille de l’écran | 100 pouces |
Compatible HDR | HDR10 |
Ports HDMI | 1 |
Nombre de haut-parleurs | 2 |
Puissance des haut-parleurs | 20 watts |
Sortie audio | Haut-parleurs, Optique |
Système d’exploitation (OS) | Google TV |
Assistant vocal | Google Assistant |
Fiche produit |
Le vidéoprojecteur Optoma Photon Go testé nous a été prêté par la marque. Il a été testé en association avec un écran Lumene Extra Bright Eden 240C disponible dans la boutique Son-Vidéo.com, un modèle spécialement conçu pour les vidéoprojecteurs ultra-courte focale. Les mesures ont été réalisées avec du matériel professionnel adapté et en face de l’écran afin de limiter les erreurs et de proposer des valeurs en accord avec ce que le spectateur peut réellement voir. Ce protocole est identique pour tous les tests de vidéoprojecteurs ultra-courte focale afin de pouvoir les comparer.
Optoma Photon GoDesign, un format compact très séduisant
Lors de son déballage, le Optoma Photon Go surprend vraiment par sa compacité.

Son châssis en matériaux composites, habillé d’un coloris anthracite mat et rehaussé d’un liseré noir brillant, lui confère une allure moderne et plutôt élégante. La partie supérieure, recouverte de tissu, ajoute une touche de raffinement tout en favorisant la dissipation thermique.

Malgré son format réduit, l’appareil respire la robustesse et la qualité d’assemblage. Les dimensions contenues de 252 x 157 x 62 mm pour 1,72 kg permettent de le glisser facilement dans un sac, ce qui peut s’avérer très pratique pour les utilisateurs nomades ou ceux qui souhaitent simplement le déplacer d’une pièce à l’autre. Ce n’est du tout le cas avec les modèles plus traditionnels. Ici, les lignes sont donc sobres, sans fioritures, avec une façade légèrement bombée laissant passer le son des haut-parleurs intégrés.
L’ensemble inspire confiance et s’intègre sans difficulté dans tous les intérieurs, que ce soit sur un meuble TV, une étagère ou même au sol pour une projection improvisée. La compacité ne se fait pas au détriment de l’ergonomie : les pieds (non réglables en hauteur) assurent une bonne stabilité, et la finition mate limite les traces de doigts.

Seul bémol, ce que nous regrettons toujours un peu sur ce type d’appareil, l’absence de cache pour l’objectif, ce qui impose une certaine vigilance lors du transport contre les rayures potentielles ou plus généralement, s’il reste en place, pour éviter la poussière.

Optoma Photon GoConnectiques
Le Optoma Photon Go joue la carte de la simplicité, mais sans sacrifier l’essentiel. On retrouve à l’arrière un port HDMI 2.0, idéal pour connecter une console de jeux, un lecteur Blu-ray ou un ordinateur. Un port USB-C est dédié à l’alimentation, tandis qu’un port USB-A permet de brancher une clé USB ou un disque dur externe pour lire directement des fichiers multimédias. La présence d’une sortie audio optique S/PDIF permet de relier le projecteur à une barre de son ou à un amplificateur externe pour une expérience audio améliorée.

Un port RJ45 complète l’ensemble pour une connexion réseau filaire, en plus du Wi-Fi 5 GHz intégré qui assure un streaming fluide. Le Bluetooth est également de la partie pour connecter des écouteurs ou une enceinte sans fil. On regrette toutefois l’absence de port HDMI ARC, qui aurait facilité le retour audio vers un système home cinéma, et l’impossibilité de brancher directement un micro ou un casque via une prise jack. L’ensemble reste cohérent pour un usage polyvalent, que ce soit à la maison ou en déplacement.

La télécommande
La télécommande fournie avec l’Optoma Photon Go reprend le design classique des appareils sous Google TV. Elle est compacte, légère et tient bien en main, avec une disposition des touches intuitive. La roue de navigation centrale est entourée de raccourcis vers les principales applications de streaming, facilitant l’accès direct à Netflix, YouTube ou Prime Video.

Un bouton dédié au contrôle vocal via Google Assistant est bien positionné, tout comme l’accès rapide aux réglages du projecteur. On apprécie la présence d’une touche spécifique pour la mise au point, ce qui simplifie l’ajustement de l’image sans passer par les menus. Une autre permet d’accéder aux paramètres du projecteur, pratique si on veut effectuer des réglages d’installation de l’appareil. Seul regret, l’absence de rétroéclairage, qui complique l’utilisation dans l’obscurité, même si la simplicité de la disposition limite les erreurs de manipulation. L’ensemble respire la solidité et l’efficacité, avec un nombre de boutons réduit à l’essentiel pour une expérience utilisateur fluide.
Optoma Photon GoL’écran
Le vidéoprojecteur Optoma Photon Go est livré sans écran. Cela laisse le choix, mais si le budget est limité, on peut aussi être tenté de l’installer sans écran en se servant d’un mur comme surface de projection et donc perdre le bénéfice relativement important d’avoir une surface optimisée pour la projection. Comptez entre 500 et 2700 euros environ pour des écrans de différentes tailles dont la surface profite d’un traitement spécifique.
Optoma Photon GoInstallation, posez, c’est installé ou presque


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L’installation du Photon Go est d’une simplicité déconcertante. Grâce à sa focale ultra-courte, il suffit de le placer à seulement 25 cm du mur pour obtenir une image de 100 pouces. Les réglages de trapèze (auto et manuel) et de mise au point facilitent grandement l’ajustement de l’image, même dans les espaces les plus exigus. L’auto-correction fonctionne correctement dans la majorité des cas, mais il est possible de peaufiner les réglages manuellement pour obtenir un résultat optimal. Notez que la correction s’est uniquement sur les 4 coins alors que les modèles plus imposants (mais aussi plus chers) proposent plus de points de contrôle aidant à l’obtention d’une image plus précise.

La légèreté de l’appareil permet de le déplacer sans effort, que ce soit pour une projection dans le salon, la chambre ou même en extérieur.

L’absence de zoom optique impose toutefois de jouer sur la distance pour ajuster la taille de l’image. Il y a toutefois un zoom numérique qui permet de réduire la zone d’affichage.

Original, la batterie intégrée offre une liberté supplémentaire, même si l’autonomie reste limitée à 1h30, ce qui oblige à prévoir une source d’alimentation pour les longues séances. L’ensemble du processus d’installation est vraiment pensé pour être accessible à tous, sans nécessiter de compétences techniques particulières.
Optoma Photon GoL’image en mode subjectif
La technologie DLP associée à la source triple laser RGB offre une image vive et dynamique. Dès les premiers contenus diffusés, on remarque une colorimétrie éclatante, particulièrement vive, trop peut-être pour les personnes qui préfèrent une réelle fidélité des couleurs. La palette de teintes est très large, ce qui donne un certain relief aux films d’animation et aux blockbusters. Les modes d’image disponibles — Standard, Vif, Cinéma, Naturel et Personnalisé — permettent d’adapter le rendu à ses préférences.

Le mode Cinéma s’avère le plus équilibré, évitant la sursaturation observée en mode Standard. Toutefois, même avec ce mode, les couleurs paraissent loin des standards du cinéma. Nous vérifierons avec les mesures, plus bas. Les contenus HDR10 et HLG bénéficient d’un contraste renforcé, même si la luminosité limitée impose de privilégier une pièce sombre pour profiter pleinement du spectacle. Sur un écran de 100 pouces, la définition Full HD montre ses limites : il faut s’éloigner à environ 4 mètres pour ne plus distinguer la grille de pixels.
Malgré tout, la netteté reste satisfaisante pour la plupart des usages, et le piqué de l’image est appréciable sur les films et séries en streaming comme sur les Blu-ray. Les scènes sombres sont bien gérées, avec un niveau de détail correct, même si le contraste pourrait être plus marqué. L’absence de 4K native se fait sentir.

La compensation des mouvements
Le Photon Go ne dispose pas de système de compensation de mouvements (MEMC). Lors des scènes rapides ou des travellings, on observe donc un léger judder, perceptible notamment sur les contenus sportifs ou les films d’action. Si la fluidité reste correcte pour la majorité des usages, les spectateurs sensibles à ce phénomène pourront être gênés lors des séquences les plus dynamiques. L’absence de cette fonctionnalité, courante sur les modèles portables, limite l’expérience pour les amateurs de sport ou de jeux vidéo très nerveux. Toutefois, pour un usage cinéma ou séries, cela reste acceptable et n’entache pas significativement le plaisir de visionnage.
L’effet arc-en-ciel
Comme tous les projecteurs DLP, le Photon Go n’échappe pas à l’effet arc-en-ciel plus ou moins prononcé, même s’il reste ici relativement modéré grâce à l’usage du triple laser. Les spectateurs les plus sensibles pourront percevoir de légers flashs colorés, notamment sur les sous-titres blancs sur fond sombre ou lors de mouvements rapides. Pour la majorité des utilisateurs, ce phénomène restera discret et n’entravera pas l’expérience globale, mais il convient de le signaler pour les personnes particulièrement réactives à ce type d’effet.
Optoma Photon GoLes mesures, sondes à l’appui
Nous avons évidemment passé le vidéoprojecteur Photon Go sous nos sondes. Nous avons sélectionné le mode Cinéma pour les mesures. Ainsi, nous avons pu mesurer un taux de contraste de 779:1, ce qui est correct pour ce type d’appareil, mais relativement peu élevé malgré tout. Les modèles plus imposants font bien mieux, notamment sur les références que sont le Formovie Theater Premium ou le Hisense PX3-Pro, par exemple. Le gamma moyen a été relevé à 1,69 avec un suivi très chaotique de la courbe de référence. Les images sont globalement trop peu lumineuses par rapport à ce qu’elles devraient être. En outre, la température de couleur moyenne mesurée est de 8535 K avec d’importantes dérives chromatiques (la valeur idéale étant de 6500 K).
En sortie de carton, comme nous faisons toujours pour les mesures, et sans aucun calibrage, la fidélité des couleurs n’est pas du tout optimale. En effet, nous avons mesuré un Delta E moyen de 12,01 en mode Cinéma (avec les réglages par défaut), ce qui est très supérieur au seuil de 3, en dessous duquel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur demandée et celle qui est affichée à l’image. Cela se traduit par des couleurs qui sont beaucoup trop saturées à l’écran.

Pour les contenus HDR, rappelons que l’appareil ne supporte pas le HDR10+, seulement le HDR10, sans optimisation dynamique de la luminosité des médias.
Concernant la fidélité des couleurs, là aussi, le Delta E moyen a été relevé à 9,28 donc encore une fois très supérieur au seuil de 3. Face à l’écran Lumene utilisé pour tous nos tests, nous avons mesuré un pic de luminosité de 52 cd/m² (rapporté au gain de l’écran à 0,5), ce qui est particulièrement faible. Nous conseillons donc vivement d’utiliser le Photon Go dans des environnements les plus sombres possibles. Cela correspond à une luminosité de 447 lumens pour une image qui fait 100 pouces en diagonale. En plus, comme on peut le voir sur les graphiques ci-dessous, les courbes de référence ne sont pas bien suivies, signifiant qu’une phase de calibration et donc la modification de plusieurs paramètres dans les menus Image permettrait d’obtenir mieux.

Or, le problème est que ceux-ci sont très limités et il est donc très difficile d’arriver à une image digne d’une qualité « cinéma ». Il faut sélectionner le mode Personnalisé. Alors, on peut jouer avec le taux de contraste, la saturation, la netteté et la température des couleurs (avec des gains sur le rouge, le vert ou le bleu ou sélectionner les modes Chaud, froid ou standard). Enfin, le gamma peut être réglé sur intermédiaire, sombre ou lumineux.

Comme on peut le voir sur le graphique ci-dessous, le vidéoprojecteur arrive à proposer quasiment la même luminosité, quelle que soit la taille de la mire.

Enfin, pour les couvertures des espaces colorimétriques DCI-P3 et BT2020, nous avons obtenu des valeurs étonnamment excellentes avec respectivement 99,35% et 94,77%.

Optoma Photon GoGaming, on peut jouer avec
Le Photon Go affiche un input lag mesuré à 61,6 ms, ce qui est très élevé, même avec le mode Jeu activé. Cela le réserve principalement pour des joueurs occasionnels, car les plus exigeants devront, pour trouver satisfaction, se tourner vers des modèles plus performants sur ce point.
Hormis cela, la compatibilité HDMI 2.0 permet de connecter facilement une console de dernière génération, même si la définition est limitée à du Full HD. Les couleurs intenses et la réactivité de la technologie DLP apportent malgré tout une certaine immersion dans les jeux.
L’absence de fonctionnalités avancées (ALLM, VRR) limite encore une fois son intérêt pour les gamers les plus exigeants.
Optoma Photon GoAudio, il fait le job, mais…
Le système audio intégré est composé de deux haut-parleurs de 10 W chacun, compatibles Dolby Audio. Le rendu sonore est relativement équilibré, avec des dialogues clairs et une scène sonore suffisamment large pour une pièce de taille moyenne. C’est assez bluffant pour une taille aussi réduite. Malheureusement et assez logiquement, les basses sont absentes.

Le volume maximal est suffisant pour un usage domestique ou en extérieur, même si l’on atteint rapidement la limite lors des scènes d’action. La spatialisation est tout juste correcte et très loin d’être spectaculaire. Notez l’absence de distorsion à volume élevé, ce qui est à souligner. Pour une expérience plus immersive, il sera vivement conseillé de connecter une barre de son ou un système audio externe via la sortie optique. L’ensemble reste cohérent avec le positionnement du produit, offrant une solution audio plug and play sans fioritures.
Optoma Photon GoL’interface, comptez sur Google TV
Le Optoma Photon Go est animé par Google TV, un système d’exploitation complet. Notez que nous avons constaté quelques lenteurs lors de l’accès à certaines applications et plus généralement aux menus de configuration, même pour gérer le volume.

Dès l’allumage, l’interface propose un accès direct à toutes les principales plateformes de streaming : Netflix, Disney+, Prime Video, YouTube, Apple TV+, Canal+, et bien d’autres. On apprécie la possibilité de personnaliser l’écran d’accueil selon ses préférences. Plusieurs profils sont configurables. Le contrôle vocal via Google Assistant simplifie la recherche de contenus ou le lancement d’applications.

Le menu des paramètres est complet, permettant d’ajuster finement l’image, le son, la connectivité et les options de gestion de la batterie. Alors que sur le Xgimi MoGo 4, le niveau de celle-ci est affiché dès qu’on appuie sur le bouton Paramètres de la télécommande, ici, pour avoir la même information, il faut se rendre dans le menu Projecteur.

Sinon, le Chromecast intégré facilite la diffusion de contenus depuis un smartphone ou un ordinateur. La boutique Google Play donne accès à des milliers d’applications supplémentaires. L’ergonomie générale est très satisfaisante, avec une logique de navigation qui conviendra aussi bien aux débutants qu’aux utilisateurs avertis. Cette interface fait du Photon Go un véritable hub multimédia portable.
Optoma Photon GoConsommation et nuisance sonore
En fonctionnement, le Photon Go consomme 44 W avec le mode Cinéma et en instantané, avec une mire blanche qui occupe l’intégralité de l’écran. C’est plutôt raisonnable.
Comme évoqué en introduction, il intègre une batterie. Celle-ci permet d’utiliser l’appareil pendant environ 1h30, offrant ainsi la possibilité de profiter d’une session nomade, mais impose tout de même de prévoir une prise à proximité pour les longues sessions.
En termes de nuisance sonore, nous avons mesuré 38 dB environ, un niveau correct, mais pas totalement discret non plus. Il peut parfois gêner un peu lors du visionnage, surtout dans un environnement calme. En veille, la consommation tombe à 0,5 W, ce qui limite l’impact sur la facture énergétique.
Optoma Photon GoPrix et disponibilité
Le Optoma Photon Go est disponible au tarif de 999 euros environ. Ce prix le place nettement au-dessus des projecteurs portables classiques et encore plus face aux autres modèles ultra courte focale, plus encombrants.
Toutefois, ces derniers proposent des images d’une bien meilleure qualité, ne serait-ce qu’avec une définition Ultra HD, un rendu plus « cinéma » et des possibilités de réglages, le cas échéant, beaucoup plus pertinentes et efficaces.
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