Après des années très timides dans le domaine de la voiture électrique, Opel semble enfin reprendre des couleurs, avec la présentation du Frontera, cousin du Citroën ë-C3 Aircross, et du Grandland, qui reprend les dessous du Peugeot E-3008.
La marque allemande n’oublie cependant pas ses voitures déjà commercialisées, et s’est penchée sur son Astra Electric, qui a toujours souffert d’un prix trop élevé pour ses prestations. Bonne nouvelle : un changement de finition permet de faire baisser les prix, tout en conservant un bon niveau d’équipement.
À partir de 30 690 euros
Le configurateur de la marque a ainsi été mis à jour, de quoi voir l’apparition d’une version « SSP Edition Electric », débutant à 38 990 euros… auxquels Opel y soustrait d’office une remise de 4 000 euros, la faisant baisser à 34 990 euros.
Il faut alors y enlever le bonus écologique de 4 000 euros… ainsi qu’une remise de 300 euros réservée à la commande sur internet. Résultat final ? 30 690 euros pour cette Astra électrique, rivale des Renault Mégane E-Tech et Volkswagen ID.3.
Autre bonne nouvelle, sa version break, nommée Astra Sports Tourer, y a également droit. Une fois l’ensemble des remises et du bonus écologique déduit, ce break électrique (une catégorie encore bien rare) s’échange donc contre 31 840 euros.
Voilà de quoi creuser l’écart avec sa cousine, la Peugeot E-308, malgré sa série spéciale E-Style censée faire baisser les prix. La Peugeot électrique débute ainsi à 37 230 euros en berline et en break, bonus déduit. Quant à la Renault Mégane électrique, elle débute à 30 000 euros bonus déduit, mais avec une petite batterie de 40 kWh.
Un équipement complet
Cette baisse de prix pourrait s’accompagner d’un équipement de série très réduit… mais Opel la joue réglo, avec une dotation très correcte.
On retrouve ainsi de série la climatisation automatique (monozone), la navigation connectée, les sièges avant et le volant chauffants, le régulateur adaptatif ou encore les jantes 18 pouces.
Rappelons que l’Opel Astra Electric dispose d’un moteur de 156 ch alimenté par une batterie de 54 kWh (dont 51 kWh utilisables), de quoi annoncer une autonomie de 419 km selon la norme WLTP pour la berline et 412 km WLTP pour le break.
Quant à la recharge, il faudra compter 27 minutes pour passer de 20 à 80 % sur une borne rapide grâce à un chargeur 100 kW. Des caractéristiques qui n’ont rien d’affolant, donc, mais cette belle baisse de prix pourrait convaincre des clients à la recherche d’une compacte ou d’un break électrique au rapport prix / prestation honnête.
Si vous voulez recevoir les meilleures actus Frandroid sur WhatsApp, rejoignez cette discussion.
Ce contenu est bloqué car vous n'avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par Disqus.
Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l'usage étant opéré par Disqus avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l'amélioration des produits d'Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l'audience de ce site (en savoir plus)
En cliquant sur « J’accepte tout », vous consentez aux finalités susmentionnées pour l’ensemble des cookies et autres traceurs déposés par Humanoid et ses partenaires.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment. Pour plus d’informations, nous vous invitons à prendre connaissance de notre Politique cookies.
Gérer mes choix