La division Pro de Sony a annoncé un renouvellement de sa gamme de vidéoprojecteurs fin septembre avec l’arrivé sur le marché des modèles Bravia Projector 8 (VPL-XW6100ES) et Bravia Projector 9 (VPL-XW8100ES). Représentant le haut de gamme, ils viennent s’ajouter au VPL-XW5000ES qui continue en 2024 tandis que le VPL-XW7000ES, plus lumineux s’arrête. Ils embarquent un nouveau processeur de traitement d’image et toujours une vraie matrice Ultra HD native alors que la quasi-totalité des autres vidéoprojecteurs (à l’exception de ceux de la marque JVC) proposent une simulation Ultra HD depuis une matrice Full HD.
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Prometteur d’une forte luminosité de 2700 Lumens, selon la marque, le Bravia Projector 8 n’est pas un modèle connecté comme de nombreux autres vidéoprojecteurs embarquant Google TV, Tizen OS, webOS, Vidaa ou d’autres systèmes. Il faut nécessairement l’accompagner d’un lecteur Blu-ray, d’un boîtier multimédia ou d’autres sources externes.
Capable d’afficher une fréquence à 120 Hz avec des noirs extrêmement profonds grâce à sa technologie de projection exclusive SXRD avec une puce 0,61 pouce, ce projecteur est, semble-t-il l’un des meilleurs de sa catégorie pour un prix qui est très loin d’être à la portée de tous. Que vaut-il exactement ? C’est ce que nous avons voulu savoir en le testant.
Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES)Fiche technique
Modèle | Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES) |
---|---|
Dimensions | 460 mm x 210 mm x 517 mm |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Compatible HDR | HDR10 |
Ports HDMI | 2 |
Fiche produit |
Le vidéoprojecteur Sony Bravia Projector 8 VPL-XW6100ES testé nous a été prêté par la marque. Il a été testé en association avec un écran Lumene Movie Palace UHD Platinum 300C, un modèle conçu pour les vidéoprojecteurs. Les mesures ont été réalisées avec du matériel professionnel adapté et en face de l’écran afin de limiter les erreurs et de proposer des valeurs en accord avec ce que le spectateur peut réellement voir.
Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES)Design, un modèle « relativement compact »
Le vidéoprojecteur Sony Bravia Projector 8 est doté d’un design qui ne diffère pas beaucoup par rapport au VPL-XW5000ES. En effet, ces lignes sont très similaires avec un format hexagonal posé sur une base large. La partie supérieure n’est pas droite ressemblant à un petit toit.
Ses dimensions sont « relativement » compactes avec une profondeur de 517 mm pour 460 mm de large et 210 mm de hauteur. Le vidéoprojecteur fait un poids de 14 kg.
S’il est accroché au plafond, il faut donc prévoir un support et des fixations adaptées. Dessous, il y a ce qu’il faut pour. Notez également la présence de deux pieds qui se dévissent pour ajuster l’horizontalité, le cas échéant.
On n’est pas du tout dans les mêmes proportions que les Xgimi Horizon S Max, Hisense C2 Pro, JMGO N1S Ultra et autres Nebula Cosmos 4K SE, BenQ GP520, pour ne citer qu’eux.
Le Bravia Projector 8 est décliné en noir ou en blanc comme son grand-frère, le Bravia Projector 9.
Sur la gauche du vidéoprojecteur, lorsqu’on le regarde de face, il y a un petit panneau avec 5 boutons dont un qui permet de naviguer dans les menus de l’appareil. Il y a également un bouton pour l’allumer ou l’éteindre, un autre pour passer d’une source à une autre, un troisième pour afficher les menus de configuration et un dernier pour accéder au panneau de réglages focus, zoom et décalage.
Vu le gabarit, l’alimentation est intégrée, ce qui signifie qu’il suffit de brancher un câble pour faire fonctionner l’appareil.
Le Bravia Projector 8 profite d’excellentes finitions, sans aucun défaut sur le modèle qui nous a été prêté pour réaliser ce test.
Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES)Connectiques
Alors que sur la quasi-totalité des vidéoprojecteurs du marché, les connectiques sont rassemblées à l’arrière, ici, comme les autres modèles de la marque, elles sont accessibles sur le côté gauche (lorsqu’on regarde l’appareil de face). Il y a deux entrées HDMI 2.1 dont une est compatible eARC pour renvoyer le son vers une barre de son ou un amplificateur.
Il y a un port Ethernet ainsi qu’un port Trigger pour gérer un écran motorisé, un port RS232, un port USB-A et un dernier pour le report infrarouge. Celui-ci est pratique si vous installez le vidéoprojecteur dans une partie de la salle qui n’est pas immédiatement accessible. Point de Wi-Fi ni de liaison sans fil Bluetooth ici.
Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES)L’écran
Le vidéoprojecteur Sony Bravia Projector 8 est livré sans écran. Cela laisse le choix pour l’écran, mais si votre le budget est limité, vous pouvez aussi être tenté de l’installer sans (en se servant d’un mur comme surface de projection) et donc perdre le bénéfice (important) d’avoir une surface optimisée pour la projection. Comptez entre 400 et 2700 € environ pour des écrans de différentes tailles dont la surface profite d’un traitement spécifique.
Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES)L’installation est optimale avec l’optique motorisée
S’agissant d’un modèle haut de gamme, le Sony Bravia Projector 8 profite d’une optique motorisée, ce qui permet d’optimiser le calage de l’image par rapport à l’écran. On est ainsi beaucoup plus précis que lorsqu’on utilise une molette. Il est ainsi possible de zoomer/dézoomer, de décaler l’image sur l’axe vertical (de plus ou moins 85%) mais aussi horizontal (plus ou moins 36%).
Et, c’est une nouveauté, ce modèle offre la possibilité de corriger le trapèze de l’image, en bougeant les 4 coins, indépendamment les uns des autres. Bien entendu, le réglage de la netteté, aussi motorisée est également de mise. L’installation ne prend ainsi que quelques minutes et on obtient une image réellement parfaite jusque dans les coins.
Si vous souhaitez quelques chiffres, sachez que le rapport de projection est de 1,35-2,84. Le rapport de zoom est de x2,1 avec 5 positions d’image possibles et autant d’enregistrements. Cela permet, si on bouge l’appareil, d’en rappeler une pour une configuration définie. Les précédents modèles proposaient 3 mémoires.
Nous avons installé l’appareil avec un recul de 4,5 mètres par rapport à l’écran et c’est dans ces conditions que nous avons réalisés nos mesures.
La télécommande
Elle est particulièrement imposante, comme les précédentes. Elle profite d’un système de rétroéclairage qui s’active en appuyant sur le bouton correspondant. Il est possible de changer rapidement la source. Les modes d’image précalibrés sont immédiatement disponibles, ce qui est toujours une bonne chose.
Trois boutons sont dédiés aux réglages de la netteté, du zoom et du décalage de l’image. Au centre, il y a une croix directionnelle avec un bouton pour appeler les menus de configuration. Un peu plus bas, il y a plusieurs boutons pour accéder directement à certaines fonctionnalités comme la gestion des espaces de couleurs, la température des couleurs, la correction du gamma ou encore l’amélioration du contraste, le cas échéant.
Il y a un bouton 3D, mais qui n’est pas effectif ici étant donné que l’appareil n’est compatible. Enfin, un peu plus bas, il y a trois doubles boutons pour gérer directement la luminosité, le contraste et la netteté.
Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES)L’image en mode subjectif, parfait pour le Home Cinéma
Le Sony Bravia Projector 8 utilise une source de lumière Laser Z-Phosphor comme les autres projecteurs de la marque. Elle traverse trois panneaux SXRD profitant d’une définition Ultra HD native, comme le VPL-XW5000ES, le VPL-XW7000ES ou le Bravia Projector 9, par exemple. Cela n’a peut-être l’air de rien, mais il faut savoir que seuls Sony et JVC proposent, actuellement, des vidéoprojecteurs dotés d’une telle définition native.
En effet, tous les autres, même s’il est écrit Ultra HD sur la fiche technique ou le carton, utilisent une matrice Full HD avec un principe de simulation d’une définition Ultra HD par un procédé de « woobulation » créé en faisant bouger très rapidement dans un sens (ou pour certains modèles dans deux sens) cette matrice donnant l’illusion d’une définition 4 fois supérieure. À une certaine distance, cela peut donner le change mais lorsqu’on s’approche et pas nécessairement à seulement quelques centimètres, on voit clairement la différence de qualité comme le montre les images ci-dessous.
Sur le Bravia Projector 8, le traitement d’images est assuré par un processeur équivalent à celui des TV 2024 de Sony mais adapté aux vidéoprojecteurs, en l’occurrence, le XR Processor for Projector. C’est l’une des principales différences avec la précédente génération de vidéoprojecteurs Sony. Celui-ci propose ainsi les technologies XR Triluminos Pro et XR Clear Image pour les couleurs et la netteté des séquences ainsi que la fonction Motionflow pour gérer les scènes rapides. Le Bravia Projector 8 est compatible 120 Hz et gère parfaitement les contenus en 24p. Il supporte les formats HLG et HDR10. Pas question ici du Dolby Vision mais Sony promet une qualité d’image équivalente avec une gestion du Dynamic Tone Mapping exceptionnelle. Le format IMAX est pris en charge.
En outre, la puce permet également de gérer le contraste qui est excellent sur ce vidéoprojecteur grâce à la fonction XR Deep Black et le panneau SXRD, sans conteste l’un des meilleurs du marché avec celui proposé par les projecteurs JVC. Le processeur s’occupe également de la mise à l’échelle, « l’upscaling » qui permet de profiter des contenus non Ultra HD avec une définition assez époustouflante.
Côté luminosité, Sony annonce 2700 Lumens pour ce modèle contre 2000 Lumens pour le VPL-XW5000ES, 3200 Lumens pour le VPL-XW7000ES et 3400 Lumens pour le Bravia Projector 9 VPL-XW8100ES.
L’une des grandes forces des projecteurs Sony est la présence d’une lentille asphérique logée au sein d’un objectif ACF (Advanced Crisp Focused). Ce dernier est identique à celui intégré au sein du VPL-XW7000ES. Cette configuration permet d’obtenir une mise au point parfaite jusque dans les coins et une reproduction des couleurs extrêmement précise, sans aucune distorsion.
Plusieurs modes d’images sont disponibles : Cinéma Film 1, Cinéma Film 2, Référence, TV, Photo, Jeu, Cinéma lumière, TV lumière, Utilisateur et IMAX Enhanced.
Bien entendu, il est possible de personnaliser le rendu de l’image avec un nombre impressionnant d’options. Notez ainsi la possibilité de corriger le gamma en HDR alors que sur les précédentes générations, cela n’était possible qu’en SDR. La fonction XR Dynamic Tone Mapping qui fait un mappage tonal dynamique des contenus HDR selon trois niveaux et qui peut être désactivé. Dans ce dernier cas, on a une tendance à la perte de détails sur des zones extrêmement lumineuses comme le montre les photos ci-dessous.
Le Mode 1 est prévu pour les environnements lumineux alors que le Mode 2 est conçu pour les salles dédiées donc plongées dans le noir, alors que le Mode 3 est aussi prévu pour ce type d’utilisation mais où la luminosité n’est pas la priorité.
Malheureusement, cette fonction n’est pas disponible sur le mode Référence, celui qui permet d’obtenir la plus grande fidélité des couleurs avec les réglages par défaut. Cette option est proposée sur les modes Cinéma Film 1 et Cinéma Film 2 qui offrent malgré tout d’excellents résultats, dont la plus forte luminosité, comme nous le verrons dans la partie consacrée aux mesures.
L’image produite par le Sony Bravia Projector 8 est réellement de toute beauté. Le rendu est parfaitement net avec une colorimétrie exceptionnelle. Les réglages par défaut sont idéaux, ce que nous verrons dans le chapitre consacré aux mesures.
Les séquences sont particulièrement fluides et tous les contenus sont réellement sublimes. La matrice Ultra HD fait vraiment des merveilles. Les couleurs sont intenses, vibrantes et les tons chair sont aussi naturels et très convaincants.
Les scènes sont particulièrement lumineuses apportant une certaine dimension à l’image. La luminosité se tient très bien qu’il s’agisse d’un point de lumière à l’écran ou sur toute la surface de celui-ci. On n’est jamais déçu.
Les détails sont visibles aussi bien dans les zones les plus claires que les parties de l’image les plus sombres. En outre, on profite également d’un taux de contraste exceptionnel avec une gestion des contenus HDR vraiment époustouflante. Le piqué est excellent, avec malgré tout une certaine douceur. Chaque scène est un enchantement.
La compensation des mouvements et la mise à l’échelle
Les séquences présentant des mouvements rapides sont très agréables à l’œil. Les travelings sont parfaitement fluides et ne souffrent d’aucune saccade.
En outre, la mise à l’échelle des contenus qui ne sont pas nativement Ultra HD s’avère extrêmement convaincante, de notre point de vue.
L’effet Arc-en-ciel
S’agissant d’une technologie de projection SXRD, il n’y a aucun effet d’arc-en-ciel comme pour les modèles profitant de la technologie Tri-LCD d’Epson et à la différence des vidéoprojecteurs utilisant le DLP.
Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES)L’image mesurée
Pour nos mesures, nous avons utilisé le mode d’image Référence. Le vidéoprojecteur a été placé à 4,5 m de recul par rapport à l’écran qui fait 3 mètres de base, pour des raisons de configuration de notre salle de test. Ce sont les mêmes conditions que pour tous les autres vidéoprojecteurs de « fond de salle ». Dans une totale obscurité dans la pièce, nous avons mesuré un taux de contraste natif de 13459:1, ce qui est exceptionnel. Bien au-delà de tout ce que nous avons relevé sur les projeteurs à focale courte, classique ou ultra courte.
Le gamma moyen a été mesuré à 2,39, ce qui est extrêmement proche de la valeur cible qui est de 2,4 dans de telles conditions. On remarque que la courbe est parfaitement suivie sur toute l’échelle des valeurs de gris sauf pour 95 %.
Pour ce qui est de la température moyenne des couleurs, celle-ci a été mesurée, en moyenne à 6212 K, et donc extrêmement proche de la valeur idéale qui est de 6500 K. Les dérives chromatiques sont extrêmement légères. À l’écran, cela peut se traduire par un rendu qui est très légèrement trop chaud mais, sincèrement, on peut largement s’en contenter. Pour ce qui est de la fidélité des couleurs, nous avons relevé un Delta E moyen exceptionnel de 0,99, car nettement inférieur au fameux seuil de 3, en dessous duquel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur demandée et celle affichée.
C’est la meilleure mesure que nous avons relevé parmi tous les vidéoprojecteurs testés jusqu’ici. Selon nous, pas besoin de calibration spécifique en sortie de carton et cela permet ainsi d’apprécier immédiatement une image d’une extrême qualité et particulièrement fidèle.
Avec des contenus HDR, c’est également le mode Cinéma Film 1 qui permet de produire l’image la plus intéressante pour un rendu cinéma. Concernant la fidélité des couleurs, nous avons mesuré un Delta E moyen de 3,81, légèrement supérieur au seuil de 3. Quelques petits réglages sont donc à faire si on est exigeant et à ce niveau de prix, on peut l’être. Avec le mode Film 1, nous avons relevé un Delta E moyen de 1,43, donc cette fois, inférieur au seuil conseillé. Dans le cas du mode Cinéma Film 2, nous avons obtenu un Delta E moyen de 3,09.
Concernant la luminosité maximale, dans les conditions du test et de notre salle, nous avons mesuré 174 cd/m² en mode Cinéma Film 1. Attention, il ne faut pas comparer cette valeur avec celle que nous donnons pour les autres vidéoprojecteurs à focale classique car ceux-ci sont mesurés avec un recul qui permet d’obtenir une image de 100 pouces en diagonale. Ici, le Sony Bravia Projector 8 est nettement plus lumineux pour la même distance.
Ce qui est notable, c’est que l’appareil peut produire une forte luminosité aussi bien sur une mire qui occupe seulement 1% de la surface de l’écran ou 100%.
Le mode Référence propose, d’après nos mesures, une luminosité maximale de 159 cd/m² mais avec une gestion du Tone Mapping plus délicate qu’avec le mode Cinéma Film 1, collant plus à la courbe de référence, comme on peut le voir sur le graphique ci-dessous.
Concrètement, le vidéoprojecteur est ainsi capable d’offrir une image cohérente, même la pièce est éclairée, ce que nous ne conseillons pas toutefois afin d’obtenir un rendu des plus qualitatifs.
Enfin, concernant les couvertures des espaces colorimétriques DCI-P3 et BT2020, nous avons obtenu des valeurs respectives de 89,98 % et 66,46 %, ce qui est plutôt bon.
Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES)Le gaming, aussi bon qu’en mode Cinéma
Le vidéoprojecteur est compatible ALLM (Auto Low Latency Mode) pour un temps de retard à l’affichage réduit. Pour les jeux vidéo, avec des contenus SDR et HDR, on peut compter sur le mode Game. Lorsqu’il est activé, le vidéoprojecteur propose un temps de retard à l’affichage de 18 ms (contre 18,3 ms pour le Cosmos 4K SE, par exemple).
Cela correspond à un tout petit peu plus qu’une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran. C’est un excellent résultat pour un vidéoprojecteur. Avec le mode Jeu activé, le pic de luminosité est légèrement supérieur au mode Cinéma.
Comme évoqué un peu plus haut, rappelons que le vidéoprojecteur est compatible avec les signaux 120 Hz en (vraie) Ultra HD, ce qui est loin d’être donné à tous les appareils de ce type. Le Bravia Projector 8 ne supporte pas la technologie VRR.
L’expérience de jeu est vraiment très agréable avec une image de très haute qualité, une fluidité exceptionnelle, un très bon piqué, une définition Ultra HD remarquable et une colorimétrie très satisfaisante.
Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES)Consommation et nuisance sonore
En mode Référence, le vidéoprojecteur Sony Bravia Projector 8 consomme 297 watts, ce qui est très élevé, mais cohérent au regard de la luminosité des images qu’il produit. Cette mesure a été réalisée de manière instantanée avec une mire blanche à 100 %.
Pour la nuisance sonore, nous avons mesuré un bruit de 36 dB en moyenne à proximité de l’appareil. Ce n’est donc pas le vidéoprojecteur le plus discret du marché, mais on peut toutefois passer un moment avec lui sans en avoir plein les oreilles. À l’usage, cela reste acceptable pour une projection avec le son.
Sony BRAVIA Projector 8 (VPL-XW6100ES)Prix et disponibilité du vidéoprojecteur Sony Bravia Projector 8
Le vidéoprojecteur Sony Bravia Projector 8 VPL-XW6100ES est disponible pour un prix de 16 000 euros environ.
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