Uber a lancé ses véhicules autonomes à la conquête de San Francisco. Conçus en partenariat avec Volvo, ceux-ci ont déjà commencé à prendre en charge des clients.
Les voitures autonomes d’Uber ont commencé à effectuer leurs premières courses à San Francisco. Il s’agit de la seconde ville après Pittsburgh où ce service est lancé et Uber déploie sa troisième génération de véhicules autonomes, en partenariat avec Volvo.
Après Pittsburgh, cap sur San Francisco
Uber a annoncé le lancement de son service utilisant des véhicules autonomes dans un nouveau marché : San Francisco. Ne vous attendez cependant pas à être tout seul dans votre Uber, puisqu’il y a encore un chauffeur présent en cas de problème, ainsi qu’un ingénieur afin de continuer à récolter et optimiser les données issues de ces trajets.
Des véhicules construits en partenariat avec Volvo
Contrairement à l’opération pilote s’étant déroulée à Pittsburgh, qui utilisait des véhicules normaux, ceux utilisés à San Francisco sont un peu plus spéciaux. Ils ont ainsi été conçus en partenariat avec Volvo, qui travaille également sur ce domaine. Matt Sweeney, le chef de la division des technologies avancées d’Uber explique que ces véhicules comportent en fait moins de capteurs que sur les Ford utilisés a Pittsburgh. Il explique ainsi que grâce aux données recueillies lors de ce premier test, Uber a pu déterminer les données cruciales à capturer et celles moins vitales. Basé sur le XC90, le 4×4 de Volvo autonome d’Uber, illustré ci-dessous, est quand même blindé de capteurs en comparaison à un véhicule normal.
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Ce que je trouve triste c'est de voir que les gens découvrent qu'ils deviennent dépendants de sociétés qui sont uniquement là pour faire du pognon. J'attends le jour où les "Youtubeurs" vont se rendre compte qu'ils sont à la botte de Youtube par exemple. Mais qu'ils vont s'en rendre compte vraiment (là ils le dénoncent parfois, mais continuent de jouer le jeu à 100%). Au lieu de passer du temps à faire 12 vidéos par semaines, ils pourraient aussi passer du temps (et de l'argent) à développer une plateforme indépendante par exemple. Idem pour Uber : pas besoin de Uber pour créer une plateforme de réservation. C'est à la portée de n'importe quel groupe de VTC un peu organisés. Financer un tel développement est sans soucis à la portée des VTC parisiens (pour ne parler que de eux, mais c'est le plus facile vu la taille de la métropole).
c'est triste quand on voit les vtc en grève à paris au même moment. Tout va bien, quoi.
Il y aura aussi à gérer le stationnement le temps que le(s) passager(s) monte(nt), s'assurer que tout le monde est bien monté.. un peu de boulot quoi