Le TCL 65C7K est un téléviseur de 65 pouces présenté comme l’un des produits phares de la gamme Mini LED 2025 du constructeur chinois, qui souhaite s’imposer comme référence sur le marché des écrans grand public de grande diagonale. Disponible en 50, 55, 65, 75, 85, 98 et même 115 pouces, cette série profite d’une dalle QD-Mini LED, combinant l’efficacité de la technologie Mini LED et les avantages du Quantum Dot Pro pour optimiser la reproduction des couleurs et la gestion du rétroéclairage.
Avec sa définition Ultra HD 4K (3840 x 2160 pixels), ce téléviseur propose une expérience visuelle taillée aussi bien pour le cinéma que pour le sport ou le jeu vidéo. Son rétroéclairage Mini LED de 7e génération assure une maîtrise pointue du contraste grâce à plus de 2000 zones de gradation, tandis que sa luminosité de pointe de 2600 cd/m² (pour la version 65 pouces d’après la marque) le destine aux contenus HDR10+ et Dolby Vision IQ, même dans des environnements lumineux.
Pour aller plus loin
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Ses concurrents directs se nomment Samsung QN90F, Sony X95L ou encore LG QNED85A sans oublier le Hisense 65U7Q, modèles qui misent eux aussi sur un rétroéclairage Mini LED associé à des algorithmes de traitement vidéo poussés. Là où TCL veut apporter une réelle valeur ajoutée, c’est la polyvalence de son TV pour le divertissement, le streaming (compatibilité Netflix, Disney+, Prime Video) et le jeu vidéo grâce à la présence de ports HDMI 2.1 offrant 4K jusqu’à 144 Hz, support VRR (Variable Refresh Rate), ALLM (Auto Low Latency Mode) et AMD FreeSync Premium Pro.
On retrouve un traitement d’image poussé par l’AiPQ Pro, un système audio signé Bang & Olufsen compatible Dolby Atmos et DTS Virtual:X, ainsi que toutes les options connectées d’une smart TV moderne sous Google TV.
Avec ce produit, TCL propose une fiche technique taillée pour rivaliser avec les modèles premium du marché, sans pour autant s’aligner sur leurs tarifs les plus extrêmes. Le TCL 65C7K affiche déjà sur plusieurs boutiques en ligne des prix inférieurs à ceux de ses rivaux directs, venant stimuler une concurrence féroce dans ce secteur stratégique à haute valeur ajoutée pour le grand public. En voici notre verdict complet.
TCL 65C79KFiche technique
| Modèle | TCL 65C79K |
|---|---|
| Dimensions | 1444 mm x 869 mm x 369 mm |
| Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
| Taille de l’écran | 65 pouces |
| Compatible HDR | HDR10, HDR10+, Dolby Vision |
| Ports HDMI | 4 |
| Compatible Surround | Dolby Atmos, Dolby TrueHD |
| Puissance des haut-parleurs | 60 watts |
| Sortie audio | Haut-parleurs, Optique |
| Système d’exploitation (OS) | Google TV |
| Assistant vocal | Google Assistant |
| Efficacité énergétique | F |
| Fiche produit |
TCL 65C79KDesign
Le TCL 65C7K propose clairement une esthétique moderne et plutôt élégante, mettant en avant une silhouette réussie et des matériaux de qualité, comme le souhaitent les acheteurs de téléviseurs haut de gamme.
Son cadre est relativement fin, dégageant une impression d’image flottante particulièrement valorisante dans un salon contemporain. Comptez environ 5 mm pour les bords, ce qui est toutefois supérieur à la référence sur le marché dans ce domaine qu’est le C8K (ou C89K) qui offre une image collant aux bords et profitant d’un cadre plus luxueux. TCL mise ici sur la sobriété, avec une finition noir mat avec un effet légèrement brossé, pour que ce soit bien l’image qui domine l’attention lorsque l’écran est en fonctionnement.
La finesse du châssis est rendue possible par l’intégration de la technologie Mini LED, qui autorise des épaisseurs réduites même en présence de zones de gradation très nombreuses. Comptez sur une épaisseur de 6 cm à sa base et de 3 cm au sommet de ce téléviseur de 65 pouces.
Le support central est identique à celui du C8K. Il est en plastique et d’une forme géométrique discrète. Il est composé de 3 éléments qu’il s’agit s’associer avec une base qui fait 38,5 cm de large pour 36,5 cm de profondeur, une plaque à fixer à l’écran lui-même et une partie en plastique qui vient recouvrir l’arrière du pied intégrant un espace pour concentrer les fils.
C’est bien pensé et relativement facile à monter. Le pied propose deux positions : une haute avec 6 cm d’espace à l’avant, idéale pour placer une barre de son sans bloquer le port infrarouge, et une basse avec une élévation de 2,5 cm.
L’intégration audio signée Bang & Olufsen est marquée par une discrète inscription sur la barre inférieure du cadre, sans ostentation, mais avec une réelle valeur ajoutée en termes de perception premium.
En outre, la marque fournit des serre-câbles pour réunis les fils venant plonger, de façon logique vers le pied central pour faciliter leur organisation et leur fuite vers l’arrière. Notez également la possibilité d’une pose murale VESA 300×300 mm sans complications.
Le dos de l’appareil, quant à lui, est identique à celui du C8K. Il profite de découpes nettes qui n’est pas sans rappeler l’arrière des téléviseurs Sony.
TCL 65C79KConnectiques, toujours deux entrées HDMI 2.1
TCL fait très peu de compromis sur la partie connectique de son 65C7K puisqu’il propose une panoplie très complète de ports et interfaces adaptés à tous les usages domestiques récents. Ce sont les mêmes que celles que l’on trouve sur le téléviseur TCL C8K. Il y a donc ainsi quatre ports HDMI dont deux certifiés 2.1 et compatibles eARC, VRR, ALLM et 4K/144 Hz pour exploiter pleinement les capacités des consoles de jeux de dernière génération ou des PC puissants. Deux ports supplémentaires sont limités à 4K/60 Hz mais restent utiles pour des lecteurs Blu-ray ou des box TV classiques.
À cela s’ajoutent une sortie audio optique, un port Ethernet pour la connexion filaire au réseau, un port USB 3.0, une entrée antenne, un port CI+ pour la télévision à péage et le Wi-Fi 5/Bluetooth 5.4 pour la liaison sans fil avec des casques ou barres de son. La prise HDMI eARC permet une liaison à des systèmes audio externes haut de gamme sans latence ni perte de qualité.
Un effort particulier est aussi porté à l’organisation des prises. En effet, elles sont toutes orientées vers le côté et placées de façon à éviter les conflits de branchement, même pour des câbles volumineux.
La télécommande
La télécommande du TCL 65C7K diffère de celle qui accompagne les téléviseurs TCL C8K et C9K. Elle est en plastique noir, sans système de rétroéclairage. Elle reprend les codes habituels de la marque offrant une ergonomie assez bonne. Fine, légère mais solide en main, elle dispose d’une surface avant avec un effet brossé tandis que l’arrière est légèrement bombé pour une prise en main naturelle et intuitive, même lors de longues sessions. La disposition des touches est logique, avec des boutons larges, légèrement surélevés et bien espacés.
L’expérience au quotidien met en avant les raccourcis directs pour accéder aux principales plateformes de streaming – Netflix, Prime Video, YouTube, Disney+, TCL Channels et le lecteur multimédia –, rendant la navigation très rapide. À cela s’ajoutent une touche micro pour activer l’assistant vocal Google ainsi que deux doubles boutons pour gérer le volume et le changement de chaînes. Les touches numéraires sont là pour passer directement d’une chaîne à une autre.
Sa compatibilité Bluetooth évite la nécessité d’un pointage direct vers le téléviseur.
TCL 65C79KL’image en mode subjectif
La technologie du TCL 65C7K se fonde sur l’alliance de la dalle QLED Pro et du rétroéclairage Mini LED de 7e génération. Ce choix technique permet d’obtenir une restitution des couleurs d’une rare précision : la couverture des espaces colorimétriques se veut particulièrement large, grâce à une nouvelle génération de Quantum Dots encapsulés qui améliorent nettement la saturation, la pureté et la stabilité dans le temps.
Les séquences HDR bénéficient particulièrement du pic lumineux, offrant des blancs éclatants et des détails dans les hautes lumières même lors de scènes très contrastées. Techniquement, par rapport à la dalle C8K, celle de la série C7K dispose aussi du traitement Crystglow HVA, ce qui a pour effet de limiter les reflets et d’offrir des angles de vision plus larges que sur les autres modèles. Concernant ce dernier point, c’est effectivement le cas mais en ce qui concerne les reflets, c’est nettement plus discutable.
Le capteur de luminosité, allié au traitement vidéo AiPQ Pro géré par intelligence artificielle, adapte dynamiquement l’image en fonction de l’éclairage ambiant mais aussi du contenu. Que ce soit pour des films, des séries ou des jeux vidéo, le résultat est saisissant de réalisme – la profondeur des noirs approche visuellement celle d’un OLED sans souffrir d’effets de blooming gênants (très légèrement plus visibles que sur la série C8K mais tout à fait contenus).
Notez que cette dernière dispose de plus de zones de rétroéclairage offrant ainsi une meilleure gestion des objets clairs sur des fonds sombres.
Ce téléviseur souffre d’un très léger effet de vignettage sur les extrémités de l’écran. C’est surtout visible sur des mires mais, au quotidien, il faut vraiment avoir des images totalement uniformes comme source pour percevoir ce phénomène.
En outre, nous n’avons pas constaté d’effet de postérisation, le téléviseur arrivant à proposer des dégradés particulièrement justes et agréables.
Les modes d’image proposés par TCL (Filmmaker, Standard, Dynamique, Jeu, Film, Sport) permettent d’affiner le rendu selon ses préférences ou la nature du programme. Un soin particulier est apporté dans le mode Filmmaker (nouveau chez TCL depuis cette année) qui supprime le surplus de lissage et restitue fidèlement l’intention artistique, tandis que le mode Jeux optimise la latence et la réactivité des couleurs sans trop dénaturer la fidélité globale.
À l’usage, on perçoit la capacité du C7K à valoriser les sources Blu-ray et les flux 4K depuis Netflix ou Disney+.
Le contraste, la quasi-absence de halos autour des objets lumineux, la richesse des dégradés colorimétriques et la netteté permanente favorisent toujours l’immersion. Sur du sport, le traitement anti-saccade MEMC 120 Hz permet une différenciation claire des joueurs et un suivi fluide du ballon, même lors des actions rapides. Les yeux les plus entrainés arrivent toutefois à déceler quelques décrochages au niveau de certains contours d’objets bougeant rapidement sur des fonds hachurés, par exemple.
À noter que, grâce au traitement Quantum Dot Pro, les couleurs semblent naturelles, jamais sur-saturées, même lorsque la luminosité est poussée à son maximum pour une séance de cinéma diurne. On apprécie aussi la possibilité de calibrer finement chaque paramètre via les menus experts, un avantage pour les utilisateurs avertis portés sur la perfection audiovisuelle.
TCL 65C79KLes mesures, sondes à l’appui
Vient maintenant le temps des mesures de cette dalle de 65 pouces. Pour ce faire, nous avons sélectionné le mode Filmmaker qui permet, sur le papier (et dans la réalité) d’obtenir les résultats les plus proches d’un rendu de type cinéma.
Nous avons constaté une bonne fidélité des couleurs avec un Delta E moyen de 2,57, ce qui est inférieur au seuil de 3, en dessous duquel l’œil humain n’arrive plus à voir la différence entre la couleur demandée et celle qui est affichée à l’écran.
Pour ce qui est de la température moyenne des couleurs, nous avons relevé 7089 K, soit une valeur un peu supérieure à la cible idéale qui est de 6500 K. Enfin, le gamma moyen est de 2,4 avec plusieurs cassures sur l’échelle de gris. Exactement comme sur le C8K, globalement, c’est relativement bien géré mais nous nous attendions à un suivi plus stable.
Avec des contenus HDR, toujours en mode Filmmaker, le Delta E moyen relatif à la fidélité des couleurs est plus juste avec une mesure à 2,43, donc une fois encore inférieur au fameux seuil de 3. En mode Film, c’est bon aussi avec une valeur mesurée à 2,47. En activant le mode IMAX, on obtient une mesure correcte de 2,37.
Concernant la luminosité, nous avons relevé un pic de luminosité de 1697 cd/m². C’est correct mais nettement inférieur à la mesure de 3274 cd/m² relevé sur le C8K. Rappelons qu’à l’heure de l’écriture de ces lignes, le record absolu, selon nos mesures, est de 3487 cd/m² détenu par le Hisense U8Q.
Le C7K est moins lumineux que le C89B prédécesseur du C8K, ce qui est normal étant donné qu’il se situe légèrement en dessous en termes de caractéristiques techniques. Le mode Film nous permis de mesurer un pic à 1704 cd/m² tandis que le mode IMAX plafonne à 1644 cd/m². Rappelons que le Samsung QN90F a été mesuré à 2477 cd/m². Le téléviseur TCL peut être apprécié dans des environnements lumineux.
Pour une mire qui occupe 100% de la surface de l’écran, nous avons relevé 556 cd/m² ce qui est correct et là aussi (normal), inférieure à la mesure notée sur le C8K.
Enfin, concernant les couvertures des espaces colorimétriques, le téléviseur offre de belles prestations avec des mesures de 98,7% pour le rec709, 96,7% pour le DCI-P3 et un très bon 79% pour le BT2020.
TCL 65C79KGaming, un excellent allié pour les jeux
Exactement comme le TCL C8K, cette série C7K n’a pas à rougir face aux téléviseurs orientés gaming premium. Grâce à ses ports HDMI 2.1 compatibles 4K/144 Hz, la réactivité est au rendez-vous et le téléviseur s’adresse aussi bien aux joueurs de consoles next-gen comme la PS5 ou la Xbox Series X qu’aux possesseurs de PC gaming performants. La compatibilité VRR (taux de rafraîchissement variable), ALLM ainsi qu’AMD FreeSync Premium Pro offrent une expérience fluide, sans tearing ni lag perceptible. Le passage automatique en mode faible latence optimise la réactivité lors de la détection d’une console ou d’un PC, offrant un input lag mesuré à 13,2 ms. D’accord, ce n’est pas le meilleur du marché, la référence restant, à l’heure de l’écriture de ces lignes, le TV Panasonic Z95A avec ses 8,9 ms (le Z95B propose 9 ms) mais cela suffit largement si vous n’êtes pas un joueur professionnel.
En jeu, le Mini LED assure des noirs profonds et une gestion indépendante du rétroéclairage dans les séquences sombres, évitant les fuites lumineuses et les effets de blooming même lors de scènes à hauts contrastes. Le traitement d’image AiPQ Pro adapte l’affichage en temps réel pour limiter la postérisation et maintenir la netteté lors des mouvements rapides, tout en assurant une colorimétrie stable pour l’interface des jeux les plus colorés ou les séquences cinématiques immersives.
Pour ce qui est des mesures, notez que nous avons relevé un Delta E moyen de 3,25 lorsque le mode Jeu est activé et un pic de luminosité de 1729 cd/m².
La possibilité d’afficher du 4K jusqu’à 144 Hz nativement est un atout rare dans cette gamme de prix, ce qui ravira les amateurs de FPS compétitifs ou de jeux de course, par exemple. Les fonctionnalités Game Master, via un panneau de contrôle complet, assurent une prise en charge optimale de la détection automatique des consoles ou des PC, affichant instantanément les paramètres essentiels à l’écran et permettant d’ajuster la latence, la synchronisation ou la netteté selon ses besoins.
TCL 65C79KAudio
L’audio du TCL 65C7K est confié à un système développé en partenariat avec Bang & Olufsen, avec la compatibilité Dolby Atmos et DTS Virtual:X. Dès les premières minutes d’écoute, on retrouve une restitution assez large et ample, ainsi qu’une certaine chaleur, et une restitution aiguë claire même sur des dialogues ou lors des séquences musicales exigeantes.
En dehors des séances de cinéma, le téléviseur offre un rendu équilibré sur les chaînes TNT, les streaming vidéo et la musique. Les effets surround virtuels gagnent en crédibilité dans les films et permettent une certaine spatialisation lors de scènes d’action. Les voix ressortent avec clarté.
Bien sûr, les audiophiles y trouveront peut-être une limite en termes de profondeur du grave face à une véritable barre de son ou un ensemble home-cinéma, mais pour une solution intégrée, le TCL 65C7K tire plutôt son épingle du jeu. On peut également regretter l’absence de sonorité provenant du haut de TV, ce qui est le cas pour la série C8K, mieux équipés avec sa configuration 2.1.2 canaux dont deux haut-parleurs placés au sommet. Ici, ce sont deux radiateurs passifs qui font le job pour les basses.
Exactement comme sur le C8K, une égalisation Beosonic signée Bang & Olusen permet d’affiner le rendu selon le type de contenu regardé, ce qui ajoute du confort lors des utilisations variées.
En complément, la connectique eARC permet de passer facilement à une installation sonore plus ambitieuse sans prise de tête ni perte de qualité.
TCL 65C79KInterface, toujours Google TV à la manœuvre
Exactement comme le TCL C8K et les autres modèles de la marque, le TCL 65C7K repose sur Google TV. Rappelons qu’il s’agit de l’une des interfaces les plus complètes et intuitives du moment. L’accès aux principales plateformes de streaming est immédiat via la page d’accueil. La navigation entre les différents menus se fait sans aucune latence et les menus profitent d’une présentation claire et hiérarchisée qui met en avant aussi bien les contenus tendances que la personnalisation de la page d’accueil.
Comme sur les TV Sony les plus récents, notez la présence d’un menu TCL, tout en haut de l’écran principal. Contrairement au menu du fabricant japonais, ici, on a accès à des contenus en direct disponibles sur les chaînes de la plateforme TCL Channel et les chaînes de la TNT.
L’intégration de l’assistant vocal Google permet de piloter la TV à la voix et de contrôler d’autres objets connectés du foyer, du thermostat à l’éclairage en passant par les systèmes audio compatibles. Dommage, à l’heure de l’écriture de ces lignes, l’assistant Gemini n’est pas de la partie. En matière d’IA au sein de son interface, Google accuse un certain retard face à Samsung (Tizen) et LG (webOS).
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La richesse de l’offre d’applications, via le Play Store, garantit un accès aux jeux casual, à la VOD, aux plateformes musicales et plus encore. En outre, l’interface permet aussi d’utiliser Chromecast, d’accéder aux contenus partagés via DLNA, ou de piloter le téléviseur à distance avec un smartphone Android ou iOS.
Les réglages avancés ne sont pas oubliés, et les menus sont bien organisés pour les parcourir sans difficulté, le cas échéant. TCL a retravaillé certains menus de configuration par rapport à ceux de Google TV.
Graphiquement proches de ceux développés par Sony, on en apprécie la sobriété et l’accès direct afin de pouvoir modifier certains paramètres en toute connaissance de cause.
TCL 65C79KConsommation
Nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, Les 100 (HD 5.1) pendant 4 heures avec le son et les paramètres de l’image réglée sur le mode Filmmaker. Dans ces conditions que nous reproduisons pour tous les tests de téléviseurs et avec le capteur de luminosité désactivé, le téléviseur propose une consommation raisonnable.
Pour la série en HDR (Dolby Vision sombre plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne de 50 W, ce qui est extrêmement raisonnable là aussi.
La consommation en veille est de 0,5 Watt sauf si on laisse le mode réseau activé dans les paramètres, le téléviseur se tenant prêt à obéir à vos ordres vocaux et consommant alors 2 Watts.
TCL 65C79KPrix et date de sortie
Sorti au printemps 2025, le TCL 65C7K de 65 pouces s’affiche en magasin autour de 990 euros selon les principales enseignes au moment de l’écriture de ces lignes.
Il se positionne à un tarif sensiblement égal au Hisense U7Q et LG QNED85A mais moins cher que les modèles phares de Samsung (QN90F) et Sony (X95L) pour des prestations techniques très intéressantes.
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