Test de l’Amazfit Helio Strap : trois mois avec le premier concurrent du bracelet Whoop

Amazfit, le fabricant chinois de montres de sport et de bague connectée se lance sur une nouvelle catégorie de produit en vogue.

Un bracelet, pas d’écran, un suivi continu de la fréquence cardiaque, des scores et analyses du sommeil et de l’entraînement, pas d’abonnement, 99 euros tout compris. C’est simple, l’Helio Strap reprend la formule des bracelets connectés Whoop en supprimant les 264 euros annuels minimum du modèle américain.

Mais concurrencer un produit ne se résume pas à plaquer les mêmes capteurs dans un boîtier similaire. L’application d’Amazfit sera-t-elle à la hauteur ? Les analyses aussi fines ? Les recommandations aussi pertinentes ? Nous portons l’Helio Strap jour et nuit depuis trois mois. Voici notre test et avis complet.

Amazfit Helio StrapFiche technique

Ce test a été réalisé avec un Amazfit Helio Strap fourni par Amazfit.

Amazfit Helio StrapPas d’écran, pas de bouton

Si l’Amazfit Helio Strap ressemble aux bracelets Whoop au premier coup d’œil, son système d’accroche change la donne. Ici, pas de mécanisme de fermoir à clapet, mais un scratch classique. Exit la partie métallique du Whoop et place à une languette textile toute simple, en nylon.

On se serait passés de l’inscription orange Amazfit au bout de la languette. Sans dire que le Whoop soit particulièrement élégant, l’Helio Strap évoque davantage un bracelet d’hôpital. La boucle passe au-dessus du bloc capteur, masquant le plastique sous un effet de tissu noir plus discret. C’est toujours ça.

Gros point positif : l’accroche bracelet est un standard 22mm, donc on peut utiliser n’importe quel bracelet compatible du marché avec l’Helio Strap.

Le cœur du produit est ce petit boîtier en plastique noir d’environ 4 cm de long pour 2 cm de large et un gros centimètre d’épaisseur — des dimensions très similaires à la concurrence. C’est sur la masse qu’Amazfit prend l’avantage : 21 grammes au total, contre 32 grammes pour le Whoop 4.0.

Le produit est dépourvu d’écran comme de bouton physique. En plus du capteur optique, on note seulement l’intégration d’une LED et d’un vibreur, utilisés respectivement pour indiquer la charge et pour les réveils. Pour la recharge, Amazfit s’appuie sur deux petits pins propriétaires, comme sur ses montres de sport.

L’Amazfit Helio Strap est certifié jusqu’à 50 mètres, mais la notice déconseille l’utilisation en sauna ou douche chaude. Aucun problème pour les éclaboussures du quotidien ou les séances de natation.

Côté accessoires, le fossé se creuse. Whoop a développé une gamme complète pour accrocher le capteur au biceps, dans des shorts, leggings, brassières… et propose de nombreux coloris et textures. Amazfit a depuis lancé une version biceps, mais reste bloqué sur un unique coloris noir. Le choix est vite fait — une version blanche serait dans les cartons.

Précisons que le port au biceps permet une meilleure précision de la mesure de la fréquence cardiaque, en plus d’être plus discret au quotidien.

Amazfit Helio StrapUne application inspirée, mais imparfaite

Le système d’accroche du Helio Strap apporte deux différences à l’usage par rapport au Whoop :

• il est beaucoup plus simple à ajuster, grâce à la sangle scratchée ;
• il faut un peu plus de temps pour séparer le bloc du bracelet, pour laver ce dernier par exemple.

Aucune gêne particulière n’est à signaler après trois mois de test : le Amazfit Helio Strap est sans surprise confortable au poignet avec ses 21 grammes. Nous n’avons pas essayé l’attache pour le porter au biceps, mais nous n’avons pas de crainte puisque nous utilisons notre Whoop sur cette partie du corps depuis deux ans.

Avant toute chose, nous avons trouvé la synchronisation entre le bracelet et l’application très rapide. Ce petit point de détail est à souligner face à la relative lenteur des autres bracelets et montres de sport sur le marché. Amazfit s’en sort très bien ici.

Le but est en effet de laisser l’application tourner en tâche de fond pour laisser la synchronisation se faire en continu. L’application Amazfit (appelée Zepp) est à ce sujet aussi insistante que celle de Whoop en vous bombardant de notifications si vous avez le malheur de la fermer définitivement. C’est d’autant plus étonnant qu’elle se ferme assez rapidement d’elle-même en arrière-plan.

L’application vous harcèle également lorsque le bracelet n’a plus beaucoup de batterie.

Le fonctionnement du Helio Strap et le design de l’application Zepp s’inspirent sans se cacher de Whoop, et c’est tant mieux. On se retrouve donc avec trois principaux scores. Ces derniers ont chacun droit à leur menu dédié dans l’application, en plus d’être exposés sur l’écran d’accueil :

• un score de sommeil (sur 100) : une évaluation de la qualité globale de votre sommeil à partir de plusieurs données comme la durée et la régularité ;
• un score de Biocharge (sur 100) : votre niveau de batterie disponible, à partir de la récupération et du stress/effort accumulé ;
• un score d’effort (sur 100 %) : la charge d’entraînement cumulée sur la journée, à partir de l’intensité et de la durée de vos activités.

Ces trois scores sont présentés sous forme de jauges sur l’écran d’accueil et sont accompagnés de quelques conseils générés par l’application ici et là au fil de la journée. Ceux qui le veulent pourront remplacer ces jauges initiales par d’autres proposées dans l’application.

Justement, juste en dessous, l’utilisateur peut choisir d’afficher des métriques secondaires, tout en agençant leur ordre d’apparition. Elles vont du risque d’apnée du sommeil à la variabilité de la fréquence cardiaque, en passant par le niveau de fatigue.

Pour aller plus loin
SpO2, ECG, VFC, fréquence cardiaque : comment les montres connectées prennent soin de votre cœur

Toujours sur l’écran principal de l’application, un scroll de plus vous permettra d’afficher votre fréquence cardiaque actuelle, votre nombre de pas, de calories, votre niveau de stress et même de renseigner votre masse et vos consommations alimentaires du jour. Là encore, vous pouvez masquer et réordonner ces données.

Trois autres pages de l’application sont réservées aux détails de chaque score, avec des graphiques et des historiques un peu plus poussés. On y trouve par exemple les évolutions hebdomadaires et mensuelles de la fréquence cardiaque au repos ou celles de notre régularité de coucher et de lever. Les habituelles répartitions des phases de sommeil se trouvent logiquement dans l’onglet dédié au sommeil.

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Le second menu de l’application regroupe les activités effectuées et propose des données sur la charge d’entraînement et le temps de récupération. Nous ne l’avons pas franchement consulté pendant nos 3 mois de test, puisque le bracelet est censé détecter tout seul les activités — nous y reviendrons. Ce menu est certainement plus utile avec une des montres de sport de la marque.

Le troisième menu est un fourre-tout de soi-disant intelligence artificielle, appelée Zepp Aura chez Amazfit. Résumés hebdomadaires et mensuels, évaluation de la santé, musique personnalisée, bruits naturels et exercices de respiration se côtoient donc ici. Un chatbot est évidemment de la partie.

L’expérience utilisateur est franchement dégradée.

La majorité de ces options sont payantes et l’application tente de nous les pousser quasi quotidiennement, souvent par le biais des notifications avec des titres peu clairs. Surtout, elle nous fait terminer sur une page de souscription avec des promotions et des cadeaux dans tous les sens. L’expérience utilisateur est franchement dégradée.

Je viens par exemple de recevoir trois fois la même notification en une seconde : « Beau travail ! Votre activité a débloqué une remise, découvrez combien vous avez gagné ». Tout ça pour me rediriger vers cette fameuse page de paiement.

Le dernier menu permet de paramétrer le bracelet : mise à jour logicielle, alarmes, sensibilité de la reconnaissances d’entraînement… L’Helio Strap peut aussi vous alerter en cas de fréquences cardiaques anormalement élevées ou basses durant la journée.

Amazfit Helio StrapDes scores présents, des analyses absentes

L’Helio Strap embarque un capteur optique et de température, ainsi qu’un accéléromètre et un gyroscope. À partir de ces composants, le bracelet mesure, détermine ou estime :

• la fréquence cardiaque en continu ;
• la variabilité de la fréquence cardiaque ;
• le niveau d’oxygène dans le sang ;
• la fréquence respiratoire, la température cutanée, les phases de sommeil, le risque d’apnée du sommeil (sans validation médicale).

Rappelons que l’Helio Strap n’est pas une montre de sport : c’est un bracelet pensé pour le suivi continu de votre récupération et de votre entraînement. Vous ne trouverez donc pas de GPS intégré, ni de bouton pour lancer une activité.

Eh oui, comme Whoop, l’Helio Strap est censé les détecter automatiquement. Au début de mon test, ces détections étaient catastrophiques. Trop sensibles, elles découpaient mes sorties trail running en quatre, cinq ou six séances, puisqu’elles attribuaient une fin d’activité à chaque petite pause ou partie en descente pendant laquelle mon cœur battait moins vite.

Depuis les dernières mises à jour en fin d’été 2025, l’Helio Strap a vraiment progressé sur ce point, mais :

• il reste trop sensible et détecte des « activités quotidiennes » qui ne devraient pas l’être ;
• il n’attribue pas d’activité précise en se servant des capteurs et d’algorithmes (course à pied, vélo…) : chaque activité est donc indiquée comme étant une… activité ;
• sur nos séances de course à pied, les heures détectées de début et fin d’activité sont systématiquement 2 à 3 minutes en retard ;
• je n’ai toujours pas compris comment modifier manuellement lesdites heures de début et fin d’activité pour rectifier le tir.

L’Helio Strap s’appuie uniquement sur la fréquence cardiaque pour attribuer une charge d’entraînement et un score d’effort. Peu importe la distance de votre sortie course à pied du jour, il a simplement besoin de connaître l’intensité et la durée de votre séance.

Score d’effort

Ce score d’effort est justement rapidement rempli, en tout cas plus vite que celui de Whoop, qui nous avait déjà surpris sur ce point lors de notre test.

Cinquante minutes de footing très doux (zone 1) m’ont fait atteindre 53 % de score d’effort. Aujourd’hui, une heure de footing actif (zone 3) a tout simplement rempli la jauge à 100 %. On se retrouve avec le même problème que le Whoop : une fois à son maximum, le score ne peut plus évoluer.

La terre entière ne fait pas de trail de plus de 10 heures, certes, mais je trouve que le score d’effort se sature trop vite. Dimanche dernier, l’Helio Strap m’avait déjà attribué un score d’effort de 100 % après 1 h 30 de footing, alors que j’avais une sortie trail de 4 heures l’après-midi, qui n’a donc eu aucun effet supplémentaire sur le score.

Chaque activité a droit à son training effect aérobie et anaérobie. On retrouve même le graphique connu des sportifs d’endurance pour surveiller sa charge d’entraînement (ATL, CTL, TSB). On sent ici l’historique d’Amazfit dans les montres de sport, mais c’est aussi ici qu’à trop en faire, l’Helio Strap s’éloigne des données clés en main du Whoop.

L’Helio Strap peut diffuser sa mesure de fréquence cardiaque en temps réel vers d’autres appareils, comme une montre GPS ou votre application Strava.

Les deux autres scores (BioCharge et sommeil) doivent être pris avec les mêmes pincettes : soyez intelligent dans votre interprétation.

Score de BioCharge

Le score de BioCharge évolue en continu, en fonction de votre sommeil pour commencer, puis de vos activités la journée. Il diminue donc progressivement au fil des activités de la journée, sans pour autant démarrer systématiquement à 100 chaque matin. Par exemple, je me suis réveillé ce dimanche avec 88 de score et j’ai terminé la journée à 5 % après un total de 5 heures de sport réparties sur la journée.

C’est là aussi une différence de vision et de proposition entre les deux marques.

J’ai le même avis sur ce score que sur la body battery de Garmin : cela reflète souvent mon état actuel, mais je n’en tire aucune plus-value. On préfère le moniteur de stress de Whoop qui permet de comparer ses niveaux de stress chaque jour avec sa moyenne personnelle.

Une chose est sûre, les codes couleur de l’application du Helio Strap sont plus doux que celles du Whoop. C’est bête, mais on ne se réveille jamais avec un énorme chiffre rouge dans la face. Le score BioCharge au réveil a systématiquement été plus élevé que notre score de récupération Whoop : Amazfit semble être bien plus optimiste.

Il faut aussi préciser que le score Whoop n’évolue pas au long de la journée. Il s’agit d’un score de récupération déterminé uniquement au réveil, là ou l’Helio Strap propose plutôt un score à l’instant T. C’est là aussi une différence de vision et de proposition entre les deux marques.

Score de sommeil

Le score de sommeil évalue quant à lui la qualité globale de votre nuit à partir de sa durée, de votre régularité, du temps passé dans chaque phase, de la fréquence cardiaque, etc. Jusqu’à preuve du contraire, ne vous fiez jamais aux analyses de phases de sommeil pour ce genre de produit, mais plutôt de la durée totale et votre fréquence cardiaque au repos.

Les données du Helio Strap sont parfois semblables à celles de notre Whoop, avec une même tendance de variabilité de la fréquence cardiaque par exemple, mais le temps d’éveil est pour le coup dans les choux avec quasi 0 minute toutes les nuits, contre 15 à 20 minutes habituellement.

Les heures de coucher et de lever sont plutôt proches de la réalité, mais l’Amazfit Helio Strap se fait lui aussi avoir par une séance de cinéma. On repassera aussi pour les siestes fantômes de quelques minutes que notre Helio Strap a inventé à plusieurs reprises lors de nos trois mois de test. Les moments de mi-éveil quand je traîne au lit 20 minutes le matin sont toujours catégorisés comme étant du sommeil.

L’application propose des tags de sommeil pour ajouter des informations avant chaque nuit et au réveil — dernière activité du soir et humeur matinale. C’est un plus pour ceux qui veulent comprendre leurs habitudes.

L’approche reste cependant bien plus timide que le système de journaling complet de Whoop, qui essaie de corréler certaines habitudes quotidiennes renseignées manuellement par l’utilisateur avec la qualité de son sommeil.

On regrette surtout l’absence d’un assistant de sommeil. Là où Whoop nous indique chaque soir notre heure optimale de coucher (en fonction de la base nécessaire + les efforts de la journée + la dette de sommeil + les siestes) l’Helio Strap ne fait rien. Il se contente de vous réveiller à l’heure indiquée dans la section alarme. À noter que le vibreur est plus faible, plus diffus et donc moins agréable que celui du Whoop.

En conclusion, si les données sont là et que leur affichage est plutôt réussi sur l’application Zepp, Amazfit reste derrière Whoop au global. L’application est plus fouillis, pour ne pas dire moins sexy, et il manque cette dernière brique pour tout lier et offrir de vraies analyses et conclusions à l’utilisateur.

L’Helio Strap et son application sont cependant régulièrement mis à jour. Qui sait ce qu’Amazfit nous réserve dans les prochains mois ?

La précision de la fréquence cardiaque du Amazfit Helio Strap

Nous avons uniquement testé la fiabilité des mesures de la fréquence cardiaque du Helio Strap porté au poignet, lors de trois séances de course à pied. Nous ne comparerons donc pas ces résultats avec ceux du Whoop 4.0, qui était porté au biceps, un emplacement qui permet généralement des mesures plus précises.

Sur des footings, les résultats sont convaincants, avec tout de même de beaux loupés ici et là. La seconde comparaison montre par exemple que l’Helio Strap a manqué une baisse de la fréquence cardiaque au début de la course à pied (sûrement quand j’attendais devant un passage piéton) et a, à l’inverse, raté une hausse de la fréquence cardiaque à la fin de la course.

Étonnamment, le bracelet s’en est bien mieux sorti sur une séance de côte, avec des intervalles normalement compliqués à suivre. Toutes les hausses et baisses sont bien détectées, mais le pic de fréquence n’est pas correctement identifié.

Ci-dessous les valeurs moyennes et maximales enregistrées sur ces trois séances, par l’Amazfit Helio Strap et par notre appareil de référence.

Comparaison des fréquences cardiaques moyennes :

Comparaison des fréquences cardiaques maximales :

L’Helio Strap offre donc des mesures plutôt fiables, tout en restant loin des montres de sport haut de gamme. Si Whoop fait mieux, il affiche encore aujourd’hui souvent des loupés de deux à trois minutes au début des séances.

Un dernier test sur une séance de seuil de a montré les limites de l’Helio Strap, puisque ce dernier a correctement enregistré trois des cinq blocs de cinq minutes.

Choisissez le brassard biceps proposé en option pour l’Helio Strap si vous souhaitez des mesures les plus fiables possibles.

Amazfit Helio StrapUne autonomie qui dépasse les promesses

Amazfit annonce jusqu’à 10 jours pour son Helio Strap. À titre de comparaison, le Whoop 4.0 promettait 4 à 5 jours d’autonomie, contre 14 jours pour le Whoop 5.0 et le Whoop MG. Le Polar Loop avance quant à lui 8 jours de batterie.

Dans les faits et après six tests complets, notre moyenne se situe à 11 jours et 18 heures d’autonomie pour l’Helio Strap. Le bracelet dépasse donc les promesses d’Amazfit. Nous avons oscillé entre 11 jours et 3 heures pour le test le plus court, et 12 jours et 8 heures pour le plus long.

Comme il n’y a pas d’écran sur le bracelet, il est impossible de vérifier le niveau de batterie sans l’application. Il faut donc l’ouvrir ou simplement attendre qu’elle vous harcèle.

Pour la recharge, on aimante le petit connecteur magnétique habituel d’Amazfit sur les deux pins du boîtier, puis on branche le tout avec un câble USB-C. Une LED bleue s’allume pendant la charge, puis verte une fois plein — comptez environ 2 heures pour une recharge complète.

Attention à ne pas perdre le petit connecteur. Je ne dis pas ça car je l’ai égaré dès ma première semaine de test, pour le retrouver trois jours plus tard au fond de mon sac.

Amazfit Helio StrapMoins de 100 euros tout compris

C’est ici que l’Amazfit Helio Strap frappe fort. Là où Whoop impose un abonnement mensuel, Amazfit fait le choix du paiement unique. Le bracelet est vendu 99,90 euros, et c’est tout.

À titre de comparaison, les Whoop 5.0 ou MG demandent entre 199 euros et 399 euros par an. Le Polar Loop, concurrent direct sans abonnement lui aussi, se positionne à 179 euros.

Si Amazfit ne facture aucun abonnement pour accéder aux fonctionnalités principales, l’application Zepp a tout de même la fâcheuse tendance à nous pousser ses fonctions Aura (chatbot IA, musiques personnalisées, exercices de respiration…), payantes pour le coup.

L’Amazfit Helio Strap est disponible en un unique coloris noir. Une version d’accroche au biceps existe pour ceux qui préfèrent porter le capteur au bras. Comptez alors une quinzaine d’euros. On a pu voir ici et là sur internet une version blanche du bracelet, mais rien d’officiel sur le site Amazfit pour le moment, début octobre 2025.