Que vaut l’Asus VivoBook Pro 16X OLED entre les mains de développeurs de jeu vidéo ?

On avait dit en 48 heures ? Ah bah, il n’en reste plus que 24. Bonne chance.

 

Asus a sorti il y a quelques semaines un nouveau PC portable, l’Asus VivoBook Pro 16X OLED. Nous avons demandé à des développeurs de jeu vidéo qui ont travaillé avec ce PC lors d’une gamejam ce qu’ils en ont pensé.

L’Asus VivoBook Pro 16X OLED, parfait pour les graphistes // Source : Johana Hallmann pour Humanoid XP

Il y a quelques jours, nous avons demandé aux Crafteurs, une équipe de quatre développeurs, de créer en moins de 48 heures un jeu vidéo. Ce défi comprenait deux contraintes :

  • Respecter le thème imposé : « Vous pouvez vous arrêter, mais… »
  • Utiliser uniquement des PC portables Asus VivoBook Pro 16X OLED pour créer ce jeu vidéo.

C’est ce défi, intitulé #AsusGamejam, que nous allons vous raconter aujourd’hui. Suite à notre premier épisode, notre équipe de développeurs a commencé à travailler sur un jeu vidéo. Comment se passe cette #AsusGamejam ? Les VivoBook Pro 16X OLED tiennent-ils le choc ? Voici le récapitulatif de leurs 24 premières heures d’aventures.

Cela fait un peu plus d’une journée que Les Crafteurs ont démarré l’#AsusGamejam accompagnés par les VivoBook Pro 16X OLED. Entre appréhension sur le choix du thème, prise en main des machines et contraintes de temps, voici, à J+1, les premiers retours de notre équipe de créatifs sur leur expérience.

Qui sont les Crafteurs, les développeurs de l’#AsusGamejam ?

Les Crafteurs, c’est une équipe de développeurs composée de quatre membres aux personnalités et compétences bien différentes, mais complémentaires. De gauche à droite, rencontrez :

Simon, 30 ans

C’est le touche-à-tout de la bande. Son truc, c’est le processus créatif. C’est aussi l’oreille de l’équipe puisqu’il est chargé de la partie musicale (guitare, basse, batterie, piano, chant). Dans la vie, Simon aime les Lego et le métal progressif.

Joris, 29 ans

Joris, son truc c’est l’image. Chez les Crafteurs, c’est lui qui se charge des modélisations d’assets en 3D, du texturing ou encore du travail d’animation et le rendu pour des cinématiques. Au sein de la team, c’est aussi un élément polyvalent. Il est par exemple à l’origine de l’impression 3D de l’un des grille-pain de Toasterball qui a servi à décorer un stand sur un salon.

Théo, 22 ans

Benjamin de la team Crafteurs, c’est l’un des deux développeurs de l’équipe. Il se charge de la programmation. Les jeux vidéo, c’est vraiment son truc. Il a commencé en ayant Alex comme professeur. Si le développement reste son domaine d’excellence, il est lui aussi un peu touche-à-tout, notamment sur la partie graphisme. Son carburant principal : les chips.

Alex, 27 ans

Petit, il voulait être « dessinateur-inventeur ». Aujourd’hui, il s’occupe de la programmation, mais garde un œil attentif sur la direction artistique. Dans la vie, il aime les jeux de rôle, les films compliqués et la cuisine.

Pendant 48 heures, ces quatre amis ont donc relevé le défi de cette game jam un peu spéciale. Et ils ont fait le pari de travailler uniquement sur des Asus VivoBook Pro 16X OLED. Si le matériel est plutôt d’une grande aide, le reste des conditions de la game jam reste un sacré défi.

Une Gamejam, c’est surtout une course contre la montre

Dans une Gamejam, la plus grosse contrainte de ces 48 heures de programmation et de création reste sans aucun doute le temps. « C’est notre pire ennemi », avoue Théo. « C’est un vrai défi, car il faut savoir gérer notre temps et accepter d’abandonner beaucoup de bonnes idées », précise Joris.

Un timer rappelle aux participants leur temps restant // Source : Johana Hallmann pour Humanoid XP

« On était parti sur une ambiance banquise qui nous plaisait beaucoup », explique Simon, le compositeur de l’équipe. « On avait trouvé un gameplay dans lequel tu glissais sans t’arrêter, on commençait à bien ébaucher l’idée, mais on s’est rendu compte qu’on n’aurait jamais le temps, alors on a dû abandonner », explique-t-il pour nous donner un exemple.

C’est dans ce genre de challenge, que l’étape du premier brainstorming se doit d’être le plus efficace possible. « On a une manière de fonctionner qui s’apparente aux mécanismes de l’improvisation », raconte Joris. « Lors de la recherche d’idées, on ne dit non à rien, toutes sont acceptées et ensuite chacun s’en empare. »

Alex et Simon, testent des assets pendant le 2e jour // Source : Johana Hallmann pour Humanoid XP

Pour épauler le mécanisme de réflexion, Alex, l’un des deux développeurs a apporté un outil précieux : un générateur de thèmes qui contient notamment différents univers générés aléatoirement comme « bande dessinée » ou « vie quotidienne ». La méthode permet d’encadrer la thématique et de l’orienter dans une direction.

Comment faire pour trouver une bonne idée ? « On est obligés de poser des contraintes supplémentaires », précise Alex. « Avec l’horloge qui tourne, si on reste dans le vague trop longtemps on perd du temps, et le temps, on n’en a pas », ajoute-t-il en riant (mais avec une note d’angoisse dans la voix quand même).

Ce qu’il reste encore à faire

« Pour le moment, on est pile dans la bonne zone », amorce Joris. « Il nous reste encore 24 heures, le processus créatif est bien lancé, tout semble possible ».

« On paniquera demain quand il ne nous restera plus qu’une heure, qu’il va nous manquer des finitions et qu’il faudra abandonner certaines choses en route », précise Simon en riant.

« Là on va faire en sorte que tout marche, mais mal, et que ce soit moche (rires) », raconte Alex.

Il reste donc encore une journée entière de game jam. La dernière journée, réservée, en principe au peaufinage du jeu et à son habillage. Le tout sur les VivoBook Pro 16X OLED mis à disposition par Asus.

Le VivoBook Pro 16X OLED, un allié de poids pour la création vidéoludique

Pour réaliser un jeu vidéo avec des contraintes de temps si importantes, il faut des ordinateurs puissants et capables de répondre aisément à des exigences créatives. Le VivoBook Pro 16X OLED possède ce profil.

L’Asus VivoBook Pro 16X OLED, un ordinateur pensé pour les créatifs // Source : Johana Hallmann pour Humanoid XP

Cet ordinateur nomade d’Asus, pensé pour les créatifs, embarque une fiche technique musclée :

  • Processeur Intel Core i7-11370H 3,3 GHz ;
  • Carte graphique Nvidia GeForce RTX 3050 ;
  • 16 Go de RAM LPDDR4 ;
  • Stockage SSD M.2 NVMe PCIe 3.0 de 1 To ;
  • Une dalle 4K 16 pouces OLED, avec un temps de latence de 0,2 ms, et une luminosité de 550 nits.

Avec son écran OLED, son processeur de dernière génération et ses 16 Go de RAM, le VivoBook Pro 16X OLED est taillé pour faire tourner des applications comme Blender, Unity, Reaper ou encore Visual Studio Code.

Un très bel écran OLED 4K, parfait pour le travail graphique

Durant cette game jam, l’un des atouts de ce VivoBook Pro 16X OLED qui a mis tout le monde d’accord, c’est l’écran OLED 4K. Avec une couverture de 100 % de l’espace colorimétrique DCI-P3, l’écran de cet ordinateur portable est conçu pour les créatifs. Son ratio 16:10 est lui aussi pensé pour la productivité et offre un format plus qu’intéressant. Et avec sa dalle OLED, les noirs sont plus profonds, et les couleurs plus éclatantes et proches de la réalité.

« C’est hyper agréable, je n’ai jamais eu un écran avec des couleurs aussi justes » apprécie Joris.

L’homogénéité du calibrage des écrans est également un gros avantage pour ceux qui travaillent en équipe.

« En plus de rendre les images magnifiques, le fait que les écrans soient calibrés nous a rassurés dans les choix de la direction artistique et des couleurs », complète Simon. « On était tous au diapason, avec les mêmes résultats visuels sur tous les écrans, ça nous a fait gagner beaucoup de temps », conclut le crafteur.

La certification Pantone a été, elle aussi, saluée. « Je pense que pour ceux qui font du print, c’est un vrai plus », conclut Joris.

Les deux développeurs ont quant à eux apprécié le confort de frappe du clavier et la propension de la machine à diminuer la lumière bleue. « Quand tu tapes des lignes de code toute la journée, il faut ménager ses doigts et ses yeux », décrit Théo.

Rappelons que l’Asus VivoBook Pro 16X OLED possède une fonctionnalité Eye Care qui permet de réduire de 70 % l’émission de lumière bleue, pour un confort visuel optimal, y compris si vous travaillez la majorité de la journée sur l’ordinateur.

Un outil puissant pour les créatifs

L’autre point fort de ce VivoBook Pro 16X OLED, c’est son processeur Intel de dernière génération. « On travaille en même temps sur Unity et Visual Studio Code », explique Théo. « Là où l’on peut voir que le VivoBook Pro 16X OLED est vraiment bon, c’est qu’il n’y a pas de ralentissement, y compris pendant les temps de compilation des scripts », ajoute-t-il. « Clairement, un processeur Intel aussi puissant est un vrai plus pour la partie dev » », complète Alex.

L’Asus VivoBook Pro 16X OLED // Source : Asus

La RAM est également l’une des pierres d’achoppement des machines lors des événements comme les game jam. « Sur ce genre de projet, on a besoin de ressources. On ne fait pas du triple A donc 16 Go de RAM, c’est le chiffre parfait », analyse Alex. « On peut faire tourner plusieurs logiciels en même temps, sans qu’il y ait de ralentissement notable ».

Un design sobre et soigné

Pensé pour les professionnels de l’image, du son, ou de la programmation, le VivoBook Pro 16X OLED sait également se faire discret dans son esthétique. Exit les ordinateurs connotés gamers : sur ce nouveau modèle, c’est la sobriété qui prime avec un châssis gris comète tout en simplicité équipé d’un revêtement effet tissé.

L’arrière du VivoBook Pro 16X OLED, un fini mat élégant // Source : Johana Hallmann pour Humanoid XP

« Le design du VivoBook Pro 16X OLED est assez élégant par son minimalisme et beaucoup plus pro visuellement qu’un PC type “gamer” du même niveau de performances. Il paraît également plutôt solide », note Alex.

Joris confirme : « ça fait plaisir d’avoir un ordinateur performant qui ne ressemble pas à un monstre gaming avec du RGB partout. »

En somme, le VivoBook Pro 16X OLED offre des performances au top, une configuration parfaite pour les créatifs nomades et un look discret et élégant. Le tout pour un prix inférieur à 1800 euros.

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