
Difficile de parler de photo sans que le nom de Hasselblad ne convoque tout un imaginaire : les missions de la NASA sur la Lune, les studios de mode, les tirages géants d’une résolution incroyable. Une maison qui s’est toujours davantage battue pour la qualité d’image et la signature colorimétrique que pour la longueur de sa fiche technique.
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Le X2D 100C, lancé en 2022, incarnait déjà cette philosophie : un appareil photo hybride moyen format avec capteur CMOS BSI de 43,8 ×32,9 mm et 100 mégapixels, stabilisé, au design scandinave minimaliste, mais avec un autofocus perfectible, une rafale anémique, des temps d’écriture élevés, et un positionnement sans concession : la photo seulement, aucune vidéo.

Le Hasselblad X2D II 100C reprend exactement la même partition… en y ajoutant des améliorations attendues. Autofocus continu avec LiDAR, stabilisation 5 axes annoncée à 10 stops, workflow HDR intégré de bout en bout, autofocus à détection de sujets, joystick, ergonomie refondue, et un prix de lancement abaissé de 1000 euros en comparaison du précédent modèle.
Sur le marché, le X2D II 100C affronte deux grandes familles de concurrents :
- d’un côté, les hybrides plein format “sportifs” type Sony A7R V, Nikon Z8 ou Panasonic S1R II, bien plus rapides, polyvalents et surtout nettement plus abordables en système complet ;
- de l’autre, l’autre grande famille de moyens formats “accessibles” : les Fujifilm GFX, en particulier les GFX 100 II et GFX 100S II, qui misent davantage sur la polyvalence (rafale, vidéo, tarif plus « doux ») que sur un workflow HDR poussé ou une synchronisation flash intégrale.
J’ai passé plusieurs semaines avec le X2D II 100C et le zoom Hasselblad XCD 35-100 mm f/2,8-4 II, un duo qui résume parfaitement le système : lourd, luxueux, exigeant… mais étonnamment agréable sur le terrain.

| Point clé | Hasselblad X2D II 100C | Hasselblad X2D 100C |
|---|---|---|
| Capteur / définition | 102 MP, moyen format 44×33 mm | 102 MP, moyen format 44×33 mm |
| Stabilisation (IBIS) | 5 axes, 10 stops | 5 axes, 7 stops |
| Autofocus – type | AF hybride PDAF + contraste, AF‑C, aide LiDAR | AF à détection de phase uniquement |
| Zones AF | 425 zones PDAF | 294 zones PDAF |
| Détection de sujets | Humains, animaux (chats/chiens), véhicules | Détection basique |
| Rafale | ≈ 3 i/s avec AF‑C et suivi sujet | ≈ 3 i/s avec AF-S |
| Sensibilité ISO natifs | ISO 50–25 600 | ISO 64–25 600 |
| Écran arrière | 3,6″, OLED tactile, HDR, ≈ 1 400 nits, gamut P3, inclinable 90° haut / 42° bas | 3,6″, TFT tactile, SDR |
| Viseur (EVF) | OLED 0,5″, 5,76 Mp | OLED 0,5″, 5,76 Mp |
| Workflow couleur / HDR | HNCS HDR : capture, affichage et export HDR | SDR |
| Écran supérieur | OLED 1,1″ | OLED 1,1″ |
| Connectique | USB‑C 3.1 Gen2 + prise pour déclencheur filaire, lecteur CF | USB‑C 3.1 Gen2 + lecteur CF |
| Joystick | Joystick 5 directions avec retour haptique | – |
| Poids | 840 g (avec batterie) | 905 g (avec batterie) |
| Stockage interne | SSD 1 To | SSD 1 To |
| Prix de lancement | 7 200 euros (boîtier nu) | 8 200 euros (boîtier nu) |
Hasselblad X2D II 100CSpécifications techniques
| Modèle | Hasselblad X2D II 100C |
|---|---|
| Type d’appareil | Hybride |
| Format du capteur | Moyen Format |
| Résolution capteur | 100 Mpx |
| Stabilisateur d’image | Mécanique |
| AF-S | 3 FPS |
| Écran orientable | Oui |
| Poids | 840 g |
| Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec un appareil prêté par Hasselblad.
Hasselblad X2D II 100CUn bloc de métal qui donne confiance
Visuellement, le X2D II 100C ne bouleverse rien, mais impose immédiatement sa classe. C’est un monolithe d’aluminium usiné, à la finition graphite mat, avec des lignes sobres, des angles adoucis et ce mélange très scandinave de minimalisme et de luxe discret. Il ne cherche pas à impressionner par la taille de sa poignée ou la multiplication de boutons : il séduit par sa pureté.

Les finitions sont au niveau attendu : usinage irréprochable, ajustements impeccables, molette supérieure au clic net, boutons à la course courte et précise, châssis parfaitement rigide et, en conséquence, une préhension exceptionnelle.
Minimalisme, mais bien pensé
Le nombre de commandes physiques reste étonnamment réduit pour un boîtier aussi premium, et c’est plutôt une bonne nouvelle : tout tombe naturellement sous les doigts, sans surcharge. Sur le dessus, on dispose de deux molettes de réglage, du déclencheur entouré de l’interrupteur principal, d’un bouton de changement de mode et d’un petit écran de statut de 1 pouce qui affiche en permanence vitesse, ouverture, ISO, mode de prise de vue et niveau de batterie.

Au dos, un joystick 5 directions sert à choisir le collimateur AF et à naviguer dans les menus, accompagné de deux boutons dédiés qui n’existaient pas sur le modèle précédent. Au total, jusqu’à huit boutons peuvent être personnalisés (sur le dessus, à l’arrière et à l’avant de la poignée), ce qui permet d’assigner très finement ses fonctions clés sans jamais avoir l’impression de se battre avec l’ergonomie.
Le menu, lui, reste un modèle de clarté. On est à mille lieues de la complexité des concurrents (Sony, Canon, Nikon, Panasonic…) : peu de catégories, des intitulés limpides, très peu d’options enfouies dans des sous-sous-menus. Hasselblad a visiblement travaillé pour que l’utilisateur n’ait jamais la moindre appréhension en appuyant sur un bouton ou en touchant l’écran. C’est propre, clair, pensé pour l’efficacité et accessible à tous.

Hasselblad X2D II 100CÉcran et visée : superbes et en HDR
Hasselblad n’a pas lésiné avec l’écran et la visée, qui affichent tous deux une image en HDR (P3). L’écran tactile OLED de 3,6 pouces affiche jusqu’à 1 400 cd/m², ce qui lui permet de rester lisible en plein soleil.

L’écran est monté sur une charnière inclinable : environ 90° vers le haut, 40° vers le bas. C’est suffisant pour travailler à la taille, en contre-plongée ou au ras du sol.
Surtout, l’écran gère le HDR. Lorsqu’on visualise une image HEIF ou un Ultra HDR JPEG (le format par défaut), il affiche réellement la plage dynamique étendue : reflets plus denses, hautes lumières plus riches et percutantes, ombres moins bouchées.
Un viseur électronique grand format
Le viseur électronique (EVF) est un vrai régal. Large, très défini (5,76 MP), avec une excellente restitution des couleurs, il donne surtout une impression d’immersion (magnification de 1x) qui rappelle presque la visée optique d’un moyen format argentique.

Résultat : on se surprend à rester dans le viseur plus longtemps que nécessaire, à peaufiner ses cadrages, à profiter du rendu.
Hasselblad X2D II 100CLe XCD 35-100 mm f/2,8-4 II, un zoom polyvalent
Hasselblad ne fait pas de kit “grand public” : chaque objectif XCD est une optique premium, chère, lourde et performante, avec obturateur intégré (leaf shutter) pour une synchro flash à toutes les vitesses.
Pour ce test, j’ai principalement utilisé le X2D II 100C avec le XCD 35-100 mm f/2,8-4 II.
Sur le capteur moyen format, ce zoom couvre un champ équivalent à environ 28-80 mm en plein format. Une plage idéale pour le paysage, le portrait environnemental, l’architecture ou le reportage tranquille.

L’objectif suit la même philosophie que le boîtier : métal, finitions irréprochables, bague de zoom fluide, bague de mise au point à la course longue et progressive. D’ailleurs, en mise au point manuelle, le X2D II 100C n’affiche pas un nuage de points (focus peaking) à l’écran, mais un logo vert pour valider l’endroit où l’image est nette. Il suffit de cliquer à l’écran pour indiquer à quel endroit on veut faire le point, tourner la bague sur l’objectif et on est averti quand tout est net.
Sur le plan optique, le piqué est déjà excellent au centre dès la pleine ouverture, sur toute la plage focale. Les bords se mettent rapidement à niveau, et l’on peut sans hésiter utiliser l’optique à f/2,8 ou f/4 même pour recadrer excessivement ensuite.
Le principal reproche concerne le vignettage. Sur les fichiers RAW ouverts dans Lightroom, il n’est pas automatiquement corrigé : on observe une chute de luminosité dans les angles, assez visible aux grandes ouvertures. En JPEG boîtier, il est corrigé.

Hasselblad X2D II 100CAutofocus LiDAR, IBIS 10 stops et 100 MP, mais toujours pas un sprinteur
Le X2D II 100C est la réponse directe de Hasselblad aux critiques du X2D : autofocus trop lent, absence de suivi continu, stabilisation perfectible, temps d’écriture interminables. Il progresse nettement… mais assume toujours une certaine lenteur.
Autofocus : un vrai bond en avant, sans rattraper les meilleurs hybrides
La grande nouveauté, c’est l’arrivée d’un autofocus continu couplé à un système LiDAR et à la détection de phase sur le capteur. Le LiDAR, technologie bien maîtrisée chez DJI avec ses drones (actionnaire majoritaire d’Hasselblad depuis 2017), permet de mesurer la distance des sujets avec une grande précision, notamment en basse lumière.

En pratique, ça change quoi ?
- L’accroche est plus rapide et plus sûre qu’avec le X2D, surtout en intérieur et en faible luminosité.
- La détection des visages, des yeux, des animaux ou des véhicules, fonctionne bien : le boîtier repère un visage, verrouille l’œil et le suit correctement tant que le sujet ne se déplace pas trop vite ou n’évolue pas sur un fond trop constrasté — ce qui arrive malheureusement.
- L’AF-C est désormais compatible avec la rafale, mais à seulement 3 images/s, la cadence est largement inférieure au moindre appareil hybride à capteur plein format ou APS-C.
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Sur des sujets en mouvement et sur fond lisse, l’AF-C est vraiment exploitable. En revanche, sur des sujets rapides et petits — oiseaux en vol — le boîtier montre ses limites. Il faut soit renoncer à ce type de photo, soit accepter un taux de ratés important.
IBIS 5 axes à 10 stops : un vrai confort
Autre évolution majeure : la stabilisation. Le module IBIS 5 axes est annoncé à 10 stops de gain — bien plus que les 7 stops du X2D et même que les 8 stops du Fujifilm GFX 100 II.

Concrètement, avec le 35-100 mm, on obtient sans trop d’efforts :
- des images nettes à 1 s à 35 mm ;
- des poses de 2 à 3 s exploitables en faisant très attention à sa posture ;
- une liberté presque totale pour travailler en basse lumière sans trépied pour les paysages.
Capteur, dynamique, ISO : le top du top
Le cœur de l’Hasselblad X2D II 100C, c’est son capteur moyen format rétro-éclairé de 102 MP. La dynamique annoncée dépasse 15 stops, avec la possibilité de travailler en RAW 14 ou 16 bits.
Pour aller plus loin
Fichier RAW : qu’est ce que le format RAW utilisé en photographie ?
En pratique, on peut sous-exposer généreusement pour préserver les hautes lumières, puis remonter les ombres de 3 à 4 stops sans casser l’image. La montée en ISO est remarquable : les fichiers restent très propres jusqu’à ISO 6 400, avec un grain fin et homogène — l’une des forces du moyen format. Au-delà, le bruit chromatique apparaît, mais la structure reste agréable.
Le rendu des micro-contrastes, des textures et des transitions tonales est exceptionnel. C’est là que l’on comprend l’intérêt du moyen format : même sur un écran 4K, on perçoit une forme de 3D, de présence, difficile à obtenir avec des capteurs plus petits.
Le moteur couleur HNCS continue de faire des merveilles. Sans simulation de film ni profil “créatif” intégrés, les JPEG et HEIF sortent avec des couleurs douces, naturelles, crédibles. Les tons chairs sont superbes sans retouche, les verts et les bleus d’une grande justesse. Tout paraît étonnamment évident.

HDR intégré : la photo moyen format à la sauce smartphone
Le X2D II 100C est le premier moyen format à proposer un workflow HDR complet, baptisé HNCS HDR. Logique : le capteur offre une dynamique supérieure à la moyenne, et le HDR permet de la mettre en évidence. Le boîtier capture des fichiers HEIF ou Ultra HDR JPEG avec une “gain map” embarquée, ce qui permet sur un écran HDR (écran arrière, EVF, iPhone récent, MacBook Pro, certains moniteurs), d’afficher des pics lumineux bien plus intenses, avec un gamut élargi (P3), et jusqu’à 3 stops supplémentaires dans les hautes lumières.
Sur un écran classique (SDR, sRVB), la même image offre une dynamique standard, sans pour autant écraser complètement les hautes lumières : elle a simplement moins de “punch”.

En pratique, on ne s’occupe de rien : on photographie, et l’image JPEG s’affiche automatiquement en SDR ou HDR selon l’écran. C’est totalement transparent pour le photographe.
Rafale, buffer, temps d’écriture : ce n’est pas un mitrailleur
Malgré le nouveau processeur, la rafale reste le point faible du X2D II 100C. On reste sur des cadences modestes, autour de 3 i/s en AF-C, avec un buffer qui se remplit vite en RAW 16 bits. Avec des fichiers de 200 Mo, ce n’est pas surprenant. Les temps d’écriture dans la mémoire interne (un SSD de 1 To) ou sur la carte CFexpress restent perceptibles : on sent régulièrement le boîtier reprendre son souffle après quelques rafales, beaucoup plus que sur un hybride plein format moderne.

Ce boîtier n’est pas pensé pour l’urgence. C’est un appareil pour travailler lentement, en réfléchissant à chaque image.
Hasselblad X2D II 100CTerriblement inspirant
On pourrait croire qu’un moyen format à plus de 7 000 euros, assorti d’un zoom massif, est un appareil que l’on hésite à sortir. On aurait tort.
Un appareil qui donne envie de chercher la lumière
Le X2D II 100C n’est ni compact, ni léger. Ce n’est pas un Ricoh GR IV que l’on glisse dans la poche pour de la photo de rue au quotidien. Mais lorsqu’on sait que la lumière sera intéressante — ciel d’orage, intérieur sombre, coucher de soleil — on a envie de l’emmener pour le challenger.

En outre, les 100 MP offrent une latitude de recadrage très confortable. On peut composer large, puis recadrer très serré en post-production sans perdre l’impression de détail. En paysage, on transforme un cadrage horizontal en panorama vertical sans préjudice pour la netteté finale. Cette liberté change clairement la manière de photographier.
Des couleurs sublimes… sans simulations de film
Hasselblad ne propose aucune simulation de film, ni preset nostalgique dans le boîtier. Pas de Classic Chrome, pas de profil cinéma, pas de noir et blanc dramatique : le parti pris est radical. C’est naturel, point.

En JPEG ou HEIF, on obtient des fichiers qui nécessitent très peu de retouches pour un usage standard. En RAW, la latitude est immense, et le moindre ajustement semble se mettre en place naturellement. Pour qui aime travailler la couleur, c’est une véritable boîte à outils. On est loin des profils parfois agressifs de certains hybrides.
Hasselblad propose d’ailleurs l’application Phocus 2 pour retoucher les photos, notamment au format RAW et avec un workflow HDR complet.
Hasselblad X2D II 100CIl ne filme pas, et c’est assumé
C’est l’un des choix les plus clivants : le Hasselblad X2D II 100C ne filme pas. Pas de 4K, pas de 1080p, pas même un mode dépannage. Aucune vidéo, point final.
Techniquement, on comprend : lire 100 MP au moins 24 fois par seconde demande un processeur ultra-rapide, ou impose un recadrage violent pour passer de 100 MP à 8 MP (4K). Mais au-delà de l’argument technique, ce choix envoie un message limpide : si votre travail exige de la vidéo, ce boîtier n’est pas pour vous. Si vous voulez un outil monomaniaque dédié à la photo fixe, vous êtes au bon endroit.

Hasselblad X2D II 100CAutonomie : adaptée à l’usage
L’autonomie officielle est donnée pour environ 327 vues selon la norme CIPA, soit avec un usage mixte photo et visionnage. En pratique, on passe sans problème la barre des 600 clichés. Le plus gros consommateur d’énergie ici semble l’écran OLED et ses 1400 nits.
Le boîtier se recharge via USB‑C, ce qui permet de compléter facilement avec une powerbank ou un chargeur de smartphone.
Hasselblad X2D II 100CLe moyen format reste un luxe
Le Hasselblad X2D II 100C est lancé à 7 200 euros boîtier nu, soit environ 800 euros de moins que le X2D à sa sortie.
Il se positionne clairement dans la catégorie des objets de luxe, et les optiques XCD suivent la même logique : la plupart oscillent entre 2 000 et 6 000 euros, comme le zoom 35-100 mm à 4800 euros. Le ticket d’entrée pour un kit cohérent dépasse facilement les 9 000 euros. Ce n’est pas un achat impulsif : c’est un investissement dans un système, avec toutes les implications que cela suppose.
Face à lui, un Fujifilm GFX 100S II est sensiblement moins cher, pour un capteur similaire, une rafale plus rapide et des capacités vidéo avancées. Des hybrides plein format comme les Sony A7R V, Canon R5 II ou Nikon Z8, associés à des optiques haut de gamme, composent des systèmes complets souvent plus abordables et nettement plus polyvalents (photo + vidéo + action).
Le X2D II 100C n’est donc pas rationnel si l’on s’en tient au rapport performance/prix global. Il devient cohérent si l’on valorise avant tout la qualité d’image, le rendu, la colorimétrie, la stabilisation, l’ergonomie épurée et le workflow HDR, et si l’on accepte de payer cher pour cette expérience spécifique.





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