
Lorsqu’à l’approche de l’été, les rumeurs d’un remplaçant du DJI Air 3 ont commencé à circuler, on se demandait bien ce que le fabricant chinois allait pouvoir améliorer, tant l’Air 3 constituait une évolution majeure vis à vis de l’Air 2S. Capteur empilé plus dynamique, second objectif, stabilité à toute épreuve, transmission améliorée, autonomie record… le DJI Air 3 était si complet qu’il marchait un peu sur les plates-bandes du Mavic 3. Il était peu plausible que DJI donne à l’Air 3S le capteur micro 4/3 et l’optique Hasseblad du Mavic, lui adjoigne un troisième objectif ou débloque l’enregistrement vidéo Apple ProRes. En somme, la marge de manoeuvre était étroite pour proposer une alternative séduisante au déjà très bon Air 3.
https://www.frandroid.com/guide-dachat/378946_selection-de-drones-budgetsFinalement, DJI a changé peu de choses et beaucoup à la fois. Un capteur Lidar fait son apparition sur le drone et apporte une détection des obstacles améliorée en basse lumière. Mais surtout, le capteur CMOS principal change, accompagné d’un nouvel objectif de 24 mm (eq. 35 mm) et d’un processeur vidéo plus puissant.
Caractéristique | DJI Air 3S | DJI Air 3 |
Capteur principal | 1 pouce, 50 MP -> 12.5 MP | 1/1,3 pouce, 48 MP -> 12MP |
Téléobjectif | 1/1,3 pouce, 48 MP -> 12 MP | 1/1,3 pouce, 48 MP -> 12 MP |
Lidar | Oui | Non |
Autonomie | 46 mins max | 46 mins max |
Cadence max. | 120p | 100p |
Formats d’enregistrement | 8 bits, 10 bits HLG, 10 bits D-Log M | 8 bits, 10 bits HLG, 10 bits D-Log M |
Poids | 724g | 720g |
DJI Air 3SCaractéristiques techniques
Ce test a été réalisé avec un drone prêté par le constructeur.
DJI Air 3SIl n’a pas changé
Le DJI Air 3S ressemble énormément à l’Air 3. La nacelle a pris un peu d’embonpoint pour des raisons que nous évoquerons plus loin et le front de l’appareil se pare d’un capteur Lidar sous une coque noire. Pour le reste, l’Air 3S est un beau bébé de 724 grammes (4 de plus que l’Air 3) et de taille quasi identique (8 mm de plus en largeur). Il appartient donc à la catégorie C1.

Rappelons que, pour faire voler un drone de plus de 250 grammes, il est nécessaire de suivre une formation en ligne sur le site de l’aviation civile et de valider un test QCM. C’est gratuit, pas sorcier et essentiel pour comprendre qu’on ne peut voler n’importe où, certainement pas en rase-motte au-dessus des promeneurs, ni à proximité d’un aéroport.
Le DJI Air 3S est bardé de capteurs optiques sur chaque face — de manière à détecter les obstacles (jusqu’à 18 mètres) — ainsi que de LED de position colorées et d’une blanche pour éclairer la zone d’atterrissage (lorsqu’il fait sombre).

Comme avec l’Air 3, il faut installer soi-même les hélices sur les bras de l’appareil. Rien de compliqué, chaque sachet d’hélices indiquant sur quel bras les clipser. Un jeu de rechange est fourni, et même plusieurs avec le pack optionnel Fly More.

Tout comme l’Air 3, le DJI Air 3S n’est pas conçu pour voler sous la pluie, même s’il supporte quelques gouttes le temps de rentrer à la base.
Deux télécommandes au choix
Deux télécommandes sont proposées pour le DJI Air 3S. Par défaut, c’est la DJI RC-N3 introduite avec le DJI Neo qui est fournie. Sans écran, elle requiert un smartphone avec l’application DJI Fly pour piloter le drone. DJI fournit des câbles USB de liaison pour les smartphones et les iPhone, qui permettent éventuellement de recharger le smartphone pendant l’utilisation.

L’autre télécommande est la DJI RC2, vendue séparément ou avec le pack Fly More. Avec elle, pas besoin de smartphone, car elle est équipée d’un écran de 5,5’’ et intègre nativement l’app DJI Fly. Le positionnement des joysticks, des molettes et boutons est bien pensé ; elle s’apprivoise vite. Contrairement à la RC-N3, on peut y fixer une dragonne (non fournie) et garder les mains libres au moment de manipuler le drone, notamment avant ou après l’atterrissage. Son principal avantage repose sur la luminosité constante de son écran, comparativement à celui d’un smartphone qui a tendance à surchauffer en plein soleil.
DJI Air 3SUne Ă©volution subtile mais significative
Le DJI Air 3S marque une avancée notable avec son nouveau capteur principal de 1 pouce et 50 mégapixels, associé à un nouvel objectif grand-angle d’équivalence 24 mm, ouvrant à f/1,8. Cette amélioration répond directement aux attentes de la communauté DJI, qui avait exprimé des réserves après le remplacement du capteur de 1 pouce de l’Air 2S par un capteur de 1/1,3 pouce sur l’Air 3. Certains utilisateurs craignaient une perte de qualité due à la perte de surface, alors qu’au contraire, la marge dynamique était meilleure et les performances en basse lumière accrues.

Le capteur de 1 pouce / 50 MP de l’Air 3S bénéficie aussi d’une structure empilée avec technologie de pixel binning. Il combine ainsi quatre photosites en un pixel pour produire des images de 12,5 MP avec une haute plage dynamique. DJI reste discret sur l’origine de ce nouveau capteur, concédant qu’il est réalisé sur mesure et pourrait être dérivé du Sony IMX989.

Pour le téléobjectif, DJI a conservé le capteur de 1/1,3 pouce et l’optique d’équivalence 70 mm ouvrant à f/2,8. Un choix dicté par des contraintes de taille et de poids, car l’utilisation d’un capteur plus grand pour cette focale aurait nécessité une optique plus volumineuse et aurait probablement impacté l’équilibre et les performances en vol du drone.

Selon DJI, l’Air 3S offre une plage dynamique de 14 stops pour capturer des détails riches dans les zones sombres et les hautes lumières, en photo comme en vidéo.
Une polyvalence créative accrue
La configuration à double objectif du Air 3S ouvre bien des perspectives créatives. Le grand-angle de 24 mm permet de capturer de vastes paysages, tandis que le téléobjectif de 70 mm offre la possibilité de se rapprocher virtuellement des sujets. Cette option s’avère idéale pour la photographie animalière ou pour filmer des zones d’accès restreint.


L’utilisation du téléobjectif apporte également une dimension artistique supplémentaire. La compression de perspective inhérente à cette focale produit des images au rendu spécifique, notamment en vidéo avec un effet de parallaxe lors des rotations autour d’un sujet.
En comparaison de son prédécesseur, l’Air 3S offre une image de qualité supérieure pour l’objectif grand-angle, avec plus de précision et des couleurs plus justes (notamment le vert de la végétation). Bien que l’écart ne soit pas colossal, l’examen attentif des images RAW de 50 MP révèle aussi une réduction des artéfacts et du bruit chromatique en comparaison. Ce dernier reste présent, mais dans une moindre mesure. En mode vidéo 4K, l’image est splendide. Quant au téléobjectif, il produit des images identiques à celles du DJI Air 3.
DJI Air 3SUn pilotage en toute sécurité
Le DJI Air 3S offre les mêmes prestations en vol que l’Air 3. C’est un drone puissant, dont les performances ne sont que rarement affectées par le vent, réactif et doté d’une très bonne autonomie. En cela, le 3S est un drone idéal pour filmer ou photographier en mer ou à la montagne par temps venteux. Un vrai trépied à hélices.
Temps avant décollage
Le temps de démarrage de l’Air 3S dépend de la télécommande utilisée. Avec la télécommande RC2, comptez environ 35 secondes pour l’activation, un délai qui permet de fixer les manettes. Ce temps de préparation est similaire à celui du Air 3, sans amélioration notable.

L’utilisation de la télécommande RC-N3 qui nécessite la fixation des manettes, l’installation du smartphone et le branchement du câble USB, prend une poignée de secondes en moins… ou en plus lorsqu’on est maladroit. Le drone lui-même s’initialise plus rapidement que la télécommande. Si la réception GPS est optimale, le décollage est possible dès que la télécommande est active. Globalement, la procédure reste rapide, mais sans gain de temps par rapport à l’Air 3.
Bruit de fonctionnement du DJI Air 3S
DJI annonce le même volume sonore que l’Air 3, avec 81 dB à 1 mètre de distance. L’Air 3S n’est donc pas discret, mais comme ses hélices sont assez grandes, le bruit produit est grave. Il est nettement moins pénible pour les oreilles que le petit DJI Neo, mais plus bruyant au moment de s’envoler que le DJI Mini 4 Pro.
De ce point de vue, le téléobjectif est un atout pour filmer les animaux sauvages de loin, sans (trop) les effrayer.
Distance de contrôle et retour au point de départ
Le DJI Air 3S est équipé de la technologie de transmission OccuSync 4, soit la plus récente développée par DJI. En Europe, la norme CE bride la puissance d’émission radio de la télécommande et du drone, ce qui réduit la distance de contrôle à 10 km (contre 20 km sur le continent américain). Reste qu’en pratique, la portée est nettement inférieure et que le moindre obstacle l’affecte. En champ libre, j’ai pu envoyer l’Air 3S à environ 3 km de son point de départ, avant que la liaison ne coupe et qu’il revienne automatiquement à son point de départ. Lorsque des arbres gênent, la liaison peut couper à 500 mètres.

Le DJI Air 3S est compatible avec le module de liaison radio 4G proposé depuis peu par DJI. Ce module s’installe sous une trappe au dos du drone et permet d’utiliser le réseau téléphonique pour piloter, ce qui peut être pratique à basse altitude et en présence d’obstacles gênant la transmission conventionnelle RF.
L’altitude maximale est limitée à 120 mètres, conformément à la législation.
Des avertissements, mais pas d’interdiction de vol
DJI a revu sa politique de vol dans les zones soumises à restrictions. Par le passé, impossible de faire décoller le drone lorsqu’il se trouvait dans une telle zone. Désormais, un décollage est possible, à condition de valider les messages d’avertissement à l’écran.
De puissants moteurs
Le DJI Air 3S offre les mêmes vitesses en vol que son prédécesseur et, tout comme lui, parvient à les atteindre malgré le vent. En cela, ce drone est nettement plus performant que les modèles Mini, qui peinent fréquemment et réduisent leur vitesse de moitié, sinon davantage, face aux vents. Il monte et descend également bien plus vite que les petits drones DJI.
Type de Vitesse | Valeur (m/s) | Valeur (km/h) |
Vitesse d’ascension max. | 10 m/s | 36 km/h |
Vitesse de descente max. | 10 m/s | 36 km/h |
Vitesse horizontale max. | 19 m/s | 68 km/h |
Vitesse de résistance au vent max. | 12 m/s | 43 km/h |
La résistante au vent est toujours aussi bonne et l’Air 3S reste stable face au vent jusqu’à 12 m/s (43 km/h). Au-delà , il dérive, ce qui est gênant pour les plans fixes, mais cela n’affecte pas son pilotage.
Un capteur Lidar pour la nuit
Le DJI Air 3S dispose des mêmes capteurs optiques que l’Air 3 pour détecter jusqu’à 18 mètres les obstacles sur sa route, qu’ils soient devant, derrière, au-dessus ou au-dessous de lui. On peut d’ailleurs afficher l’image de ces capteurs dans l’interface de vol, à la place de la cartographie Google Maps. Par défaut, le drone freine face à un obstacle, mais il peut être réglé pour le contourner, ce qui peut être judicieux pour le retour automatique au point de départ. La détection est aussi efficace qu’avec l’Air 3, même s’il faut toujours se méfier des fils électriques ou des fines branches.

La véritable innovation réside dans l’intégration d’un capteur Lidar, qui permet à l’Air 3S de détecter les obstacles frontaux de nuit. Bien qu’il soit interdit de voler après le coucher du soleil sans autorisation en France, ce capteur peut se révéler extrêmement utile dans le cas où un vol se prolonge « accidentellement » au-delà de l’heure dorée, propice aux plus belles images. Durant l’heure bleue, lorsque la lumière est encore suffisante, le Lidar offre une précieuse assistance pour regagner le point de départ en toute sécurité.
DJI Air 3SUne endurance appréciable
L’autonomie annoncée du DJI Air 3S est de 46 minutes en vol continu à vitesse modérée et en filmant en 1080p, ou 42 minutes en stationnaire. Bien sûr, l’autonomie réelle dépend des conditions météo, de la vitesse et du pilotage. En pratique, comptez plutôt 35 minutes, voire 40 minutes si le vent est clément. C’est à peu près la même chose que l’Air 3, et environ deux fois plus qu’un Mini 4 Pro.

La version standard avec une seule batterie est suffisante, à condition d’utiliser un chargeur Power Delivery de 65 ou idéalement 100 W. Car le hic, c’est le temps de charge : 1h20 minimum. Pensez aussi à bien recharger avant de partir, car la batterie se vide toute seule pour préserver sa durée de vie (80% de charge après 3 jours sans utilisation).
Si vous prévoyez de longues sessions ou des timelapses, le pack Fly More avec ses deux batteries supplémentaires et son socle de charge est un bon investissement, bien qu’il faille là aussi s’équiper d’un chargeur puisque DJI n’en fournit aucun.
DJI Air 3SUn outil de création cinématographique
Le DJI Air 3S propose plusieurs fonctions d’assistance pour faciliter la prise de vue aérienne. Le système FocusTrack, avec ActiveTrack 5.0, améliore le suivi intelligent des sujets. Le drone identifie automatiquement les sujets potentiels dans le champ de vision, les marquant d’un signe « + » à l’écran. L’utilisateur peut ensuite dessiner le mouvement du drone autour du sujet, et créer des trajectoires personnalisées de manière simple et intuitive.

Le mode Spotlight permet de contrôler le drone tout en maintenant la caméra fixée sur le sujet, tandis que le mode POI assure des orbites autour du sujet, en conservant une distance et une altitude constantes. Globalement, cela fonctionne bien, mais il y a parfois quelques imprécisions de cadrage qui obligent à effectuer la rotation soi-même. Dans la vidéo ci-dessous, le bateau est par exemple un peu trop bas, alors qu’il était centré au moment de la sélection du sujet.
Le mode MasterShots automatise la création de séquences élaborées. En un clic, le drone exécute une série de mouvements de caméra prédéfinis. Le mode QuickShots propose des mouvements de caméra préprogrammés pour créer facilement des effets cinématographiques. Un clic suffit. Le mode Hyperlapse permet de réaliser des vidéos en accéléré, en réalisant des clichés à intervalle fixe, éventuellement en utilisant la fonction Waypoints. Le drone produit automatiquement la vidéo, mais on obtient de meilleurs résultats à partir de fichiers RAW et avec une application de montage (Lumafusion par exemple).
Enfin, le mode Waypoints, pour les utilisateurs aguerris, offre la possibilité de programmer des itinéraires de vol précis, avec des points de passage précis.
Des ralentis plus précis
Le DJI Air 3S filme toujours en 4K au maximum, avec une cadence d’images comprises entre 24p et 120p. Le mode ralenti gagne 20 images/sec en 4K à 120p, tandis qu’en 1080p, la cadence max est toujours 240p.
Pour aller plus loin
H.265, 4:2:2, 10 bits, UHD ou 60p : tout comprendre aux formats et à la compression vidéo
Le mode d’enregistrement classique offre une profondeur de 8 ou 10 bits, tandis que les modes HLG et DLOG-M sont codés sur 10 bits. Le débit binaire peut atteindre 150 Mbps.
Stockage et montage
Pour le montage vidéo, DJI propose toujours l’excellente application mobile gratuite Lightcut. Avec l’aide de l’IA, l’app réalise des vidéos dynamiques d’1min 30 environ en mode automatique, agrémentées de musiques libres de droit.
Pas besoin de sortir la carte mémoire du drone, Lightcut peut extraire les vidéos et photos en Wi-Fi. Pas d’inquiétude, cela va vite, même pour des fichiers de plusieurs giga-octets. LightCut peut travailler à partir des fichiers 10 bits DLOG-M du drone, auxquels elle applique automatiquement un fichier LUT pour en revigorer les couleurs.
Le DJI Air 3S dispose d’une mémoire interne de 42 Go, qui permet d’enregistrer environ 30 minutes de vidéo en 4K60p et davantage en résolution inférieure. Son lecteur de carte mémoire est au format microSD.
DJI Air 3SQualité photo
Le DJI Air 3S est un très bon appareil photo pour les prises de vue aérienne. Son poids, sa puissance motrice et sa nacelle stabilisée lui permettent de conserver une bonne assiette malgré le vent ; j’ai ainsi pu réaliser des clichés parfaitement nets à des vitesses d’obturation très basses. L’Air 3S peut produire des clichés nets avec une pose supérieure à la seconde, alors que cela relève du miracle avec le Mini 4 Pro.

Le DJI Air 3S propose une palette de modes photo adaptés à diverses situations de prise de vue. Le mode « Photo unique » constitue l’option standard pour capturer des images fixes classiques. Pour les sujets en mouvement, le mode « Rafale » permet d’enchaîner les prises de vue, jusqu’à 7 images à la suite (avec un temps d’enregistrement élevé ceci dit). Les photographes plus expérimentés apprécieront le bracketing d’exposition (AEB), qui capture une série d’images avec des expositions variées (même si la plage dynamique d’une image seule est déjà très élevée).

La plage de vitesses d’obturation s’étend de 8 secondes à 1/16 000e de seconde. Cette amplitude permet de jouer avec la lumière, en créant des effets de flou artistique avec les poses longues ou en figeant les mouvements les plus rapides. Enfin, le mode « Panorama » offre la possibilité de réaliser des clichés grand angle ou des sphères à 360° en assemblant automatiquement plusieurs photos.

Détail appréciable : les fichiers RAW des deux objectifs occupent désormais moins d’espace. Ils passent d’environ 100 Mo à 70 Mo pour une photo haute résolution. Une bonne nouvelle pour celles et ceux qui utilisent un forfait de stockage cloud.
La sensibilité du capteur peut être poussée à 6400 ISO en mode 50/48 MP et jusqu’à 12 800 ISO en mode 12,5/12 MP (on gagne 1 stop). L’idéal reste d’utiliser le capteur en mode 100 ISO pour minimiser le bruit (il est alors imperceptible), d’autant que les objectifs sont lumineux et que les photos aériennes sont généreusement éclairées.
DJI Air 3SPrix et disponibilité
Le DJI Air 3S est disponible en plusieurs configurations. La version de base comprend la télécommande RC-N3 et est proposée à 1099 euros. Pour plus de confort, le pack Fly More avec la même télécommande est disponible à 1399 euros. Il inclut deux batteries supplémentaires, un chargeur, un sac à bandoulière et un jeu de trois filtres ND.

Enfin, pour une expérience optimale, le pack Fly More avec la télécommande DJI RC2, dotée d’un écran intégré, est commercialisé à 1599 euros.

DJI propose également l’assurance DJI Care Refresh en formules 1 an (deux remplacements du drone) ou 2 ans (quatre remplacements), pour couvrir les dommages accidentels. Chaque remplacement coûte 99 € (défaillance mécanique) et 359 € en cas de Flyway, soit de perte du drone à cause d’un mauvais pilotage.
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