Le Philips 55OLED910 est l’une des vitrines technologiques du constructeur néerlandais pour l’année 2025 coiffé seulement par la série OLED950. Elle succède à la série OLED909, mais si son aspect extérieur est quasiment identique, elle propose ici une dalle OLED Primary RGB Tandem héritée du partenariat avec LG Display se voulant des plus lumineuses. En outre, on devrait également pouvoir compter sur la puce de dernière génération pour un traitement d’image de haute volée.
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Le système Ambilight sur 4 côtés ici élève l’immersion en générant un halo lumineux tout autour de l’écran, s’adaptant dynamiquement aux couleurs et à l’ambiance du contenu diffusé. Parmi ses principaux concurrents, on retrouve le LG OLED G5, le Panasonic Z95B (avec lesquels il partage la même dalle) et le Samsung S95F ou encore le Sony Bravia 8 II, tous réputés pour leur maîtrise des technologies OLED et de l’expérience utilisateur connectée, mais le Philips veut, en plus, tirer son épingle du jeu avec ses fonctionnalités Ambilight exclusives et son intégration domotique poussée.
Voyons ce dont est exactement capable ce nouveau modèle que nous avons enfin pu tester plusieurs mois après son annonce officielle en version 55 pouces sachant qu’il existe également un 65 et un 77 pouces.
Philips 55OLED910Fiche technique
Modèle | Philips 55OLED910 |
---|---|
Dimensions | 1225 mm x 762 mm x 240 mm |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’écran | 55 pouces |
Compatible HDR | HDR10, HDR10+, Dolby Vision |
Ports HDMI | 4 |
Compatible Surround | Dolby Atmos, DTS-X |
Nombre de haut-parleurs | 7 |
Puissance des haut-parleurs | 80 watts |
Sortie audio | Casques, Haut-parleurs, Optique |
Système d’exploitation (OS) | Google TV |
Assistant vocal | Google Assistant, Amazon Alexa |
Fiche produit |
Philips 55OLED910Design, on prend les mêmes et on recommence
S’inscrivant clairement dans un registre premium, le 55OLED910 affiche une ligne épurée avec un châssis ultra-fin et un cadre minimaliste noir, sublimé par la technologie Ambilight qui fait de ce téléviseur un objet décoratif à part entière. La finition est particulièrement soignée, la légèreté de l’ensemble et les matériaux utilisés – aluminium, verre – montrent une très grande attention portée au design.

Comptez sur une épaisseur de 6 cm à sa base et de seulement 4 mm au niveau de sa partie la plus haute.
Le système Ambilight est ici disponible sur les 4 côtés. Parfaitement intégré à l’arrière, il est là pour créer une ambiance personnalisée et immersive, amplifiant l’espace visuel dans la pièce. On peut cependant regretter que par rapport à d’autres versions, la partie supérieure n’atteigne pas le sommet du téléviseur pour encadrer pleinement l’écran regardé de face. Cependant, à l’usage, il faut avouer que le système joue parfaitement son rôle immersif.

Le téléviseur est maintenu par deux pieds en forme de T inversé. Ceux-ci se vissent sur la base de l’appareil pour une parfaite intégration. S’il n’est pas possible de les écarter (comptez sur un écart de 62,5 cm pour la version de 55 pouces testée ici), aucune élévation n’est possible non plus.
Philips mise sur l’utilisation de la barre de son intégré à la base de l’écran recouverte par un tissu acoustiquement transparent d’une couleur gris clair.

Comptez sur une élévation de seulement 2 cm par rapport au meuble. Notez qu’il est bien entendu possible d’accrocher le téléviseur au mur via un support à la norme VESA300.

Au final, le design du OLED910 est identique à celui du OLED909 de l’année précédente mis à part des pieds légèrement plus épais et une finition plus claire en 2025 pour le tissu de la barre de son.
Philips 55OLED910Connectiques, deux entrées HDMI plein pot
Là aussi, les différences avec la série OLED909 sont maigres, voire pour ce qui est des connectiques tout particulièrement, inexistantes. Le Philips 55OLED910 propose donc un panel plutôt complet : quatre ports HDMI 2.1 dont deux seulement supportent la fréquence 120 Hz en Ultra HD et l’une d’entre elles qui sert pour envoyer le son vers une barre de son ou un amplificateur idoine.

Sinon, il y a deux ports USB, une sortie optique numérique, une prise Ethernet, un port CI et la connexion sans fil Wi-Fi et Bluetooth. Bien entendu, il y a une entrée Antenne ainsi qu’une autre pour le satellite.

Notez aussi la possibilité d’utiliser la sortie subwoofer pour relier directement le téléviseur à un caisson de basses. Philips propose deux éléments en plastique à fixer sur les pieds pour organiser la fuite des câbles, le cas échéant.

En outre, on peut cacher toutes les connectiques grâce à une plaque qui vient les recouvrir.
Philips 55OLED910Ambilight, une fois allumé, on ne peut plus s’en passer
Exactement comme sur la série OLED909, la OLED910 profite des 4 côtés pour le rétroéclairage arrière. Cela fait 20 ans que Philips propose cette technologie. Derrière le téléviseur, il y a donc différentes LED qui s’illuminent avec une parfaite synchronisation avec l’image affichée sur l’écran ou selon d’autres modes.
Le système est conçu pour suivre les images, seulement l’audio ou rester fixe. Un mode Jeu est également proposé. Les diodes de couleurs sont gérées indépendamment les unes des autres. Le menu des paramètres de la fonction Ambilight est simple et efficace avec une liste de modes disponibles et répondant à différentes attentes. Notez que l’éclairage peut s’adapter aux couleurs du mur, le cas échéant.
Avec l’Ambilight activé, l’ambiance est immersive. Cela permet vraiment d’étendre l’image sur les murs au-dessus, en dessous et sur les côtés. Pour en tirer toute la quintessence, l’accroche murale est conseillée. Une fois allumé, on ne peut plus s’en passer.

Comme pour tout TV OLED, le risque de marquage d’écran (burn-in) doit être rappelé, même si Philips propose des technologies de protection comme le pixel shift (décalage des pixels) et la régénération des pixels lorsque le TV est en veille. En outre, un écran de veille se déclenche automatiquement après 2 minutes d’inactivité comme sur les téléviseurs de la marque LG. À titre de comparaison, chez Panasonic, le principe est identique, mais avec un délai de 5 minutes avant le déclenchement de l’écran de veille.
La télécommande
La télécommande fournie avec le 55OLED910 est exactement la même que sur la série OLED909 qui était identique à la précédente. Elle s’avère toujours aussi ergonomique et raffinée. Elle est dotée de certaines touches rétroéclairées pour une manipulation aisée dans la pénombre.

La présence de raccourcis pour Netflix, Prime Video et YouTube facilite l’accès aux principaux services de streaming, mais on apprécie aussi la fonction de reconnaissance vocale compatible Alexa et Google Assistant. On retrouve toujours les deux boutons à bascule (pour gérer le volume et changer de chaîne). Les finitions sont à la hauteur du positionnement du produit, avec une robustesse et une élégance proches de celles des modèles haut de gamme concurrents.

Philips 55OLED910L’image en mode subjectif
Le Philips 55OLED910 repose sur la technologie OLED META 3.0, qui fait désormais fi du panneau de Micro Lens Array, mais embarque 4 couches de matériaux organiques émetteurs de leur propre lumière, la fameuse dalle OLED Primary RGB Tandem que l’on trouve également au sein des séries LG G5, LG M5 et Panasonic Z95B livrés par LG Display.

Elle vient concurrencer la dalle Samsung Display intégrée au sein des séries S95F de Samsung et Sony pour ses Bravia 8 II. À cela ajouter la présence du processeur P5 AI Perfect Picture Engine Gen9. La dalle propose un traitement antireflet, mais qui est très loin d’offrir les mêmes prestations que les dernières générations installées sur les séries Samsung S95D ou S95F, pour ne citer qu’elles en OLED. En effet, rappelons que la technologie Glare Free de Samsung Display est maintenant disponible sur d’autres TV, notamment les modèles 8K de la marque pour arriver à gommer n’importe quelle source lumineuse. Certains apprécient beaucoup, d’autres nettement moins, mais il faut reconnaître qu’en pleine luminosité, on peut toujours apprécier l’image.
Mais revenons à celle produite par cette série OLED910 testée ici en version 55 pouces. L’ensemble produit donc une image accueillant un contraste « infini », des noirs profondément richissimes et des couleurs éclatantes, grâce notamment à une couverture particulièrement large des espaces colorimétriques.

Plusieurs modes d’images sont disponibles dont Préférentiel, Crystal Clear, Home Cinéma, Eco, Filmmaker, Jeux, Moniteur et Calman. Idem pour les contenus HDR, chacun adapté à des usages spécifiques, qu’il s’agisse de visionner des blockbusters HDR sur Disney ou des documentaires immersifs sur Netflix. Le téléviseur est compatible avec les contenus HDR dont le HDR10, le HDR10, le HDR10 Adaptive et le Dolby Vision IQ, mais pas IMAX, à la différence du OLED909, son prédécesseur. Pour les contenus Dolby, plusieurs configurations sont sélectionnables : Dolby Vision Perso, HDR Clear Type, Dolby Vision lumineux et Dolby Vision Filmmaker.

Les différentes scènes que nous avons l’habitude de visionner pour tester les téléviseurs offrent une dynamique particulièrement lumineuse et large. Tout est parfaitement fluide, sans aucune saccade.

En outre, on peut également compter sur un traitement d’image Perfect Natural Motion qui arrive à gommer les saccades. Les Blu-ray sont vraiment spectaculaires et profitent pleinement de la dalle META. On a une réelle impression de profondeur et les images s’avèrent d’une très grande justesse colorimétrique.
Et, pour ne rien gâcher, l’utilisation du système Ambilight sublime tous les contenus.
Concernant l’effet de postérisation que l’on peut voir sur certaines scènes, le téléviseur n’en est pas totalement exempt. Les dégradés ne sont pas parfaits.
Philips 55OLED910Nos mesures, sondes à l’appui
Comme pour les autres téléviseurs, c’est le mode Filmmaker qui permet d’obtenir les meilleurs résultats en termes de rendu d’image, en sortie de carton sans avoir à plonger dans les réglages. Rappelons que toutes les mesures ont été réalisées avec les fonctions automatiques désactivées et notamment les capteurs qui permettent d’optimiser la luminosité lorsque la pièce particulièrement lumineuse, par exemple. Dans ces conditions, nous avons relevé un Delta E moyen de 1,67, ce qui est bien inférieur à la valeur seuil qui est de 3, sous lequel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur affichée et celle qui est demandée.
Le gamma a été relevé à 2,29 avec un suivi relatif et légèrement accidenté sur les valeurs les plus élevées. Concernant la température des couleurs moyenne, celle-ci a été mesurée à 6243 K avec très peu de dérives chromatiques et signifiant une valeur plutôt proche de l’idéal à 6500 K.

Pour les contenus HDR, là encore, c’est le mode Filmmaker qui permet d’obtenir les meilleurs résultats. Pour ce qui est de la fidélité des couleurs, nous avons mesuré un impressionnant 0,93 pour le Delta E, ce qui signifie une parfaite maîtrise de la colorimétrie souhaitée par le réalisateur, sans avoir à toucher les réglages par défaut.
Concernant la luminosité, la série OLED909 proposait un pic de luminosité de 1253 cd/m² mais avec ce modèle (et donc cette nouvelle structure de dalle OLED), on passe dans une autre dimension puisque nous avons relevé un pic à 2269 cd/m² dans les mêmes conditions, en mode Filmmaker). À titre de comparaison, c’est légèrement moins que le LG G5 (2412 cd/m²) et que le Panasonic Z95B (2434 cd/m²) avec le même matériel. Rappelons également que le Samsung S95F propose un pic à 2260 cd/m² alors que le Sony Bravia 8 II plafonne à 1680 cd/m².

Le mode Crystal Clear (prévu pour être activé lorsque la pièce est baignée de lumière) propose un pic à 2248 cd/m² mais pour une fidélité des couleurs qui n’est pas vraiment idéale (Delta E à 6,25). Étonnamment, le mode Home Cinéma est nettement plus « faiblard » avec une mesure à 1494 cd/m² d’après nos relevés et un Delta E à 3,77. En somme, nous ne saurions trop vous conseillons de rester en mode Filmmaker pour les meilleurs résultats.
Avec une mire à 100%, nous avons obtenu un pic de luminosité de 404 cd/m² soit une nette progression par rapport au modèle de l’année passée (OLED909 à 256 cd/m²).

Enfin, concernant les espaces colorimétriques, nous avons relevé une couverture de 99,80 % pour le rec709, ce qui est excellent, en progression là aussi par rapport à la précédente série. Pour l’espace DCI-P3, nous avons relevé une couverture de 99,62 % contre 94,94 % sur la série OLED909 alors que l’espace BT2020, le plus exigeant est couvert à 81,20 % (contre 73,42 % pour le OLED909), même si ces deux dernières valeurs restent en dessous de celles proposées par la dalle QD-OLED qui propose, respectivement 99,88% et 89%.

Philips 55OLED910Gaming, toujours un excellent allié pour les jeux
Pensé comme une plateforme polyvalente, le 55OLED910 dispose de quatre ports HDMI 2.1 (dont deux Ultra HD à 120 Hz), d’un mode Game Bar dédié, de la compatibilité VRR, ALLM, FreeSync Premium et G-SYNC, ainsi que d’une fréquence de rafraîchissement native de 144 Hz. Comptez aussi sur une compatibilité avec le format HDR Dolby Vision Gaming. Les performances en jeu sont exemplaires, avec une latence réduite et une fluidité qui ne fléchit jamais, même sur les titres exigeants sur PlayStation 5 ou Xbox Series X.

Nous avons pu mesurer un input lag de seulement 12,7 ms, ce qui correspond à moins d’une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran. C’est un très bon résultat, mais reste (encore) en dessous des meilleurs TV sur le marché que sont les Samsung S95F et les LG G5 (testé) à, respectivement 9,5 ms et 9,2 ms ou l’incroyable Panasonic Z95A avec ses 8,9 ms (Z95B à 9 ms). Toutefois, il faut relativiser ces chiffres, car à moins d’être un joueur professionnel, vous ne verrez aucune différence tellement les écarts sont réduits.
Le cloud gaming est accessible et le Game Bar permet un affichage simplifié des réglages pendant la partie.

Les jeux en HDR se parent de couleurs vives et de détails impressionnants, alors que le suivi Ambilight offre une immersion supplémentaire, adaptée à toutes les ambiances.
Concernant la fidélité des couleurs avec le mode Jeu activé, c’est correct, mais peu mieux faire avec un Delta E moyen de 3,54 ce qui est légèrement supérieur au seuil de 3 et donc affiche des couleurs légèrement saturées, mais rien de rédhibitoire. Dans ces conditions, nous avons mesuré un pic de luminosité de 1475 cd/m², révélant une très (trop) légère progression par rapport au précédent modèle et un écart assez important avec les modes Filmmaker et Crystal Clear.
Philips 55OLED910Audio, pas changement
Pour la section audio, le son est toujours signé Bowers & Wilkins avec un système 3.1 soutenu par la prise en charge des formats Dolby Atmos, DTS:X et DTS Play-Fi. Il y a encore 6 haut-parleurs frontaux, dont deux médiums et un tweeter.

Au dos, on peut compter sur la présence d’un woofer encadré par des radiateurs passifs pour les basses.

La restitution sonore est ample, nuancée et parfaitement spatialisée, avec un caisson de basses optionnel Fidelio TAFW1 qui viendrait compléter idéalement l’ensemble pour les passionnés de home cinéma. Les voix sont claires et précises, et chacune des scènes sonores bénéficie d’une enveloppe sonore immersive, qu’il s’agisse de films, de concerts ou d’émissions en streaming.

La puissance de sortie atteint 80W, une prestation rarement égalée sur un téléviseur seul, tout en restant équilibrée sur l’intégralité des fréquences. Le couplage avec des sources audio externes se fait sans heurt, grâce au Bluetooth et à la sortie numérique optique. Dommage qu’il n’y ait pas de hauteur pour le son car là, on reste malgré cette certaine puissance, on peut trop « à plat ».
Philips 55OLED910Interface, Google TV au complet
Le Philips 55OLED910 s’appuie sur Google TV, qui garantit une navigation fluide et personnalisée dans les contenus, applications et services en ligne. On peut également compter sur un menu Philips qui permet de consulter des collections de NFT.

La configuration initiale s’effectue en quelques minutes et la compatibilité domotique offre une interaction intuitive avec l’écosystème de la maison. L’accès aux plateformes de streaming, au navigateur Internet et au contrôle parental, est enrichi d’une gestion intelligente des profils utilisateurs et d’une synchronisation rapide des contenus favoris.
Dans les menus de configuration du téléviseur (comme sur le précédent modèle), on peut jouer avec la fonction d’optimisation du niveau de luminosité ainsi que celui des détails dans les zones sombres et de la température de couleurs. Ces options sont gérées automatiquement grâce à des capteurs installés en façade du TV. Notez que l’appareil est capable de détecter les contenus vidéo spécifiques qui sont affichés à l’écran afin de basculer immédiatement sur le style d’image préféré.

Philips 55OLED910Consommation
Pour la consommation électrique, nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, Les 100 sur Netflix (HD 5.1) pendant 4 heures avec le son et les paramètres de l’image réglée sur le mode Filmmaker. Dans ces conditions, reproduites pour tous les tests de téléviseurs, le Philips 55OLED910 consommait en moyenne 51 W avec le système Ambilight désactivé. Avec ce dernier activé, comptez sur une consommation supplémentaire de 5 W environ.
Pour la série en HDR (Dolby Vision sombre plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne de 52 W.
La consommation en veille est de 0,5 Watt sauf si on laisse le mode réseau activé dans les paramètres, le téléviseur se tenant prêt à obéir à vos ordres vocaux et consommant alors 2 Watts.
Philips 55OLED910Prix et date de sortie
Le téléviseur Philips 55OLED910 d’une diagonale de 55 pouces a été lancé en juin 2025, disponible aujourd’hui au tarif moyen de 1900 euros environ. Comptez sur un prix de 2700 euros pour la version 65 pouces 65OLED910 et 4500 euros environ pour la diagonale de 77 pouces 77OLED910.
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