La Suunto Race avait séduit en 2023 avec son excellent rapport qualité-prix, mais pêchait principalement sur deux points : la fluidité de son interface et la fiabilité de son capteur cardio. C’est précisément là que Suunto s’est concentré sur sa Race 2, nous laissant presque déçus de ne pas voir d’évolutions majeures ou de nouvelles fonctionnalités.
La Race 2 coûte d’ailleurs 50 euros de plus que la Race à sa sortie. Cette hausse de prix la rapproche un peu plus des Garmin Forerunner 965 et Coros Apex 2 Pro.
La montée de prix est-elle justifiée ? Suunto a-t-il enfin corrigé les défauts de sa première Race ? Je porte quotidiennement la Suunto Race 2 depuis un mois, et voici mes réponses.
Suunto Race 2Fiche technique
Modèle | Suunto Race 2 |
---|---|
Dimensions | 49 mm x 49 mm x 12,5 mm |
Technologie | Li-Ion |
Définition de l’écran | 466 x 466 pixels |
Dalle | AMOLED |
Mémoire interne | 32 Go |
Poids | 76 g |
Capteur de rythme cardiaque | Oui |
Analyse du sommeil | Oui |
Accéléromètre | Oui |
Capteur de lumière ambiante | Oui |
Indice de protection | 10 ATM |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec une Suunto Race 2 prêtée par Suunto.
Suunto Race 2Plus fine et plus discrète
Non, la Suunto Race 2 n’embarque pas de lampe torche. C’est vers sa grande sœur, la Suunto Vertical 2, qu’il faudra se tourner si cette option, apparue sur certaines montres Garmin depuis quelques années, vous intéresse. Voilà, ça, c’est fait.

Au premier coup d’œil, la Race 2 ressemble à s’y méprendre à une Suunto Race S agrandie. Et tant mieux, son discret design n’était pas pour nous déplaire.
Le boîtier de la Suunto Run fait toujours 49 mm, mais la montre a subi une cure de minceur, passant de 13,3 mm à 12,5 mm d’épaisseur. Les trois tranches du boîtier sont moins séparées que sur la première version, ce qui la rapproche visuellement de la Race S.

On retrouve logiquement les deux boutons et la couronne rotative propres à la famille des montres Suunto Race. Ce n’est que mon avis : je préférerai toujours les boutons physiques aux options à molettes. Suunto a cependant trouvé un bon mix sur ses montres Race, avec deux boutons physiques et un bouton molette, qui peut donc être cliqué ou tourné. Précisons que ce dernier a été involontairement pressé plusieurs dizaines de fois par les maniques de mes bâtons de trail lors d’une sortie longue.

Bonne nouvelle, la rustaude gravure « Suunto » de la tranche gauche du premier modèle a disparu sur cette Race 2. Cela allège visuellement l’ensemble. Ce sont justement les allures épurées des montres Suunto qui les rendent plus discrètes que leurs concurrentes. On reste bien entendu sur une montre de sport, tout du moins sur une montre connectée.

Comptez 76 grammes pour la version acier et 65 grammes pour le titane, respectivement 7 et 4 grammes de moins que l’ancienne Race. Face à la Garmin Forerunner 965 et ses 52 grammes ou à la Coros Apex 2 Pro et ses 53 grammes, la Race 2 reste donc plus lourde au poignet, sans être désagréable pour autant.
Selon les versions, la lunette est en acier inoxydable ou en titane. La Race 2 embarquera cependant tout le temps une vitre saphir, comme la Coros Apex 2 Pro, alors que la Garmin Forerunner 965 se contente d’un Gorilla Glass. L’étanchéité de 10 ATM de la Suunto Race 2 permet tranquillement la natation et autres sports nautiques.

Un simple mois de test ne m’a pas empêché de tabasser la Race 2 (sans faire exprès) contre des poteaux de ville ou des battants de porte. Les quelques égratignures (blanches sur le boîtier noir) partaient en quelques frottements de doigt.
Peu importe la couleur sélectionnée, le bracelet en silicone de la Race 2 affiche des teintes bicolores similaires — orange foncé et orange clair dans notre cas.

S’il est confortable au quotidien, il pourra retenir la transpiration lors d’efforts intenses. Surtout, il est franchement pénible à fermer les premiers jours d’utilisation : les trous sont trop petits pour le picot. Il est donc plus sécurisé ? Raté, notre bracelet s’est décroché à plusieurs reprises lorsque je remettais mon sac de randonnée sur le dos.
Dommage qu’une option à nylon ne soit pas proposée. On garde au moins le système d’attache rapide qui facilite les changements sans outil — le format 22 mm proposant de nombreuses possibilités d’accessoirisation.

À l’arrière, on remarque le nouveau capteur optique (nos résultats plus loin dans cet article) et les nouveaux pins de charge. Eh oui, Suunto a, Dieu merci, repensé son chargeur : il reste désormais bien en place et pourrait à priori être utilisé dans le futur pour transférer des données vers la montre.
Suunto Race 2Un écran plus grand et plus lumineux
L’écran Amoled constitue une des principales évolutions de cette Race 2. Suunto passe du 1,43 pouce de la première Race à 1,5 pouce sur cette nouvelle génération. Le ratio entre la surface d’affichage et celle du boîtier grimpe donc, et la différence fait plaisir à voir. On se rapproche vraiment d’une belle montre connectée, pour s’éloigner d’une rustique montre de sport.

La définition de 466 x 466 pixels est la même que sur la Race et la Race S et fait légèrement mieux que ses concurrentes Garmin ou Coros.
Pour aller plus loin
Écran Amoled ou MIP transflectif : quelle est la meilleure technologie d’affichage pour les montres de sport
Face à la Race première génération, la densité de pixels diminue mécaniquement avec l’écran agrandi, mais cela ne se ressent pas à l’usage. Écran Amoled oblige, la définition sera bien supérieure aux montres concurrentes qui utilisent des écrans MIP. Les couleurs seront également bien plus éclatantes.

On remarque aussi sur le site de la marque que l’écran Amoled utilisé sur la Race 2 est désormais LTPO. Cette technologie, largement utilisée sur les téléphones et certaines montres connectées, permet de faire varier le taux de rafraîchissement selon les besoins et donc d’économiser la batterie. Dommage que Suunto ne précise pas si la Race 2 utilise cet avantage.
L’écran serait deux fois plus lumineux que la première Suunto Race. Certains médias avancent une luminosité de 2 000 nits, ce qui est aujourd’hui commun pour des montres de sport. À leurs maximums respectifs, l’Apple Watch Ultra 3 et la Garmin fēnix 8 Pro MicroLED montent à 3000 et 4 500 nits. Bon, restons calmes, le niveau de luminosité « moyen » de ma Race 2 de test m’a sans surprise largement suffi.


La Huawei Watch GT 6 Pro va plaire aux cyclistes : jusqu’à 21 jours d’autonomie, un GPS d’une grande précision et une estimation de la puissance en fonction de la vitesse, de l’altitude, de la pente, du poids et du vélo, même sans capteur de puissance.

Le mode Always On est toujours de la partie, aussi bien pour l’usage quotidien que pour les séances de sport. Je laisse ce dernier désactivé pour économiser de la batterie — vous comprendrez pourquoi un peu plus tard dans la partie dédiée de ce test.
Suunto Race 2Pas de vraies nouveautés logicielles
C’était l’un de nos principaux reproches adressés à la première Suunto Race : une interface lente et frustrante qui plombait l’expérience utilisateur. Bonne nouvelle, Suunto a enfin pris le problème à bras-le-corps en intégrant un processeur plus rapide — la marque avait déjà progressé sur ses modèles Race S et Run.

La différence se fait ressentir dès les premières manipulations. La navigation dans les menus devient réactive et les actions s’exécutent sans délai perceptible. Le zoom et le dézoom sur la carte sont quant à eux toujours aussi fluides. Attention tout de même, cette fluidité n’est pas un avantage concurrentiel : c’est une formalité que Suunto coche désormais sur la Race 2.
Subsiste néanmoins un léger ralentissement au premier balayage depuis le cadran principal, comme si la montre hésitait à passer du cadran vers les menus.

La navigation repose sur la molette centrale que l’on tourne pour faire défiler les écrans et que l’on enfonce pour valider l’action. Deux boutons physiques complètent le dispositif : le bouton supérieur donne accès aux sports et aux réglages via un appui long, le bouton inférieur sert de retour arrière.
Si on ne note aucun réel changement sur l’interface de la Race 2, Suunto a apporté quelques retouches bienvenues :
- un léger fond en mode lignes de contour topographique vient apporter un peu de relief dans les menus ;
- un appui long sur les complications du cadran renvoie vers le menu dédié, ce qui évite de naviguer dans les paramètres pour trouver ledit menu ;
- il est enfin possible de connecter plusieurs capteurs externes à la montre ;
- logiquement donc, le nom de chaque capteur externe est visible sur la montre ;
- le numéro de la répétition s’affiche lors d’une séance de fractionné, une information basique qui manquait cruellement ;
- la possibilité de mettre un code pour verrouiller la montre si on la retire du poignet.

L’interface manque encore de souplesse sur certains points, mais je m’en contente. Il faut dire que le peu de fonctions offertes face à des Garmin permet de ne pas trop s’y perdre.
L’application Suunto a reçu une jolie mise à jour quelques semaines avant le lancement de la Race 2. L’interface (de l’application) est toujours aussi moderne et épurée et elle offre maintenant une personnalisation plus généreuse des widgets sur l’écran d’accueil.
Les données d’entraînement restent claires et bien présentées, avec des graphiques par période pour ceux qui le souhaitent. L’application fait, une nouvelle fois, partie des meilleures du marché.

La synchronisation avec l’application reste un point noir. La Race 2 met toujours un temps certain à transférer les données, sans amélioration notable par rapport à la génération précédente.
Le téléchargement de la cartographie s’améliore doucement : il n’est désormais plus nécessaire de brancher la montre au chargeur pour télécharger les cartes via Wi-Fi. Une contrainte en moins qui simplifie le processus, qui reste néanmoins fastidieux.
Là où Garmin précharge ses montres avec les cartes européennes, le processus est manuel chez Suunto : il faut passer par l’application pour sélectionner les zones une par une et attendre le long téléchargement. Un exemple : nous avons attendu 25 minutes pour télécharger la zone Rhône-Alpes et ses 822 Mo — elle est costaude celle-là en vrai. La montre est ici passée de 39 % à 35 %.

La Suunto Race 2 embarque d’ailleurs 32 Go de stockage dans toutes ses versions, contre 16 Go seulement pour la version acier de la première Race. Dommage que la Race 2 n’en profite pas pour intégrer un stockage de la musique MP3. C’est surprenant quand on sait que la Suunto Run, vendue deux fois moins cher, en dispose.
On se console avec les commandes médias qui permettent de piloter la musique d’un smartphone connecté en Bluetooth. Suunto propose également les nouveaux écouteurs Wing 2 qui se connectent à la montre pour annoncer en temps réel des données comme l’allure ou la fréquence cardiaque.
Suunto Race 2Pas de nouveautés non plus pour le suivi sportif et une mauvaise nouvelle
Rien de neuf au programme. La Race 2 affiche 115 modes sportifs au compteur, soit une vingtaine de plus que la première Race. On trouve de tout : course à pied, trail, cyclisme, natation, triathlon, mais aussi des profils plus confidentiels comme la pêche, le golf ou les sports motorisés.

En réalité, beaucoup de ces profils se ressemblent et affichent les mêmes données de base — distance, vitesse, fréquence cardiaque. Seuls quelques-uns proposent des métriques vraiment spécifiques au sport pratiqué. Coros prend ici l’avantage en prenant le temps de développer de vrais profils, pour l’escalade et la pêche par exemple.

Le nouveau profil de course sur piste permet par exemple de définir la longueur du couloir pour ajuster le tracé GPS. Les profils se personnalisent entièrement depuis l’application Suunto, même si le processus reste fastidieux. Les outils SuuntoPlus restent peu nombreux et constituent l’un des points faibles de la montre face à Garmin et ses scores en tout genre. Au passage, on ne refuserait pas une copie des rapports du matin et du soir de Garmin.

La cartographie n’évolue pas : toujours fondée sur OpenStreetMap, sans navigation routable ni affichage des noms de rues. Pas si grave, elle reste la plus agréable à utiliser en offrant une très bonne réactivité et un niveau de détail suffisant avec les sentiers et les courbes de niveau. Le grand écran AMOLED rend la lecture agréable, même sous le soleil.

Côté santé au quotidien, la Race 2 propose un suivi de la récupération via la variabilité de la fréquence cardiaque, la qualité du sommeil et la charge d’entraînement TSB. L’algorithme attribue un score sur 100 qui reflète l’état de forme. Je ne regarde jamais vraiment ce genre de score, puisque le simple suivi du sommeil ne vaut rien sur ce genre de produit. Concentrez donc vous plutôt sur l’évolution de votre charge d’entraînement et de votre fréquence cardiaque au repos. Allez, pourquoi pas votre statut de la VFC, mais ne vous prenez pas la tête dessus.

La précision du GPS de la Suunto Race 2
La Race 2 embarque une puce GPS double-fréquence qui supporte sans surprise tous les systèmes de positionnement satellite : GPS, GLONASS, Galileo, QZSS et BeiDou. Contrairement à certaines marques, Suunto ne permet pas de choisir manuellement le mode GPS : la précision se définit via les quatre profils de batterie.
Pour aller plus loin
GPS, GNSS, double-fréquence : tout comprendre à la géolocalisation des smartphones et montres connectées
Le mode Performance utilise par exemple le multi-GNSS avec double-fréquence tandis que le mode Endurance bascule en multi-GNSS simple fréquence. Deux autres modes baissent encore le niveau de précision GNSS pour gagner en autonomie.

Sur le terrain après un mois d’utilisation, nous n’avons rien de particulier à signaler. Le suivi GPS de la Race 2 est précis et nous n’en attendions pas moins. Mes allers-retours singesques à Montmartre ou dans les bois se superposent correctement et mes sorties parisiennes affichent tout de même des résultats convaincants et habituels pour une montre de sport.
Bref, la Race 2 se place parmi les montres GPS les plus fiables du marché sans débloquer un niveau jamais atteint auparavant par la concurrence. Le fix GPS est relativement rapide selon mes tests, contrairement aux anciennes Suunto qui pouvaient traîner bien trop longtemps. Ce n’est pas non plus la plus rapide, surtout en ville.
La précision de la fréquence cardiaque de la Suunto Race 2
Bon là, c’est la cata. Suunto a beau intégrer un nouveau capteur de fréquence cardiaque optique (il passe de 2 à 6 LED) sur sa Race 2, nos tests révèlent des résultats à la limite de faire moins bien que ceux de la première Race.
C’est bien simple : sur cinq de mes sorties trail footing, la mesure de la fréquence cardiaque Race 2 s’est envolée pendant un bon cinq minutes sur trois sorties — toujours en imaginant des mesures aux alentours de 170 bpm d’ailleurs. Ce n’est pas tout, elle n’hésite pas à complètement sous-évaluer la fréquence cardiaque.
Regardez plutôt par vous-même :

Certains testeurs afficheront peut-être le contraire dans leurs essais, mais notre Suunto Race 2 a été franchement mauvaise sur ce point. C’est avec une réelle tristesse que je vous dévoile deux autres comparaisons avec une ceinture cardiofréquencemètre.

La première séance de côtes laisse au moins les quatre blocs se dessiner, mais les valeurs maximales sont loin des vraies mesures.
Sur cette seconde séance fractionnée en côte, on se rapproche un peu plus de la vérité.

Si j’utilise toujours une ceinture avec n’importe quelle montre de sport, peu importe sa précision, je ne peux que déplorer l’occasion manquée de Suunto de se mettre au niveau cette année, surtout avec un nouveau capteur. Espérons qu’une mise à jour logicielle puisse sauver les meubles.
Suunto Race 2Moins autonome, mais toujours plus que les autres
La Suunto Race 2 affiche une autonomie théorique de 16 jours en mode montre connectée et de 55 heures en mode GPS haute précision avec multi-GNSS et double-fréquence. C’est un peu mieux que la première Race, mais ces chiffres placent surtout la Race 2 parmi les montres GPS à écran AMOLED les plus endurantes du marché, avec la récente Vertical 2.

Regardez les autonomies annoncées par les marques sur des modèles Amoled autour de 400-600 euros :
Montre connectée | Tous les systèmes + multibande | |
---|---|---|
Suunto Race | jusqu’à 16 jours | jusqu’à 50 heures |
Suunto Race 2 | jusqu’à 18 jours | jusqu’à 55 heures |
Forerunner 970 | jusqu’à 15 jours | jusqu’à 21 heures |
Coros Pace Pro | jusqu’à 20 jours | jusqu’à 31 heures |
Polar Vantage V3 | jusqu’à 10 jours | jusqu’à 43 heures |
La Race nous avait franchement surprise avec sa solide autonomie et voyons comment s’est comportée la Race 2 lors de nos tests.
La Race 2 est donc bien moins autonome que la Race. C’est dommage. Reste que la Race 2 fait tout de même mieux que les autres.
Always on | Non | En permanence | Non | Non |
---|---|---|---|---|
SpO2 | La nuit | Non | Non | Non |
Satellites | Tous les systèmes + multibandes | Tous les systèmes + multibandes | Tous les systèmes + multibandes | Tous les systèmes + multibandes |
GPS | 13 h | 09 h et 14 mn | 23 h et 16 mn | 23 h et 09 mn |
Autonomie | 8 jours et 3 heures | 5 jours et 11 heures | 8 jours et 12 heures | 6 jours et 16 heures |
Déjà, les résultats sont très bons. Sans Always On et sans mesure de la SpO2, la Race 2 a pu m’accompagner pendant plus de 8 jours avec un total de plus de 23 heures de sport — donc de puce GNSS active, avec le mode le plus précis.

Bon… dans les quasi exactes mêmes conditions, la Race première génération avait tenu 14 jours. Une autre comparaison avec la première Race : cette dernière fait vraiment mieux en mode Always On : quasiment 11 jours d’autonomie avec 18 heures de sport, contre 5 jours et demi et 09 h de sport pour la Race 2.
C’est sûrement l’écran plus grand et plus lumineux de la Race 2 qui est en cause. Le quatrième test est quasi équivalent en durée d’activité par rapport au test 3, mais perd quasiment deux jours d’autonomie : j’étais en randonnée dans un coin que je ne connaissais pas et j’ai donc logiquement plus souvent regardé la cartographie de la Race 2.

La Race 2 est donc bien moins autonome que la Race. C’est dommage. Reste que la Race 2 fait tout de même mieux que les autres.
Le mode Always On dégrade fortement l’autonomie, mais la Race 2 se débrouille quand même pour avoir le même résultat que la Garmin Forerunner 965, qui n’avait pas le mode Always On activé de son côté.
Suunto a enfin revu le connecteur de recharge, qui tient correctement en place cette fois. À la manière Apple, le câble est tressé. L’effet est sympa. Il propose un embout USB-C d’un côté et une connectique propriétaire de l’autre. Les nouveaux pins de connexion pourraient apparemment transférer des données à l’avenir — musique ou cartes on imagine.

Suunto Race 2Appel et communication
La Suunto Race 2 affiche les notifications d’appels entrants, de SMS et de messages des applications de communication. Les commandes médias permettent de piloter la musique du smartphone connecté en Bluetooth. C’est à peu près tout. Pas d’évolution sur ce point donc.

La connexion Wi-Fi sert uniquement au téléchargement des cartes et des mises à jour logicielles et on rappelle que la Race 2 n’offre pas de lecteur MP3 intégré. Bref, la Race 2 reste une montre de sport avant tout, alors que Garmin ambitionne de se rapprocher d’une expérience de montre connectée.
Suunto Race 2Plus chère, mais toujours agressive
La Suunto Race 2 est disponible depuis le 27 août 2025 au tarif de 499 euros pour la version acier et 599 euros pour la version titane. Cela représente une augmentation de 50 euros par rapport au prix de lancement de la Race première génération en octobre 2023, vendue 449 et 549 euros.
Cette hausse tarifaire place désormais la Race 2 à la hauteur de la Coros Apex 2 Pro, mais toujours en deçà de la Garmin Forerunner 965 et de la Polar Vantage V3. C’est aussi le prix de la première Race qu’il faudra regarder avant de faire un choix, puisqu’elle se trouve désormais parfois sous les 400 euros selon les promotions.
Avant de se décider, lisez plutôt notre conclusion après ce test complet de la Suunto Race 2.
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