Avec le 65C9K, TCL continue son offensive sur le segment très convoité des téléviseurs Mini LED et propose ici un modèle bardé de technologies haut de gamme. Cette série C9K comprend trois tailles : 85, 75 et 65 pouces venant se positionner au-dessus des C7K (C79K) et C8K (C89K). Le constructeur l’équipe d’une dalle QD-Mini LED Ultra HD (3 840 x 2 160) de 7e génération, accompagnée d’un système de rétroéclairage comprenant un nombre très impressionnant de zones.
La marque affiche clairement ses ambitions et cible une clientèle à la recherche d’une expérience visuelle immersive conjuguée à un confort d’utilisation moderne, avec une orientation affirmée vers le jeu vidéo et les usages connectés. Le TCL 65C9K revendique une luminosité record de 6000 cd/m² selon le constructeur, portée par la technologie QLED Pro et un filtre Quantum Dot de nouvelle génération.
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Outre la technique, TCL soigne les détails avec le système audio Bang & Olufsen de 90 W (4.2.2), la compatibilité Dolby Atmos et un design minimaliste qui cherche à séduire même les intérieurs les plus contemporains. Le téléviseur embarque Google TV dans sa version la plus récente, proposant un environnement de divertissement complet (Chromecast, T-cast, Assistant vocal Google Gemini) et une interface pensée pour les adeptes de streaming.
Concurrent direct des Samsung QN90F, Hisense U8Q ou encore Sony Bravia 9, le TCL 65C9K mise sur un rapport équipement/prix agressif. Là où la concurrence valorise sa maîtrise logicielle ou la recherche de l’ultra-finesse, TCL joue la carte de la puissance brute aussi bien sur la luminosité que sur l’audio, tout en ne négligeant pas la gestion des fonctionnalités gaming (HDMI 2.1 complet, VRR, ALLM, FreeSync Premium Pro). Ce positionnement marque un pas de plus dans l’ascension ambitieuse du constructeur, qui entend faire mieux que ses concurrents sud-coréens, chinois et japonais sur un plan technique sans pour autant négliger l’expérience d’utilisation ou l’accessibilité.
Le 65C9K veut satisfaire ceux qui souhaitent le meilleur des deux mondes : performances de pointe et richesse fonctionnelle, qu’il s’agisse de home cinéma ou de sessions de jeux exigeantes. Une promesse forte, d’autant plus marquante que le marché des dalles Mini LED connaît un regain d’intérêt en 2025, alors que la technologie OLED subit, de son côté, une pression croissante sur les tarifs et la durabilité.
TCL 65C9KFiche technique
Modèle | TCL 65C9K |
---|---|
Dimensions | 1444 mm x 869 mm x 369 mm |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’écran | 65 pouces |
Compatible HDR | HDR10, HDR10+, Dolby Vision |
Ports HDMI | 4 |
Compatible Surround | Dolby Atmos |
Puissance des haut-parleurs | 90 watts |
Sortie audio | Haut-parleurs, Optique |
Système d’exploitation (OS) | Google TV |
Assistant vocal | Google Assistant |
Fiche produit |
TCL 65C9KDesign, un cadre gris qui entoure l’image et un pied central
Le TCL 65C9K adopte un style résolument moderne, misant sur la sobriété pour mieux s’intégrer dans tout type d’intérieur. À l’image de la série C89K, cette dalle de 65 pouces profite d’un cadre extrêmement mince (ZeroBorder) qui place totalement l’image au centre de l’attention. Le cadre est moins épais que celui du C89K.

Le châssis en aluminium brossé, élégant et discret, affiche deux logo apparent en façade : celui de la marque au centre et Bang & Olufsen, le partenaire audio, sur l’extrémité droite. Par son coloris gris, le cadre tranche plus que le noir du C79K, avec un rendu similaire à celui du C89K mais donc plus fin encore.
Comme ces derniers, la recherche de minimalisme se retrouve aussi dans le pied central, compact et robuste, au revêtement en plastique qui assure stabilité et discrétion quelle que soit la surface d’installation. Le pied est composé de trois parties à assembler dont l’une d’entre elles se détache pour laisser passer les câbles et organiser leur fuite vers l’arrière afin de ne pas les voir lorsqu’on est en face du TV.
En matière de profondeur, le TCL 65C9K affiche moins de 4 cm hors support avec une harmonie générale du design qui ne nuit pas à un emplacement mural, le cas échéant.
L’arrière, plat et sombre, est conçu pour limiter l’encombrement visuel. Les ports sont habilement placés sur le côté et vers le bas pour faciliter l’accès, qu’il soit posé sur meuble ou fixé au mur.

On apprécie les parties latérales satinées, l’intégration astucieuse des haut-parleurs verticaux dans la corniche haute et le système de cache-câbles bien pensé. Seules les tranches supérieures et latérales, très anguleuses, marquent un contraste plus prononcé par rapport à d’autres modèles Samsung ou Sony qui misent sur des courbes légèrement plus douces.
De notre point de vue, le 65C9K se place au niveau des meilleurs acteurs du moment sur le critère du design et montre le soin apporté par la marque à faire oublier l’aspect massif souvent associé aux téléviseurs Mini LED de grande dimension.
Globalement, sur le modèle testé, la qualité d’assemblage est au rendez-vous, et la sensation d’un produit bien fini se confirme à la manipulation, avec un ensemble qui inspire confiance par sa rigidité et ses lignes.
TCL 65C9KConnectiques, deux entrées HDMI plein pot
Les connectiques du TCL 65C9K ont été pensées pour couvrir l’ensemble des usages premium, avec en tout quatre entrées HDMI 2.1, dont une compatible eARC qui permet de gérer toutes les solutions audio les plus pointues, y compris les barres de son très haut de gamme. Attention, comme sur les séries C79K et C89K, seulement deux de ces ports acceptent le 4K jusqu’à 60 Hz (par la puce Pentonic 700), tandis que les deux autres sont optimisés pour le 4K/144 Hz sur PC. Les technologies VRR (Variable Refresh Rate), ALLM (Auto Low Latency Mode) et FreeSync Premium Pro sont supportés, pour une approche sans compromis à destination des joueurs.

Il s’agit d’exactement les mêmes connectiques que l’on trouve sur le TV TCL C89K. Donc, il y a aussi un port USB 3.0, ce qui permet la connexion de périphériques variés pour la lecture de contenus ou l’enregistrement TV, sans oublier le port Ethernet RJ45 pour une connexion réseau filaire. On retrouve également une sortie audio optique, un port CI+ pour les chaînes payantes et une prise antenne classique ainsi qu’un bornier pour l’entrée satellite, le cas échéant. Bluetooth 5.4 et Wi-Fi 6 complètent le tableau. Chaque port est bien séparé pour éviter les problèmes d’accès, et les prises sont parfaitement identifiables.
On apprécie la compatibilité ARC/eARC et le support Dolby Atmos qui offre une très bonne polyvalence pour le home cinéma.

Contrairement aux modèles OLED, le TCL 65C9K ne présente aucun problème spécifique de marquage d’écran puisque sa technologie est Mini LED QLED. Il n’y a donc pas de zone à risque d’images résiduelles ou de rémanence durable, un avantage appréciable pour ceux qui souhaitent afficher du contenu statique ou jouer de longues heures (cartes de jeux, interfaces, chaînes info en continu).
La télécommande
Changement notable sur cette génération, TCL propose une télécommande compacte, fine, en aluminium brossé, qui se veut premium tant dans la facture que dans le ressenti à l’utilisation. Ne cherchez pas, il s’agit de la même télécommande qui est associée à la série C8K (C89K). L’ensemble respire la qualité avec des boutons rétroéclairés, bien espacés, qui limitent les fausses manipulations même dans la pénombre.

Le pavé directionnel, doux au toucher et précis à la manipulation, facilite la navigation dans l’interface Google TV. L’essentiel des raccourcis pratiques est accessible : bouton d’accès rapide à Netflix, YouTube, Prime Video, à TCL Channels (TV IP) et même un accès vocal via le micro intégré compatible Google Assistant. La reconnaissance vocale fonctionne de manière précise, et les commandes sont exécutées avec peu de latence, pour une expérience au quotidien qui s’avère satisfaisante.
On apprécie aussi la présence d’une touche dédiée au réglage rapide des sources, à l’activation du mode jeu et au menu d’accès aux paramètres avancés. Un petit regret sur le fait qu’elle soit alimentée par deux piles alors que de plus en plus de fabricants de TV sont passés à la batterie et chargement via un port USB-C.
TCL 65C9KL’image en mode subjectif
La technologie d’affichage s’appuie ici sur une dalle de type VA avec un système de rétroéclairage Mini LED associé à un panneau QD (Quantum Dot) de 7e génération proposant pas moins de 3024 zones de gradation individuelle (1680 zones sur la série C89K), ce qui permet d’atteindre des contrastes saisissants et une dynamique particulièrement étendue en HDR.

L’apport des Quantum Dots de dernière génération se ressent immédiatement sur la richesse des couleurs, avec une palette extrêmement large pour les espaces colorimétriques, et une saturation qui ne vire jamais au criard, même sur les pics lumineux élevés. En outre, le rétroéclairage « Micro OD » et ses milliers de zones indépendantes permettent un contrôle précis.

Techniquement, comme la série C7K, celle-ci embarque aussi le traitement CrystGlow HVA mais ici en version Wide (large), aussi proposé sur la série C89K. Cela a pour effet de limiter les reflets et d’offrir des angles de vision encore plus larges que sur les autres modèles. Concernant ce dernier point, c’est effectivement le cas mais en ce qui concerne les reflets, ils sont encore bien visibles.
Les modes d’image proposés sont complets : Film, Dynamique, Jeu, Ordinateur, Filmmaker Mode (nouveau depuis 2025), Standard, Sport ainsi qu’un mode Dolby Vision IQ qui ajuste en temps réel l’image selon la luminosité ambiante. Notez également la compatibilité avec les modes HDR10, HDR10+, HLG et IMAX Enhanced. Chacun a été calibré pour un rendu cohérent, sans surenchère d’effets inutiles. Sur des séquences de test en streaming UHD HDR (Netflix et Disney+), le C9K met en avant des noirs très denses, sans effet de blooming excessif, même sur des scènes à fort contraste comme les plans nocturnes des derniers blockbusters Marvel ou les environnement sombres des séries tendances.

L’apport du processeur AiPQ Pro, qui s’occupe entre autres de l’upscaling, est évident : la mise à l’échelle des contenus 1080p vers la 4K se fait de manière transparente, sans perte notable de précision sur les visages ou les textures complexes. Les contenus sportifs (football, F1) profitent pleinement de la fréquence native, et le traitement d’image MEMC (Motion Estimation Motion Compensation) permet des mouvements ultra-fluides, notamment sur les travellings rapides où l’on repère généralement les faiblesses des LCD conventionnels. Les décrochages des contours des objets bougeant rapidement sur des fonds hachurés sont très rares et il faut vraiment que l’arrière-plan soit composé de toutes petites parties fines comme du grillage ou des barres verticales, par exemple pour mettre en défaut le traitement vidéo.

L’expérience visuelle est immersive, avec une gestion du rétroéclairage suffisamment réactive pour ne jamais trahir la profondeur des noirs, sans sacrifier la lisibilité des nuances. La gestion du HDR avec Dolby Vision IQ place le TCL 65C9K au-dessus de la mêlée, surtout à ce tarif, car l’adaptation à la lumière ambiante (via un capteur) optimise le résultat à toute heure, de jour comme de nuit.

En streaming, la différence de rendu avec les modèles Samsung QN90F ou Hisense U8Q se joue essentiellement sur la finesse du local dimming et la restitution des arrières-plans sombres, où TCL réussit un juste équilibre entre détail et intensité.
Difficile de prendre le téléviseur en défaut sur l’homogénéité d’éclairage, nous n’avons pas constaté d’effet de postérisation sur le modèle testé.

Globalement, le rendu reste spectaculaire aussi bien face à des images cinématiques, qu’en usage quotidien, et la polyvalence avec différents formats HDR renforce l’impression d’une maîtrise technique de bout en bout.
TCL 65C9KLes mesures, sondes à l’appui
Encore une fois, pour réaliser les mesures, nous avons laissé les réglages par défaut. Ainsi, en mode Filmmaker, nous avons pu relever une excellente fidélité des couleurs avec un Delta E moyen de 2,12. C’est inférieur à 3, seuil en dessous duquel l’œil humain n’arrive plus à voir la différence entre la couleur demandée et celle qui est affichée à l’écran.
Pour ce qui est de la température moyenne des couleurs, nous avons relevé 6471 K, soit une valeur très proche à la cible idéale qui est de 6500 K. Les dérives chromatiques sur les trois couleurs primaires sont très légères et cohérentes. Enfin, le gamma moyen est de 2,22, ce qui est inférieur au 2,4 demandé dans les conditions du test. Globalement, on peut dire toutefois que l’image est bien calibrée avec les réglages d’usine.

Avec des contenus HDR, toujours en mode Filmmaker, le Delta E moyen inhérent à la fidélité des couleurs est parfait puisque nous avons relevé 0,9, donc très nettement inférieur au fameux seuil de 3.
En ce qui concerne la luminosité, pour une mire qui occupe 10% de la surface de l’écran, nous avons mesuré un pic de 3468 cd/m² contre 3274 cd/m² pour le C89K, testé quelques semaines plus tôt. Là encore, on peut saluer la très forte luminosité qui est extrêmement proche de la mesure que nous avons effectuée sur le Hisense U8Q (3487 cd/m²).

Toujours à titre de comparaison, rappelons que le Samsung QN90F propose, selon nos conditions de test, 2477 cd/m² alors que le Sony Bravia 9 a été mesuré à 2698 cd/m². Au-delà des chiffres, cela signifie que le téléviseur peut être apprécié dans des environnements particulièrement lumineux.
Pour une mire qui occupe 100 % de la surface de l’écran, en plein écran donc, nous avons mesuré 610 cd/m² contre 672 cd/m² pour le C89K et 730 cd/m² sur son rival direct, le Hisense U8Q tandis que le Bravia 9 de Sony offre une luminosité de 728 cd/m² dans les mêmes conditions.

Enfin, concernant les couvertures des espaces colorimétriques, le téléviseur offre des prestations excellentes avec des mesures de 98,9 % pour le rec709, 96,51 % pour le DCI-P3 et un excellent 79,91 % pour le BT2020.

TCL 65C9KGaming, (presque) rien ne fait défaut
Comme le C89K mais aussi le C79K, le téléviseur TCL 65C9K a été pensé pour les joueurs exigeants. Les ports HDMI supportent les consoles de dernière génération, du PC haut de gamme à la PlayStation 5, en passant par la Xbox Series X. En outre, le support du 4K à 144 HZ sur deux ports pour les PC, ainsi que la gestion intégrale du VRR et FreeSync Premium Pro garantissent une parfaite adaptation à chaque usage. Seul le mode G-Sync, présent seulement sur les modèles OLED, fait ici défaut.
La dalle affiche une latence très faible, ce qui se ressent immédiatement sur les jeux compétitifs comme Call of Duty : la réactivité est quasi instantanée, les mouvements sont nets, la quasi-absence d’input lag (mesuré à 13,2 ms) procure un vrai plaisir sur les FPS ou les jeux de courses.
Le mode Gaming Master Pro 2.0 propose un accès immédiat à la majorité des réglages : activation automatique du mode faible latence dès détection d’une console, gestion dynamique de la luminosité pour s’ajuster aux scènes sombres ou Ultra-HDR dans les jeux optimisés, et options d’affichage avancées pour maximiser la fluidité sans effet de tearing.

Durant nos tests sur Forza Horizon 5 ou Gran Turismo 7, la profondeur des contrastes et la précision des couleurs permettent de profiter d’environnements ultra détaillés, même dans les conditions de lumière très variées. Le local dimming affine la présentation des graphismes 3D, offrant des nuances que l’on ne retrouve pas chez tous les concurrents Mini LED. Nous avons mesuré un Delta E moyen de seulement 1,59 en mode Jeu témoignant d’une excellente fidélité des couleurs avec un pic de luminosité de 3363 cd/m². Surtout, la dalle 144 Hz autorise des sessions en mode PC de grande fluidité, y compris sur les titres compétitifs, avec parfois des pics à 120 fps maintenus sans faille.
TCL 65C9KAudio, un son plutôt chaleureux
Le TCL 65C9K bénéficie d’un partenariat exclusif avec Bang & Olufsen et d’une configuration audio 4.2.2 capable de délivrer 90 W de puissance totale, soit bien au-delà des standards du marché. Ce dispositif se compose de haut-parleurs frontaux, de woofers et de tweeters orientés vers l’utilisateur, avec, en complément, des haut-parleurs verticaux parfaitement intégrés au châssis.
La restitution sonore est plutôt impressionnante, surtout sur les contenus Dolby Atmos ou DTS : l’ampleur de la scène sonore surprend. Sur les films d’action (et même certains jeux AAA), les effets de spatialisation sont marqués, le canal central s’avère intelligible, et les dialogues ne sombrent pas dans les graves comme c’est encore le cas sur bien des concurrents. Le rendu des basses est ferme, les effets de hauteur distincts ; on atteint là ce qu’une barre de son d’entrée de gamme propose habituellement, sans nécessité immédiate d’investir en complément. L’ensemble manque encore de basses mais disons qu’il faut très bien le job.

Les réglages disponibles sont nombreux, de l’égaliseur 7 bandes aux modes prédéfinis cinéma, voix ou musique, chacun peut personnaliser la restitution. En outre, il est également possible d’opter pour plus finesse dans l’audio avec les paramètres BeoSound offerts par Bang & Olufsen.

Globalement, l’absence de distorsion, même à haut volume, démontre une certaine maturité de la partie audio. Pour ceux disposant d’une installation 5.1, la sortie HDMI eARC assure bien entendu la compatibilité avec toutes les nouvelles générations de barres ou amplis, sans limitation sur les formats audio compressés ou non.
TCL 65C9KInterface, toujours Google TV à bord et des menus retravaillé
Exactement comme les autres séries de la marque, Google TV anime le TCL 65C9K dans sa version la plus récente, avec une interface fluide, claire et ergonomique. Le démarrage est rapide, la personnalisation des écrans d’accueil s’effectue facilement en fonction des usages (cinéma, gaming, accès rapide aux applications préférées). L’intelligence artificielle recommande les contenus en analysant les habitudes, tandis que la navigation entre applications, chaînes TV ou services de streaming profite d’une optimisation notable.

Le téléviseur gère la recherche vocale via son micro intégré, compatible à la fois Google Assistant et, désormais, l’IA Gemini. Ce système permet de piloter tous les objets connectés de la maison, obtenir des informations contextuelles ou même programmer des routines diverses. Grâce à l’intégration Chromecast et T-cast, le partage de contenus des smartphones – peu importe le système d’exploitation – se révèle quasi instantané.

On apprécie le travail graphique de certains menus de configuration permettant à l’utilisateur de savoir où il est et ce qu’il fait.

L’accès au Play Store est complet, la compatibilité avec les apps tierces reste exemplaire (Molotov, MyCanal, Disney+, Apple TV+…), ce qui dote l’appareil d’un bouquet applicatif très riche.
L’interface propose également un Game Bar regroupant toutes les fonctionnalités gaming sur une seule page : gestion des fps, activation VRR, ajustement HDR. La prise en charge du multiroom audio, du contrôle parental avancé, ainsi qu’une section éco-énergie bien intégrée, font de l’expérience Google TV sur le C9K l’une des plus abouties dans cette gamme de prix, largement au-dessus des interfaces propriétaires de Samsung Tizen ou de certains modèles Hisense VIDAA.
À l’heure de l’écriture de ces lignes, Gemini promis aux téléviseurs sous Google TV n’est pas présent. Il devrait l’être via une mise à jour à venir.
TCL 65C9KConsommation
Nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, « les 100 » sur Netflix (HD 5.1) pendant 4 heures avec le son et les paramètres de l’image réglée sur le mode Filmmaker. Dans ces conditions que nous reproduisons pour tous les tests de téléviseurs et avec le capteur de luminosité désactivé, le téléviseur propose une consommation moyenne de seulement 57 W ce qui est un peu plus, en moyenne que sur le C89K.
Pour la série en HDR (Dolby Vision sombre plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, ce n’est pas la même musique puisque nous avons obtenu une consommation moyenne de 190 Wh, ce qui est beaucoup. À noter qu’en mode Dolby Vision sombre, avec les réglages par défaut, le niveau de luminosité était réglé sur fort, ce qui explique la consommation élévée.
La consommation en veille est de 0,5 Watt sauf si on laisse le mode réseau activé dans les paramètres, le téléviseur se tenant prêt à obéir à vos ordres vocaux et consommant alors 2 Watts.
TCL 65C9KPrix et date de sortie
Le TCL C9K est disponible à un tarif de 1599 euros environ pour la version 65 pouces alors que la diagonale de 75 pouces 75C9K est proposée à 1999 euros et le 85 pouces 85C9K est affichée à 2690 euros.
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