
Le 12 septembre 2025, BYD a mis des moyens conséquents pour le lancement de la Yangwang U8L à son siège social de Shenzhen. Un coup de communication bien préparé avec l’arrivée en hélicoptère de certains invités, largement diffusées sur les réseaux sociaux.
Pour ma part, malheureusement pas d’hélicoptère, mais j’ai pu découvrir ce mastodonte lors d’un essai routier à partir du centre Yangwang de Shenzhen Bay, ouvert en mars 2024, le premier showroom de la marque et son quartier général. Ce showroom est situé au cœur du parc technologique de Shenzhen qui concentre les sièges sociaux des grandes entreprises tech et financières chinoises, illustrant la stratégie de positionnement premium de la marque dans les zones les plus dynamiques du pays.
Yangwang : L’Évolution depuis la U7
Lorsque j’avais découvert la Yangwang U7, il y a moins d’un an, cette berline électrique de luxe marquait déjà une rupture dans l’approche chinoise du segment premium-luxe. Depuis, Yangwang a enrichi sa gamme avec la Supercar U9 qui vient de battre un record de vitesse.
Cette accélération spectaculaire s’explique par les résultats commerciaux encourageants de la marque : avec plus de 8 000 véhicules livrés au premier semestre 2025, Yangwang dépasse déjà les objectifs initiaux de BYD pour cette division premium-luxe. Plus significatif encore, 60% de ces ventes concernent des marchés d’exportation, principalement le Moyen-Orient et certains pays d’Asie du Sud-Est. Cette réussite internationale a certainement convaincu la direction de BYD d’accélérer le développement produit.

Le changement le plus notable par rapport à l’époque de la U7 concerne la stratégie de distribution. Yangwang dispose désormais de showrooms dédiés dans quinze villes chinoises et prépare l’ouverture d’espaces exclusifs à Dubaï et Singapour. Cette approche de distribution distinctive, inspirée des codes de l’horlogerie de luxe, tranche avec l’approche grand public de BYD.
Les clients Yangwang sont reçus sur rendez-vous et bénéficient d’un service de conciergerie dédié. Tout ça a l’air attractif mais, nous le verrons dans l’article, n’est pas encore vraiment au point…
La royauté s’intéresse à Yangwang
L’événement de lancement au siège de BYD a marqué les esprits par l’arrivée spectaculaire de Tareq Sultan Saif Bu Alzaabi, membre de la famille royale de Dubaï, qui s’est posé en hélicoptère privé directement sur le site. Cette visite révèle l’importance stratégique du marché du Golfe pour Yangwang et l’intérêt des élites émiraties pour les technologies chinoises.
La famille Bu Alzaabi, dont l’empire commercial s’étend de l’énergie aux transports de luxe, représente exactement le type de clientèle visé par cette U8L à 1,28 million de yuans (soit 154 970 euros au cours du change actuel).

Alors que ces clients possèdent déjà des flottes de Rolls-Royce, Bentley et Ferrari dans leurs garages de Dubaï ou de Doha, leurs intérêts pour la technologie amphibie et les 1 180 chevaux de la U8L est déjà une certaine victoire de renom pour BYD : une reconnaissance par la royauté émiratie constitue un atout marketing considérable pour BYD dans sa conquête des marchés premiums internationaux.
Design Extérieur : 5,4 Mètres de Prestance

Le design extérieur, signé par l’équipe de Wolfgang Egger (ex-Audi), se distingue par ses phares « interstellaires » matriciels LED. Ces projecteurs adoptent une signature lumineuse « triédrique unique », dixit BYD. Les optiques intègrent des lentilles en verre optique multicouches et des réflecteurs aluminisés donant à la voiture son look singulier. La calandre à motifs dot-matrix ponctuée géométriquement complète cet ensemble, un peu à la manière des nouvelles calandres de Mercedes.

Les lignes de caisse privilégient la prestance à l’aérodynamisme, assumant un coefficient de traînée de 0,35 qui pénalise l’autonomie. Mais après tout, dans le monde du Luxe, l’autonomie n’est certainement qu’une notion relative. La voiture reprend le style de la U8 standard que nous avions testé en 2024.

Avec ses dimensions de 5 400 mm de long, 2 049 mm de large et 1 921 mm de haut, la U8L est plus longue et plus large d’environ 50mm que la Rolls-Royce Cullinan. Son empattement de 3 250 mm, soit 200 mm de plus que la U8 standard, libère un espace arrière important mais peut-être moins que ce à quoi on s’attendrait puisqu’il faut aussi attribuer de l’espace pour la 3eme rangée de sièges, car à la différence de la Cullinan, la U8L est une voiture 6 places.
Les proportions XXL s’accompagnent d’un poids de 3 460 kilos, un embonpoint de 700 kilos de plus que la Rolls-Royce, qui nécessite une architecture spécifique pour maintenir des performances « dynamiques ». Enfin, équipée – en option – d’emblèmes dorés 24 carats et capable de flotter sur l’eau, la U8L représente l’aboutissement des ambitions Premium-Luxe du géant chinois.
Les passages de roues élargis accueillent des jantes de 22 pouces dont le design à rayons complexes masque partiellement les étriers de frein six pistons à l’avant. Les feux arrière à technologie micro-LED reproduisent les motifs de la face avant, créant une cohérence esthétique certain. Ces optiques peuvent afficher des animations personnalisées programmables via l’application mobile, incluant des séquences d’accueil et de verrouillage spécifiques. Similaire à ce que nous avons pu voir sur la AITO M8.

Cette technologie d’éclairage, bien qu’impressionnante techniquement, relève davantage du spectacle que du raffinement, confirmant l’approche « tech-luxury » chinoise face aux codes européens d’une Rolls-Royce Spectre.
L’Habitacle : Quatre Trônes dans un écrin de Luxe + 2
Pénétrer dans l’habitacle de la U8L révèle immédiatement les ambitions de Yangwang. L’architecture six places privilégie le confort et la modularité, avec deux sièges individuels en première et seconde rangées, complétés par une troisième rangée de deux sièges.

Le Yangwang U8L est équipé de vitres arrière et latérales à technologie électrochrome, permettant de les assombrir instantanément pour une intimité totale, simplement en appuyant sur un bouton. Cette technologie s’adapte aussi à la sensibilité lumineuse extérieure, offrant ainsi une protection contre les rayons lumineux et une confidentialité renforcée pour les passagers.
La technologie de verre intelligent (smart glass) existe aussi sur commande sur la Rolls-Royce Dawn, où des films peuvent être intégrés dans les vitres arrière ou au toit ouvrant. Cependant, l’adoption de vitres latérales électrochromes intelligentes reste très rare en série, et c’est appréciable dans des environnements où le soleil brille fort.


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Les matériaux révèlent les limites du luxe BYD et si le cuir Nappa couvre effectivement les surfaces de contact, trop de plastiques durs subsistent à ce niveau de prix. On pourrait par exemple pointer l’espace intérieur de rangement sous l’accoudoir central avant qui semble être commun à une BYD Seal.
Les inserts en bois de Sapele, bien que véritables, sonnent creux au tapotement, trahissant une épaisseur insuffisante. Cette finition déçoit comparée à l’excellente U7 ou à la Huawei Maextro S600. Les emblèmes dorés à l’or 24 carats des versions haut de gamme, facturées 20 000 yuans (2 412 euros), frôlent le bling-bling même selon les standards chinois de 2025.

L’atout principal de la U8L concerne les sièges de seconde rangée, véritables fauteuils de relaxation embarqués qui sont équipés de la meilleure technologie de massage que j’ai pu tester dans une voiture. On se rapproche du niveau des fauteuils massant, sans tout de même atteindre leur niveau de puissance, mais très proche. Les sièges proposent également un mode « zéro gravité ».
Les passagers bénéficient en outre d’un système de climatisation individuelle, d’un réfrigérateur intégré et d’un écran de divertissement amovible de 21 pouces. Le système audio arrière est aussi piloté séparément de celui à l’avant et peut être isolé sur un des deux fauteuils. Ça me semble une approche intéressante si un des passagers arrière décide de regarder un film ou d’écouter une bande sonore sans déranger le reste de la cabine. Pour l’avoir essayé, cela fonctionne plutôt bien.

Les passagers occupant la dernière rangée de sièges seront restreints au niveau de la place aux jambes qui limitera ces sièges à des enfants sur de longs trajets. J’apprécie tout de même les nombreux réglages des six sièges qui sont massant, ventilés et chauffants.
Rien à redire au niveau des finitions et des intégrations réussies pour les inserts lumineux à chaque place du véhicule. Le rendu est flatteur, en particulier avec la sellerie beige de notre voiture d’essai.

Le poste de conduite adopte une philosophie plus conventionnelle, mêlant écrans tactiles et commandes physiques. Le tableau de bord intègre trois moniteurs : un combiné d’instruments de 12,3 pouces, un écran central de 15,6 pouces et un afficheur passager de 10,25 pouces.
Le système d’infodivertissement, basé sur Android Automotive, gère nativement les applications chinoises populaires mais intègre également Google Services pour les marchés d’exportation (désactivé par défaut en Chine).

La planche de bord est certes bien finie, mais je ne suis pas fan des 3 diffuseurs d’air qui semblent avoir été rajoutés en dernière minute en ayant été oubliés dans l’intégration du tableau de bord. Ces 3 bosses nuisent à la perception globale de la cabine avant. Les portes sont assez hautes, mais l’accès dans le véhicule reste aisé grâce aux marches pieds électriques qui se déplient automatiquement à l’ouverture des portes.

BYD ne communique pas sur le volume du coffre arrière qui sera pourtant similaire au U8 standard une fois la dernière rangée repliée, donc environ 2 000 litres. Avec tous les sièges en place, on est certainement à moins de 400 litres et il faut aussi remarquer que le coffre dispose d’un faux plancher qui me semble bancal. Il ne faudra pas compter épater vos amis en ouvrant le coffre.

Capacités tout terrain
La garde au sol par défaut est de 285 mm et bien que BYD ne communique pas sur la garde au sol avec la suspension pneumatique surélevée, étant donné que les suspensions Disus-P apportent 70 à 80mm d’extension, on peut estimer une garde au sol de 350mm lorsque le mode franchissement est activé. L’angle d’attaque est de 36,5 degrés et l’angle de sortie de 35,4 degrés, c’est un peu mieux que les 34,7 et 29,6 degrés offert par un Range Rover.

La profondeur de gué est de 850 mm et la U8L offre 15 modes de conduite tout-terrain avec une démonstration faite sur une pente à 65 degrés au lancement du véhicule.
Les chiffres sont prometteurs, pourtant il faudra les conjuguer avec les 3,5 tonnes du véhicule qui le mettront en difficulté dans des terrains boueux ou sablonneux, bien que la U8L ait l’avantage de 4 roues directrices et motorisées séparément. On notera d’ailleurs que le mode camping permet aux suspensions des quatre roues de s’adapter aussi individuellement pour essayer de garder la voiture en position horizontale malgré des terrains accidentés.
Appréciable aussi pour les bivouacs en montagne, ou dans le désert, la U8L offre des capacités de décharge V2L (Vehicle-to-Load) de 6 kW pour alimenter des appareils électroniques externes. Vous aurez aussi accès au mode V2V (Vehicle-to-Vehicle) pour recharger un autre véhicule électrique.

Ces spécifications font du Yangwang U8L un SUV particulièrement capable en tout-terrain, même si je n’ai pas pu les évaluer durant mon essai. Il serait intéressant pour un organisme indépendant de tester les capacités tout-terrain du U8L avec celles des références comme le Range Rover ou le Mercedes Classe G.
Technologies de Pointe : 1180 Chevaux et Capacités Amphibies
La partie technique de la U8L repose sur la plateforme e4 de BYD, permettant une rotation complète à 360 degrés grâce aux quatre moteurs électriques indépendants développant 1 180 chevaux (880 kW). Cette architecture autorise des prouesses comme le « tank turn » ou la marche en crabe, fonctionnalités spectaculaires mais d’usage limité en pratique. L’infotainement est dèjà disponible en Anglais, les menus et les transitions sont fluides.

Le système de conduite autonome embarqué, baptisé DiPilot 300 (et non 100 comme sur les versions antérieures), intègre un réseau de capteurs visuels et radars qui autoriseront la conduite autonome de niveau 3 lorsqu’elle sera mise en test dans certaines villes en Chine. La conduite autonome est limitée au niveau L2++ pour 2025.

L’autonomie électrique atteint 200 kilomètres CLTC (environ 160 kilomètres WLTP) grâce à la batterie de 53 kWh de la U8L, supérieure aux 49 kWh de la U8 standard. Un générateur thermique 2,0 litres turbo porte l’autonomie totale à 1 160 kilomètres CLTC (environ 930 kilomètres WLTP).
Cette configuration EREV (Extended Range Electric Vehicle) uniquement s’explique par les habitudes chinoises : selon les discussions avec les ingénieurs BYD, les clients chinois de ce segment craignent l’anxiété de l’autonomie avec un tel mastodonte en version BEV pure, préférant la sécurité du générateur thermique pour les longs trajets.

La capacité amphibie constitue l’argument technique le plus spectaculaire de la U8L, grâce à une étanchéité renforcée, le véhicule peut franchir des gués de 1,5 mètre de profondeur et naviguer à 3km/h sur un plan d’eau. Si cette utilisation est limitée en usage urbain, on peut aussi développer une certaine sensibilité pour une voiture flottante aux vues des innondations qui continuent de frapper la France et d’autres pays en 2025.
Prise en Main : Entre Puissance et Compromis

Mes premiers kilomètres au volant de cette U8L révèlent immédiatement les forces et faiblesses de ce mastodonte. Les 1 180 chevaux permettent des accélérations saisissantes malgré les 3,46 tonnes : le 0 à 100 km/h s’effectue en moins de 4 secondes et effectivement ça pousse très fort à l’accélération.

Mais le comportement routier trahit la hauteur excessive du véhicule par un roulis prononcé dans les virages, seul le mode Sport parvenant à limiter ce mouvement de « bateau ». Cette instabilité dynamique, récurrente sur les SUV chinois de grande taille, pénalise le plaisir de conduite hors des autoroutes et grands axes urbains. Je déconseillerai de prendre la U8L sur des petites routes de montagne.

Le rayon de braquage de 11,50 mètres est bluffant pour un véhicule qui mesure plus de 5 mètres. Il est surprenant de pouvoir faire un demi-tour aussi facilement au feu rouge et si cela ne suffisait pas, le « tank turn » permet une rotation sur place en bloquant les roues d’un côté et en faisant tourner celles de l’autre côté en sens inverse.

Si l’effet « waouh » fonctionne à tous les coups, vous allez aussi abimer votre gomme à en abuser.

L’isolation phonique atteint un niveau remarquable, comparable aux meilleures berlines de luxe. En roulage électrique pur, le silence à bord n’est troublé que par le sifflement des pneumatiques sur l’asphalte.
Cette performance s’explique par un travail minutieux sur l’étanchéité de la cabine et l’utilisation de matériaux absorbants dans l’habitacle. Même à vitesse élevée, les conversations restent possibles sans élever la voix, critère essentiel pour un véhicule destiné au transport de clients fortunés.
Ce n’est pas nouveau puisque les constructeurs chinois apportent une attention particulière sur le silence de la cabine, mais c’est toujours appréciable à l’essai. Aussi étant donné que le moteur thermique ne sert que de générateur pour recharger la batterie, je ne l’ai pas entendu pendant le test puisque nous avons roulé moins de 80 kilomètres sans avoir besoin de recharger notre batterie.

Après trois heures passées dans cette U8L, alternant conduite active et passager arrière, il ressort une impression d’un véhicule dynamique, avec assez de puissance et un roulis prononcé dans des virages serrés mais sous contrôle avec les suspensions pneumatiques.
Sans avoir pousser la voiture dans ses retranchements, et loin de là, on a le sentiment que les 4 moteurs indépendants gardent un contrôle permanent du châssis. Il me semble difficile de mettre la voiture en travers tant les systèmes de contrôle de la trajectoire sont réactifs.
Le confort des sièges de seconde rangée, équipés de leurs fonctions massage et zéro gravité, rivalise ceux de la NIO ET9. Les dix-huit programmes de massage disponibles couvrent tous les besoins, du simple pétrissage relaxant aux percussions énergiques.

Comparé aux références européennes, la U8L présente une approche différente du luxe. Les écrans multiples, les animations lumineuses et les fonctionnalités technologiques s’adressent à une clientèle moins inhibée par les codes traditionnels du luxe européen.
On s’attarde davantage sur les écrans et le système multimédia de la U8L que sur les chromes, les cuirs épais et les boiseries de la Rolls-Royce qui sont clairement (encore) quelques crans au-dessus. Une philosophie différente qui trouve son public au Moyen-Orient et en Asie, marchés moins conservateurs que l’Europe en matière de codes esthétiques.
Positionnement Face aux Références Mondiales
La U8L dispose également de quelques options de personnalisation telles que les badges dorés, le traitement carrosserie bi-tons ou des jantes luxes 23 pouces qui feront grimper le prix jusqu’à 1,5 million de yuans (181 020 euros), la U8L attaque alors le segment des SUV de prestige. Cette tarification la positionne face aux Rolls-Royce Cullinan (400 000 euros), Mercedes GLS Maybach (200 000 euros) ou Bentley Bentayga (250 000 euros).

Cette guerre des segments Luxe se joue également sur le terrain des services associés. Yangwang propose un programme de conciergerie 24h/24, des livraisons à domicile et une maintenance préventive assurée par des techniciens spécialisés. Cette approche « tech » du service client séduit une clientèle jeune habituée aux codes du numérique, mais peut dérouter les acheteurs traditionnels du luxe. L’enjeu pour Yangwang consiste à adapter son discours selon les marchés et les clients
L’expérience client au showroom de Shenzhen Bay révèle pourtant certaines lacunes. La vendeuse, moins compétente que le personnel AITO, ignorait même quel bouton sur le volant permettait de changer entre les modes de conduite.
Cette méconnaissance du produit, sur un véhicule à 150 000 euros, tranche avec l’excellence du service attendu à ce niveau. Yangwang devra impérativement former ses équipes de vente pour égaler les standards en matière d’expertise produit et d’accompagnement client.

La U8L illustre parfaitement les forces et limites de l’industrie chinoise contemporaine. Les prouesses techniques – plateforme e4, moteurs indépendants, capacités amphibies – rivalisent avec les meilleures réalisations mondiales.
Mais l’exécution du luxe reste perfectible : plastiques durs, boiseries creuses, formation du personnel insuffisante. La technologie, aussi avancée soit-elle, ne permettre pas à elle-seule d’imposer un véhicule dans le marché du luxe.
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