La marque Hisense propose un large panel de téléviseurs à son catalogue avec des modèles OLED, mais également des exemplaires utilisant la technologie QLED avec un panneau de Quantum Dots pour les couleurs et un rétroéclairage LED sur toute la dalle. Connectée et compatible avec les formats HDR10+ et Dolby Vision pour les meilleures images possibles, cette série U7HQ veut aussi séduire les joueurs grâce à des aptitudes sérieuses pour optimiser l’affichage des jeux vidéo.
Que vaut exactement le modèle de 55 pouces que nous avons pu essayer pendant un petit moment (Hisense 55U7HQ) ? La réponse, et bien plus, dans notre test complet.
Fiche technique
Modèle | Hisense 55U7HQ |
---|---|
Dimensions | 1233 mm x 767 mm x 307 mm |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’écran | 55 pouces |
Compatible HDR | HDR10, HDR10+, Dolby Vision |
Ports HDMI | 4 |
Compatible Surround | DTS-X |
Puissance des haut-parleurs | 20 watts |
Sortie audio | Haut-parleurs, Optique |
Assistant vocal | Google Assistant, Amazon Alexa, Vidaa Voice |
Efficacité énergétique | G |
Indice de réparabilité ? |
6,5/10 |
Prix | 790 |
Fiche produit |
L’exemplaire de test nous a été prêté par la marque.
Design
Le design du téléviseur Hisense 55U7HQ est plutôt réussi. L’écran se présente sur un pied à assembler soi-même, dépassant d’environ 12 cm vers l’avant. Il prend une forme en U évasé proposant un mouvement qui fait penser à quelque chose de fluide partant sous l’écran pour le maintenir approximativement 6 cm au-dessus du meuble qui l’accueille.
Comptez sur une largeur minimale de 72 cm pour le poser et 30 cm de profondeur au total afin qu’il soit parfaitement stable. Vu la forme du pied à l’avant, l’installation d’une barre de son n’est pas forcément chose aisée ou alors il faut prendre un modèle inférieur à 35 cm de large, ce qui est peu courant.
Le modèle U7HQ est décliné en 55 ou 65 pouces, avec, pour les deux, exactement le même pied. Celui-ci se fixe facilement par-dessous grâce à quatre vis.
L’écran est souligné par une barre métallique assez fine d’un très bel effet. Le téléviseur est plutôt fin pour un modèle QLED. Il fait 3,5 cm à son niveau le moins épais pour un maximum de 7 cm au niveau de la partie qui contient toute l’électronique, à l’arrière. Celle-ci profite d’une légère texture, comme sur la plupart des modèles TV de la marque. L’ensemble est en plastique. Les finitions sont correctes et le modèle prêté par Hisense pour réaliser ce test ne souffrait d’aucun défaut de fabrication même après un examen minutieux de « toutes les coutures » de l’appareil.
L’écran semble collé sur un cadre métallique gris clair qui dépasse légèrement avec un léger biseau, ce qui lui confère une certaine classe. En façade, comptez sur une bordure noire tout autour de l’écran de 5 mm auxquels il faut ajouter 3 mm de cadre. Comme tous les autres téléviseurs, le 55U7HQ peut être accroché à un mur avec une fixation à la norme VESA300. À l’arrière, le pied se termine par deux « pattes » espacées de 72 cm qui contiennent des guide-fils permettant d’organiser la fuite des câbles à ce niveau afin de ne pas les voir lorsqu’on est face au téléviseur. C’est bien pensé mais, pour une meilleure organisation, nous aurions aussi aimé avoir au moins un guide-fil sur l’arrière.
Connectique du Hisense 55U7HQ
Le bloc d’alimentation se trouve à gauche lorsqu’on regarde le téléviseur de dos. Toutes les autres connectiques sont placées à droite en deux pôles, comme bien souvent. La prise Ethernet, sortie audio optique numérique et une prise USB sont à part, orientées horizontalement ce qui peut gêner si on veut coller l’écran aussi proche que possible d’un mur. Toutefois, on peut aussi s’en sortir en passant par le Wi-Fi et en se servant de l’autre prise USB disponible sur le côté.
On y trouve également deux entrées HDMI 2.1 et deux autres en version 2.0. Les prises HDMI 1 et HDMI 2 supportent ainsi les signaux Ultra HD à 60 images par seconde au maximum alors que les prises HDMI 3 et HDMI 4 acceptent l’Ultra HD jusqu’à 120 images par seconde. L’entrée HDMI 3 est compatible eARC.
Il y a aussi une prise antenne, une pour le satellite, une entrée Audio/Vidéo auxiliaire et une sortie casque. L’emplacement PCMCIA est positionné juste au-dessus des prises HDMI 1 et 2, pas facile à distinguer, mais bien présent. En outre, on peut compter sur une compatibilité Bluetooth et du Wi-Fi embarqué, ainsi que la présence des assistants Alexa d’Amazon, Google Assistant et Vidaa Voice. Il n’y a pas de microphone intégré au téléviseur, mais plutôt dans la télécommande par laquelle il faut passer pour les commandes vocales.
Image
Le téléviseur Hisense 55U7HQ est équipé d’une dalle LCD capable d’afficher une définition Ultra HD à 120 Hz avec un panneau Quantum Dots et un système de rétroéclairage LED Full Array, c’est-à-dire sur l’intégralité de l’écran avec 32 zones. C’est peu et cela contribue à produire des effets de halo assez prononcés et parfois étendus, visibles lorsqu’on affiche les informations de débit des contenus de la plateforme Netflix, par exemple. Vous comprenez donc que ce téléviseur n’est pas exempt de phénomènes de blooming autour des objets clairs sur des fonds sombres. Les angles de vision ne sont pas son point fort non plus : dès que l’on s’écarte un peu de la position centrale, les couleurs dérivent et les noirs deviennent gris.
Les évènements sportifs ressortent très bien sur ce téléviseur, notamment sur le football avec une excellente fluidité et un très bon suivi du ballon et de nombreux détails. Idem pour la Formule 1 au niveau des mouvements et des contours bien traités. Toutefois, la colorimétrie a tendance à être trop saturée, particulièrement sur le mode d’image Sport.
La série des Parcs nationaux sur Netflix commentée par Barack Obama offre des images extrêmement détaillées, très claires, brillantes même parfois, avec beaucoup d’éléments visibles dans les zones sombres, mais le tout manque un peu de piqué. Nous avons constaté quelques scintillements occasionnels de certaines parties de l’image, spécifiquement sur des zones contenant énormément de petits détails difficiles à reproduire. Les dégradés de couleurs sont très doux. La lecture du film Gemini Man avec une qualité Ultra HD et un très haut débit (80 Mbits/s) nous a permis de mettre en évidence le manque de piqué et de profondeur du téléviseur. En revanche, la fluidité des mouvements est parfaite, sans décrochage sur les contours des objets en déplacement rapide.
Le téléviseur propose les modes Standard, Cinéma Jour, Cinéma Nuit, Dynamique, Sport et Filmmaker. Un gros carton rouge aux développeurs de l’interface Vidaa qui n’ont pas réussi à faire apparaitre le mode Filmmaker sur l’écran, dans les menus. Pour y accéder, il faut aller dans les réglages, puis Image et ensuite sélectionner le bon mode d’image. Néanmoins, le mode Filmmaker n’est pas visible tant que l’on ne va pas complètement à droite, au bout de la ligne des modes. De nombreux utilisateurs pourraient passer à côté et c’est bien dommage, car c’est le meilleur mode aussi bien pour des contenus SDR que HDR.
En mode SDR, c’est le mode Filmmaker qui permet d’obtenir les meilleurs résultats. La colorimétrie peut être considérée comme fidèle puisque nous avons obtenu un Delta E moyen de 1,53, soit inférieur à la valeur de 3, seuil sous lequel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre les couleurs demandées et celles affichées. Le mode Cinéma Nuit donne un Delta E moyen de 2,55.
En mode Filmmaker, le gamma moyen a été mesuré à 2,17, un niveau inférieur à la valeur cible qui est de 2,4 pour un visionnage dans une pièce sombre (conditions de nos mesures). La courbe est plutôt bien suivie mis à part un décrochage important à 80 % et au-delà où l’image apparait trop lumineuse. La température de couleur moyenne est de 6450 K, une valeur très proche de celle attendue qui est de 6500 K, ce qui est très bon. Le contraste a été mesuré à 6288:1 en mode Filmmaker et 5855:1 en mode Cinéma Jour.
Avec des contenus HDR, le téléviseur supporte les modes HLG, HDR10+ et Dolby vision. C’est de nouveau le mode Filmmaker qui propose les meilleurs résultats ici. Nous avons pu mesurer un Delta E moyen de 2,14, garantissant des couleurs fidèles bien que l’on a déjà vu mieux. En mode d’image HDR Nuit, nous avons mesuré un Delta E moyen de 2,2 et en mode HDR Jour, le Delta E moyen a été mesuré à 2,21, donc toujours en dessous du seuil de 3.
Concernant le pic de luminosité, en mode Filmmaker, nous avons relevé une valeur maximale de 454 cd/m², ce qui est assez faible pour une dalle QLED. En mode HDR Dynamique, nous avons mesuré une luminosité maximale de 521 cd/m². Les mesures ont été réalisées dans l’obscurité.
Ce qui nous a étonné, ce sont les faibles valeurs obtenues avec des mires plus petites que celle de la norme (10 %). En dessous, dans la très grande majorité des cas, la luminosité est au moins égale à celle mesurée avec une fenêtre de 10 %, mais là, elle est nettement inférieure. Nous devons tout de même signaler que pour des mires plus grandes, la luminosité baisse (ce qui est normal), mais beaucoup moins que sur d’autres TV. Ainsi, nous avons mesuré une luminosité de 401 cd/m² sur un plein écran en mode Filmmaker.
La couverture de l’espace colorimétrique rec709 est de 99 %. Pour l’espace DCI-P3, on peut compter sur une couverture de 95,5 % et de 75,7 % pour l’espace BT2020, ce qui est tout à fait correct.
Un input lag pensé pour le gaming
Hisense, comme la quasi-totalité des fabricants de télévision, fait les yeux doux aux joueurs et aux joueuses. Ainsi, le U7HQ possède deux entrées HDMI 2.1 compatibles ALLM et VRR pour l’optimisation des images dans les jeux et obtenir un temps de retard à l’affichage aussi court que possible. À ce sujet, nous avons mesuré un input lag de 16,1 ms ce qui est plutôt bon. C’est tout juste une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la télécommande et où l’action se déroule à l’écran. Les meilleurs téléviseurs dans ce domaine sont les LG OLED et Samsung QLED et QD-OLED qui proposent un input lag de seulement 9,5 ms, soit moins d’une image de retard, plus adéquat encore pour les joueurs les plus exigeants.
Pour les modes d’images, ce modèle permet d’activer le mode Jeu tout en gardant les paramètres du mode Filmmaker. On peut compter sur une compatibilité FreeSync Premium. Les entrées HDMI 3 et HDMI 4 supportent les signaux Ultra HD jusqu’à 120 images par seconde. Si l’on active le mode Dolby Vision, le signal plafonne à 60 images par seconde. Pensez à passer les entrées HDMI à l’état Amélioré dans les paramètres afin de profiter du plein potentiel de ces connectiques.
Audio : des détails, mais sans spatialisation
Le téléviseur est équipé de plusieurs haut-parleurs délivrant une puissance totale de 20 watts. On peut compter sur une compatibilité Dolby Atmos et Dolby Audio. Le son du Hisense 55U7HQ propose beaucoup de détails, mais il est aussi clairement trop localisé. Il est étriqué, peu large et offre peu ou pas de spatialisation dans l’espace. Le rendu est très clair avec des médiums criants. Les dialogues sont passables, mais peuvent aussi subir quelques phénomènes d’étouffements parfois. On regrette aussi l’absence de basses.
Plusieurs modes audio sont disponibles. Évitez de laisser actif le mode Standard qui est totalement neutre. Passez plutôt sur les autres qui proposent un peu plus d’ampleur. Le mode Sport propose un tout petit peu plus de largeur, mais pas assez pour faire bonne figure. Le mode Musique arrive avec un renfort de médiums et des voix un peu étouffées. Le mode Cinéma met en avant les voix et l’arrière-plan, et semble le plus adéquat pour la plupart des programmes. On apprécie d’avoir un mode Nuit qui recentre l’audio au niveau du téléviseur pour limiter son ampleur. Quoi qu’il en soit, l’ajout d’une barre de son ne sera pas un luxe.
Interface
Le téléviseur Hisense 55U7HQ est animé par le système Vidaa, développé par la marque Hisense et qui est également présent dans les TV Loewe. Les menus sont colorés ici, ce qui n’est pas désagréable alors qu’ils sont noirs et blancs chez Loewe, plus sobre. Vidaa n’a pas grand-chose à envier aux autres systèmes étant donné qu’il propose la plupart des applications de streaming les plus populaires (Netflix, Disney+, Prime Video, Canal+, Salto, YouTube, Molotov TV, Rakuten TV, RMC Sport, Pluto TV, etc.).
Bien entendu, les TV fonctionnant sous Android TV peuvent télécharger beaucoup plus d’applications, mais sont-elles vraiment toutes pertinentes ? Sincèrement, lors de nos tests en conditions réelles, nous n’avons pas été frustrés des applications proposées. Le téléviseur s’allume sur une chaîne de la TNT en 6 secondes et s’éteint instantanément. Un effet de rideau peut être joué au moment de l’extinction et peut durer de 1 à 10 secondes, faisant aussi baisser le volume graduellement.
Vidaa propose une page d’accueil avec les principales fonctions tout en haut de l’écran : recherche, sources, paramètres, signal Wi-Fi, notifications, profils et assistants vocaux. Dessous, il y a les applications les plus souvent utilisées, qu’il est possible de les organiser selon vos besoins.
Une vignette intitulée Apps permet d’accéder aux autres applications préinstallées. Sur la page d’accueil de Vidaa, il y a également plusieurs bandeaux de suggestions de contenus en fonction des applications disponibles. Ceux-ci sont organisés par thème. La navigation dans les menus de Vidaa est très fluide et rapide. On apprécie.
La liste des sources permet de sélectionner la TNT, des entrées HDMI ou les dossiers partagés sur le réseau domestique. À ce titre, l’interface est parfaitement capable de lire des films particulièrement exigeants puisque nous avons pu visionner le film Gemini Man en qualité Ultra HD à un débit de 80 Mbits/s, sans aucune saccade. Il peut donc aussi lire des médias moins gourmands en ressource.
Les paramètres du téléviseur se présentent sous la forme d’un menu vertical qui peut être plus ou moins transparent. Il y a de quoi régler l’image, le son, le réseau et d’autres options. Un mode de détection des scènes est prévu et doit normalement appliquer le meilleur mode d’image en fonction du contenu qui s’affiche à l’écran, mais celui-ci est loin d’être activé correctement. Cela signifie qu’il faut changer le mode d’image manuellement selon que l’on regarde du sport ou des films, par exemple. Pour cela, c’est complexe, car il faut ouvrir les paramètres avec la bonne touche de la télécommande, puis aller dans le menu Réglages.
Un mode de détection des contenus est aussi proposé pour appliquer le mode Filmmaker. Comme évoqué plus haut, nous avons trouvé cela totalement incompréhensible qu’il ne soit pas visible au sein de l’interface lorsqu’on appelle les différents modes d’image qui s’affichent en bas de l’écran. Il faut aller tout à fait à droite, dépasser le mode Sport pour le voir, et donc le sélectionner.
Une télécommande ergonomique, mais pas rétroéclairée
La télévision est livrée avec une télécommande. Celle-ci est plutôt grande, même si son format est tout de même plus compact que celle fournie avec le Loewe Bild i.65 DR+ set, ou chez Panasonic, par exemple. Elle est noire et non rétroéclairée, ce que nous regrettons toujours un peu. Les touches sont très agréables à utiliser et la croix directionnelle précise. Si la plupart des télécommandes qui accompagnent les TV d’aujourd’hui proposent des touches dédiées à des services de streaming, on peut dire que celle qui est dans le carton du Hisense 55U7HQ est la championne dans ce domaine. On y compte 12 touches spécialement dédiées à autant de services de streaming : Disney+, YouTube, Prime Video, Rakuten TV, RMC Sport, Deezer, Canal+, Salto, Molotov TV, Netflix, Vidaa TV et NBA League Pass.
La télécommande est Bluetooth intégrant un microphone que l’on peut couper grâce à un bouton-poussoir installé sur le côté de l’accessoire de contrôle.
Consommation
Pour la consommation électrique, nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, « Les 100 » sur Netflix (HD 5.1) pendant 4 heures, avec le son et les paramètres de l’image réglés sur le mode Cinéma. Dans ces conditions, reproduites pour tous les tests de téléviseurs, le Hisense 55U7HQ consommait 46 Wh. Cette consommation est extrêmement raisonnable pour un modèle de 55 pouces. À titre de comparaison, le LG 55C2, pourtant Oled, consomme 47 Wh dans les mêmes conditions.
Pour la série en HDR (Dolby Vision sombre plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne de 111 Wh. En mode Dolby Vision personnalisé (le plus lumineux), la télévision consomme 117 Wh. La consommation en veille est de 0,5 Watt sauf si on laisse le mode réseau activé dans les paramètres, le téléviseur se tenant prêt à obéir à vos ordres vocaux et consommant alors 2 Watts.
Prix et date de sortie
La série Hisense U7HQ est déclinée en 55 et 65 pouces pour des prix respectifs de 799 euros et 1099 euros.
Ce contenu est bloqué car vous n'avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par Disqus.
Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l'usage étant opéré par Disqus avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l'amélioration des produits d'Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l'audience de ce site (en savoir plus)
En cliquant sur « J’accepte tout », vous consentez aux finalités susmentionnées pour l’ensemble des cookies et autres traceurs déposés par Humanoid et ses partenaires.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment. Pour plus d’informations, nous vous invitons à prendre connaissance de notre Politique cookies.
Gérer mes choix