
Même s’ils n’arborent pas vraiment le look « gamer » traditionnel, les smartphones de la famille Poco de Xiaomi ont pour ambition de proposer le meilleur équipement possible pour jouer tout en conservant un prix raisonnable.
Ils se distinguent en cela des ROG Phone d’Asus (bien plus onéreux), comme le ROG Phone 9, ou du Redmagic 10 Pro, tous les deux résolument haut de gamme.
Nous avons déjà passé en revue les Poco F7 Pro (à partir de 503 €) et Poco F7 Ultra (à partir de 703 €), qui ont été lancés il y a quelques semaines. C’est donc aujourd’hui au tour de leur petit frère, le Poco F7, d’être dévoilé et de passer entre nos mains.
Compte tenu de son (relativement) petit prix, voyons comment se comporte le Poco F7, en particulier face à un de ses principaux concurrents, qui offre également un excellent rapport performances / prix, le Poco X7 Pro, le modèle le plus sophistiqué de la gamme Poco X, censée être techniquement moins avancée que la gamme Poco F de Xiaomi.

Fiche technique
Modèle | Xiaomi Poco F7 |
---|---|
Dimensions | 77,9 mm x 163,1 mm x 8,2 mm |
Interface constructeur | HyperOS |
Taille de l’écran | 6,83 pouces |
Définition | 2772 x 1280 pixels |
Densité de pixels | 447 ppp |
Technologie | AMOLED |
SoC | Qualcomm Snapdragon 8s Gen 4 |
Puce graphique | Qualcomm Adreno 825 |
Stockage interne | 256, 512 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 50 Capteur 2 : 8 Mp |
Capteur photo frontal | 20 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K @ 60 fps |
Wi-fi | Wi-Fi 7 (be) |
Bluetooth | 6.0 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Sous l’écran |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 6500 mAh |
Poids | 215,7 g |
Couleurs | Noir, Argent, Blanc |
Fiche produit |
Design
Le Poco F7 bénéficie d’un design assez séduisant (si on excepte la sérigraphie CE, bien trop voyante !). Son bloc optique mêle subtilement un cerclage métallique et une touche de couleur (vert en l’occurrence).

D’autre part, le dos en verre est divisé en deux zones, dont une est légèrement plus brillante que l’autre. Seul petit regret, les traces de doigts sont visibles sur les deux.
À l’avant, on trouve une protection contre les rayures avec revêtement Gorilla Glass 7i de Corning. Son cadre est métallique, ce qui confère au smartphone un bon niveau de solidité.
A l’instar de nombreux smartphones de 2025, il est doté de bords plats, qui autorisent une prise en main ferme et rassurante. En revanche, on constate, lors de la première utilisation, que le Poco F7 est assez lourd. En effet, son poids est de 218 grammes, ce qui s’explique sans doute par la taille de son écran.

Le point positif, c’est que ce dernier dispose de bordures très fines. C’est appréciable, car cela permet de sublimer l’affichage. D’autant que le poinçon situé en son sommet, où est logé l’objectif photo frontal, s’avère des plus discrets.
Pour le reste, le boîtier s’avère très classique, sans LED ou gâchettes, contrairement à ses concurrents de chez Asus et Redmagic. On retrouve donc un lecteur d’empreintes digitales sous la dalle OLED, et deux haut-parleurs, pour obtenir un son stéréo. Il est bien sur possible d’opter également pour le déverrouillage du smartphone par reconnaissance faciale.
En revanche, malgré son prix raisonnable, le Poco F7 est certifié IP 68, comme ses deux grands frères, ce qui est le gage d’une étanchéité totale. On peut donc jouer au bord de l’eau sans craindre une chute accidentelle et une immersion qui entraînerait un dysfonctionnement.

Écran
Le Poco F7 est équipé d’une dalle OLED de 6,83 pouces. Paradoxalement, elle s’avère donc plus grande que celle des Poco F7 Pro, Poco F7 Ultra ou Poco X7 Pro (6,67 pouces « seulement »).
L’écran affiche des images dans une définition de 2772 x 1280 pixels, avec une fréquence d’affichage de 120 Hz (le mode de sélection automatique du taux de rafraichissement est activé par défaut). On a également la possibilité de fixer le taux de rafraîchissement à 60 Hz ou 120 Hz. D’autre part, la technologie LTPO n’est pas à l’ordre du jour, puisque celle-ci est généralement réservée aux smartphones haut de gamme.

Pour ce qui est des performances d’affichage, les valeurs de luminosité annoncées par le constructeur sont de 700 nits (par défaut), 1700 nits en mode Luminosité automatique, et jusqu’à 3200 nits en pic HDR.
A l’aide de notre sonde et du logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Displays, nous avons vérifié cela, en mode SDR tout d’abord. Dans ce mode, la luminosité maximale de base relevée est de 621 nits. Puis, celle-ci est montée jusqu’à presque 1000 nits, après avoir activé le mode Luminosité automatique et soumis le capteur frontal à une lumière très intense.
Si ces valeurs effectives permettent d’obtenir une assez bonne lisibilité en plein soleil, elles demeurent toutefois un peu en retrait par rapport aux dalles les plus performantes, qui peuvent délivrer une luminosité comprise entre 1300 et 2000 nits dans les mêmes conditions.
En revanche, en HDR, la luminosité est effectivement en mesure de monter très haut : jusqu’à 3180 nits ! Cela permet aux amateurs de streaming vidéo de bénéficier de la meilleure qualité d’affichage possible lors du visionnage de films ou de séries HDR.

Des trois profils d’affichage prédéfinis (Original Pro, Vif et Saturé), celui qui offre la meilleure fidélité des couleurs — avec en l’occurrence un Delta E moyen de 3,11 — est le mode Vif. Dans ce mode, par défaut, la température moyenne des couleurs est de 7074 K, ce qui s’avère un peu trop froid.
Nous avons donc configuré un affichage plus chaud, ce qui a modifié la colorimétrie, qui est alors devenue parfaitement neutre (6590 K). Au passage, la fidélité des couleurs s’en est retrouvée améliorée, puisque le Delta E moyen est repassé sous la barre de 3 (2,41 en l’occurrence).
Enfin, le Poco F7 offre une très bonne couverture colorimétrique, puisque l’écran est capable de reproduire 98 % du gamut DCI-P3.

Logiciel
Le Xiaomi Poco F7 fonctionne sous Android 15, avec la surcouche HyperOS 2.0 de Xiaomi. Comme sur les Poco F7 Pro et Ultra, le système tire parti à fond de l’intelligence artificielle, avec de nombreuses fonctions IA liées à la productivité :
- Ecriture IA : aide à la rédaction et à l’optimisation de textes
- Fonds d’écran dynamiques IA (avec une animation)
- Reconnaissance vocale IA : transcrire un enregistrement, avec reconnaissance des interlocuteurs et possibilité de traduire ou de résumer.
- Traductions de conversation IA / Interprète IA : traduire des appels ou une conversation en temps réel.
- Sous-titres IA
On retrouve également les désormais traditionnelles fonctions de retouche d’image boostées à l’IA :
- Amélioration de la définition
- Extension de l’image
- Effacement / déplacement d’objets
- Suppression des réflexions
- Modification du ciel
Sans oublier les incontournables Gemini et Circle To Search, bien sûr.
D’autre part, on a la possibilité de faire appel, dans la Galerie, à d’autres fonctions, dites de créativité, qui permettent d’appliquer un effet spécial à une image, ou de créer divers types de clips vidéos à partir de plusieurs photos / vidéos sélectionnées.
Les mises à jour d’Android sont assurées pour une période de 4 années (et 6 ans pour les mises à jour de sécurité). Si cela est appréciable, ce n’est toutefois pas à la hauteur de ce que promettent certains concurrents, comme Samsung, Google ou Honor (6 à 7 ans).
Enfin, on constate la présence de quelques pourriciels, qui peuvent toutefois être rapidement désinstallés.
Performances
Pour sa gamme de smartphones Poco F7, Xiaomi n’a retenu que les processeurs Qualcomm haut de gamme : le Snapdragon 8 Elite pour le Poco F7 Ultra et le Snapdragon 8 Gen 3, son prédécesseur, pour le Poco F7 Pro.
Pour le Poco F7, Xiaomi a donc sélectionné la puce Qualcomm Snapdragon 8s Gen 4 (avec 12 Go de mémoire, plus 6 Go de mémoire virtuelle), spécialement conçue pour les smartphones haut de gamme « abordables ».

Celle-ci succède au Snapdragon 8s Gen 3 et dispose d’une architecture plus proche de celle du Snapdragon 8 Gen 3 (avec des cÅ“urs Kryo) que de celle du Snapdragon 8 Elite (cÅ“urs Oryon). Ainsi, le Snapdragon 8s Gen 4 embarque 8 cÅ“urs, dont un cadencé à 3,2 GHz, trois autres fonctionnant à 3,0 GHz, deux cadencés à 2,8 GHz et les deux derniers à 2 GHz. Le tout est complété par le GPU Adreno 825.
Les différents benchmarks nous confirment ce à quoi on pouvait s’attendre : la puce s’avère moins véloce que les deux autres Snapdragon 8 de ses grands frères.

En revanche, il offre de meilleures performances que le Mediatek Dimensity 8400 Ultra qui équipe le Poco X7 Pro. Il surpasse également (et heureusement, on pourrait dire) le Snapdragon 7s Gen 3, présent — par exemple — dans le Nothing Phone (3a), vendu 399 € (avec 12 Go de mémoire et 256 Go de stockage), ou le Honor 400 (à partir de 499 €).
En pratique, le smartphone dispose de suffisamment de ressources pour faire fonctionner les principaux jeux en 3D dans d’excellente conditions (meilleure qualité d’affichage et animations très fluides). Par exemple, Fortnite fonctionne parfaitement en qualité Epique en 60 images par seconde, alors que — grâce au module Game Turbo de Xiaomi — Genshin Impact peut fonctionner en 120 images par seconde.

D’autre part, comme toujours dans le cas d’appareils destinés aux joueurs, le constructeur ne manque pas de s’étendre sur les soit disant étonnantes possibilités du système de refroidissement, censé maintenir les composants à des températures raisonnables. En l’occurrence, il suffit de pousser quelques instants le Poco F7 pour se rendre compte que ses efforts ne suffisent manifestement pas.

En effet, si on lance l’application CPU Throttling, on constate rapidement une très grande montée en température, ce qui force le processeur à faire des pauses de temps à autre avec de grosses chutes de performances. Si il n’y a pas de quoi se brûler les doigts, toujours est-il que certains utilisateurs pourraient trouver ça désagréable lors des longues séances de jeu. De plus, ils pourraient également émettre quelques doutes quant à la fiabilité du smartphone à plus ou moins long terme. On se dit que l’ajout d’un module optionnel comme l’AeroActive Cooler, fourni avec le ROG Phone d’Asus, ne serait pas du luxe.
Lors de nos tests, après une heure de combats dans Fortnite, nous avons également constaté cette très nette montée de température, sans que cela devienne intolérable.
Photo
Pour la photographie, le Xiaomi Poco F7 propose la même configuration que celle du Poco F7 Pro (et donc sans le téléobjectif 2,5x du Poco F7 Ultra). On retrouve donc deux objectifs dorsaux, complétés par un objectif frontal, discrètement intégré à l’écran, pour les selfies :
- Objectif principal grand-angle Sony (équivalent à un 26 mm), avec capteur de 50 mégapixels, qui dispose d’un système de stabilisation optique.
- Objectif ultra grand-angle de 8 mégapixels.
- Objectif frontal associé à un capteur de 20 mégapixels.

Lorsque les conditions d’éclairage son favorables, en plein jour, la qualité des photos capturées par l’objectif et le capteur grand-angle s’avère des plus satisfaisantes. Le piqué des images est assuré, avec des couleurs fidèles à la réalité.

Comme souvent, malgré l’absence de téléobjectif, l’utilisation du zoom numérique 2x est parfaitement envisageable, puisque les clichés obtenus s’avèrent de bonne qualité la plupart du temps. En effet, les éléments des images demeurent nets.
Avec un facteur de grossissement un peu plus fort, de 5x par exemple, certaines images vont paraître plus ou moins précises, en raison d’un lissage parfois un peu trop fort. Elles peuvent toutefois être partagées avec ses proches ou les réseaux sociaux sans démériter.
Si en revanche on pousse le zoom numérique dans ses derniers retranchements, en mode 10x, les photos perdent très nettement en précision. Certains clichés peuvent toutefois encore faire illusion si on les regarde sur un smartphone.
Etonnamment, le module photo ne propose pas de mode spécifique pour les conditions d’éclairage difficiles, de nuit par exemple. En revanche, le smartphone compense automatiquement le manque de luminosité par un temps d’exposition plus élevé.
Et, force est de constater que les résultats obtenus s’avèrent le plus souvent d’assez bonne qualité, même si on utilise le zoom numérique 2x.
Comme on peut le voir, grâce à la technologie quad pixel binning, le capteur arrive à capter suffisamment de lumière pour générer des images assez détaillées, même lorsque les sources lumineuses sont éloignées.
Les photos capturées de jour par l’objectif et le capteur ultra grand-angle (équivalent à un 15 mm) bénéficient d’une qualité plutôt correcte, avec – comme souvent – des images qui manquent cruellement de précision, si on les regarde de trop près. Dans le cas contraire, on peut s’en contenter pour garder la trace d’un paysage.
De nuit, on oublie (les photos sont floues la plupart du temps).
Les selfies, quant à eux, bénéficient d’une assez bonne précision. De nombreux filtres permettent d’embellir les visages, de modifier la colorimétrie ou de modifier la force de l’effet de flou appliqué à l’arrière plan.
Enfin, le Poco F7 permet également de réaliser des séquences vidéos de qualité, grâce à un mode 4K en 60 images par seconde.
Réseau et communication
Le Poco F7 peut accueillir des cartes nano Sim 5G. Et, à l’instar de ses deux grands frères, le smartphone ne peut pas recevoir de cartes mémoire microSD, ce qui aurait permis d’étendre facilement et rapidement la capacité de stockage.
Si la technologie NFC est supportée, il n’est pas possible d’utiliser une carte SIM virtuelle (eSIM).
Enfin, le smartphone est compatible avec les standards Wi-Fi 7 et Bluetooth 6.

Autonomie et charge
Le Xiaomi Poco F7 embarque une batterie de grande capacité : 6500 mAh ! C’est donc 500 mAh de plus que le Poco F7 Pro et 1200 mAh de plus que le Poco F7 Ultra. Moins le smartphone est performant, plus sa batterie est grosse. La logique est particulière.
Cela peut s’expliquer par le fait que la puce Snapdragon 8 Elite du Poco F7 Ultra est censée être la moins énergivore de Qualcomm et requiert donc une moins grosse batterie dans l’absolu. Mais c’est tout de même étonnant !

Nous avons mesuré l’autonomie du smartphone, tout d’abord dans le cadre d’une utilisation bureautique, à l’aide du test intégré à l’application PC Mark, avec une fréquence d’affichage Automatique et une luminosité d’affichage ajustée à 250 nits. Dans ces conditions, le Poco F7 a fonctionné pendant un peu moins de 15 heures (14 heures et 53 minutes précisément), ce qui constitue un très bon résultat compte tenu des composants embarqués.
Et, si on force le taux de rafraîchissement à 60 Hz, c’est encore mieux, puisque l’autonomie fait un bond considérable, pour atteindre plus de 18 heures.
L’autonomie en streaming vidéo (en mode 60 Hz évidemment) est tout aussi satisfaisante. En effet, le niveau de la batterie a atteint 87 % après 4 heures de streaming en Wi-Fi, puis 79 % au bout de 6 heures. L’autonomie totale peut donc être estimée à environ 28 heures et 34 minutes.

Enfin, l’autonomie en jeu demeure des plus correctes, puisqu’une heure de Fortnite fait baisser le niveau de la batterie de 15 %. Cela permet d’envisager un peu moins de 7 heures de jeu au total.
Pour recharger la batterie, il est possible d’utiliser un adaptateur secteur de 90 W. Et, comme pour le Poco F7 Pro, la charge sans fil n’est pas supportée. Rappelons que le Poco F7 Ultra se distingue par une recharge filaire en 120 W, avec la possibilité de charge sans fil en 50 W.
A l’aide de l’adaptateur qui accompagnait notre exemplaire de test, mais qui ne sera pas présent dans la boîte du modèle que vous achèterez, il n’a fallu que 15 minutes pour que la batterie du smartphone retrouve 35 % de sa charge initiale. Puis, celle-ci est passée à 62 % au bout d’une demi-heure et à 88 % en 45 minutes

Prix et date de sortie
Le Xiaomi Poco F7 est disponible en trois versions. Les deux premières, très classiques, noire ou blanche, sont complétées par une édition limitée, grise.
Si les deux premières sont des plus sobres, la dernière arbore un design légèrement plus « gamer ». En effet, la partie supérieure de son dos laisse apparaître quelques éléments décoratifs, parmi lesquels le logo de Qualcomm.

Disponible dès à présent, le Poco F7 est proposé à 453 € (en version 12 Go de mémoire et 256 Go de stockage) et 503 € (avec 12 Go de Ram et 512 d’espace de stockage).
Toutefois, une offre de lancement — valable jusqu’au 7 juillet — permet de bénéficier d’une remise immédiate de 50 € sur les deux modèles, ce qui fait passer leur prix à seulement à 400 et 450 €.
Le nouveau smartphone gamer de Xiaomi est donc bien vendu à un prix compris entre ceux des Poco X7 Pro (aujourd’hui disponible à 319 € ou 349 €) et Poco F7 Pro (503 € ou 553 €).

Cerise sur le gâteau, si vous jetez votre dévolu sur le Poco F7 12 Go / 512 Go, vous recevrez gratuitement les écouteurs Bluetooth Xiaomi Redmi Buds 6 Active ou le bracelet Xiaomi Smart Band 9 (tous les deux d’une valeur de 40 €).
Dernier bon point, si vous achetez le smartphone et l’adaptateur secteur Xiaomi de 120 W, ce dernier ne vous en coutera que 10 € (contre 70 € en temps normal). Et si au lieu de l’adapteur vous craquez pour toute nouvelle tablette Xiaomi Redmi Pad 2, son prix passe de 201 € à seulement 100 €.
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