Le Samsung 65S90F fait partie de la nouvelle stratégie du constructeur coréen qui consiste à démocratiser la technologie (QD-)OLED. Présentée lors du CES 2025 à Las Vegas, elle succède à la série S90D. Positionné juste en dessous du S95F, ce modèle de 65 pouces reprend l’essentiel des innovations de la marque tout en visant un public plus large, sensible à la qualité d’image, mais aussi au rapport qualité-prix.
Attention, le 65 pouces est le seul de la série à intégrer cette technologie QD-OLED signée Samsung Display alors que toutes les autres (42, 48, 55, 77 et 83 pouces) embarquent une dalle White-OLED fabriquée par LG Display. Toutes les impressions et les mesures réalisées sur ce modèle de 65 pouces ne sont donc pas valables pour les autres tailles.
Pour aller plus loin
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Le S90F se distingue donc par sa dalle QD-OLED (Quantum Dots) de 65 pouces, qui promet des noirs parfaits, des couleurs éclatantes et une gestion de la luminosité optimisée. Par rapport à la série S95F, les TV Samsung S90F ne profitent pas du revêtement mat antireflet. En outre, ce modèle et les autres S90F embarquent le processeur NQ4 AI Gen3, censé améliorer l’upscaling, la gestion du HDR et l’intelligence logicielle.
Côté fonctionnalités, il ne fait pas l’impasse sur les standards attendus en 2025 : HDMI 2.1 sur tous les ports, compatibilité VRR, ALLM, FreeSync Premium Pro, Wi-Fi 6E, Bluetooth 5.2, et une interface Tizen OS revue pour une navigation plus fluide et plus personnalisée.
Samsung met également en avant une gestion du marquage OLED renforcée, gage de tranquillité pour les utilisateurs intensifs. Face à lui, le LG C5 OLED mise sur la polyvalence et la compatibilité Dolby Vision ; le LG G5 met le paquet sur la luminosité, tandis que Sony continue de séduire avec son traitement d’image et la richesse de Google TV notamment à travers le Bravia 8 II. Panasonic, de son côté, cible les cinéphiles avec une calibration d’usine poussée que nous testerons prochainement, notamment à travers la série Z95B.
Le S90F entend donc jouer sur tous les tableaux : image, fluidité, gaming, ergonomie et connectivité, tout en maintenant un prix plus raisonnable que les modèles ultra-premium. Reste à savoir si ce compromis est suffisant pour convaincre face à des rivaux.
Samsung 65S90FFiche technique
Modèle | Samsung 65S90F |
---|---|
Dimensions | 1444,3 mm x 896,7 mm x 265,2 mm |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’écran | 65 pouces |
Compatible HDR | HDR10+ |
Ports HDMI | 4 |
Compatible Surround | Dolby Atmos |
Puissance des haut-parleurs | 40 watts |
Sortie audio | Haut-parleurs, Optique |
Système d’exploitation (OS) | Tizen |
Assistant vocal | Google Assistant, Amazon Alexa, Samsung Bixby |
Fiche produit |
Le test a été réalisé sur un téléviseur Samsung 65S90F qui a été prêté par la marque
Samsung 65S90FDesign, un pied central facile à monter
Le design du Samsung 65S90F reprend les codes esthétiques de la gamme QD-OLED 2025.
On notamment remarquer l’extrême finesse de la dalle, qui ne dépasse pas 4 cm sur la majeure partie de sa surface inférieure, mais seulement 3 mm tout en haut à l’image des modèles C de LG. En façade, les bordures sont très fines aussi avec une épaisseur de 5 mm, ce qui donne une impression d’immersion, surtout dans une pièce sombre. Cependant, sur ce point, le plus impressionnant reste le C8K de TCL.
Le pied est composé de deux éléments à clipser à l’arrière. C’est très bien pensé et Samsung a, depuis plusieurs générations, travaillé pour un montage des plus aisés. Une fois les deux éléments installés, une plaque vient les recouvrir par l’avant. Impossible de choisir entre plusieurs hauteurs, comme c’est de plus en plus le cas sur les TV milieu à haut de gamme.

Cela aide à placer une barre de son devant, sans gêner la vision ou le pointage de la télécommande, le cas échéant. Ici, compter sur une élévation de 5 cm au centre et 7,5 cm sur les côtés du pied. Ce dernier, une fois assemblé, mesure 37,5 cm de large pour 26,5 cm de profondeur.

L’arrière du téléviseur, bien que plus sobre que sur le S95F (qui propose des textures) se dote d’une finition mate élégante et des découpes discrètes pour la ventilation. L’assemblage inspire confiance : aucun jeu, aucun craquement, et un plastique dense pour les parties non visibles.

Samsung a également soigné l’intégration des connectiques, même si on peut regretter que certaines soient orientées vers le bas, les rendant plus difficilement accessibles lorsque le TV est fixé au mur. Ceci dit, à priori, ce ne sont pas celles qu’on branche et débranche le plus.

Samsung 65S90FLes connectiques, tout est là
La connectique du Samsung S90F répond parfaitement aux attentes des utilisateurs exigeants. On retrouve ainsi quatre ports HDMI 2.1, tous capables de gérer un signal 4K à 144 Hz, ce qui garantit une compatibilité totale avec les consoles de nouvelle génération et les PC gaming. Deux ports USB permettent de connecter des périphériques ou de lire des contenus multimédias, tandis que la sortie audio optique, la prise Ethernet, l’entrée antenne et le port CI+ complètent l’ensemble. Le Wi-Fi 6E et le Bluetooth 5.2 assurent une connectivité sans fil rapide et stable, idéale pour le streaming ou la connexion d’accessoires.

L’accès à certains ports HDMI est donc facilité par leur position latérale, un avantage indéniable pour ceux qui souhaitent accrocher le téléviseur au mur. Pour les autres, l’accès est donc plus délicat.

Comme sur tous les téléviseurs OLED, la question du marquage se pose. Samsung a renforcé ses dispositifs de prévention avec des routines de rafraîchissement automatique, une gestion dynamique des logos et des alertes en cas d’images fixes prolongées. Un décalage des pixels est également prévu. Quelques lignes et quelques colonnes sont donc désactivées et l’image se décale automatiquement à intervalles réguliers.

Un menu dans les paramètres est dédié aux fonctions de maintenance du téléviseur. En usage normal, le risque de marquage reste très faible, mais il convient d’être vigilant lors d’utilisations intensives ou professionnelles.
La télécommande, compacte, ergonomique, mais pas rétroéclairée
La télécommande livrée avec le Samsung 65S90F est fidèle à la philosophie minimaliste de la marque. Elle est strictement identique à celle qui accompagne le TV S95F. Légère et compacte, elle tient parfaitement en main grâce à un revêtement mat agréable au toucher. Les boutons sont peu nombreux, mais bien répartis : navigation, volume, changement de chaîne, accès direct aux principales plateformes de streaming, tout est accessible sans effort.



Pour une expérience cinéma à la maison, découvrez la barre de son Samsung Q995F. Sa spatialisation 11.1.4 vous plonge dans l’ambiance de vos films avec des détails subtils et une immersion bluffante.
La télécommande est rechargeable via USB-C ou grâce à un capteur solaire situé à l’arrière, ce qui élimine le besoin de piles et répond à une démarche écoresponsable. La réactivité est excellente, que ce soit pour piloter le téléviseur ou pour utiliser la commande vocale.

Les amateurs de domotique apprécieront la compatibilité avec SmartThings, qui permet de contrôler l’ensemble des objets connectés de la maison. Via cette application, on peut aussi piloter le téléviseur depuis un smartphone ou une tablette tactile. Seul regret, l’absence de rétroéclairage des touches, qui aurait été appréciable pour une utilisation dans l’obscurité. Malgré ce détail, la télécommande du S90F se révèle très agréable à l’usage.
Samsung 65S90FL’image en mode subjectif, une très belle qualité et des couleurs fidèles
L’image du Samsung 65S90F impressionne vraiment par sa richesse et sa précision. La technologie QD-OLED combine les avantages de l’OLED (contraste infini, noirs parfaits, temps de réponse instantané) à ceux des Quantum Dots, qui élargissent la palette colorimétrique et améliorent la luminosité.

Rappelons que seul le téléviseur de 65 pouces utilise cette technologie QD-OLED alors que les autres embarquent une dalle White-OLED, d’une structure différente (voir le test des modèles LG C5 ou G5). Cependant, les ingénieurs de Samsung nous ont promis un traitement similaire sur toutes les diagonales. Le processeur NQ4 AI Gen3 optimise l’upscaling, la gestion du HDR et l’affichage des contenus en mouvement. Le rendu des couleurs est éclatant sans jamais paraître artificiel, même sur des contenus très saturés.
Les modes d’image disponibles – Standard, Cinéma, Dynamique, Eco et Filmmaker – permettent d’adapter le rendu selon les préférences et le type de contenu. Les modes Cinéma et Filmmaker se démarquent par une extrême fidélité, idéaux pour les films et séries, tandis que le mode Dynamique accentue la luminosité et la saturation pour les contenus sportifs ou d’animation.

Lors de séquences de test issues de Netflix, Disney+, Prime Video et Apple TV ou de disques Blu-ray UHD, le S90F offre une profondeur des noirs et une précision des couleurs qui rivalisent avec les meilleurs modèles du marché. Les détails dans les zones sombres sont parfaitement restitués, sans écrasement ni bruit excessif. Les hautes lumières sont bien gérées, même si l’absence de Dolby Vision limite la compatibilité avec certains contenus HDR premium.
Le HDR10+ Adaptive qui s’adapte automatiquement aux conditions d’éclairage de la pièce via un capteur idoine fait néanmoins un excellent travail. L’angle de vision est très large, bien plus que sur une dalle LCD et légèrement supérieur aux dalles White-OLED, sans perte notable de contraste ou de saturation, ce qui est appréciable dans une grande pièce ou lors de soirées entre amis.
Dépourvue du revêtement antireflet exceptionnel de la série S95F, celle-ci est donc nettement plus sujette aux reflets des sources de lumière qui peuvent se trouver dans la pièce et ne peut pas lutter contre une baie vitrée baignée par le soleil en plein après-midi. Le choix entre l’une ou l’autre dépendra donc essentiellement de vos conditions de visionnage. La série S90F convient mieux à des environnements sombres.
Samsung 65S90FLes mesures, sondes à l’appui
Avec le mode d’image Filmmaker et les réglages par défaut, les résultats sont excellents aussi bien avec des contenus SDR que HDR. En effet, dans ces conditions, nous avons mesuré un Delta E moyen de 1,39 pour des images SDR, soit une valeur nettement inférieure à 3, en dessous duquel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur affichée et celle qui est demandée. La fidélité des couleurs est donc bien au rendez-vous.
Toujours en mode Filmmaker, la température moyenne de couleur a été relevée à 6364 K donc légèrement inférieure à celle de référence, soit 6500 K, mais c’est très raisonnable. En outre, le gamma moyen est très bon avec une valeur moyenne de 2,36 et un suivi relativement proche de la ligne de référence pour un visionnage en conditions sombre.

Avec des contenus HDR, là aussi, les mesures sont excellentes, toujours avec les réglages par défaut. En effet, nous avons relevé un Delta E moyen de seulement 1,33 montrant une très grande fidélité des couleurs. Concernant la luminosité, nous avons mesuré un pic à 1493 cd/m². À titre de comparaison, la série S95F propose un pic de luminosité de 2260 cd/m², dans les mêmes conditions, pour une mire occupant 10% de la surface de l’écran. Le Sony Bravia 8 II a été mesuré à 1680 cd/m², donc plus lumineux tandis que le LG C5 plafonne à 1200 cd/m². En outre, on peut noter que la courbe de référence est parfaitement suivie, ce qui signifie une gestion admirable des contenus les plus lumineux, mais également les plus sombres par rapport aux sources. En mode Cinéma, les résultats sont aussi excellents avec un delta E moyen de 1,21 et une luminosité de 1394 cd/m² aussi.

En plus de la mire à 10%, nous mesurons également la luminosité avec les mires occupant respectivement 1 %, 2 %, 5 %, 25 %, 50 %, 75% et 100 %. On peut constater qu’en mode Plein écran, on arrive à 291 cd/m² soit légèrement plus que le Sony Bravia 8 II (266 cd/m²) ou que le LG C5 (218 cd/m²).

Enfin, concernant les espaces colorimétriques, ils sont très bien couverts grâce à la technologie Quantum Dot qui offre ainsi des spectres plus larges que sur des téléviseurs utilisant le système White-OLED de LG Display. Comptez ainsi sur une couverture de 88,1 % pour l’espace colorimétrique BT2020, le plus exigeant et de 99,91% pour le DCI-P3. Sur ce point, la technologie QD-OLED garde donc une avance par rapport aux modèles White-OLED de LG, Philips ou encore Panasonic.

Rappelons une nouvelle fois que ces mesures sont valables uniquement pour le modèle de 65 pouces de cette série, étant donné que les autres diagonales sont dotées d’une dalle différente.
Samsung 65S90FGaming, rien de manque
Le Samsung 65S90F est un téléviseur particulièrement adapté au gaming. En effet, les quatre ports HDMI 2.1 supportent le 4K jusqu’à 144 Hz, le VRR, l’ALLM et sont compatibles avec FreeSync Premium Pro. Récemment, Samsung a aussi fait en sorte(ra) qu’il supporte le format G-Sync via une mise à jour à venir (au moment de l’écriture de ce test) rattrapant ainsi son retard face à LG qui propose ce standard depuis plusieurs générations déjà. À titre de comparaison, la série S95F peut monter jusqu’à 165 Hz contre 144 Hz ici.
Le temps de réponse quasi instantané de la dalle QD-OLED garantit une absence totale de traînée, même dans les jeux les plus rapides. Le mode Jeu, facilement accessible, optimise automatiquement les réglages pour réduire l’input lag et améliorer la fluidité. Nous avons mesuré 9,3 ms de temps de retard à l’affichage, signifiant qu’il y a moins d’une image de décalage entre le moment où on appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran.
Le Game Bar, une interface dédiée, permet de surveiller en temps réel les paramètres clés (fréquence, HDR, VRR) et d’ajuster certains réglages à la volée. Les jeux en HDR profitent d’une luminosité et d’un contraste saisissants, avec des couleurs vives et des noirs profonds, ce qui renforce l’immersion. Avec le mode Jeu Standard, les couleurs sont particulièrement saturées, c’est assumé avec un Delta E moyen de 7,71 contre seulement 1,3 pour le mode Jeu Original. Concernant la luminosité, rien à envier aux modes Filmmaker avec un pic mesuré à 1408 cd/m² pour le mode Standard et 1373 cd/m² pour le mode Original.

En pratique, sur des titres comme Forza Horizon 5, Gran Turismo ou Indiana Jones et le cercle ancien, le rendu est spectaculaire, sur console nouvelle génération. Comme les autres TV de la marque, le S90F fait également office de hub de cloud gaming avec l’intégration de services comme Xbox Cloud Gaming ou Nvidia GeForce Now, permettant de jouer sans console.
Samsung 65S90FAudio, une certaine chaleur, mais pas vraiment de basses
La section audio du Samsung 65S90F s’appuie sur une configuration 2.1 canaux. Le téléviseur délivre un son ample et détaillé, grâce à la technologie OTS (Object Tracking Sound) qui spatialise les effets pour mieux coller à l’action à l’écran. Les dialogues restent parfaitement intelligibles, même à volume modéré, et la restitution des effets surround est convaincante pour une utilisation courante. Les basses manquent parfois de profondeur sur les scènes d’action les plus intenses, mais l’ensemble reste très satisfaisant pour un usage quotidien.

La compatibilité Dolby Atmos permet de profiter de bandes-son immersives via une barre de son ou un système home cinéma. L’intégration de la fonction Q-Symphony, qui combine les haut-parleurs du téléviseur avec ceux d’une barre de son Samsung compatible, apporte un vrai plus en termes de spatialisation et de puissance. Pour les mélomanes ou les cinéphiles exigeants, un système audio externe restera préférable, mais le S90F s’en sort honorablement pour un téléviseur aussi fin.
Samsung 65S90FL’interface, ergonomique, complète et avec une pincée d’IA
Exactement, comme pour la série S95F, l’interface du Samsung 65S90F repose sur la dernière version de Tizen OS, ici dans une mouture 9.0 enrichie par l’intelligence artificielle Vision AI.
Pour aller plus loin
Samsung Tizen OS : rubriques, paramètres, fonctions… tout savoir sur le système des TV et vidéoprojecteurs
L’accueil est personnalisable et met en avant les contenus les plus pertinents selon les habitudes de chaque utilisateur, grâce à un système de recommandations efficace. Il y a aussi 3 onglets principaux.

Sur la première page, on peut ainsi retrouver les programmes en cours de lecture, certains contenus suggérés. Il y a également une bande proposant de très nombreuses applications préinstallées. D’autres peuvent être téléchargées depuis la plateforme idoine. Avec Samsung TV Plus, vous pouvez accéder à plus de 180 chaînes en direct via Internet.
L’onglet En direct permet d’accéder rapidement à des programmes en cours de diffusion : TNT ou via Samsung TV Plus.
D’autres pages sont disponibles sur la gauche de l’interface : Recherche, Ambiant (pour lancer des fonds d’écran lors d’une mise en veille, par exemple), Daily pour retrouver les objets connectés et Jeu qui regroupe toutes les applications liées au gaming.
Un nouveau design pour les menus
Comme les modèles de 2025 et bientôt ceux des précédentes générations, via une mise à jour à venir au moment de l’écriture de ces lignes, le téléviseur propose un nouveau design pour le menu de configuration. En effet, lorsqu’on appuie sur la touche Paramètres de la télécommande, on a droit à l’affichage d’un cadre dans le coin inférieur gauche de l’image. C’est pratique et cela permet de ne pas cacher cette dernière. On peut modifier la taille du menu.

Samsung a souhaité harmoniser l’affichage avec celui qui est proposé au sein de ses smartphones. On retrouve ainsi quelques couleurs des paramètres des téléphones du géant sud-coréen. En outre, les vignettes des applications ont gagné quelques rondeurs sur leurs coins, là aussi pour apparaitre moins différentes que l’apparence des applications sur les smartphones Samsung. Les menus se veulent également plus simples et plus accessibles.
La navigation est fluide, les menus réagissent instantanément et l’accès aux applications principales se fait sans latence.
Le Multi View permet d’afficher plusieurs sources simultanément, pratique pour suivre un match tout en consultant les réseaux sociaux. La compatibilité avec les assistants vocaux Bixby, Alexa et Google Assistant facilite la prise en main, tout comme l’intégration poussée de SmartThings pour piloter les objets connectés de la maison.
Les gamers apprécieront la présence d’un hub dédié au jeu vidéo, rassemblant toutes les sources et services de cloud gaming.

L’interface de calibration automatique (Smart Calibration) permet d’ajuster finement l’image selon la pièce et la source, pour une expérience sur mesure. Enfin, la gestion des profils utilisateurs est proposée.
Enfin, notez que le téléviseur intègre exactement toutes les fonctions d’intelligence artificielle des autres modèles 2025. Rappelons la possibilité d’afficher la traduction des sous-titres, le Click To Search et l’affichage d’informations sur les personnes à l’écran. Comptez également sur la sélection des images que vous préférez pour appliquer les réglages correspondants en fonction des contenus regardés et automatiquement détectés.

Pour en savoir plus, nous vous proposons de consulter le test du TV S95F.
Samsung 65S90FConsommation, c’est très raisonnable
Pour la consommation électrique, comme pour les autres TV, nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, Les 100 pendant 4 heures avec le son et les paramètres de l’image réglée sur le mode Filmmaker. Dans ces conditions, sans les modes d’économie d’énergie activés et le capteur de luminosité désactivé, le téléviseur consommait 59 W en moyenne contre 67 W pour le S95F. C’est très raisonnable pour un modèle de 65 pouces.
Pour la série en HDR (Filmmaker plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne de 75 W contre 75 Wh dans les mêmes conditions pour la série S95F, aussi en 65 pouces, mais avec, nous l’avons vu, une luminosité nettement supérieure. Le S90F bénéficie en outre de la certification Energy Star, gage d’efficacité énergétique. À noter que la veille consomme moins de 0,5 W, un point appréciable pour les utilisateurs soucieux de leur empreinte écologique, sauf si on active la fonction de proximité, on passe alors à 14 Watts.
Samsung 65S90FDate de sortie et prix
Le Samsung 65S90F est disponible depuis le printemps 2025 au tarif conseillé de 2 499 euros. Il se positionne ainsi en dessous du S95F, tout en restant plus cher que certains concurrents, comme le LG C5, mais moins que le Sony Bravia 8 II ces derniers ayant l’avantage d’être compatibles Dolby Vision, mais il mise sur sa technologie QD-OLED et ses fonctionnalités avancées pour justifier cet écart.
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