
Marshall, marque légendaire connue pour ses amplificateurs de guitare et ses enceintes Bluetooth au design inimitable, se lance dans une nouvelle aventure : le home-cinéma. Avec la Heston 120, sa toute première barre de son, la marque britannique veut imposer sa patte dans un marché dominé par des géants comme Samsung, Bose ou Sonos. Mais la tâche n’est pas aisée.
Si Marshall excelle dans la fabrication de transducteurs et la restitution musicale, le Dolby Atmos et le DTS:X exigent une maîtrise fine de la propagation acoustique pour créer cette fameuse bulle sonore immersive, où les effets semblent venir de toutes parts, y compris d’au-dessus de vous.
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Alors, que vaut cette première incursion de Marshall dans le domaine ? On a testé la Heston 120 pour vous, et autant vous le dire tout de suite : elle ne manque pas d’arguments pour séduire les amateurs de son et de design.
Marshall Heston 120Spécifications techniques
Modèle | Marshall Heston 120 |
---|---|
Dimensions | 110 cm x 14,5 cm x 7,6 cm |
Puissance | 150 watts |
Audio spatial | DTS:X, Dolby Atmos |
Nombre de ports HDMI | 2 |
HDMI e-ARC | Oui |
Wifi | Oui |
Caisson de basse | Intégré |
Enceintes arrières | Non |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec une enceinte prêtée par Marshall.
Marshall Heston 120Un look qui sort du lot
Dès le déballage, la Marshall Heston 120 impose son style. Si vous êtes familier avec les enceintes Bluetooth de la marque, comme l’Emberton ou la Middleton, vous serez en terrain connu. La grille en nylon épais, les finitions en cuir synthétique noir notamment sur les extrémités et les touches dorées en laiton rappellent l’esthétique vintage des amplis Marshall des années 70.
Le logo doré, élégamment centré sur la façade, ajoute une touche de classe. À l’heure où la plupart des barres de son cherchent à se faire discrètes, presque invisibles sous votre téléviseur, Marshall prend le contre-pied total : la Heston 120 n’est pas là pour se cacher, mais pour s’affirmer comme un véritable objet de décoration dans votre salon.

Et franchement, ça fonctionne. Avec ses dimensions généreuses (110 x 14,5 x 7,6 cm) et son poids de 7 kg, elle a une présence indéniable, tout en restant suffisamment compacte pour s’intégrer sur un meuble TV standard.
Des commandes physiques pleines de charme
Au centre de la barre, sur le dessus, Marshall a intégré un panneau de contrôle élégant et pratique. Trois potentiomètres métalliques, cerclés d’un chemin lumineux rouge, attirent immédiatement l’attention. Le premier ajuste le volume, le deuxième permet de régler les graves ou les aigus (il suffit de cliquer dessus pour basculer entre les deux), et le troisième sert de sélecteur de source – un clic lance la détection Bluetooth ou le paramétrage Wi-Fi. Ce système de commandes physiques, directement inspiré des amplis de la marque, est un vrai plaisir à utiliser.
Chaque réglage s’accompagne d’un clignotement discret du chemin lumineux, un détail qui renforce l’impression de qualité. À côté, trois petits boutons permettent de lancer des playlists prédéfinies via les services de streaming (Spotify, Tidal, etc.), et un dernier bouton offre un accès rapide à différents modes d’écoute (Musique, Film, Voix, Nuit).

Ce mélange de design rétro et de fonctionnalité moderne est une franche réussite : la Heston 120 est aussi belle à regarder qu’agréable à manipuler.
Marshall Heston 120Connectique : une polyvalence qui fait plaisir
Côté connectique, la Marshall Heston 120 ne déçoit pas. Elle embarque deux ports HDMI, dont un compatible eARC/ARC. Pour les non-initiés, cela signifie que vous pouvez connecter votre téléviseur à la barre via ce port, et elle récupérera automatiquement le son de toutes les sources branchées à votre TV (consoles, lecteurs Blu-ray, etc.), y compris les formats immersifs comme le Dolby Atmos. Bonus non négligeable : cet HDMI prend en charge le pass-through 4K à 120 Hz, parfait pour les gamers qui veulent brancher une PS5 ou une Xbox Series X sans sacrifier la fluidité. Attention toutefois, la protection HDCP est limitée à la version 1.4, ce qui pourrait poser problème pour certains contenus protégés en 4K HDR sur des plateformes spécifiques – un détail à garder en tête.

On trouve également un port USB-C, qui peut alimenter un appareil comme un Google TV ou un Amazon FireTV Stick, une attention pratique pour limiter les câbles autour de la barre. Plus surprenant, Marshall a inclus une entrée stéréo RCA, une rareté sur les barres de son modernes. Elle permet de connecter des sources analogiques, comme une platine vinyle préamplifiée ou un vieux lecteur CD, pour redonner vie à vos équipements vintage.
Enfin, une sortie RCA mono est présente pour ajouter un caisson de basses externe amplifié, si vous trouvez que le mini-caisson intégré manque de punch (on y reviendra dans la partie audio).
Connectivité sans fil : le streaming à l’honneur
La Heston 120 brille aussi par sa connectivité sans fil. Elle est équipée d’un port Ethernet pour une connexion stable, mais surtout d’un contrôleur Wi-Fi compatible avec une ribambelle de protocoles : AirPlay 2, Google Cast, Spotify Connect et Tidal Connect. Que vous soyez un utilisateur d’iPhone ou d’Android, vous pourrez diffuser votre musique préférée en un clin d’œil, directement depuis votre application de streaming habituelle. La barre prend également en charge les radios internet, accessibles via l’application Marshall, et propose des boutons prédéfinis pour lancer vos playlists préférées sans même sortir votre téléphone.
Côté Bluetooth, en plus de la transmission classique SBC, Marshall opte pour la technologie LE-Audio, avec à la clé un léger gain de qualité.

La Heston 120 est même compatible Auracast, une fonctionnalité encore rare qui permet de diffuser le son vers plusieurs appareils compatibles simultanément. Cette polyvalence fait de la Heston 120 une enceinte connectée taillée pour le streaming musical.
Marshall Heston 120Design interne : une architecture pensée pour l’immersion
Sous son allure rétro, la Heston 120 cache une technologie de pointe. Marshall a intégré 11 transducteurs actifs et 4 passifs dans une configuration 5.1.2, un standard pour les barres de son Dolby Atmos. Concrètement, cela signifie 5 canaux horizontaux (3 frontaux pour la scène avant, 2 latéraux pour les effets surround), 1 canal dédié aux basses fréquences (LFE), et 2 canaux verticaux pour les effets de hauteur. Les dimensions généreuses de la barre, notamment sa profondeur de 14,5 cm, lui offrent un volume interne plus important que la moyenne, ce qui joue un rôle clé dans la restitution des basses – un point souvent problématique sur les barres de son compactes.
Des basses intégrées sans caisson externe
Pour les basses, Marshall a opté pour une solution intégrée : un mini-caisson composé de 2 transducteurs basse-fréquence à l’arrière et de 4 transducteurs passifs (2 à l’arrière, 2 à l’avant).

Ces derniers, qui vibrent sans amplification propre, renforcent les fréquences graves pour un rendu plus profond. Avec une amplification dédiée de 2 x 50 W, ce système est conçu pour descendre jusqu’à 40 Hz, une performance honorable pour une barre de son sans caisson externe. Bien sûr, ne vous attendez pas à faire trembler les murs comme avec un vrai subwoofer, mais pour un usage polyvalent dans un salon de taille moyenne, cela semble prometteur.
Des transducteurs pour une immersion totale
À l’avant, trois (petits) transducteurs de médium de 4 cm assurent la reproduction des voix et des sons principaux, tandis que deux autres transducteurs similaires, placés sur les flancs, s’occupent des effets latéraux et surround. Sur le dessus, deux transducteurs de 7 cm, dédiés aux effets verticaux, jouent un double rôle : ils participent à la restitution des dialogues grâce à leur capacité à descendre dans les fréquences médiums, et ils projettent les sons vers le plafond pour créer l’illusion d’enceintes en hauteur.

À leurs côtés, des pavillons acoustiques abritent des tweeters à dôme, orientés vers le haut et légèrement vers l’auditeur. Ces pavillons permettent de diffuser les hautes fréquences plus loin, pour renforcer l’effet immersif en combinant les faisceaux sonores pour positionner les effets derrière ou au-dessus de vous – une technique éprouvée pour simuler un vrai système Dolby Atmos sans enceintes supplémentaires.
Une amplification bien dimensionnée
Chaque transducteur actif est alimenté par une amplification dédiée de 15 W, ce qui porte la puissance totale théorique à 235 W (100 W pour les basses, 135 W pour les autres canaux). En pratique, l’alimentation embarquée limite le pic de puissance à 150 W, ce qui reste largement suffisant pour une barre de cette taille et supérieur à beaucoup de concurrentes dans cette gamme de prix. À noter également, un point appréciable pour les écolos : en veille réseau, la Heston 120 ne consomme qu’un petit watt, tout en restant prête à répondre à vos commandes. Un détail qui montre que Marshall a soigné les aspects pratiques autant que les performances.
Marshall Heston 120Une prise en main intuitive, mais perfectible
Marshall fait le choix de ne pas fournir de télécommande avec la Heston 120. Pour ajuster le volume ou les réglages, vous devrez utiliser les potentiomètres physiques ou passer par l’application mobile, disponible sur iOS et Android. Lors de notre test, l’application Marshall était encore en version bêta, et certains aspects manquaient de clarté.
Par exemple, il n’était pas indiqué qu’il faut cliquer sur le potentiomètre de sélection de source pour initier la connexion Wi-Fi. Heureusement, une fois ce premier obstacle passé, la configuration est un jeu d’enfant. Vous pouvez aussi opter pour une connexion Bluetooth, puis connecter la barre au réseau Wi-Fi dans un second temps, pour bénéficier d’une qualité audio supérieure en streaming.
Une calibration acoustique bienvenue
L’un des points forts de l’application est sa fonction de calibration acoustique. Dès la première utilisation, la Heston 120 propose d’adapter le son à votre pièce. Elle émet une série de sons de référence, mesurés ensuite par des microphones intégrés, pour analyser les réflexions sur les murs et le plafond. Ce processus, essentiel pour optimiser les effets Dolby Atmos, prend moins de deux minutes et fait une vraie différence dans la précision des effets spatiaux. Si votre salon a des murs irréguliers ou un plafond bas, cette calibration permettra d’éviter que les sons ne semblent mal positionnés.
Des réglages limités, mais efficaces
L’application propose quatre modes d’écoute prédéfinis : Musique, pour un rendu équilibré sur vos playlists ; Film, qui met l’accent sur l’immersion et les effets surround ; Voix, pour des dialogues plus clairs ; et Nuit, qui réduit les basses pour ne pas déranger les voisins. Un égaliseur à bandes permet de peaufiner la tonalité, en complément des réglages graves/aigus accessibles via les potentiomètres.

Cependant, on regrette l’absence de réglages plus avancés, comme l’ajustement individuel des canaux ou de l’intensité des effets verticaux. À ce niveau de gamme, beaucoup de concurrents, comme Samsung ou Bose, offrent ce type de personnalisation, ce qui permet de s’adapter à des préférences très spécifiques. Avec la Heston 120, vous devrez vous contenter de la signature sonore imposée par Marshall – heureusement, cette signature est plutôt convaincante, comme on le verra dans la partie audio.
Streaming : une expérience fluide et polyvalente
On l’a déjà mentionné, mais la Heston 120 excelle dans le streaming. Grâce à sa compatibilité Wi-Fi avec AirPlay 2, Google Cast, Spotify Connect et Tidal Connect, vous pouvez diffuser vos morceaux préférés en haute qualité sans effort. La prise en charge des radios internet et des playlists prédéfinies (accessibles via les boutons physiques) est un vrai plus pour les amateurs de musique. Le Bluetooth LE-Audio, avec sa latence réduite, est idéal pour regarder des vidéos sans décalage entre l’image et le son.
Marshall Heston 120Une expérience sonore immersive, mais pas sans compromis
Marshall a clairement voulu faire de la Heston 120 une barre de son aussi à l’aise avec les bandes-son explosives des films qu’avec vos playlists préférées. Et on retrouve cette signature sonore chaleureuse et dynamique qui fait le charme des enceintes Bluetooth de la marque, comme la très bonne Middleton ou l’Emberton. Mais qu’en est-il des basses, souvent le talon d’Achille des barres de son sans caisson externe ? La Heston 120 embarque un mini-caisson intégré, avec une réponse en fréquence qui descend jusqu’à 40 Hz.

Dans une pièce de 20 m² bien fermée, le résultat est plutôt satisfaisant : les basses sont présentes, avec une profondeur agréable qui donne du corps aux scènes d’action. Par exemple, dans Dune : Partie 2, lors de l’arrivée des vers des sables, on ressent une vibration subtile qui renforce l’immersion, sans toutefois vous coller au fond de votre fauteuil. Même constat avec une série comme Stranger Things : les grondements de la voix de Vecna sont perceptibles, mais manquent de cette intensité viscérale qu’un caisson dédié pourrait offrir.
Comparée à une barre comme la Samsung HW-QS710F, qui dispose d’un vrai caisson externe, la Heston 120 est un cran en dessous dans l’infra-grave, mais au niveau de ce que propose Sonos avec l’ARC Ultra. Un caisson séparé jouera facilement trois fois plus fort dans ce registre, ce qui peut manquer si vous êtes un fan de blockbusters où chaque explosion doit faire vibrer votre salon. Cela dit, Marshall compense avec un haut-grave (autour de 80-120 Hz) généreux, qui donne du punch aux scènes d’action et de la chaleur aux morceaux de musique électronique. Par exemple, le titre Midnight City de M83 (2011) bénéficie d’un kick bien marqué, qui soutient parfaitement la montée mélodique du synthé.
Une restitution équilibrée, mais attention au volume
Globalement, la Heston 120 offre une restitution équilibrée et analytique, avec un accent marqué sur le haut-grave et le bas-médium (les fréquences entre 120 et 500 Hz). Cela se traduit par des voix pleines de consistance, un vrai point fort pour les dialogues.

Dans The Crown, les échanges entre la reine Elizabeth et le prince Charles sont d’une clarté exemplaire, avec une chaleur qui rend chaque mot parfaitement intelligible, même dans les scènes les plus feutrées. Ce parti pris donne aussi de l’impact aux bandes-son plus dynamiques : dans Top Gun: Maverick, le rugissement des moteurs lors des scènes de vol est percutant, sans jamais couvrir les dialogues des pilotes.
Les aigus, eux, sont bien dosés, mais leur rendu dépend de la pièce et de votre position d’écoute. Nos mesures montrent un léger retrait dans le haut-médium et les aigus (autour de 2-10 kHz), mais c’est une illusion liée à la position frontale du microphone. En réalité, grâce aux réflexions sur le plafond – un effet clé pour le Dolby Atmos – les hautes fréquences sont bien présentes et ajoutent de la brillance aux détails.

Un bémol toutefois : à pleine puissance, l’équilibre se perd un peu. Le bas-médium (vers 200-400 Hz) prend trop de place, et les voix ou les sons dans cette plage de fréquences deviennent un peu durs. Mais à volume modéré ou élevé sans pousser à l’extrême – disons, pour une soirée cinéma sans réveiller tout le voisinage –, la Heston 120 est bien adaptée. Le mode Nuit, qui compresse les dynamiques et réduit les basses, est d’ailleurs parfait pour ces moments : regardez un épisode de The Last of Us tard le soir, et vous profiterez des dialogues sans faire trembler les murs avec les grognements des infectés.
Scène sonore : l’immersion Dolby Atmos à l’honneur
S’agissant de la première barre de son Dolby Atmos, les équipes de Marshall ont du travailler avec celles de Dolby Laboratories pour faire valider l’appareil et ainsi obtenir la certification. Pour cela, des allers-retours ont permis de régler les moindres détails jusqu’à satisfaction de Dolby jugeant que la barre répondait à tous les critères.
Pour l’écoute maintenant, côté spatialisation, la Heston 120 tire son épingle du jeu, surtout sur les contenus Dolby Atmos. Dans Mad Max: Fury Road, les rugissements des moteurs et les explosions semblent remplir l’espace, avec une belle amplitude. Certains effets sont même positionnés avec précision à gauche et à droite,. Les canaux verticaux, qui projettent le son vers le plafond, font également leur effet : dans Gravity (2013), les débris spatiaux qui sifflent au-dessus de Sandra Bullock créent une certaine sensation de hauteur. Même dans une série comme The Witcher, les combats à l’épée s’accompagnent de sons d’armes qui semblent rebondir dans la pièce, renforçant l’immersion.

Cela dit, l’absence de réglages fins pour les canaux verticaux est un peu frustrante. Un réglage manuel de l’intensité des canaux aurait permis d’ajuster l’expérience à son goût.
En somme, la Marshall Heston 120 délivre une expérience sonore équilibrée et immersive, qui s’exprime autant sur les contenus Dolby Atmos que sur les écoutes musicales variées.
Marshall Heston 120Un tarif cohérent pour une barre premium
La Marshall Heston 120 est proposée à 999 €, un prix qui la place directement dans le segment haut de gamme des barres de son. À ce tarif, elle vient se frotter à des références bien établies comme la Sonos Arc Ultra, la Bose Smart Soundbar 900, toutes deux plébiscitées pour leur rendu Dolby Atmos et leur polyvalence. La Heston 120 se distingue néanmoins par son design iconique et ses fonctionnalités de streaming avancées (AirPlay 2, Google Cast, Auracast), qui en font une concurrente sérieuse pour les amateurs de musique autant que pour les cinéphiles. Comparée à la Sonos Arc Ultra, souvent louée pour son écosystème complet et sa spatialisation précise, la Heston 120 mise davantage sur son esthétique et sa signature sonore chaleureuse, ce qui pourrait séduire ceux qui cherchent un produit à la fois performant et élégant.

Face à la Bose Smart Soundbar 900, elle offre une connectivité plus riche (avec notamment l’entrée RCA), mais manque de la finesse de réglage que Bose propose via son application.
Des limites face aux systèmes complets
Cependant, à ce prix, la Heston 120 montre quelques limites. Pour l’instant, Marshall ne propose ni caisson de basses sans fil ni enceintes surround sans fil pour compléter l’expérience, ce qui la désavantage face à des systèmes plus immersifs comme la Samsung HW-Q995F. Cette dernière, souvent considérée comme la référence actuelle pour le Dolby Atmos grâce à ses enceintes arrière et son caisson dédié, offre une pression acoustique bien plus impressionnante – idéale pour les grandes pièces ou les amateurs de sensations fortes.
Toutefois, Marshall a annoncé la sortie prochaine d’un caisson de basses. Celui-ci pourra être associé à la barre de son Heston 120 pour les personnes qui jugent que les basses ne sont pas assez puissantes.
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