Comme tous les constructeurs présents en Europe, Volkswagen va également devoir devenir une marque 100 % électrique à partir de 2035, conformément à la volonté de Bruxelles. Heureusement, ce dernier est loin d’être à la traîne, puisqu’il possède déjà une gamme bien remplie. Et ce alors qu’il était l’an dernier sur la 3ème marche du podium des constructeurs ayant vendu le plus de véhicules zéro-émission (à l’échappement) dans le monde derrière Tesla et BYD. Une belle performance pour la firme, qui est cependant en proie à de grosses difficultés dans ce domaine et qui peine à écouler ses voitures.
Mais si les chiffres sont en effet en demi-teinte, alors que la marque est fortement chahutée par ses rivaux chinois, elle ne compte évidemment pas se laisser faire. C’est ainsi qu’elle a enrichit sa gamme en février dernier d’une inédite déclinaison break pour son ID.7, connue sous le nom de Tourer. Cette dernière a pour but de cibler une clientèle plus familiale, permettant en plus à la berline haut de gamme de mieux se distinguer de ses concurrentes. Le segment des breaks électriques est actuellement encore assez peu développé pour le moment (la place est surtout réservée pour les « gros » SUV), même si cela devrait rapidement changer. Car de nombreux constructeurs de l’Empire du Milieu s’y intéressent aussi.
La nouvelle Volkswagen ID.7 Tourer se décline en plusieurs versions, de la Pro jouant la rôle d’entrée de gamme à la variante GTX récemment dévoilée, qui vient coiffer le catalogue. De notre côté, nous avons pu prendre le volant de la finition Pro S, qui se distingue notamment par sa très grande autonomie, dépassant la barre des 600 kilomètres. Mais a-t-elle d’autres arguments pour séduire ? Pour le savoir, nous vous invitons à découvrir notre prise en mains détaillée ci-dessous !
Volkswagen ID.7 TourerFiche technique
Modèle | Volkswagen ID.7 Tourer |
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Dimensions | 4,96 m x 1,86 m x 1,54 m |
Puissance (chevaux) | 286 chevaux |
0 à 100km/h | 6,8 s |
Niveau d’autonomie | Conduite semi-autonome (niveau 2) |
Vitesse max | 180 km/h |
Taille de l’écran principal | 15 pouces |
Prise côté voiture | Type 2 Combo (CCS) |
Prix entrée de gamme | 58990 euros |
Essayez-la | Fiche produit |
Volkswagen ID.7 TourerDesign : un break plutôt désirable
Comme pour la plupart des berlines qui se déclinent par la suite en break, la nouvelle Volkswagen ID.7 Tourer conserve un style globalement identique à sa version originelle. Nous retrouvons la face avant que l’on connaît bien depuis sa révélation l’an dernier, et qui est d’ailleurs dans la lignée de tous les autres modèles de la gamme ID. Cela se voit tout particulièrement au niveau des feux avant à LED, qui adoptent une forme très étirée et qui sont une fois encore reliés entre eux par une fine bande rétroéclairée. Cette dernière est entrecoupée du logo de la marque, tandis que le faciès se veut très épuré.
Un choix esthétique guidé par la volonté du constructeur de réduire au maximum la résistance à l’air. Ce qui permet au break électrique de faire descendre son Cx (coefficient de trainée) à seulement 0,25. À titre de comparaison, celui de la Tesla Model 3 est légèrement plus bas, puisqu’il est quant à lui affiché à 0,219. Si la calandre est pleine, le bouclier est quant à lui ajouré afin de refroidir tout de même la cavalerie qui se cache sous le capot subtilement nervuré. Mais c’est surtout de profil que cette version Tourer est particulièrement reconnaissable, grâce à sa silhouette de break dynamique. Notre préférence ira justement pour celle-ci par rapport à la berline.
Contrairement à ce que nous aurions pu penser, les dimensions sont inchangées, puisque cette nouvelle variante affiche une longueur de 4,96 mètres pour 1,86 mètre de large et 1,55 mètre de haut. De quoi en faire une vraie voiture destinée aux familles, dans laquelle les longs trajets s’annoncent plutôt confortables, mais nous y reviendront un peu plus tard. La partie arrière est quant à elle identique à la berline, et nous retrouvons là encore une signature lumineuse tout à fait dans l’air du temps. Cette dernière prend la forme d’un large bandeau illuminé, qui intègre les feux et qui traverse tout le hayon d’un seul tenant.
On note également la présence du logo éclairé en rouge, tandis que le nom du modèle est inscrit juste en dessous. Le break affiche des lignes très aérodynamiques mais conserve cependant des rétroviseurs conventionnels. Un large choix de teintes de carrosserie est proposé sur cette ID.7 Tourer, avec pas moins de sept couleurs dont un très beau rouge Roi facturé 200 euros en option. La voiture est également livrée de série avec des jantes en alliage léger de 19 pouces dans sa finition Pro S, dont le dessin a également été travaillé pour réduire le frottement de l’air et optimiser l’autonomie.
Volkswagen ID.7 TourerHabitabilité : un break spacieux pour les familles
Si vous connaissez déjà l’ID.7 standard, que nous avions pu essayer un peu plus tôt dans l’année, vous ne risquerez pas d’être dépaysé en vous installant à bord de la version Tourer. Et pour cause, le constructeur a conservé le même poste de conduite sur les deux variantes, ce qui n’a en fait rien d’étonnant. Car malgré leur silhouette évidemment très différente, les deux voitures sont très proches sur de nombreux points. Et l’intérieur en fait partie. Nous retrouvons une présentation moderne et assez conventionnelle, qui permet aux conducteurs de vite retrouver leurs repères. Le dessin de la planche de bord est très droit, sans aucune fioriture.
Si l’ensemble peut même sembler un peu austère, notamment avec la sellerie noire de notre modèle d’essai, le break mise cependant sur son éclairage d’ambiance pour apporter un peu de peps. Il est également possible d’opter pour un intérieur blanc en option, moyennant 2 330 euros en plus. Les matériaux, qui sont tous synthétiques sont agréables au toucher dans l’ensemble. La qualité perçue est quant à elle très bonne, de même que les ajustements. Globalement, la voiture offre des prestations cohérentes avec son positionnement premium, même si nous aurions aimé des habillages un peu plus haut de gamme encore.
Si le constructeur a écouté les critiques concernant l’ergonomie, et notamment concernant l’écran sur lequel nous allons revenir un peu plus tard, certains éléments sont encore perfectibles. Parmi eux, le système de gestion de la climatisation, uniquement pilotable via la dalle numérique. Il faudra donc bien régler la ventilation afin de ne pas avoir à y toucher trop souvent, car cela est vite agaçant. À part ce point négatif, le poste de conduite de cette Volkswagen ID.7 Tourer est plutôt agréable à vivre et surtout, il mise avant tout sur le confort. Le conducteur et son passager profitent notamment de sièges à réglages électriques, chauffants et massants, dotés d’une fonction mémoire, livrés de série.
Avec son empattement affiché à 2,97 mètres, le break électrique accueille comme il se doit les passagers sur la banquette arrière, même si la place du milieu reste un peu étroite. La garde au toit est correcte, et il est possible de profiter d’un toit en verre panoramique en option pour apporter de la lumière dans l’habitacle. De plus, les occupants des places arrière profitent aussi de la climatisation tri-zone et de ports USB-C sur la console centrale.
Les rangements sont nombreux à bord de l’ID.7 Tourer, qui fait de son grand coffre l’un de ses principaux arguments. Ce dernier affiche un volume qui oscille entre 545 et 605 litres (sous tablette) et 1 714 litres avec les sièges rabattus. Enfin, le dossier de la banquette peut s’incliner légèrement en position « cargo » pour gagner quelques litres.
Volkswagen ID.7 TourerInfodivertissement : du mieux, mais encore perfectible
Nous l’avons évoqué un peu plus tôt, Volkswagen a eu à cœur d’améliorer l’ergonomie globale de son poste de conduite, conscient notamment que sa partie logicielle pêchait sévèrement. Comme pour l’ID. Buzz GTX que nous avons récemment essayé, cette dernière a été retravaillée sur l’ID.7, que ce soit pour la berline ou le break. L’écran tactile de 15 pouces profite de touches tactiles rétro-éclairées juste en dessous, tandis que les graphismes et sa disposition globale ont été améliorés. De quoi faciliter la prise en mains, qui nécessite tout de même encore un certain temps d’adaptation pour bien tout comprendre.
L’ergonomie aurait gagné à être encore un peu retravaillée, mais il y a tout de même du mieux. D’autant plus que le tout est assez réactif et que la dalle numérique est évidemment compatible avec Apple CarPlay et Android Auto. Elle est également associée à un tout petit combiné d’instrumentation numérique de 5 pouces installé devant le conducteur. Ce qui permet de faire mieux que Tesla en proposant un affichage qui reste tout de même assez minimaliste, mais qui indique tout de même quelques informations utiles, comme la vitesse ou encore le niveau de charge de la batterie.
En fait, il faut surtout regarder vers l’affichage tête-haute projeté sur le pare-brise pour profiter de toutes les infos indispensables à la conduite, dont la navigation. Cette dernière fait appel à la réalité augmentée et affiche de manière très précise les indications, notamment à l’approche d’une intersection. Il faut également savoir que la nouvelle Volkswagen ID.7 Tourer fait appel à l’intelligence artificielle avec ChatGPT en guise d’assistant virtuel. Celui-ci peut être activé grâce à la phrase « Bonjour ID », et le constructeur précise qu’il n’a en aucun cas accès aux données confidentielles du véhicule.
Bien évidemment, le système embarqué MIB4 du break électrique est compatible avec les mises à jour OTA (over the air) à distance. Et bonne nouvelle, celui-ci a aussi le droit à un planificateur d’itinéraire directement intégré à la navigation, mais nous n’avons pas pu réellement l’essayer. Le conducteur peut également recharger son smartphone en induction sur la console centrale, tandis qu’il bénéficie de deux prises USB-C côte à côte. Dommage cependant que le poste de conduite fasse globalement l’impasse sur la grande majorité des boutons physiques, ce qui pourrait poser quelques soucis de sécurité.
Volkswagen ID.7 TourerAides à la conduite : une belle dotation technologique
Du fait de son positionnement premium, la Volkswagen ID.7 Tourer bénéficie d’une belle dotation dès le premier niveau de finition Pro ID. Mais dans sa finition Pro S que nous avons pu conduire durant notre essai, le break électrique est évidemment encore mieux équipée, alors que cette dernière se situe juste en dessous de la variante GTX coiffant le catalogue. Le conducteur peut bénéficier de pléthore d’aides à la conduite, afin d’effectuer de longs trajets en toute sécurité et dans le confort le plus total. La voiture est notamment livré de série avec le système Travel Assist.
Ce dernier est en fait un dispositif d’aide à la conduite semi-autonome de niveau 2, qui est également associé à l’assistant de changement de voie Side Assist et qui ajoute aussi un régulateur de vitesse adaptatif. Ce dernier fait d’ailleurs aussi partie de la dotation et fonctionne globalement bien, comme nous avons pu le tester sur une petite portion de voie rapide. Cependant, une autre prise en mains sera nécessaire pour pouvoir mieux juger de l’efficacité de la conduite autonome. Celle-ci devrait cependant être au moins aussi efficace que sur la berline, que nous avions déjà pu essayer.
Mais ce n’est pas tout, car la voiture est aussi équipée du système Park Assist qui permet de faciliter le stationnement, en laissant cette dernière gérer la manœuvre, sans l’aide du conducteur. Pour ceux qui préfèrent se débrouiller seul, le break est aussi livré de série avec une caméra de recul ainsi que la vision à 360 degrés. De quoi se garer plus facilement dans les espaces étroits, alors que le véhicule affiche tout de même un gabarit assez généreux. De plus, l’auto est dotée de la fonction mémoire, qui enregistre les 50 derniers mètres comme chez BMW et peut les parcourir à nouveau en marche arrière.
La fonction Remote fait aussi partie de la dotation, et permet de stationner la voiture ou de la faire sortir d’une place directement grâce au smartphone. De quoi nous rappeler le Smart Summon de Tesla, mais que nous n’avons pas eu l’opportunité de pouvoir essayer. Bien sûr, on retrouve aussi des fonctions plus classiques, comme l’aide au freinage d’urgence autonome avec détection des piétons et des cyclistes, ainsi que la lecture des panneaux de signalisation ou encore la détection de la fatigue pour le conducteur.
Volkswagen ID.7 TourerConduite : un break tout confort
La gamme de la Volkswagen ID.7 Tourer est assez étoffée et le break, tout comme la berline, se décline en un large choix de versions. Nous avons de notre côté pu prendre le volant de la variante Pro S, qui embarque un seul moteur électrique installé sur l’essieu arrière, contrairement à la GTX qui possède quant à elle une transmission intégrale.
Notre modèle d’essai affiche une puissance tout à fait correcte de 286 chevaux, ce qui est largement suffisant pour tous les jours, et même pour se faire plaisir sur les petites routes et les voies rapides.
De quoi faire réfléchir à deux fois avant de craquer pour la variante plus sportive, beaucoup plus chère. D’autant plus de la Pro S est aussi l’amortissement adaptatif DCC, qui permet de faire évoluer son comportement en fonction du mode de conduite choisi, entre normal, confort et sport.
La suspension devient plus ou moins ferme, ce qui influe directement sur la tenue de route et le dynamisme global du véhicule. Le couple de 545 Nm est quant à lui délivré instantanément du fait de la motorisation électrique, ce qui permet d’assurer d’excellentes relances, tandis que le 0 à 100 km/h est réalisé en 6,7 secondes.
Le comportement global est plutôt satisfaisant et rassurant, quel que soit le mode de conduite choisi. Cependant, celui-ci sera tout de même un peu plus affuté sur la version GTX, qui bénéficie de réglages différents et plus axés vers le dynamisme. Ce qui se traduit sur la Pro S par une prise de roulis un peu plus présente, bien qu’elle demeure tout de même maîtrisée.
De plus, le centre de gravité du break est très bas, grâce à la batterie installée sous le plancher. La voiture est plutôt stable, mais on note cependant une petite tendance au sous-virage, qui se révèle surtout à haute vitesse. En conditions normales, cela est quasiment indétectable.
Quoi qu’il en soit, le confort reste l’un des principaux atouts de cette Volkswagen ID.7 Tourer, qui bénéficie d’une suspension assez souple, capable d’absorber la plupart des aspérités de la route sans secouer les passagers.
La direction est également très légère, mais nous aurions aimé un peu plus de précision tout de même, bien que cela soit loin d’être rédhibitoire, rassurez-vous. À vrai dire, ce sera plutôt sur les longs trajets que le break sera le plus à son aise, d’autant plus qu’il profite d’une insonorisation très efficace.
Volkswagen ID.7 TourerAutonomie, batterie et recharge
Si la version d’entrée de gamme de la Volkswagen ID.7 Tourer est équipée de la batterie de 77 kWh, notre modèle d’essai Pro S a quant à lui le droit à un pack de plus grande capacité, qui atteint les 86 kWh. Cette dernière fait appel à la chimie NMC (nickel – manganèse – cobalt) et non au LFP (lithium – fer – phosphate), et bénéficie notamment d’une plus grande densité énergétique. Ce qui signifie qu’elle peut stocker plus d’électricité pour une même capacité. Ce qui a pour effet de limiter la taille et le poids, et donc la consommation. Cette dernière est d’ailleurs assez raisonnable, puisqu’elle tourne autour des 17 kWh/100 kilomètres sur un parcours assez mixte lors de notre essai.
La consommation officielle WLTP (qui prend en compte les pertes d’énergie liées à la recharge) est donnée pour 14,2 kWh / 100 km. C’est une très bonne valeur.
Cependant, elle possède un inconvénient : un coût de production plus élevé, ce qui impacte directement le prix total de la voiture. Car pour mémoire, une batterie représente environ 40 % du tarif d’un véhicule électrique. La nouvelle Volkswagen ID.7 Tourer affiche un poids assez conséquent mais qui reste dans la moyenne du reste des autos zéro-émission (à l’échappement), affiché à 2 239 kilos à vide, ce qui se ressent notamment sur la conduite. L’autonomie est quant à elle plus que satisfaisante, puisque le constructeur annonce pas moins de 683 kilomètres en cycle mixte selon l’homologation WLTP.
De quoi rassurer les automobilistes qui craignent encore de tomber en panne lors de leurs longs trajets, même si l’on sait que cette peur est infondée. D’autant plus que la recharge est quant à elle plutôt rapide, puisque le break électrique peut encaisser une puissance atteignant les 200 kW en courant continu sur une borne publique. Ce qui permet de passer de 10 à 80 % en seulement 26 minutes selon le constructeur, tandis le véhicule est malheureusement dépourvu d’une architecture 800 volts. Et ce alors que la nouvelle plateforme PPE qui équipe l’Audi Q6 e-tron et la Porsche Macan électrique, issus du même groupe y a le droit.
En courant alternatif, le break électrique est doté d’un chargeur embarqué de 11 kW pour les wallbox à domicile ou les bornes publiques. La voiture est également équipée du freinage régénératif, mais pas de la conduite à une pédale, contrairement à d’autres modèles, comme le Nissan Ariya, entre autres. Il faut savoir que la pompe à chaleur ne fait pas partie de la dotation de série, puisqu’elle est facturée en option à 1 150 euros. La charge bidirectionnelle, que l’on retrouve notamment sur la MG4 ainsi que sur la Renault 5 E-Tech ne fait pas non plus partie de la dotation de la Volkswagen ID.7 Tourer Pro S.
Volkswagen ID.7 TourerPrix, concurrence et disponibilité
Tout juste lancée dans la gamme, la nouvelle Volkswagen ID.7 Tourer Pro S est affichée à partir de 62 390 euros. Un tarif assez salé, qui ne lui permet pas d’être éligible au bonus écologique de 4 000 euros, même si elle est produite en Europe, au sein de l’usine d’Emden en Allemagne, aux côtés de l’ID.4. De par son positionnement haut de gamme, et ce quelle que soit la finition, le break électrique a en réalité assez peu de concurrents. On peut cependant citer la BMW i5 Touring, qui démarre à partir de 77 400 euros dans sa version iDrive40 avec la batterie de 83,9 kWh et une autonomie de 560 kilomètres WLTP.
Si vous voulez vous tourner vers des modèles plus abordables, il existe un peu plus d’alternatives. On pense par exemple à la Peugeot e-308 SW, qui est quant à elle affichée à partir de 41 230 euros dans sa version d’entrée de gamme E-Style. Le break tricolore de 156 chevaux embarque une batterie de 54 kWh et affiche une autonomie de 409 kilomètres en cycle mixte. Dans la même veine, mais avec un prix de départ de 31 140 euros, vous pouvez également opter pour l’Opel Astra Sports Tourer. Le break électrique reprend la batterie de sa cousine tricolore, et affiche une autonomie allant jusqu’à 413 kilomètres selon le cycle d’homologation européen WLTP.
À partir de 32 990 euros, la MG5 est également une alternative maline à la Volkswagen ID.7 Tourer. Ce dernier, qui n’a plus le droit au bonus écologique et qui fait face à des droits de douane en hausse peut parcourir jusqu’à 400 kilomètres en une seule charge et se décline avec deux batteries, de 50 et 61 kWh. On peut aussi citer la Tesla Model S, avec son immense coffre, son autonomie de 723 km pour un prix de 92 990 euros.
Attention aussi aux SUV, comme la Tesla Model Y, ou encore les Renault Scenic E-Tech et Peugeot e-3008 qui pourraient faire de l’ombre à l’ID.7 Tourer grâce à leur capacité d’emport. Mais leur format grève l’autonomie à cause d’une consommation plus élevée.
Les livraisons de notre modèle d’essai ont quant à elle d’ores et déjà démarré et il est donc possible de prendre la route à son volant dès maintenant.
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