Décodeur TV : Orange, SFR, Bouygues, Free… quel opérateur propose la meilleure box TV en 2023 ?

 
En prenant un abonnement à la fibre, vous vous êtes sûrement déjà demandé si cela valait le coup de prendre une box TV en plus. Mais que valent ces fameux décodeurs TV qui vous promettent une expérience TV de qualité ? Nous avons listé l’ensemble des modèles disponibles chez les opérateurs historiques et déterminé lesquelles sont dignes ou non d’intérêt.

Si les opérateurs historiques en France comme Orange, Free, Bouygues Télécom ou SFR tentent de plus en plus d’élargir leurs services TV vers le dématérialisé. Il n’en demeure pas moins que les Box restent encore un outil privilégié par une majorité de Français pour regarder la télévision par Internet, que ce soit en direct ou en replay, d’après une étude récente du CSA.

Les FAI sont donc amenés régulièrement à actualiser leurs boitiers TV propriétaires (plus communément appelés décodeurs TV), pour non seulement être à la page techniquement, mais aussi proposer toujours plus de services annexes, d’expérience applicative et d’abonnements complémentaires. Forcément, chaque box TV dispose de sa propre interface, de ses propres compatibilités et surtout de sa propre expérience globale de navigation. Si vous aviez prévu de changer d’opérateur en incluant une box TV dans votre abonnement, voici une bonne base pour faire votre choix.

Décodeur TV Fibre d’Orange UHD

Disponible depuis 2018, le décodeur TV UHD d’Orange est une révision miniaturisée du décodeur TV 4 de Sagem que l’opérateur a lancé avec la Livebox 4 en 2016. Il n’a connu aucun successeur depuis et est encore proposé par l’opérateur de manière exclusive dans toutes les formules d’abonnements d’Orange et de Sosh, que ce soit en fibre ou en ADSL.

Dans la même lignée que la Livebox 5, ce boitier est décrit comme « Eco-Frendly » par Orange, car fabriqué entièrement à base de plastique recyclé, en plus de disposer de dimensions minimes pour réduire les matériaux utilisés.

Il n’y a pas d’offres pour le moment

Forcément, d’un point de vue strictement technique, ce décodeur TV UHD est un peu à la traîne. Il embarque un processeur CPU quad-core Broadcom 7268 de 1,5 GHz et est accompagné de 2 Go de RAM. Il propose au moins l’avantage de pouvoir se connecter sans fil à une Livebox (4,5 et 6 seulement) via une connexion Wi-Fi 5 (802.11ac) en 2,4 ou 5 GHz. La puce permet un affichage 4K UHD (3840 x 2160 pixels), le décodage HEVC (H.265) et supporte le HDR, ainsi que le son Dolby Atmos.

Côté connectique, cette box est pourvue d’un port USB 3.0 type-C, d’un port USB 2.0 en façade, d’un port Ethernet Gigabit, d’une sortie audio numérique et d’un HDMI 2.0. La télécommande est quant à elle synchronisée en Bluetooth 4.0 et il est aussi possible d’y connecter des périphériques compatibles, même si leur utilisation est limitée. Il s’agit par ailleurs de la même télécommande que sur la première version du décodeur ; elle n’a pas évolué depuis 2016 en dehors de l’intégration d’un microphone pour accéder à du contenu à la voix, le tout géré par Alexa.

Le design de la télécommande Orange TV n’a pas changé depuis 2016

Mais qu’en est-il concrètement en utilisation ? Même si les mises à jour successives rendent l’expérience plus agréable, le décodeur accuse tout de même quelques lenteurs à l’utilisation. D’abord au démarrage — il faut parfois plusieurs dizaines de secondes avant d’arriver sur la page d’accueil —  et en particulier avec un affichage en 4K. On remarque d’ailleurs que les réglages vidéo se contentent du strict minium — réglage de la sortie son uniquement — même si quelques options d’accessibilité sont bienvenues, comme le réglage du niveau de contraste ou le réglage du niveau de zoom.

Les réglages vidéo/audio sont vraiment minimes

Les menus sont tout de même bien agencés avec un index en haut de l’écran donnant accès à tous les services disponibles : VOD, Replay, Enregistreur, cloud gaming, musique et applications. Le reste de l’interface s’inspire fortement d’un agencement à la Android TV avec des cases regroupant les services de VOD ainsi que les chaines et programmes en direct que l’on a l’habitude de consulter. Forcément, la pub est assez envahissante, on se retrouve souvent avec des bandeaux ou des cases placées en plein milieu de l’écran mettant en valeur tel ou tel bouquet ou service TV, ce qui a tendance à alourdir l’interface et gâcher la visibilité dans la navigation des menus.

Notez que s’il est bien possible d’enregistrer jusqu’à 100 heures de programme, ce modèle ne dispose pas de stockage physique via un disque dur, mais un stockage en cloud fonctionnant de la même manière. L’avantage est de pouvoir visionner son contenu enregistré depuis un smartphone ou une tablette sans que votre box soit connectée en permanence.

Côté applicatif, en dehors du service de cloud gaming d’Orange (14,99 euros/mois tout de même), on est loin de ce que peut offrir une box Android TV. Ne vous attendez donc pas à pouvoir lancer des applications que l’on peut trouver sur le Play Store : le catalogue est famélique et inintéressant. Seules les applications de SVoD sont mises en avant directement sur l’accueil et sont presque toutes disponibles, à de rares exceptions près.

On a donc droit à une box certes fonctionnelle, mais qui accuse son âge. Une mise à jour technique, pourquoi pas en passant à Android TV, en plus d’une interface moins lourde, font partie des axes d’amélioration.

Le décodeur UHD d’Orange est disponible sur demande dans tous les abonnements fibre et ADSL d’Orange à partir de 22,99 euros par mois et avec un engagement de 12 mois.

Freebox Pop Player

Le Pop Player et sa télécommande

Débarquée dans le courant de l’année 2020, la Freebox Pop de Free vient compléter l’offre de l’opérateur aux côtés de la Freebox Delta — elle-même succédant à la Freebox One — et du fameux Player Free Devialet. Ce nouveau « cœur de gamme » s’accompagne donc d’une box TV reprenant ses logiques de design et d’accessibilité. Le Freebox Pop Player prend donc la forme d’un cylindre noir minimaliste à l’image d’une Box TV OTT, peu consommatrice en énergie et passe partout. C’est clairement la box TV la plus discrète du marché, elle est d’ailleurs plus fine que le décodeur TV UHD d’orange.

Techniquement, le Player Pop fait dans le classique et reprend presque l’architecture de la célèbre Xiaomi Mi Box. On retrouve à l’intérieur un CPU Amlogic S905X2, un SoC ARM Cortex-A53 quad-core cadencé à 1,8 GHz et un GPU ARM Mali-G31 MP2, associés à 2 Go de mémoire vive et à 16 Go de stockage interne. Le Player Pop est aussi compatible Wi-Fi 5 et Bluetooth 5 pour le sans-fil. La connectique est forcément très simple : un port Gigabit Ethernet, un port USB 3,0 Type-A, un logement microSD, une prise antenne pour le tuner TNT compatible DVB-T et DVB-T2, une sortie S/PDIF optique et bien sûr une sortie HDMI, en version 2.0, gérant l’Ultra HD à 60 Hz et le HDR 10 bits. L’enregistrement de programme ne se fait pas sur le stockage interne, mais dans le cloud, jusqu’à 100 heures.

Le panel arrière du Pop Player

À l’usage, on remarque tout de même la tendance du Player à chauffer significativement, même après quelques minutes en tension. Ceci peut d’ailleurs provoquer des ralentissements dans la navigation ainsi que des pertes de réseau. Prendre en compte l’aération du boitier est primordial ; évitez donc de la placer au-dessus du routeur Freebox Pop ou Delta sous peine de surchauffe malencontreuse.

Après la Freebox Mini 4K, le Player Pop vient confirmer la volonté de Free de proposer une expérience TV unifiée par l’intermédiaire de l’OS TV de Google. La box embarque ainsi une ROM Google/Android TV légèrement customisée par Free avec son application TV propriétaire OQEE. Cette dernière se lance d’ailleurs automatiquement au démarrage du Player Pop et il n’y a aucun moyen de démarrer sur l’interface Android TV à la place. Même s’il est possible de lancer des applications de VOD comprises dans son abonnement depuis cette interface, c’est toujours plus agréable de le faire depuis l’interface de Google.

En dehors de l’application OQEE, on a le droit à une expérience Google/Android TV tout à fait classique. L’accès au Play Store est bien sûr possible avec son lot d’applications et de jeux à télécharger. Attention cependant : le Player Pop n’est pas une Nvidia Shield et ses capacités restent limitées en dehors du streaming de vidéo. Certains jeux 2D du Play Store peuvent fonctionner correctement, mais les services de cloud Gaming (GeForce Now, Steam Link, Shadow, etc.) peuvent avoir du mal, surtout en 4K. Bien sûr, vous pouvez oublier les jeux en 3D qui ne passeront pas le stade de l’écran titre pour la majorité. Avec son stockage limité à 16 Go, la Freebox Pop est avant tout destinée au streaming vidéo. Si vous souhaitez un player plus puissant, Free propose la location d’un Apple TV 4K.

Finalement, on apprécie l’effort de Free de proposer un boitier avec un OS non fermé sur lequel il est possible de bidouiller un minium. Il reste néanmoins limité en puissance, même si la partie OQEE est agréable dans un usage purement TV.

La Freebox Pop Player est disponible dans l’abonnement Freebox Pop et Freebox Delta à respectivement 29,99 euros pas mois sans engagement et 39,99 euros par mois sans engagement.

Bbox 4K et Bbox 4K HDR : Du simple au double

Bouygues Télécom fut l’un des premiers opérateurs à faire le pari de Google/Android TV pour ces box TV. La Bbox Miami a laissé aujourd’hui le champ libre à deux box TV tournant sous l’OS TV de Google.

Bbox 4K

Disponible depuis 2018 dans les abonnements Bbox, la Bbox 4K vient en complément de la Bbox Miami. Comme son nom l’indique, il s’agit de la première box TV de l’opérateur à proposer un affichage en 4K en plus d’intégrer une ROM Android TV entièrement customisée. Elle intègre aussi Google Assistant pour naviguer à la voix via la télécommande équipée d’un micro.

La partie technique s’articule autour d’un Processeur Marvell BG4-CT accompagné de 2 Go de RAM et 128 Go de Stockage via un disque dur classique, notamment pour enregistrer les programmes. Elle est certes capable d’afficher ses programmes et VOD en 4K, mais ne supporte aucune norme HDR, ce qui la rendra un peu juste pour les cinéphiles. Côté connectique, elle propose 2 ports USB 2.0, un lecteur de carte SD, un port HDMI 1.4 et un port Ethernet de 100 Mb/s seulement. Elle ne peut d’ailleurs pas se connecter sans fil au routeur Bbox.

La Bbox 4K est donc loin d’être une box TV puissante et contentera seulement les téléspectateurs les moins exigeants. On imagine bien qu’elle se fera remplacer à terme par la Bbox 4K HDR, comme ce fut le cas de la Bbox Miami en son temps.

La Bbox 4K est disponible dans l’abonnement Bbox Must à 24,99 euros par mois pendant un an avec un engagement de 12 mois.

Bbox 4K HDR

Dévoilée puis sortie en début d’année 2022, la Bbox 4K HDR est une belle évolution technique de la Bbox 4K, tout en conservant l’expérience TV proposée depuis la Bbox Miami. On a donc droit à une ROM Android TV entièrement customisée aux couleurs de Bouygues Télécom. Pas de version classique de l’OS TV de Google comme sur le Pop Player de Free. En revanche, Bouygues intègre complètement le Wi-Fi 6 dans son environnement box puisque cette Bbox 4K HDR est bien compatible avec la dernière norme de réseau sans fil, elle peut même se connecter aux routeurs Bbox de dernière génération par ce biais.

L’autre gros ajout de cette Bbox 4K HDR est qu’elle dispose d’un écran couleur de 1,95 pouce (320 x 480 pixels) qui affiche l’heure, le programme en cours, un enregistrement lancé ou bien la notification d’un enregistrement programmé (100 heures de stockage sur le disque dur intégré et dans le cloud, avec option payante pour 200 heures supplémentaires). Google oblige, elle propose un Chromecast intégré pour pouvoir streamer du contenu depuis un smartphone ou une tablette. Dans cette idée, la télécommande est dotée d’un bouton dédié pour activer l’assistant de Google et faciliter la navigation dans les menus, un peu comme on le ferait sur une Nvidia Shield.

Comme son nom l’indique, elle est évidemment compatible 4K HDR (HDR10 seulement, pas de Dolby Vision) et Dolby Digital+. Sa fiche technique est aussi plus reluisante avec un processeur quad-core Broadcom 7271 cadencé à 1,6 GHz et couplé à 3 Go de RAM LPDDR4. Elle propose aussi un stockage flash de 8 Go et du Bluetooth 4.2. Le contrôle du direct est assuré par une carte SD interne de 16 Go et la connectique comprend deux ports USB 2.0, un port S/PDIF, une prise antenne TNT et un port Ethernet 1 Gb/s.

Ce gain de puissance a le mérite de faire profiter d’une navigation fluide en toutes circonstances, à l’image des meilleures TV connectées. L’interface reprend la logique d’organisation d’Android TV à la sauce Bouygues, mais est loin d’être désagréable et se paye même le luxe d’être mieux agencée que les menus de l’OS de Google. On a accès aux applications de VOD et aux applis très facilement. On regrette cependant la charge parfois abusive de vignettes publicitaires qui viennent amoindrir l’expérience de navigation.

Finalement, cette Bbox 4K HDR remplit véritablement son rôle de box TV digne de ce nom et ses ajouts matériels rendent le tout agréable à utiliser même en tant que Box TV exclusive.

La Bbox 4K HDR est disponible dans l’abonnement Bbox Ultym à 29,99 euros pas mois pendant un an avec un engagement de 12 mois.

SFR Box 7 et 8 TV

SFR propose deux box TV de son cru dans ses offres avec des positionnements prix et techniques bien distincts.

SFR Box 7 TV

La SFR Box 7 (à gauche) et le boitier TV Box 7 TV (à droite)

C’est la box la plus accessible de l’opérateur. Elle prend la forme d’un carré plat très discret, un peu plus volumineux que le décodeur UHD d’Orange et que l’on peut seulement positionner à plat. Point d’écran donnant des informations sur la chaine ou le contenu, une LED rouge et verte indique le fonctionnement.

Côté fiche technique, elle possède un processeur Broadcom 7252s dual-core cadencé à 1,5 GHz et de 2 Go de RAM ainsi que d’une mémoire flash de 4 Go. Il s’agit des mêmes caractéristiques que la Box 7 de la génération précédente, mais en plus petit. Côté connectique, on est aussi dans le classique avec un port HDMI 2.0, un port USB 3.0 Type-A pour y brancher du stockage par exemple, un port Ethernet Gigabit, une sortie S/PDIF optique pour le son et une prise antenne pour le tuner TNT. Pas de stockage dédié à l’enregistrement de programmes, mais du cloud (limité à 10 Go) pour consulter ses programmes depuis l’application SFR TV sur smartphone ou tablette. Une extension de 500 Go est disponible en format physique en option.

La box est capable de fournir une image en 4K UHD, mais ne délivre pas de traitements HDR. Elle est donc pensée pour une utilisation TV classique et non pour les amateurs de cinéma. L’interface est certes propre, mais a pris un coup de vieux si on la compare à celle de la Box 8 TV. On retrouve une page d’accueil qui distille l’ensemble des services et menus sur un seul écran avec une forte mise en avant des contenus et chaines de SFR comme RMC Sport ou SFR Cine Séries.

En bref, il s’agit d’une box TV assez conventionnelle qui conviendra à un public peu regardant sur les caractéristiques techniques et qui se contentera d’un contenu télévisuel classique.

La SFR Box 7 TV est disponibles dans l’abonnement SFR Fibre Starter à 18 euros pas mois pendant un an avec un engagement de 12 mois.

SFR Box 8 TV

La SFR BOX 8 TV et sa télécommande

Sans doute la box TV la plus intéressante de l’opérateur au carré rouge, la Box 8 TV est aussi la plus récente du lot. Elle est arrivée en même temps que la SFR Box 8. Malgré l’intégration du Wi-Fi sur cette gamme, le boitier n’intègre qu’une simple puce Wi-Fi 5. Dommage, car le Wi-Fi 6, voire 6E, aurait été un gain de vitesse et de stabilité non négligeable. SFR ne communique pas sur les caractéristiques purement techniques de sa box (on sait simplement qu’elle dispose de 3 Go de RAM), on en reste donc à ses capacités : affichage jusqu’en 4K UHD avec une prise en charge HDR10 et Dolby Vision, compatibilité Dolby Atmos, Wi-Fi 5 et Bluetooth 5.0. La connectique comprend un port LAN Gigabit, une entrée tuner TNT coaxial, un port USB-C, un port USB 3.0, un lecteur de carte microSD et un port HDMI 2.0. Elle ne dispose pas d’écran non plus, simplement une LED RGB donnant des indications sur le fonctionnement, la veille, mais aussi la mise en route de l’assistant vocal. Point de fonction Chromecast non plus, la box étant dépourvue de système Google.

Sa particularité est qu’elle peut faire office d’enceinte connectée, car elle intègre deux haut-parleurs (non compatibles Dolby Atmos) dans son bloc, pour y appairer son smartphone en audio par exemple. Elle intègre aussi deux microphones pour la compatibilité avec Alexa en tant qu’assistant vocal.

Pas d’Android TV, SFR persiste avec son écosystème et la BOX 8 TV embarque une interface personnalisée par SFR qui diffère de celle de la Box 7 TV. Elle est un peu plus moderne, mais toujours avec cette logique de cases pour illustrer les programmes en direct, en replay, mais aussi les applications des services de VOD, qui sont d’ailleurs pratiquement toutes présentes. En revanche, tout comme c’est le cas pour la Box 7 TV, ne vous attendez pas à lancer des applications tierces ni des jeux en dehors du portail de jeux dans le cloud dédié à 14,99 euros par mois.

La SFR Box 8 TV est disponible dans l’abonnement SFR Fibre Premium à 32 euros pas mois pendant un an avec un engagement de 12 mois.

Quel décodeur TV choisir ?

Sans prendre en compte votre éligibilité à un opérateur en particulier, il va de soi de considérer l’usage que vous ferez d’un tel matériel. Si par exemple vous disposez déjà d’une TV connectée, il a déjà de fortes chances que celle-ci soit compatible avec les applications TV des opérateurs ou d’autres comme Canal+. Vous pouvez aussi vous contenter des chaines de la TNT et ne savoir que faire d’une box TV, aussi peu encombrante soit-elle.

Dans tous les cas, si vous souhaitez profiter d’une box TV chez un opérateur, pensez à le faire sur des critères de prix, la facture pouvant vite monter si l’on additionne les bouquets TV supplémentaires et surtout les services de VOD qui ne sont pas inclus dans l’offre de base. Selon nous, ce sont clairement les box tournant sous Google/ Android TV qui proposent les meilleures expériences TV, comme le Freebox Pop Player ou les Bbox 4K et 4K HDR. L’OS TV de Google est le plus agréable et le plus complet à ce jour pour visionner du contenu vidéo à la demande ou avoir accès à des applications tierces.

Les autres opérateurs ont fait le choix de rester sur leurs propres plateformes et même si le contenu et les services se sont étoffés au fil du temps, on peine à les voir autrement que de simples box pour regarder la TV.

[index title= »Les alternatives »]Les alternatives aux box TV des opérateurs

On ne peut plus dire en 2022 qu’il faut impérativement posséder une box dédiée pour regarder la TV. Les opérateurs ont fait évoluer leurs offres et leurs plateformes vers du service, si bien qu’une simple application suffit pour bénéficier des chaines comprises dans son abonnement. La plupart des TV connectées des grands constructeurs comme LG, Sony ou Samsung proposent les applications TV des opérateurs directement dans leur catalogue.

On peut télécharger les applications des opérateurs directement sur sa TV connectée, exemple ici sur les TV Samsung.

Ces applications sont bien sûr disponibles aussi sur smartphones et Android et iOS tout autant que les tablettes.

Regarder la TV en direct depuis son smartphone
Comment regarder les chaines TV en live sur PC et son smartphone ?

Enfin, si votre TV n’est pas connectée, vous pouvez aussi vous orienter vers les box TV de constructeurs tiers compatibles Google/Android TV et Apple TV. Celles-ci proposent également les applications TV des opérateurs en plus des services de SVoD.


Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.


Utilisez-vous Google News (Actualités en France) ? Vous pouvez suivre vos médias favoris. Suivez Frandroid sur Google News (et Numerama).