CyberGhost VPN VS Surfshark : lequel de ces deux VPN est le meilleur ?

👻 VS 🦈

 
Parmi les VPN les plus populaires du marché, CyberGhost VPN et Surfshark sont plutôt bien placés. Quand l’un mise sur sa longévité et son savoir-faire, l’autre met en avant ses fonctionnalités et une croissance fulgurante. Afin de départager ces deux VPN, nous les passons au crible dans ce duel.

Encore peu répandus et réservés à un public averti il y a quelques années, les VPN ont connu une popularité sans précédent grâce à de nombreuses campagnes de communication (d’autres fournisseurs que NordVPN envahissent désormais les spots YouTube). Mais au-delà de contourner les blocages DNS ou accéder aux catalogues étrangers des plateformes de SVoD, un VPN sert avant tout à augmenter sa sécurité sur internet sans pour autant se livrer à des activités illégales.

Utiliser un VPN est aujourd’hui à la portée de tous et les différents services nous le prouvent grâce à des interfaces intuitives et des performances toujours plus intéressantes. Aujourd’hui, nous avons décidé de faire s’affronter deux des meilleurs acteurs du marché, à savoir CyberGhost VPN et Surfshark. Lequel de ces deux VPN est le meilleur ? Réponse dans ce comparatif.

Historique et politique de confidentialité : deux VPN fiables à 99 %

D’un côté le vieux sage, de l’autre, le jeune élève. Si CyberGhost VPN et Surfshark sont tous deux reconnus comme étant parmi les meilleurs fournisseurs de VPN du marché, ils n’ont pas le même bagage.

Avec NordVPN et ExpressVPN, CyberGhost VPN fait partie du trio de VPN historiques à la tête du marché depuis plusieurs années. La société voit le jour en 2004 en Roumanie sous le nom de CyberGhost SA et proposait alors gratuitement ses services avant de passer à une offre VPN payante en 2011.

En 2017, CyberGhost VPN est racheté par le groupe Crossrider qui sera rebaptisé Kape Technologies (également propriétaire d’ExpressVPN) l’année d’après. Un rachat qui a entaché la réputation de CyberGhost VPN, Crossrider était alors connu pour être un distributeur d’adwares et de scarewares, mais qui lui a permis de se développer considérablement. À l’heure où sont écrites ces lignes, CyberGhost VPN revendique plus de 38 millions d’utilisateurs.

Quant à Surfshark, l’aventure commence en 2018 avec un VPN mettant en avant une stricte politique de no-logs et audit de sécurité réalisé par un cabinet indépendant dès sa première année d’activité. Les années qui ont suivi, la société néerlandaise a enrichi sa gamme de solutions de cybersécurité (détecteur de fuites de données, antivirus, outil de navigation privée, générateur d’identité numérique…).

Surfshark a ensuite fusionné avec Nord Security (la maison mère de NordVPN) en 2021 et a rapidement atteint le rang de licorne grâce à une croissance plus que fulgurante. Aujourd’hui encore, Surfshark continue de développer de nouveaux outils, comme ses propres serveurs DNS, et revendique plus de 35 millions de téléchargements de son application à l’heure actuelle.

S’agissant de la politique de confidentialité, Surfshark s’est démarquée dès le départ avec une politique stricte de non-conservation des données. C’est surtout le premier VPN dont les serveurs fonctionnent à 100 % en RAM, ce qui signifie qu’aucune donnée n’est conservée sur disque dur. Ce qui est confirmé par ses audits de sécurité, réalisés au départ par Cure53 et aujourd’hui par Deloitte.

Bien que le siège social de Surfshark soit situé aux Pays-Bas, un membre de l’alliance des 9 et 14 yeux, les serveurs 100 % RAM et la politique no-logs font en sorte qu’aucune donnée ne soit conservée et donc potentiellement communiquée aux autorités d’un pays.

Mais CyberGhost VPN est encore plus sûr, tout simplement parce que son siège social est implanté en Roumanie qui en dehors de ces alliances et dont la législation sur la vie privée est des plus strictes. Des rapports de transparence sont régulièrement publiés depuis 2011 et un audit concluant a été mené par Deloitte en 2024.

En revanche, certaines données non liées à l’utilisation du VPN comme des données de facturation sont susceptibles de transiter en dehors de la Roumanie. De plus, le VPN appartient à une entreprise aux racines britanniques et israéliennes, deux pays plus ou moins liés à l’alliance des 14 yeux.

En bref, difficile de dire lequel de ces deux VPN respecte le mieux la confidentialité de ses utilisateurs.

  • Match nul

Les applications bureau et mobile : La simplicité des deux côtés

Pour se démarquer de la concurrence, un VPN ne peut plus se contenter de n’être qu’un simple service de réseau virtuel. Il se doit d’être fonctionnel, accessible depuis n’importe quel appareil et surtout d’avoir une structure applicative rapide et simple.

CyberGhost VPN : le VPN pensé pour les plateformes de SVoD

CyberGhost VPN est accessible depuis un nombre important d’appareils : Windows, Linux, FireTV, Android, iOS, macOS, Android TV, Apple TV, Google Chrome, Mozilla Firefox ainsi que sur Smart TV et certaines consoles de jeux. Il est même possible de configurer son routeur. Enfin, un seul compte permet de protéger jusqu’à 7 appareils.

Côté interface, le service est on ne peut plus limpide avec en prime une cohérence notable entre le desktop et le mobile. Sur macOS par exemple, un simple clic permet d’être dirigé vers le serveur sécurisé le plus proche et bénéficier de la meilleure bande passante tout en étant protégé. Il est bien sûr possible de choisir le serveur de son choix dans la liste proposée.

Fait intéressant, CyberGhost VPN propose une liste de serveurs spécifiques optimisés pour certains usages : le streaming de plateformes SVoD et le téléchargement de torrent. Il est ainsi possible d’accéder aux catalogues étrangers de Netflix ou de Disney+ et même visionner facilement des chaînes qui ne sont pas disponibles en France. Nous en profitons pour rappeler que contourner le géoblocage est une pratique légale mais seulement dans certaines limites. Or, les contenus des plateformes de streaming sont protégés par des droits d’auteur et un VPN qui fait la promotion du contournement de géoblocage se met en tort.

Côté mobile, l’interface est également du même acabit, simple et fonctionnelle, et il ne faut qu’un simple geste pour être automatiquement connecté là où on le souhaite.

On retrouve là aussi la page d’accueil avec connexion au meilleur serveur possible, la liste des serveurs et ceux optimisés pour le streaming et le téléchargement, ainsi que les paramètres pour accéder à quelques fonctionnalités clés.

Surfshark : une interface simple, et même un peu trop

Surfshark est un service bien plus récent qui mise avant tout sur la simplicité. Le VPN est aussi accessible que son concurrent avec une disponibilité sur un nombre important d’appareils, de navigateurs et de systèmes d’exploitation : Windows, macOS, Android, Linux, iOS, Google Chrome, Mozilla Firefox, Microsoft Edge, Apple TV et FireTV. Il est aussi possible de configurer le VPN sur un routeur afin de protéger ses appareils domestiques ou encore sa console de jeux. Enfin, cerise sur le gâteau : un compte Surfshark permet de sécuriser un nombre illimité d’appareils.

En revanche, côté interface, Surfshark accuse le coup de sa jeunesse. Elle est en effet simple — peut-être un peu trop –, avec peu de configurations possibles comme le changement de protocoles ou les fonctionnalités de sécurité de base. Le tout est un peu austère. Dans l’application desktop, seules les onglets « VPN » et « Paramètres » sont réellement dignes d’intérêt.

Le choix du serveur se fait exclusivement via la liste de pays proposés, même si un bouton de connexion automatique redirige vers le plus optimisé. En revanche, la connexion est rapide et aucun saut de réseau n’est à déplorer pendant le processus. Il est seulement dommage de ne pas se voir proposer des serveurs adaptés à certains usages comme le streaming ou le cloud gaming.

On retrouve cette simplicité dans l’application mobile avec là aussi deux trois onglets vraiment utiles et peu de configurations possibles. Il n’y a vraiment aucune différence entre l’application desktop et l’application mobile de Surfshark.

En clair, l’application de Surfshark n’est pas mauvaise, elle n’est pas excellente non plus. Au-delà d’un ravalement de façade, elle mériterait d’être plus fournie, d’autant plus que certains outils tels que l’outil de navigation et le détecteur de fuites de données ne sont pas encore intégrés à l’application et renvoient directement sur une page du site web du fournisseur. De son côté, CyberGhost VPN mise aussi sur la simplicité tout en proposant plus de choix sur les serveurs, quand bien même nous pouvons nous poser la question sur la légalité de promouvoir des serveurs dédiés au contournement du géoblocage.

  • Vainqueur : CyberGhost VPN

Fonctionnalités et protocoles de sécurité : Surfshark a les dents plus longues

Ce qui différencie un VPN d’un autre tient souvent aux protocoles utilisés, ce sont ces derniers qui décident de la vitesse de connexion mais aussi de la sécurité des appareils. Certains misent sur la vitesse ou sur les appareils mobiles, d’autres sont totalement obsolètes. CyberGhost VPN et Surfshark utilisent tous les deux les protocoles WireGuard et IKEv2.

Le premier est un protocole nouvelle génération aux excellentes performances et plus sécurisé que les autres grâce à son code plus léger. C’est le meilleur choix pour les usages exigeants comme le streaming et le cloud gaming. IKEv2 profite aussi de bonnes performances et sécurité mais est surtout privilégié pour sa stabilité lors des changements de réseau, lorsqu’on passe d’une connexion Wi-Fi à une connexion 5G par exemple. Ce qui en fait le meilleur choix pour les appareils mobiles Android et iOS. Enfin, Surfshark ajoute en plus le protocole OpenVPN qui a la particularité d’être open source et sécurisé, mais est moins performant que WireGuard et IKEv2.

Du côté des outils, CyberGhost VPN propose le pack classique : Kill Switch, Split Tunneling, Smart DNS, un bloqueur de trackers et de malwares et d’autres fonctionnalités moins communes comme un détecteur de fuite de données et un vérificateur de mots de passe pour savoir si vos identifiants ont fait l’objet d’une fuite de données. Il y a également la fonction IP Dédiée en option payante. Comme son nom l’indique, il s’agit d’une adresse IP qui vous est exclusivement dédiée et qui reste la même à chaque connexion.

L’outil Password Checker

CyberGhost VPN propose également d’autres outils dans sa suite Security en plus de son VPN. Cette dernière est toutefois disponible uniquement sur Windows. On y trouve un antivirus Intego ainsi qu’un gestionnaire d’applications qui détecte les invulnérabilités.

De son côté, Surfshark propose également tout ça, et plus encore, même dans l’abonnement de base qui comprend également le MultiHop (ou double VPN) et l’IP tournante qui modifie régulièrement l’adresse IP sans interrompre la connexion.

On profite également de solutions de cybersécurité très poussées comme Alternative ID, un outil pour protéger son identité en ligne et même se doter d’une identité fictive. Incogni supprime vos données personnelles des bases de données de sociétés et de sites de recherche. Enfin, Surfshark a récemment lancé ses propres serveurs DNS. Autant dire que Surfshark a dû pas mal profiter du savoir-faire de Nord Security.

  • Vainqueur : Surfshark

Parc de serveurs, couverture et performances : c’est pas la taille qui compte

C’est l’heure de la bataille des chiffres avec une donnée souvent mise en avant par les fournisseurs de VPN dans leur communication : le nombre de serveurs et de pays couverts. Quoique le cas de CyberGhost VPN est particulier puisque le fournisseur a fait le choix de ne plus communiquer cette statistique depuis plusieurs mois, nous avançons donc les données les plus récemment communiquées.

  • CyberGhost VPN : +11 500 serveurs dans +100 pays
  • Surfshark : +3 200 serveurs dans +100 pays

Mais qu’en est-il des performances ? C’est bien beau d’avoir trois fois plus de serveurs que son concurrent, encore faut-il qu’ils fonctionnent comme il se doit. Nous avons donc réalisé une série de speedtests sur l’application Speedtest by Ookla sur notre laptop connecté en filaire. D’abord sans VPN, puis avec le VPN activé via différents serveurs en France, aux États-Unis, au Canada, au Japon, en Corée du Sud, sur Taïwan, au Brésil, en Inde, en Afrique du Sud et en Australie.

Voici les résultats pour une connexion sans VPN depuis l’application Speedtest by Ookla :

  • Serveur : Clichy (92)
  • Débit descendant : 928 Mb/s
  • Débit montant : 788 Mb/s
  • Latence : 2 ms

Commençons par mesurer les performances avec Surfshark activé et un protocole choisi par défaut :

SurfsharkDébit descendant (Mb/s)Débit montant (Mb/s)Latence (ms)
Sans VPN9287882
France (Bordeaux)85351450
États-Unis (New York)91514277
Canada (Montréal)87612585
Australie (Sydney)63147,5260
Japon6264,09251
Corée du Sud66184,8279
Taïwan746115224
Brésil70145,4183
Inde (Delhi)896715163
Afrique du Sud80176,9166

Les résultats sont ici honorables malgré le fossé de performances entre certains serveurs sur les débits montants. Les données sur la latence sont cohérents avec notamment les serveurs asiatiques et australiens où le ping est le plus élevé. Cela reste acceptable pour du regarder le Netflix coréen mais cette latence peut devenir plus handicapante qu’utile dans certains usages comme le multijoueur en ligne. À savoir que Surfshark propose trois protocoles : WireGuard qui est celui sélectionné par défaut, IKEv2 et OpenVPN. Voyons s’il y a une différence de performances sur un serveur new-yorkais :

  • WireGuard : 711 Mb/s descendant ; 312 Mb/s montant ; 77 ms de latence.
  • IKEv2 : 654 Mb/s descendant ; 223 Mb/s montant ; 75 ms de latence.
  • OpenVPN (UDP) : 357 Mb/s descendant ; 58,1 Mb/s montant ; 76 ms de latence

Comme on peut s’en douter, le protocole OpenVPN pèse sur les performances du réseau étant donné qu’il est beaucoup plus volumineux en lignes de code. De son côté, WireGuard prouve qu’il est le protocole le plus rapide, c’est aussi l’un des plus sécurisés, nous vous conseillons donc de l’utiliser par défaut. IKEv2 se montre aussi très efficace mais il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un protocole s’adressant surtout aux appareils mobiles.

Passons maintenant aux résultats obtenus avec CyberGhost VPN avec le protocole WireGuard :

CyberGhost VPNDébit descendant (Mb/s)Débit montant (Mb/s)Latence (ms)
Sans VPN 9287882
France (Marseille)693232121
États-Unis (New York)40914074
Canada (Montréal 2)64142686
Australie (Sydney)484209287
Japon592179250
Corée du Sud57586,3300
Taïwan38061,7245
Brésil35057,1214
Inde339231207
Afrique du Sud577147166

CyberGhost VPN se montre globalement moins performant que Surfshark sur les débits descendants mais il est globalement meilleur sur les débits montants. Nous avons également effectué un speedtest sur un serveur américain optimisé pour le streaming, il en est ressorti de meilleurs débits avec plus de 600 Mb/s en descendant et plus de 450 Mb/s en montant. Nous avons également réalisé un autre speedtest sur le même serveur new-yorkais mais avec deux protocoles différents, voici ce qu’il en ressort :

  • WireGuard : 495 Mb/s en descendant ; 149 Mb/s en montant ; 74 ms de latence
  • IKEv2 : 760 Mb/s en descendant ; 161 Mb/s en montant ; 74 ms de latence

Étrangement, c’est le protocole IKEv2 qui se montre le plus performant dans nos comparatifs. Nous avons renouvelé l’expérience sur un serveur indien, un serveur japonais et un serveur sud-africain, IKEv2 s’est montré meilleur sur ces deux derniers.

Bien que nous ayons choisi une méthode allant au plus simple, les résultats globaux parlent d’eux-mêmes. Quand bien même son parc de serveurs est plus limité que celui de son concurrent, Surfshark offre des performances supérieures avec parfois des débits proches entre un serveur français et un serveur canadien, indien ou sud-africain.

  • Vainqueur : Surfshark

Service client et rapport qualité-prix : Des tarifs insolents chez CyberGhost VPN

On n’en a pas tout le temps besoin mais le service client est une donnée importante à prendre en compte avant de souscrire à un VPN.

Chez CyberGhost VPN, ce n’est pas franchement une réussite. D’abord, le support n’est accessible que de deux manières : via formulaire sur le site de CyberGhost ou via le chat. Le premier est assez poussif et demande un nombre important d’informations, certes toutes ne sont pas obligatoires, mais passer par là n’est pas des plus pratique, d’autant plus que le formulaire n’est pas disponible en français. Quant à la messagerie instantanée, également indisponible en français, le chatbot Zendesk n’est pas le plus pertinent ni le plus réactif. Un mauvais point pour un VPN qui a aujourd’hui quasiment 15 ans d’ancienneté.

Surfshark propose quant à lui quasiment le même modèle de service client avec au choix un formulaire en ligne sur son site ou une messagerie instantanée, là aussi tout en anglais. Il s’avère toutefois que le chat est réactif et l’outil de traduction automatique est intéressant quoique perfectible. L’ensemble demande tout de même à s’internationaliser un peu plus, quoi de plus normal pour un VPN me direz-vous.

Combien coûtent CyberGhost VPN et de Surfshark ?

Les VPN, CyberGhost VPN et Surfshark compris, distribuent souvent des codes promo ainsi que des réductions sur les plans de 12 ou 24 mois que nous ne prenons pas en compte dans ce comparatif. Et pour se faire rapidement une idée des tarifs en vigueur, un tableau vaut mieux que mille mots :

CyberGhost VPNSurfshark
Essai gratuit24 heures à 7 jours selon l’OS7 jours (pour les abonnements de 12 et 24 mois)
Garantie satisfait ou remboursé14 à 45 jours30 jours
1 mois11,99 €/mois– Starter : 15,45 €/mois
– One : 17,95 €/mois
– One+ : 20,65 €/mois
6 mois6,99 €/mois/
12 mois/– Starter : 3,19 €/mois
– One : 3,39 €/mois
– One+ : 6,09 €/mois
24 mois2,19 €/mois– Starter : 1,99 €/mois
– One : 2,49 €/mois
– One+ : 3,99 €/mois

Des deux côtés, on mise sur un engagement sur le long terme avec des tarifs mensuels plus attractifs sur les abonnements longs. Des remises peuvent être appliquées, CyberGhost VPN offre deux mois d’abonnement supplémentaires sur sa formule de deux ans par exemple ainsi qu’une réduction pouvant aller jusqu’à 50 % sur son option IP Dédiée. Surfshark offre de son côté trois mois d’abonnement supplémentaires sur les formules de 12 et de 24 mois.

L’offre de Surfshark est la plus complète avec trois formules dont la plus haut de gamme donne accès à toutes les solutions de cybersécurité de la société : antivirus, détecteur de fuite de données, outil de navigation sécurisé et service de suppression des données. Un modèle très similaire à celui de NordVPN qui propose également des outils supplémentaires par palier d’abonnement.

En revanche, l’offre de CyberGhost VPN a le mérite d’être beaucoup plus lisible avec une formule unique qui propose toutes les fonctionnalités possibles au prix de départ. En termes de rapport services-prix, CyberGhost VPN peut donc être considéré comme étant le meilleur choix. Enfin, comme mentionné plus haut, on peut ajouter à son abonnement une option IP Dédiée qui attribue à l’abonné une adresse IP exclusive, elle est facturée 5 euros par mois.

  • Vainqueur : CyberGhost VPN

CyberGhost VPN ou Surfshark ? Quel VPN choisir ?

D’un point de vue comptable, il y a match nul. À savoir que dans la première version de ce comparatif, CyberGhost VPN remportait le duel mais il faut reconnaître que Surfshark s’est grandement amélioré ces dernières années. Sur les performances et les outils de cybersécurité, le VPN au requin a probablement profité de l’expérience de Nord Security et propose aujourd’hui une offre très complète.

CyberGhost VPN donne à côté l’impression de stagner, les performances sont moins bonnes et la boîte à outils moins remplie, mais l’application reste plus accessible, à l’instar des tarifs. Pour un néophyte qui n’a jamais pris en main un VPN, CyberGhost VPN est la meilleure porte d’entrée qui soit.

En bref, nous avons d’un côté Surfshark qui a le potentiel pour être l’un des meilleurs VPN du marché aux côté de NordVPN et ExpressVPN, et de l’autre CyberGhost VPN qui n’a pas intérêt à trop se reposer sur ses lauriers et ses presque 15 ans d’existence.

Si vous souhaitez en savoir plus si les autres services de VPN, n’hésitez pas à consulter notre comparateur dédié. Vous pouvez aussi consulter nos autres versus de VPN :

Les meilleurs VPN du moment

Tous les meilleurs VPN

Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.


Téléchargez notre application Android et iOS ! Vous pourrez y lire nos articles, dossiers, et regarder nos dernières vidéos YouTube.

Les derniers articles